Je profite de ce début d’année pour vous adressez à toutes et tous mes meilleurs voeux .
Karen; Puma ; lorsque j’ai débuté ce carnet de voyage, je n’imaginais pas un seul instant que je consacrerais autant de temps et de publications au guépard. Cependant, je ne me voyais pas poser là ces photos sans parler de leur cause. Le faire eut été pour moi comme une sorte d’assentiment pour tous ceux qui causent leur déclin. La raison profonde provient sans doute du fait que j’ai plus d’affinité avec cette espèce qu’avec d’autres; ce qui m’a conduit à en parler plus longuement. Je sais que vous l’avez bien compris.
Ici, dans le Masai Mara, ce sont les autres prédateurs et non les hommes qui constituent la plus grande menace à leur survie. L’avantage de vivre dans des réserves pour les guépards c’est d’avoir “sous la main” beaucoup plus de proies potentielles qu’en vivant en dehors de celles-ci. Il faut savoir que 90% des effectifs de la race vivent à l’extérieur des réserves. La contrepartie de vivre dans une réserve c’est d’être en concurrence permanente avec les autres carnivores… ce que le guépard déteste . Ici, dans cette réserve, ce sont les hyènes particulièrement nombreuses (sans doute trop nombreuses) qui constituent la plus grande menace pour les portées de jeunes guépards.
Des observations ont montré que 90% des bébés guépards n’atteignaient pas l’âge de 3 mois et seulement 5% d’entres eux pouvaient espérer atteindre l’âge adulte.
Un guépard ne devient adulte qu’à l’âge de 18 mois; âge qui le voit devenir indépendant. Durant les mois qui précéderont cette indépendance, la mère qui élève seule ses jeunes, leurs aura inculqué cette technique de chasse si particulière et propre à l’espèce .Une technique basée sur l’observation, la discrétion et la vitesse. Une technique terriblement efficace puisque une chasse sur deux est couronnée de succès pour un guépard chassant seul quand une lionne solitaire; à titre de comparaison; ne voit sa chasse être récompensée qu’une fois sur cinq .Ce pourcentage frôle les 100% pour les guépards chassant en groupe comme ceux rencontrés ici.
La technique de chasse est avant toutes choses basée sur l’observation
Quand la mère juge qu’elle a terminé son travail auprès de ses jeunes; elles les quitte. Par la suite, la ou les femelles de la portée deviennent à leur tour indépendantes et solitaires et le resteront toute leurs vies durant pendant que les frères restent ensemble et s’associent souvent à d’autres mâles. On peut en conclure que la vie des mâles semble plus facile que celle des femelles.
Allez encore une tite photo de ce redoutable chasseur taillé pour la course.
Nous sommes tous différents, et donc nos gouts et préférences affectives animalières, le sont tout autant !!!
Comme il y a beaucoup d’espèces d’animaux sauvages en Afrique (pas seulement cinq … ), il y en a pour tout le monde… et puis les avis et préférences peuvent changer !!! ;-))
Ma femme est une inconditionelle des Oryx … !!
De toutes façons c’est la nature qui décide ce qu’elle va bien vouloir nous montrer au moment de notre passage .
Merci pour ces images magnifiques et peu communes du grand groupe de Guépards (sauvages).
Puma
.
jmarc7183
Bien sur Karen que le phénomène de domestication du guépard n’est pas nouveau mais je trouve qu’il prend des proportions plus inquiétantes encore et ce pour plusieurs raisons .L’une de ces raisons est l’impact que peuvent avoir les réseaux sociaux ou certain(e)s propriétaires se pavanent avec leur animal et une autre raison à mon sens, c’est la baisse des effectifs du félin. Si l’on détruit les portées d’un animal fortement menacé de disparaître, on ne fera qu’accélérer sa perte.
Bien sur j’aurais pu parler également de l’appauvrissement du patrimoine génétique du guépard ; j’ai préféré mettre l’accent sur l’impact de l’homme.
