Ci-dessous mon récit de voyage (17 pages).
POUR CEUX QUI RECHERCHENT DES INFOS PRECISES :
pages 1 à 8 : Orlando et les parcs d’attraction
pages 8 et 9 : infos pratiques location de voiture
pages 10 à 14 : circuit Golfe du Mexique (Clearwater, Sanibel, Les Keys, Miami)
pages 15 à 17 : anecdotes, conseils, bonnes adresses, sites web.
Bonne lecture ! (je vous conseille de faire un copier coller dans word)
Récit de Voyage « Floride Magique »
du 15 juillet au 7 août 2008 (24 jours)
Orlando, Clearwater, Sanibel Island, les Keys, Miami
Page 1 - ORLANDO et les parcs – du 1er au 15ème jour
Mardi 15 juillet 2008 – 1er jour (vol pour Orlando)
Après avoir quitté Paris (vers 10h30) sous le soleil et fait une escale à Francfort, nous arrivons à Orlando (vers 18h) sous une pluie torrentielle, qui, ajoutée à la moiteur tropicale, nous plonge agréablement dans une ambiance exotique. Quel dépaysement agréable ! Mais lorsque nous montons à bord de la navette Disney qui nous emmène à l’hôtel, on se souvient soudain qu’ici tout est climatisé à mort « welcome in the igloo bus » l… A tes souhaits !
Après un rapide check-in auprès d’un personnel qui sera aux petits soins tout le temps de notre séjour, nous rejoignons notre chambre. Nous sommes HEUREUX (je vais pas reparler de la clim qui nous surprend une fois encore tellement cela contraste avec la douceur extérieure). Donc, au niveau de la chambre et de son emplacement, ils ont exactement tenu compte de nos souhaits formulés à la réservation. Je précise qu’avant de partir nous nous étions documentés en achetant notamment « The Unofficial guide to Walt Disneyworld » (un guide de 700 pages, en anglais dont on a eu connaissance via internet et certains forums américains), qui s’avère être une mine de renseignements avant de partir visiter le monde de Mickey. On y a trouvé plein de conseils et témoignages de voyageurs (essentiellement américains) qui nous ont permis de savoir par exemple quel était l’endroit idéal pour séjourner au Coronado (l’hôtel Disney où nous avons logé) compte tenu de l’étendue du site. Nous aurons donc la chambre 9200 (dans le lot 9A des Cabanas) située à l’étage, juste au-dessus de la piscine et bien au calme. En plus, l’arrêt de bus pour les parcs, est à 2 pas. C’est génial !
Avant de commencer à vous parler des parcs, je fais une parenthèse sur l’importance de prévoir à emporter avec vous les panchos en plastique (ces trucs pas très sexys qu’on trouve aussi dans nos parcs d’attraction et qui sont bien utiles en cas de pluie, ou dans les attractions qui mouillent). Pensez-y car à cette saison (des pluies), vous aurez droit pratiquement chaque après-midi à une bonne averse plus ou moins longue… On a même eu une mini-tempête un jour où par chance nous étions à l’hôtel. Sinon vous pourrez toujours en acheter dans les parcs (comptez 8$) car quand ça tombe, ça fait pas semblant…
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2ème jour – Animal Kingdom
Temps couvert, mais il fait chaud et nous sommes impatients d’aller voir si l’attraction Dinosaur est toujours aussi incroyable (nous étions déjà venus en 2003) : bruyante, terrifiante, on adore !!! Malgré la foule dans le parc, nous réussissons à faire 3 fois de suite l’attraction. Il faut savoir que les parcs ouvrent à 8h ou 9h et ferment entre 20h et minuit, selon les dates (cf planning sur le site de Disney), et, dès 8h30, il commence à y avoir du monde…Mais de manière générale, il n’y a pratiquement pas de queue avant 10h. Ensuite, il faut jeter un œil aux panneaux qui vous indiquent les temps d’attente, pouvant atteindre jusqu’à 90 mins (si si !!). En ce qui nous concerne, et grâce aux fast pass, nous n’avons jamais fait plus de 30 mins de queue durant tout le séjour, aussi bien à Disneyworld qu’à Universal. En moyenne on attendait 15 à 20 minutes ce qui est peu, à cette période de l’année où les touristes affluent (américains mais aussi beaucoup de groupes de jeunes Brésiliens). Pour bien faire, il faut dès l’arrivée, utiliser le système de fast pass. Pour ceux qui ne connaissent pas, il suffit de se rendre aux bornes fast pass situées le plus souvent à l’entrée de l’attraction concernée (attention la majorité en ont mais pas toutes : pour le savoir, il suffit de se reporter au plan du parc / symbole FP). Ensuite, c’est simple, on insère son billet d’entrée (qui s’apparente à un badge en fait) dans la machine qui vous délivre un ticket mentionnant l’heure à laquelle vous devrez revenir pour faire l’attraction (sans trop d’attente voire pas du tout). Une autre astuce pour éviter les files trop longues : utiliser les files « single riders », c’est la file réservée aux personnes « seules » mais si vous êtes un groupe de 4, comme nous, par exemple, vous pouvez quand même y aller (et éviter la queue) par contre, vous serez placés un par un (donc pas ensemble) pour compléter des rangées où il reste 1 place. Intéressant pour les attractions qui attirent beaucoup de monde (notamment Toy Story qui affiche dès midi 90 mins de temps d’attente) ou si vous voulez refaire une attraction que vous avez déjà faites ensemble.
