Depuis longtemps, déjà durant mon enfance, j’ai songé à vivre une vie plus simple, vivre de la nature, de la terre, et ne prélever que l’essentiel; afin de me renseigner sur les manières de vivre ainsi je me suis tourné vers l’histoire et je fus fasciné par la vie que menaient nos ancêtres au 14ème ou 15ème siècle.
Après beaucoup d’expérimentation, je suis convaincu qu’une communauté, vivant simplement, tels nos ancêtres, pourrait s’épanouir au 21ème siècle, et pourrait, peut-être, convaincre davantage de gens d’adopter ce mode de vie, une vie plus simple, mais plus dur.
Depuis lors je me renseigne dans le but d’acquérir des terres afin de créer cette communauté, mais avant de me lancer, je suis à la recherche de soutien,
des personnes qui, comme moi, seraient prêtes à s’engager dans ce projet et me rejoindre le temps venu.
Un site web est actuellement en cours de création afin de vous donner de meilleurs renseignements sur le projet.
En attendant je reste à votre disposition si vous avez des questions, je suis toujours ravie de partager mes idées.
Merci à vous.
anon685562392
Utopie tu nous tiens !
manuel-de-l-aubepine3
Une “Utopie” impliquerai que le projet serait irréalisable, or, un projet tel celui-ci est bien réalisable, même assez simple à rendre autonome, voir rentable.
la-fleur684
Bonjour, je suis à la recherche d’une communauté pour vivre dans l’entraide et le partage en autonomie pour vivre au maximum hors système. Vous en êtes où avec votre projet?
antlia5
Je crois moi, que la démarche de Manuel de l’Aubépine (un joli nom moyenageux) est très rationnelle au contraire sur le fond. À condition, bien sûr, qu’elle ne soit pas (trop) empétrée dans des idéologies, en particulier les pires d’entre elles : les religions.
Effectivement il n’est pas idiot de s’inspirer du mode de vie de nos ancêtres en y apportant, ponctuellement, les secours de la modernité, essentiellement techniques.
Seulement voilà :
C’est impossible à réaliser en France, je ne détaille pas, je l’ai suffisament expliqué et je n’aime pas radoter.
Nous sommes donc comme des libanais chassés de leur pays qui devient invivable, mais pour d’autres causes. Mais j’ai connu des libanais, francophones, qui vivaient très bien que ce soit en Afrique Noire ou en Amérique du Sud.
Il y a un individualisme morbide en France qui se résume dans la formule : “plutôt crever tout seul que de s’en sortir à plusieurs”. J’ai longtemps arpenté ce forum et d’autres similaires sans trouver qui que ce soit pour un projet d’expatriation commune. Je n’étais pourtant pas un gourou de secte, je n’avais pas de décisions préconçues, tout était possible.
et pour finir la coronafolie sous forme de diverses dictatures ne permet pas, autant que dans les temps antérieurs (je ne vis plus en France depuis 11 ans et, si je n’ai fait qu’une seule chose de bien dans ma vie c’est bien d’en foutre le camp) de changer de pays. Mais, de part le vaste monde tout n’est pas comme la France (ou Israël, pire que pire, le Hamas doit bien rigoler), fort heureusement. Comme le mien, pas forcément le meilleur, le Paraguay où il n’y a aucune mesure contraignante autre que de se laver les mains et de mettre un masque quand on entre dans un lieu qui reçoit du public. La pseudo vaccination reste facultative et n’enthousiasme pas les foules. Car on se soigne, ici, l’ivermectine est en vente libre.
Ces 4 points étant posés il est, néanmoins, possible de passer entre les gouttes (d’acide sulfurique). À condition de le vouloir vraiment.
Le débat est donc ouvert (ou se refermera de lui-même comme dans ce forum).
ame_nomade6
hmmm vous nous parlez d’individualisme pourtant vous n’êtes pas le dernier à dénigrer la population du pays dans lequel vous vivez ( bref le Paraguay) n’est-ce pas ?
Peut-être qu’il faudrait être un peu raccord avec soi-même.