Car si l’homme est responsable par son mode de vie, par ses décisions etc…de la diminution de la diversité ; il reste et c’est le paradoxe, la solution aux problèmes (qu’il devra résoudre) que son expansion engendre.
jmarc7184
C’est avec plaisir que je partage notre expérience de ce voyage; les photos et notre ressenti. Si cette expérience peut plaire et rendre service à d’autres c’est tant mieux.
jmarc7185
En ce début de journée, nous resterons une heure avec ce groupe de guépards. Peu avant midi, nous les retrouverons tous couchés sous un arbre; plusieurs véhicules attendant bien sagement que ces nobles félins veuillent bien se mettre en chasse… En tout cas c’est ce que nous avons supposé.
Nous roulons doucement quand tout à coup un mouvement attire notre attention. Un oiseau vient de sauter en l’air…
C’est la parade nuptial chez les euplectes de Jackson. Quelques semaines plus tôt, nous avions visionné un reportage à la télévision les concernant mais les voir en vrai c’est beaucoup mieux. Nous nous rapprochons autant qu’il est possible. Ils sont là, quelques mâles à sauter en l’air puis replonger au sol pour épater une belle.
Nous les observons pendant plusieurs minutes puis d’un coup, sans qu’aucun signe apparent n’ait été donné, ils sont plusieurs dizaines à s’envoler. Spectacle étonnant même pour un guide!!!
Demain, après trois jours passés sur place nous quiterons le Masai Mara .Mais demain est un autre jour…
karen5686
Merci pour cette belle série variée.
La parade nuptiale des euplectes de Jackson doit être vraiment une belle observation.
Bonne fin de semaine à tous!
jmarc7187
Oui Karen, il est assez extraordinaire de pouvoir assister à ce genre de parade.Voir ce genre d’oiseaux sauter en l’air à environ 1,5 mètre de hauteur n’est pas sans me rappeler la danse des Masaïs .
jmarc7188
Aujourd’hui 16 janvier nous quittons le Masai Mara pour notre nouvelle destination : Amboseli.
Je n’avais pas lu que de bonnes critiques à son sujet mais on ne se voyait pas parcourir le Kenya en faisant l’impasse sur ce parc .
La distance entre les parcs et réserves du Kenya mais surtout le temps de parcours est souvent un handicap.Il fait perdre beaucoup de temps… Samburu-Masai Mara ou Masai Mara- Amboseli ou Tsavo ne peut se faire que difficilement en une journée aussi est’il recommandé de couper l’étape en deux. C’est ce que nous ferons ce jour là en regagnant le centre de Nairobi avant de mieux repartir le lendemain matin pour Amboseli. On peut dire que cette journée fût une journée de transition.
Avant de quitter la réserve vers les 11heures nous sillonnons les pistes.
Une alouette sentinelle à gorge rouge se laisse tirer le portrait
Bye Bye Masai Mara, je te dis à plus tard sans savoir vraiment si nous reviendrons un jour…
Arrêt à Narok pour se restaurer puis nous reprenons la route …tranquille.
Tranquille jusqu’à ce que nous retrouvions la route principale qui monte lentement sur Nairobi. Cette partie du parcours fût la plus anxiogène de notre voyage. Heureusement pour nous Michel est prudent… Nous mettrons plusieurs heures pour rejoindre notre hôtel situé dans le centre.Nous roulerons doucement avec de rares occasions de pouvoir doubler et nous serons ensuite coincés dans les bouchons en arrivant en périphérie de la ville. Si nous revenons un jour au Kenya nous tenterons d’éviter de repasser par Nairobi quand nous serons en transit. Mais en cette période de pandémie, les hôtels restés ouvert étaient plutôt rares.
jmarc7189
Les rues de Nairobi sont (presque) désertes en ce dimanche matin du 17 janvier 2021…pour notre plus grand bonheur: pas de circulation, pas de bouchons!!! La route qui nous conduit jusqu’à Amboseli l’est tout autant. Nous mettrons un peu plus de 3 heures pour arriver à la porte d’entrée.
Au loin, en approchant, ils nous semble aperçevoir un lac: réalité ou illusion d’optique??? Michel joue les ignorants devant notre questionnement…histoire de nous laisser la surprise de la découverte…A suivre.
Autant vous le dire d’emblée: nous avons beaucoup apprécié être à Amboseli.