A Animal Kingdom, nous sommes tous d’accord pour dire que Dinosaur est l’attraction phare, celle qu’il faut faire et refaire (mais attention, peut-être pas avec des enfants en bas âge, car le ride se fait en partie dans l’obscurité et les bruits sont parfois violents). Ensuite, nous avons beaucoup aimé le Kilimanjaro Safari, Expedition Everest (genre de train de la mine, avec une descente vertigineuse) et le show en 3D It’s tough to be a bug . La petite fille assise à mes côtés s’est mise à hurler lorsque des araignées géantes sont descendues du plafond. Ca a beau être en plastique, ça surprend toujours…
Animal Kingdom est sûrement le parc qui se dénote le plus des autres parcs de Disney, ce n’est pas le plus impressionnant au niveau des attractions mais c’est le seul où vous pourrez observer des tas d’animaux d’Asie et d’Afrique, et même faire un safari comme en vrai ! Il y a des reconstitutions de temples (style hindou) vraiment superbes, on s’y croirait.
3ème jour – Magic Kingdom
Magic Kingdom s’apparente à Disneyland Paris puisqu’on y retrouve les mêmes attractions (Pirates des Caraïbes, le vol de Peter Pan, It’s a small world, Space Mountain…), donc je ne vais pas m’attarder. Il y a beaucoup à faire et à voir et notre coup de cœur aura été pour Buzz Lightyear (un conseil : prévoyez le fastpass dès le matin) et le film Mickeys Philarmagic. Par contre, ne perdez pas votre temps à « Stitch’s Great Escape », l’attraction où l’on a attendu tout le long qu’il se passe quelque chose, et bien non…
Le soir, nous assistons à la parade nocturne « Spectromagic » simplement sublime, et un peu plus tard, un magnifique feu d’artifices au-dessus du château de Cendrillon… N’étant pour ma part jamais allée à Disneyland Paris, je ne peux pas comparer mais les petits neveux ont trouvé que les attractions étaient différentes ici (mieux en fait).
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4ème jour – Epcot (world showcase)
Epcot est, à notre avis, le parc le plus intéressant de Disneyworld, il se divise en 2 parties : Future world (voir jour 6) dédié aux technologies du futur, et World Showcase, sorte de vitrine du monde. Vous pourrez y admirer de magnifiques édifices symbolisant le Mexique, la Norvège, la Chine, l’Allemagne, l’Italie, l’Amérique, le Japon, le Maroc, la France, le Royaume Uni et le Canada. Chaque pays offre un restaurant et des boutiques qui donnent vraiment envie d’acheter… Coup de cœur pour celle du Japon, d’une surface gigantesque qui comblera tous les fans de mangas et les amoureux d’art japonais.
Côté attractions, nous avons vu 3 films (très réussis) sur la Chine, le Canada et la France et fait une ballade sur l’eau super sympa (bateau viking), au milieu de décors très réalistes représentant la Norvège.
Le soir, nous sommes allés voir le spectacle « La nouba » à Downtown Disney. Tout simplement magique, La nouba, c’est du « cirque moderne », avec des acrobates surprenants, une musique et une mise en scène qui décoiffe, bref une émotion exceptionnelle. On est ressortis éblouis et avons ensuite fait un petit tour à Downtown (lieu de divertissement où l’on trouve des bars, des boîtes de nuit, des restos, un grand Virgin Megastore et plein d’autres endroits pour s’éclater).
