Ubud n’est pas le bon endroit pour louer une voiture.
Le mieux, c’est de passer la journée de ton arrivée ou le lendemain si tu arrives tard à Semyniak pour te remettre du voyage et t’acclimater. C’est un bon endroit pour trouver une voiture. Je t’envoie en MP une adresse. Il ne faut pas hésiter en se promenant dans les rues à voir plusieurs loueurs pour voir ce qu’ils on en stock.
Si je peux me permettre un conseil, laisse tomber Kuta à la fin de ton voyage. C’est horrible, agité, n’a aucun intérêt et va gâcher ton voyage.
Lovina n’a pas bcp d’intérêt non plus.
Si je peux te conseiller un chouette programme, voici :
2 nuits à Seminyak
2 nuits à Java pour faire le Kawah Ijen
2 nuits à Munduk pour marcher
1 nuit à Amed
2 nuits à Sidemen
3 nuits à Gili Air pour la plage
3 nuits à Ubud pour terminer en beauté
Le kawah Ijen, c’est vraiment une étape marquante. A ne pas manquer. Si tu n’es pas trop chaud pour conduire jusque là (5 à 6 heures pénibles), le faire avec un chauffeur ou une agence.
Munduk, c’est loin de l’agitation, c’est le vrai Bali. Il faut absolument prendre un guide pour aller marcher dans les plantations.
Amed, paysage très différent. Si tu aimes le snorkeling. Si tu as le temps.
Sidemen… ah Sidemen… C’est l’endroit que j’aime. Beaucoup y vont pour un jour et restent une semaine! Si tu attrapes de virus de Bali, c’est là que cela se passera.
Gili Air. Pas de voitures, pas de motos, le calme, le repos, la glandouille, la crêpe. Petit rappel, Bali, ce n’est pas les Maldives ou les Seychelles. Amateurs d’eaux turquoises, de sable blanc et de palmiers sur la plage, s’abstenir.
Mais Gili est très sympa,
Ubud, après Gili, c’est le retour à la civilisation! Mais malgré le monde, les voitures, les gars qui te proposent un taxi tous les 10 mètres, cela reste une ville très agréable pour terminer son périple. Se payer un bel hôtel en fonction de son budget. Se promener dans la campagne environnante. Il faut en profiter car c’est atroce de voir que l’on détruit les superbes rizières pour construire des hôtels et des villas. D’année en année, on voit la différence.
Et oui, Bali est vraiment victime de son succès. Et nous y participons.