Pourtant, ce lieu n’est qu’une vaste étendue d’une “platitude” absolue à des kilomètres à la ronde qui semble, à première vue, sans grands atouts. Or, c’est tout le contraire: ici, le charme opère. Car Amboseli, c’est avant tout une ambiance particulière due à ce contraste saisissant entre les espaces arides, semi- désertiques ou poussent de rares végétaux et une terre de marais et de lacs ou la vie foisonne et ou les animaux sont faciles à observer. Et puis il y a le géant de l’Afrique, le KIlimandjaro en toile de fond et l’énigmatique question, parfois obsédante : verra, verra pas ?.. Aura t’on la chance de l’apercevoir??? Pas gagné d’avance…
Le parc d’Amboseli plutôt petit par sa taille, est le deuxième parc le plus visité du Kenya après le Masai Mara. Je me dois de préciser que Amboseli ne nous aurait certainement pas laissé l’empreinte qu’il nous a laissé si nous n’avions pas été dans une période bien particulière.
Pour remettre les choses dans leur contexte, disons que nous avions l’impression d’être seuls au monde… au milieu d’une nature préservée. Dire que nous étions seuls c’est sans doute exagérer; disons que nous étions … très peu nombreux… Allez, si nous avons croisé cinq 4x4 le temps que nous y sommes restés, c’est bien le bout du monde!!! En janvier 2021, rares étaient les safaristes… Et découvrir ce parc presque en exclusivité à fortement contribué à l’excellent souvenir que nous en avons gardé.
C’est au Séréna, dans le parc même d’Amboseli que nous avons posé nos valises. Je tiens à préciser que nous avons fait confiance à Michel en ce qui concerne le choix des lodges lors de ce voyage. Dans le souci de faire connaitre son pays sous ses meilleurs facettes, et que ses clients ne puissent pas être déçus; il propose toujours à ceux-ci des hébergements d’un bon niveau de confort. Nous n’en demandions pas tant.
La consigne dans les lodges est souvent la même: toujours laisser fermer les portes des chambres…
Les chapardeurs sont un peu partout; n’oublions pas que nous sommes chez eux.
Il fut un temps, pas très lointain, où Amboseli était devenu sec et sans grand intérêt !!
Avec la remontée du niveau des eaux, cela semble avoir bien, bien changé .
De bien belles rencontres avec en plus celle -pas courante- de cette famille d’Otocyons .
Merci du partage .
Puma
.
jmarc7193
Avec plaisir
jmarc7194
Franchement, Amboseli valait le déplacement.
Voici la suite.
jmarc7195
Bonjour
Sans nul doute êtes vous comme moi…Parfois, j’aimerais arrêter le temps, arrêter les heures, freiner le soleil dans sa course, revenir en arrière. Parce qu’il y a des moments dans la vie qui mériteraient d’être vécus au ralenti afin de les vivre plus intensément encore. Avoir plus de temps devant soi pour capturer le moindre détail pour le graver à jamais.
C’est ce sentiment qui m’est venu à l’esprit en cette fin d’après midi de ce premier jour à Amboseli.
Il est environ 17h et sous l’équateur la nuit tombe vite. Michel nous conduit droit vers ce lac qu’il m’avait semblé apercevoir au loin lors de notre approche vers ce parc.
Imaginez une piste caillouteuse servant à la fois de chemin et à la fois de mini digue entre deux étendues d’eau peu profonde. De chaque côté de cette piste; une incroyable diversité animale.
Dans un premier temps, accaparé par autant d’informations qui remontent à votre cerveau; vous ne faites même pas attention à cette ambiance particulière qui règne alors. Puis lentement vos sens se mettent en ordre de marche et d’un coup vous le remarquer comme une évidence: le silence… Plus aucun bruit parasite du à l’activité humaine. Vous êtes seul. Vous avez cette nature préservée en exclusivité … Personne…Il n’y a qu’une chose à faire: admirer et se laisser porter…
Ce ne sont pourtant que des oiseaux, que des mammifères; vraiment rien de sensationnel ni d’exceptionnel mais le lieu, le contexte et l’ambiance de cette fin de journée leurs confèrent une autre dimension.
Et les hommes rentrent au bercail, la tête remplie de merveilleux instants.
A plus tard
puma96
…
““Je vous conseille de regarder les photos en grand pour distinguer plus de détails””
Tout à fait d’accord, mais où et comment ??
Puma
.
jmarc7197
Voilà une question qu’elle est bonne.