5ème jour – Disney’s Hollywood Studios
Ex « MGM Studios » ce parc se veut dédié au monde du cinéma. Beaucoup d’attractions méritent le détour à commencer par « The Great movie ride », visite des coulisses du cinéma, avec de l’interaction tout le long (acteurs qui nous accompagnent et agrémentent la visite à coups de revolver…), « The Tower of Terror » (l’ascenseur de l’hôtel qui fait une chute libre), « Star wars », simulateur de la Guerre des Etoiles (attention, un peu « motion sickness », âmes sensibles s’abstenir), « Toy Story » (très très sympa mais comme il a ouvert cette année, beaucoup de monde à l’entrée, fast pass indispensable), le show « Lights, motors, action » avec des voitures et des motos qui font du bruit et des dérapages, faut aimer. Sans oublier le film en 3D des Muppets, sympa et drôle. Par contre, nous n’avons pas pu tester « Rock’n roller coaster », car il ne fonctionnait pas la première fois, et le jour où nous sommes revenus dans le parc, il y avait 90 mins d’attente (et le fast pass nous invitait à revenir en fin de journée). Dommage, ce sera pour une autre fois… Ca avait l’air terrible.
Ce soir-là, nous avons passé une soirée exceptionnelle : dîner au Hollywood Brown Derby. Alors, certes, ça peut paraître un peu cher (220$ / 150 €, pour 4 (entrée, plat, dessert, boissons)) mais quel repas ! Et puis, cette année, comme le dollar est bas, on s’est dit qu’on en profiterait, alors… Donc, St Jacques en entrée, viande de bœuf et poisson en plats (parfaits) et gâteau au chocolat divin… Sans parler de la Pina Colada, mortelle… En plus, le décor est génial, on nous a installés dans une banquette circulaire (booth) et nous nous retrouvons face à la salle ornée de cadres avec des portraits de célébrités. On oublierait vite qu’on est dans un parc d’attractions. Le service est parfait, la serveuse super sympa (les boissons pour enfants sont à volonté). Il faut quand même dire, que, partout, sur Orlando, de manière générale, il y a une qualité d’accueil et de service incroyable, que ce soit au niveau des parcs, des restaurants, des hôtels, des taxis, les gens sont toujours très serviables, polis et accueillants. Ca rend le séjour d’autant plus agréable. Et ça donne envie de revenir !!!
Grâce à notre dîner au Brown Derby (réservé en mars 2008 auprès de Disney en même temps que l’hôtel et les pass), nous avons un accès privilégié au show « Fantasmic ! ». En fait, ce spectacle attire beaucoup de monde et nous avons lu que pour éviter la cohue, il est possible de réserver (pour dîner) dans un des restaurants Disney afin d’avoir une sorte de « priority seating ».
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Ce système permet d’avoir accès à une zone réservée dans les gradins. Et, effectivement, quand nous arrivons pour le spectacle (1h à l’avance), nous constatons qu’il y a deux zones avec deux entrées séparées : celle (quasi vide) réservée aux personnes provenant des restaurants, et l’autre (déjà totalement bondée) pour le public venant du parc.
Que dire du spectacle ? Tout simplement unique en son genre : là encore nous sommes émerveillés. Je filme pratiquement tout du long (il dure moins d’1/2h mais ça se comprend vu les prouesses techniques). Fantasmic ! c’est l’esprit du bien contre le mal, Mickey contre les méchants (the Villains, comme ils disent, « les Vilains » lol). Un show haut en couleurs, fait de musique, de sons et lumière, de jets d’eau, et pour couronner le tout, à la fin, nous apercevons juste au-dessus du « podium » (qui est très haut et s’apparente plus à une montagne) le feu d’artifices tiré d’Epcot (Illuminations, que nous avons prévu d’aller voir demain). On repart éblouis… Du bonheur plein les yeux. Et puis ce qui est magique, c’est le climat, cette douceur qu’il y a en soirée, le ciel d’une couleur inouïe, et bizarrement même s’il y a foule, c’est calme, il règne une ambiance vraiment particulière à Orlando, NO STRESS…
6ème jour – Epcot (future world)
Future world. Tellement à dire sur ce parc. Celui qui m’avait valu de passer 3 heures à l’infirmerie 5 ans plus tôt… A cause de quoi, hein ? Mission Space ! L’attraction la plus motion sickness qui puisse exister !!! Et pour preuve, cette année, ils proposent 2 niveaux pour l’attraction : « orange » qui existait déjà en 2003, classé comme « intense » et « vert » pour les débutants. Euh, je tenterai même pas la verte… En résumé, il s’agit d’un simulateur, conçu par la Nasa, qui vous donne la sensation d’être à bord d’une navette spatiale, avant et pendant le décollage. Une fois dans l’espace, il vous faudra, entre autres, éviter les météores, en pilotant à l’aide d’une manette. Chaque simulateur peut accueillir 3 personnes maxi, si vous êtes claustro, n’y pensez même pas…
Là je fais une parenthèse sur les mises en garde des attractions soi disant violentes, pour lesquelles les parcs (Disney ou Universal) affichent dès l’entrée des panneaux « Warning » indiquant que : les personnes ayant des problèmes cardiaques, de tension, de dos, les femmes enceintes… ne devraient pas faire cette attraction. Le problème c’est qu’on retrouve ce panneau dans une majorité d’attractions alors que le degré d’intensité n’est jamais comparable. Alors comment peut-on savoir, qu’on va supporter une attraction ou pas lorsqu’on a des problèmes de santé ? Pas évident, mais pour les avoir testées en famille, si on devait faire un classement des attractions les plus motion sickness, Mission Space et Les Simpson seraient en tête et de loin.