Plus sérieusement, je trouve dommage que ce forum soit aussi restreint sur la capacité à développer les images dans un plus grand format.
jmarc7198
Amboseli ne serait pas Amboseli sans ses éléphants.
Ils sont nombreux ici et facile à observer.
On en dénombrerait actuellement aux environs de1200 spécimens.
Il faut dire que toutes les conditions sont réunies pour vivre ici lorsque l’on fait parti de la famille éléphant.
L’eau de fonte qui descend du glacier du Kilimandjaro tout proche, approvisionne les marais qui se sont formés dans la plaine au pied du plus haut sommet d’ Afrique. De plus le parc ayant été plutôt bien préservé du braconnage et de la folie des hommes; les pachydermes peuvent ici devenir vieux.
Pour mettre bas la mère s’isole du reste de la troupe…Dans l’heure qui suit la naissance, le jeune doit être capable de se tenir debout et de suivre sa mère.Il en va de sa survie.
Il n’y a pas de place pour les faibles dans la nature
Pour se déplacer le jeune et la mère sont littéralement collés l’un à l’autre : histoire de ne faire qu’un aux yeux des prédateurs. Le jeune calquant son pas sur celui de sa mère.
Les grues couronnées sont nombreuses à Amboseli. Il paraitrait,d’après ce que Michel nous a raconté, qu’elles se donneraient rendez vous ici tous les ans à la meme époque et que c’est ici qu’elles formeraient leur couple , unis pour la vie .Une sorte de “foire aux célibataires”…
La rencontre avec les rejetons de Grues couronnées est très inhabituelle (pour moi en tous cas) et une bien belle occasion . Tout le reste aussi !!
C’est vraiment terminé ou vous poursuivez vers Tsavo ???
Puma
jmarc71102
Bonjour
A la base, nous avions prévu de rester 12 jours sur place.
Samburu, Masai Mara, Amboseli en passant par le lac Naivasha c’était un beau programme pour une première visite du Kenya…
Seulement voilà, entre ce qui était prévu et la réalisation , il y eu quelques couacs. En janvier 2021, il était bien compliqué de voyager. Notre vol de retour vers la France à la date indiquée à l’origine fût annulé. Il fallut s’adapter…C’est ainsi que ce séjour de 12 jours se transforma en 15.
Bien sur, nous aurions pu répartir ces trois jours supplémentaires, sur les parcs et réserves cités plus haut. C’eut été une sage décision. Bien sur avec le recul , c’est ce que nous aurions du faire …surtout en connaissant la suite. Mais la soif de découvrir une autre partie de ce merveilleux pays fût la plus forte. Justement Michel nous proposa d’emblée de poursuivre vers Tsavo Ouest. Immense réserve que Tsavo ou ses éléphants prennent la couleur de la terre rouge. Le rêve existe pour être vécu. Alors nous nous sommes laissés tentés.
Le temps de parcours entre Amboseli et Tsavo ouest n’ étant que de qqs heures. C’était un bon plan .
Oui mais voilà, nous ne savions pas alors qu’il nous faudrait réaliser un test pcr pour reprendre le vol retour. Nous étions encore à Samburu quand nous avons appris cette triste nouvelle qui viendra perturber la fin de ce voyage. Michel se chargera de trouver ou et quand réaliser ce test. C’était tout nouveau à cette époque. Nous devrons retourner plus tôt que prévu sur Nairobi à notre grand regret.
Après deux jours complets passés sur place, nous quittons Amboseli… Mon sentiment personnel: je serais bien resté une journée supplémentaire pour profiter plus encore de ce parc.
Quelques images sur la route reliant Amboseli et Tsavo
Ce baobab en pleine végétation est le témoin de la végétation luxuriante qui fait suite aux fortes pluies qui ont précédé notre arrivée. Ce qui nous ne facilitera pas la tache pour débusquer les animaux. Mais le malheur des uns (touristes) fait le bonheur des autres (faune et flore).
Nous passerons deux jours sur place. C’est beaucoup trop peu pour une réserve aussi vaste. Et je dois bien vous le dire nous resterons un peu sur notre faim pour ne pas dire un peu déçu de ne pas avoir vu plus d’animaux.
Loin de moins cette pensée qui sous entendrait que Tsavo ne vaut pas le détour. Simplement, les conditions n’étaient pas optimales pour nous au moment ou nous y étions. C’est le jeu ma pôve Lucette !!! C’est la nature qui décide …
La bonne nouvelle de ce passage à Tsavo c’est ce lodge ou Michel a ses habitudes. Idéalement implanté face aux Chyulu Hills, le Kilaguni lodge réserve une belle surprise lorsque l’on arrive dans la salle commune. Une vue en surplomb à 180° sur la réserve avec la possibilité d’apercevoir le Kilimandjaro par ciel dégagé.(Nous n’aurons pas cette chance).
Les allers et venues des animaux qui se rendent au point d’eau artificiel en contrebas du lodges apportent de jolies surprises. En période de sécheresse, ce point d’eau est très fréquenté nous dit Michel.
Marabouts et phacochères
Après deux jours sur place nous quittons Tsavo . Direction Nairobi ou nous avons rendez vous pour faire le test pcr. Test dans l’après midi puis retour à l’hotel, rien de très passionnant !!!
Le lendemain matin, en attendant le résultat des tests; nous prenons la direction du parc de Nairobi…qui n’était pas prévu à notre programme.
Ce parc a des atouts à faire valoir. Bien sur; à proximité de la ville; il ne procure pas le dépaysement d’une réserve comme Samburu ou Mara. Mais à l’exception des éléphants, on peut y rencontrer de très nombreuses espèces , félins y compris.
Pour être honnête, je vous dirai que le coeur n’y est plus. C’est le dernier jour; ce soir on reprend l’avion… à condition que nos tests soient négatifs. Cette dernière condition venant impacter notre concentration pour apprécier à sa juste mesure ce parc de Nairobi.
Une ambiance particulière avec la ville en arrière plan et la ligne de TGV qui traverse le parc.
Elans du Cap
Dans qqs heures nous quitterons le Kenya, des images plein les yeux et des souvenirs chevillés au coeur.
C’est sur cette dernière image synonyme pour moi de liberté; à l’heure ou un peuple se bat pour elle; que je termine ce carnet de voyage.
Je vous souhaite à toutes et tous de réaliser vos rêves. En venant au Kenya, j’ai réalisé l’un des miens.
puma106
Bonjour J- Marc,
MERCI pour l’ensemble du récit qui nous a fait nous évader au milieu de ces animaux que nous adorons .
Vos images mériteraient un format plus grand pour être mises en valeur … c’est le gros Pb de ce forum .
Il vous reste maintenant à “prevoir” une visite en Tanzanie … ???
Pour l’animal marqué Cephalophe, honnêtement je n’en ai jamais rencontré et ne puis rien “affirmer” !
Néanmoins la tache noire, sorte de glande sous l’oreille, fait penser à une des carctéristiques du Nagor (jamais rencontré non plus par moi ) . Ceci dit avec toutes les réserves d’usage .
J’aime les animaux, même sans identification …
Bonne continuation à vous .
& beaucoup de rêves de voyages, même si l’ambiance internationale du moment n’y incite guère .
Salutations.
Puma
jmarc71107
Merci Alain d’avoir suivi ce carnet.
C’est sans doute un Nagor ou Bohor reebuck mais après tout qu’importe son nom comme vous dites. Le plus important est de l’avoir découvert ; qu’il s’appelle Pierre, Paul ou Jacques ne change rien finalement.
Nous avons (j’associe ma femme) au cours de ce voyage, découvert de nombreuses espèces dont nous ignorions l’existence même, particulierement chez les oiseaux. Nous avons apprécié cette diversité et ce fût un plaisir pour moi de vous la montrer au travers de ce carnet.
Alors bien sur, la Tanzanie nous fait de l’oeil . Nous attendions des jours meilleurs après la crise sanitaire pour entreprendre ce voyage. Nous n’imaginions pas sortir d’une crise pour entrer dans une autre sans doute pire.
Qui vivra verra ; nous gardons l’espoir…
Bonjour,
super récit ça donne envie !
Vous êtes passé par une agence de voyage ou aide à l’organisation ou vous avez tout organisé vous même ?
Comment avez vous trouvé le contact de Miche votre guide ?
Bonne journée !
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jmarc71109
Bonjour … et merci d’avoir apprécié.