Sinon, on a beaucoup aimé : Test Track (on est à bord d’une voiture qui fait des crash tests, moi qui ai des problèmes de dos, je l’ai faite 2 fois sans problème, malgré les panneaux « warning » dès l’entrée, comme quoi c’est vraiment relatif), Soarin : génial !!! (ceux qui ont le vertige ne devraient pas tenter cependant). Soarin, c’est la sensation de survoler certaines régions du monde comme si vous étiez à bord d’un ULM, dans le vide. Et là où ils ont vraiment fait fort, c’est qu’il y a même des diffuseurs d’odeurs, qui parfument l’air au gré des paysages qui défilent sous nos yeux (pins, oranges). On a vraiment la sensation d’y être !!! Ca ne dure que 4 mins 30, mais comme il y a beaucoup de monde, mieux vaut penser aux fast pass dès le matin (90 mins d’attente en journée).
Une autre attraction géniale : Spaceship Earth (celle qui se déroule dans la grosse boule symbole d’Epcot). En plus de la ballade déjà pas mal (on traverse des décors, qui évoluent sur le thème du progrès technologique), à la fin un écran interactif vous soumettra un petit questionnaire (dans votre langue, après avoir indiqué d’où vous veniez), puis en fonction de vos réponses, vous présentera un petit film où vous êtes les acteurs (une photo ayant été prise avant). Un super souvenir ! Et, à la sortie de
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l’attraction, des bornes mises à disposition vous permettront d’envoyer par mail votre photo souvenir, gratuitement ! Génial !
Hormis ces 4 attractions phares, il y a aussi : Ellen’s Energy Adventure qui est très sympa. On visionne d’abord un film puis les banquettes s’activent et on part pour un ride au milieu des dinosaures (moins violent qu’à Animal Kingdom mais très bien fichu au niveau des décors), The Seas with Nemo and Friends : qui plaira à toute la famille. On se promène au milieu des poissons et des tortues, les décors sont vraiment beaux. Très relaxant.
Le soir, nous assistons à Illuminations, le spectacle nocturne d’Epcot, on le trouve pas mal mais sans plus, nettement moins impressionnant que Fantasmic ! ou la parade nocturne de Magic Kingdom.
7ème jour – Journée Libre
Première grasse matinée depuis notre arrivée (les parcs c’est super mais ça devient vite super crevant, et là ça fait 6 jours qu’on fait du 7h-23h…).
Aujourd’hui, RELAX… Enfin presque : au programme, Downtown Disney pour y faire un peu de shopping (et manger une glace chez Ghirardelli, trop top !!!) et aussi Hollywood Studios dans l’espoir que Rock’n Roller Coaster fonctionnera cette fois. Peine perdue, quand nous arrivons, il y a déjà plus d’1h d’attente et le fast pass nous propose de revenir vers 18h, et on a d’autres projets… Tant pis, il était dit que celui-là on ne le ferait pas…
Retour à l’hôtel où nous profitons un peu de la piscine, quand même… Surtout qu’il n’y a jamais personne, le pied !!!