Je m’intéresse aux animaux et à la vie sauvage depuis bien longtemps déjà. Par voie de conséquence, j’avais donc connaissance de l’existence des réserves de Masai Mara (qui n’est que le prolongement kenyan de l’immense Sérengeti tanzanien); du parc d’ Amboseli au pied du Kilimandjaro, et du lac de Nakuru célèbre autrefois pour ses milliers de flamands roses ou finalement nous ne sommes pas allé.
C’est en parcourant ce forum que j’ai découvert l’ existence de la réserve de Samburu qui est très vite devenu dans mon esprit un incontournable de ce projet de voyage. La suite du programme s’est faite naturellement avec Michel.
J’avais déjà les grandes lignes de ce périple, il me restait à trouver un guide. J’en ai contacté plusieurs sans que j’adhère vraiment à ce qu’ils me proposaient. Puis par l’intermédiaire d’amis communs sur un réseau social bien connu; j’ai fait la connaissance de Michel. Ca a tout de suite “fonctionné” entre nous . C’est difficile à expliquer mais en lui confiant ce projet , j’ai été plus rassuré avec lui qu’avec d’autres guides et leurs propositions parfois pas très logiques. Il a su être réactif, conciliant et malléable. En pleine période de covid et de confinement , il lui fallait bien toutes ses qualités pour s’adapter à la situation et à nos modifications.
Nous lui avons fait confiance (et inversement) et nous avons bien fait.
je viens de consulte votre récit au coeur du kénya ,super récit j y vais en mars 23 qui était supposé etre en 22 remis ,vous avez fait des parcs qui sont à mon programme wow bien hate d y mettre les pieds .Pour nous ce sera une premiere ,ol pejeta,samburu,nakuru,masai mara ,crescebnt island,Amboselli ,tsavo ouest,et diani beach ,je crois que nous avons une tournée de la situation ,un survol de tout ces parcs. merci
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jmarc71111
Je ne peux que vous souhaiter un bon voyage
Profitez en bien ; ça passe trop vite…
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puma112
Bonjour,
C’est pour cela que depuis des années, sur les forums Kenya et Tanzanie du routard, je suggère aux passionnés de faune sauvage :
"Faites en PEU, mais faites le BIEN " (peu de réserves … )
Deux ou 3 réserves Maximum en 2 semaines … ce n’est QUE mon avis fruit de mon expérience et de mes goûts perso .
Les trajets entre les Réserves prennent beaucoup de temps sur un séjour, il vaut mieux passer son temps DANS les réserves, si on est passionné .
Vous avez eu beaucoup de chance de rencontrer et photographier le Petit KOUDOU, plus rare que le grand .
Je viens de passer 2 semaines dans deux réserves du sud Tanzanien, avec entre autre but, de ramener des images de cet animal … juste vu un individu de loin sans pouvoir réaliser une image …
Bonne fin d’année .
Puma
lucia04113
J AI tout lu votre recit et regarde vos photos de toute beauté tout un travail de partager merci
jmarc71114
Merci
Ce fut un plaisir de partager avec vous, nos rencontres lors de ce voyage.
…
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nrb115
Bonjour jmarc71,
Quel plaisir de parcourir votre carnet de voyage! Je suis moi-même en train d’organiser un safari au Kenya (on serait 6 personnes) et le programme proposé par Michel semble me correspondre. Serait-il possible d’avoir ses coordonnées ?
En vous remerciant,
nbr
blesl116
Bonsoir Jean-Marc
Je me suis régalé avec tes photos ! Bien sûr avec mes chéris, les guépards, mais aussi avec tous les autres biquets et les piafous que tu n’as pas négligés, un ensemble de photos complet et superbe et des textes qui vont bien !
C’est pour ce type de contribution que je regarde encore ce que le Routard nous offre, souvent inintéressant quand ce n’est pas barbant, et je reste poli, avec trop rarement un petit joyau ou une belle pépite. Une grosse et belle pépite dans la cas présent.
Merci ! Thank You! Danke schön! Asante sana!
BL
L’épervier ?? est un jeune autour, possiblement un Autour à ailes grises (https://www.oiseaux.net/oiseaux/autour.a.ailes.grises.html), mais sans certitude. Pour les grues, une certitude, ce sont des grues royales (Balearica regulorum) et non des grues couronnées, leur nom vernaculaire anglais de Grey Crowned Crane est piégeux.