8ème jour – Départ de Disney / Transfert au Radisson
Aujourd’hui nous quittons le monde de Disney pour découvrir celui d’Universal et Seaworld. Mais avant, passage au check-out, où l’on devra régler 40$ de note de téléphone pour un appel de 5 minutes !!! Les boules ! Et pourquoi ? Parce que l’employée de la Poste (où j’avais voulu acheter une carte avant le départ) m’a vendu une carte Kertel qui ne fonctionne pas de l’étranger (on s’en est vite rendu compte et cela m’a été confirmé à notre retour). J’avais demandé une carte pour appeler des Etats-Unis, et elle m’en a vendu une pour appeler de France vers les Etats-Unis (totalement inutile lorsqu’on a un abonnement internet avec les appels gratuits vers l’étranger). J’ai voulu faire une réclamation à mon retour, mais ils n’ont rien voulu savoir…
Ceci étant réglé, nous prenons un taxi direction Le Radisson, un hôtel vraiment trop top, qu’on avait trouvé par hasard sur internet, il y a 5 ans. Et vraiment, rien à redire, tout y est super : l’accueil, le cadre, la végétation (fleurs, arbres, aménagement), la piscine !!! (avec son petit toboggan et sa jolie cascade) la pina colada !!! et au niveau des chambres, le grand confort : on peut régler la dureté du matelas (on dort encore mieux qu’à la maison, sérieux !). Et puis, il y a plein d’autres détails vraiment cools : une salle de jeux pour les kids, une petite salle de sport (tapis de course, vélo), un service de restauration assez complet, un business center avec internet gratuit, une agence de location de voitures dans le lobby, un bar près de la piscine, des activités proposées en journée. Bref, on peut même venir passer une semaine rien qu’au Radisson, et passer ses journées au bord de la piscine, ça sent le paradis (d’ailleurs il y avait un panneau près du bar « welcome to paradise », ils se sont pas trompé).
9ème et 10ème jour – Universal Studios et Islands of Adventure
Pour nous, Universal et Islands sont LES parcs à faire, s’il fallait choisir parmi tous ceux à Orlando. Au niveau des attractions, il y a une vraie diversité et une grande technicité. Médaille d’or à Spiderman, et au tout nouveau Simpson (attention celui-ci est assez « motion sickness », et même Spiderman puisque nous avons vu une dame qui n’était pas très bien, après le ride).
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A Universal, pratiquement toutes les attractions sont incontournables, impossible d’en manquer une mais une journée peut être insuffisante, ou alors il faut que vous ayez le pass « Universal Express » (qui coûte –quand même- 41$ par personne, en plus du billet d’entrée, valable une seule journée, et utilisable une seule fois à chaque attraction). Donc, parmi les attractions à faire absolument se trouvent : Twister (tornade reconstituée sous vos yeux), La momie (ouvert en 2008, ride en partie dans le noir mais avec des effets spéciaux assez impressionnants), Jaws (ballade en bateau, avec quelques rebondissements, le requin des dents de la mer n’étant pas loin (Jaws en anglais signifie mâchoires mais est aussi le titre original du film), Men In Black (ride où il faut tuer des aliens), The Simpsons Ride (attention, ça décoiffe, et ça peut rendre patraque… vous embarquez à bord d’une voiture qui reste sur place, mais tout réside dans les effets visuels liés à la projection d’un film très très animé sur un écran gigantesque, de type Imax, je n’en dirais pas plus, n’ayant pu regarder car trop motion sickness for me), E.T. (sublime au niveau des décors et pas violent au niveau sensation), Jimmy Neutron (ça secoue, c’est coloré, on a adoré !!!). Ensuite, dans les attractions à faire s’il reste du temps, il y a Shrek 4D (sympa), Disaster (anciennement « Earthquake » - 1ère partie un peu longue où quelques personnes dans le public participent au montage d’un mini film, avant d’entrer dans la rame de métro où est simulé un tremblement de terre pas mal fait : camion citerne qui vous fonce dessus, chutes d’eau…). Voilà pour l’essentiel, mais en plus il y a des spectacles qui se déroulent au cours de la journée dont les Blues Brothers et Beetlejuice. Une journée n’est vraiment pas de trop…
A Islands of Adventure (dont l’entrée est à une centaine de mètres de Universal), il y a moins d’attractions exceptionnelles, mais il y a Spiderman, qui mèrite à lui seul le détour. Spiderman, c’est un ride que l’on fait avec des lunettes 3D, qui combine à la fois les mouvements du véhicule, les effets visuels de la 3D, et plein d’autres sensations liées aux sons, aux fumigènes… A faire absolument, mais peut-être pas après manger…
Ensuite, il y a Hulk, une montagne russe vertigineuse, parfait pour les amateurs du genre. Attention, que ce soit pour Hulk ou Spiderman, les files d’attente montent rapidement à 60 mins au cours de la journée, à faire donc absolument le matin tôt (j’avais noté que les parcs ouvraient à 9h, mais à 2 reprises, la navette nous ayant déposés vers 8h15, il était déjà ouvert quand nous sommes arrivés…) car ici pas de système de fast pass gratuit (comme chez Disney) : il faut acheter le pass universal express.
Au niveau des autres attractions vraiment chouettes : Pteranodon Flyers (personnes sujettes au vertige s’abstenir), le problème c’est que dès 9h30 vous avez 45 mins de queue, voire plus. En fait, le système est monté sur un rail faisant que l’on est assis, les jambes dans le vide, suspendu à plusieurs mètres du sol, pour une très courte ballade (moins de 2 minutes), l’intérêt étant à la fois l’originalité de la sensation et la vue sur le parc.
Ensuite, il y a aussi Jurassic Park River Adventure (ride au milieu des dinosaures, avec une chute à la fin) et Duelling Dragons (que mes neveux ont préféré à Hulk), il s’agit en fait de 2 montagnes russes qui proposent chacune un circuit différent mais s’entrecroisent aussi par endroit.
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11ème et 12ème jour – Seaworld et Aquatica
Seaworld :
Pour certains, Seaworld est LE parc à faire, si on ne devait en faire qu’un sur Orlando. Pour nous, c’est un super parc, mais pas le meilleur selon ce que l’on recherche, et notamment au niveau des attractions. Seaworld c’est plus un lieu de découvertes du monde marin qu’un parc d’attractions « classique ». Ceci dit, il vaut effectivement le détour, pour ceux qui ont du temps. Et puis leur tout nouveau parc aquatique qui vient d’ouvrir cette année, est tout simplement génial.
Parmi les choses qui nous auront marqué : le show Pets Ahoy (spectacle de chats et chiens drôle et coloré) et le spectacle de dauphins (on l’avait déjà beaucoup aimé en 2003 mais le nouveau est mille fois mieux). Par contre, le spectacle de Shamu (orques) nous a déçu, bien moins impressionnant qu’il y a 5 ans. Sur le plan technique, le show est mieux (4 écrans pivotants qui n’en forment qu’un au début, qui se dissocie au cours du spectacle) mais les orques font moins de prouesse (ou alors ils étaient pas d’humeur…).
Pour la petite histoire, en 2003, l’accès au bassin des dauphins (à Dolphin Cove) était libre. Les personnes qui le voulaient, pouvaient s’approcher pour toucher les mammifères. Le mieux était d’acheter quelques sardines pour les appâter et avoir une chance d’être pris en photo au moment où on les caressait (ensuite on déboursait 10$ pour acheter 1 photo vendue avec son cadre). Aujourd’hui, les affaires étant les affaires, l’accès au bassin est payant puisqu’il faut faire la queue (près d’1/2h) pour accéder au guichet qui vous vendra quelques sardines (7$ la barquette de 3). Et puis si vous voulez une photo, il faudra débourser 20$ (sans le cadre) et 9$ la photo supplémentaire…
En tout cas, pour ce qui est des sardines, les dauphins ont compris l’astuce, ils viennent vous voir et chopent la sardine avant même que vous n’ayez pu les toucher. Inutile de préciser qu’une fois qu’ils ont repéré que la barquette était vide, ils filent voir d’autres personnes. Mais ça reste un moment unique.
A Seaworld, nous sommes retournés au super resto : Sharks underwater Grill. On l’avait découvert lors de notre première visite et on s’était promis d’y revenir. Voilà c’est fait, le lieu ne change pas : toujours aussi magique : on mange dans une ambiance cosy, devant un aquarium géant où déambulent requins et poissons, et les plats sont toujours aussi copieux. Attention ! Il faut réserver dès l’ouverture (10 ou 11h) si vous comptez y déjeuner le jour même car l’attente risque de monter à 1h30 (de manière générale les restos font du non stop sur les parcs, et celui-ci aussi). Côté plats, ils sont tous très bons mais vous risquez d’être déçu si vous optez pour un Brownie en dessert, qui n’a de Brownie que le nom et ressemble plus à un gâteau noix de coco… par contre, goûtez les noix de st Jacques (scallop sur la carte), excellentes et grillées à point… Comptez 40 à 50$ par personne.
Aquatica
Aquatica a ouvert cette année, c’est le parc aquatique de Seaworld, qui mérite bien une journée de visite. Parmi les attractions qui nous ont vraiment plu : Roa’s Rapids, sorte de rivière sauvage avec du courant tout le long qui vous entraîne (gilets de sauvetages prévus pour les enfants). Génial ! Et puis, parmi toutes les attractions avec des toboggans, notre coup de cœur sera pour Walhalla Wave, même si on a dû faire beaucoup la queue (attention, pour ceux qui ont le vertige, vous pourrez difficilement faire demi-tour une fois engouffré dans l’escalier qui mène en haut de l’attraction et offre des vues vertigineuses sur le parc), la descente dans la grosse bouée reste parmi l’une de nos expériences les plus hilarantes, on a été secoués comme jamais, et puis une partie se faisant dans le noir, c’est vraiment géant ! Peut-être que ceux qui connaissent Wet’n Wild (énorme parc aquatique sur International Drive, que nous n’avons jamais fait) trouverons que ce parc est sans intérêt ?..
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Là où nous avons été super déçus par contre, c’est sur l’attraction Dolphin Plunge, où il y avait la queue de bon matin. En fait, il s’agit d’un toboggan fermé avec une partie vitrée (tube transparent) qui traverse le bassin où se trouvent des dauphins (très belle espèce ressemblant plus à des orques miniatures qu’à des dauphins). Premièrement, on a fait la queue plus d’une heure sous un soleil de plomb (35° probablement) sans une seule zone d’ombre si ce n’est les 15 dernières minutes, pour finalement n’apercevoir aucun dauphin, tellement la descente est rapide (et la partie immergée courte) mais aussi du fait que les dauphins se maintenaient dans leur bassin, en contrebas. Très décevant comme expérience… Dommage car l’idée était séduisante.
Bilan de ces 14 jours à Orlando :
- Pour ceux qui aiment les parcs d’attraction (et encore nous n’avons pas fait les parcs aquatiques de Disney : Blizzard Beach et Typhoon Lagoon, ni Wet’n Wild ni les mini-golfs (qui n’ont de mini que le nom) sur International Drive), il faut bien prévoir de passer 2 semaines sur Orlando
- Il faut aussi prévoir des moments de détente, car c’est quand même un peu fatiguant. A plusieurs reprises, nous sommes rentrés à l’hôtel en milieu d’après-midi pour profiter un peu de la piscine, bien agréable quand il fait entre 30° et 40°
- Nous avons constaté que certaines attractions ont évolué par rapport à 2003. Par exemple, les véhicules dans lesquels on fait le ride à Spiderman et aussi Men In Black, pivotent / font des tours sur eux-mêmes à plusieurs reprises (ça donne un peu mal au cœur d’où le risque de motion sickness).
- On a appris que l’attraction Harry Potter devrait ouvrir ses porte en 2010 (à Islands of Adventure), on n’en sait pas plus sur ce que en quoi elle consistera
- De manière générale, il y a beaucoup moins de monde dans les parcs le matin, les restaurants sont tout à fait corrects, les bons restos doivent être réservés dès l’arrivée
- Enfin, il y avait beaucoup moins de monde lors de notre premier voyage (vacances de la Toussaint – octobre 2003) et le climat était encore plus agréable (25 à 30°, pas de pluie). Donc l’été n’est peut-être pas la meilleure saison, surtout pour ceux qui supporte moyennement les grosses chaleurs (nous on était ravis).
Fin du séjour à Orlando et prise en main de la voiture de location. Infos utiles à ce sujet :
« automatique tu conduiras, et GPS tu oublieras » lol…
Nous avons choisi Thrifty car ils ont un comptoir dans le hall de l’hôtel, permettant de récupérer la voiture directement sur place.
Quelques conseils faisant suite à notre expérience :
1°) Modèle de la voiture :
Vérifiez bien le type de voiture qu’il vous faut en fonction de vos bagages. Etant 4 (2 adultes et 2 enfants), nous avions choisi une catégorie « compact Dodge Caliber or Similar » qui normalement est prévue pour accueillir 5 personnes et 3 valises. Ouais, et bien, on s’est amusé !!! Nous avons eu une PT Cruiser (voiture qu’on adore pourtant) qui est très mal fichue au niveau coffre puisqu’il était impossible de faire tenir nos 3 valises en laissant la plage arrière (le coffre ne fermait plus). On s’est pas longtemps pris la tête avant de comprendre qu’on devrait enlever la plage arrière qui a finalement atterri à côté d’un des enfants, entre la banquette et la portière (impossible de la caser ailleurs). Je précise que nos valises n’étaient pas énormes, mais de taille normale. Heureusement qu’on n’était pas 5… Car à l’arrière c’était pas super confortable du coup.
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2°) Assurances en supplément :
Info ou intox ? Toujours est-il qu’au moment de boucler la réservation, l’employé nous annonce qu’il y a une assurance non incluse à rajouter (« Loss Damage » ou « LDW », facturée 160$ quand même !) si on veut être couverts en cas de vol…
On réfléchit pas longtemps pour se dire qu’il vaudrait peut-être mieux la prendre… Ce qui montera finalement le coût de la location à 425$ pour 7 jours et non 179,49$ comme indiqué dans la confirmation de réservation (estimated base rate). 245$ d’écart entre l’estimé et le réel !!!
La facture se décomposera ainsi (tarifs arrondis) :
- 180$ de location de base
- 50$ de frais d’abandon (drop off, car nous laisserons le véhicule à Miami)
- 3$ de « vehicle fee »
- 14$ car on est en Floride (libellé = « Florida surc »)
- 17$ de « State Tax » (euh, et les 14$ alors ? c’est normal ça ?)
- 160$ d’assurance pour le vol
Et là on se dit, encore une fois, heureusement que le dollar est bas (ça représentera 281€, ce qui reste honnête pour une semaine de location).
3°) Le GPS
Vous pensez qu’on l’a oublié dans le calcul, que nenni ! lol.
Nous n’avons pas pu avoir de GPS bien que précisé lors de notre réservation sur internet. En fait, le jour où ils nous ont remis la voiture, le GPS n’était pas disponible, et ils nous ont assuré qu’ils en auraient un le lendemain. Lorsque nous sommes revenus le lendemain matin, le GPS était là, mais nouveau problème : la carte bleue ne passait pas. Elle a pourtant fonctionné pour la location de voiture et pour payer l’hôtel (problème de plafond ?). Du coup, on leur a proposé de régler soit en espèces (ça s’élevait à 80$) soit avec notre deuxième carte bleue. Impossible, on s’est entendu dire que ça devait être la même carte !!! On est en 2008, aux Etats-Unis, où on joue à Retour vers le Futur soudainement ??? Ok, là je regarde l’employée et je lui dis gentiment « laissez tomber, il était dit qu’on ferait sans GPS ». Mais (histoire d’avoir le dernier mot ou se sentant embarrassée ???) notre charmante interlocutrice (qui cherche une solution visiblement) nous suggère de nous rendre dans une autre agence Thrifty (au cours de notre circuit) pour voir s’ils peuvent nous prêter un GPS. Je ne comprends pas bien comment une autre agence pourrait nous en prêter un si ça bloque ici… Bref, tout ça pour vous dire que finalement, le GPS ne nous aurait été d’aucune utilité par rapport à notre itinéraire. Un conseil donc, si vous optez pour les grands axes (tout est très bien indiqué) ayez une carte avec vous (en principe l’agence de location vous en donne une) et pas d’inquiétude, impossible de se perdre ou de se tromper de route. En plus, la conduite est vraiment simple, compte tenu des limitations de vitesse (assez souvent entre 45 et 70 miles), jamais d’excités sur la route (du moins ce que nous avons constaté en 8 jours) et c’est un vrai bonheur de conduire une automatique. Fini les extensions embrayage, débrayage, ça roule tout seul c’est génial, nous on a adoré.
4°) Conducteur supplémentaire, sans frais :
En présentant la « visitor magicard » que nous a envoyée par courrier l’office de tourisme d’Orlando (avec plein d’autres documentations), nous avons droit au « free additional driver », conducteur supplémentaire sans frais. Pensez à le demander, il vaut mieux être deux à pouvoir conduire, en cas de problème.
Nous quittons donc Orlando (et le Radisson à regrets car on s’y plaisait vraiment… sniff) et direction les plages du Golfe du Mexique… Yes !
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CIRCUIT – du 15ème au 24ème jour
Après plusieurs heures de route (Clearwater est à environ 150 kms d’Orlando, mais en raison des limitations de vitesse, on mettra toujours beaucoup plus de temps qu’en France, pour parcourir des distances mêmes courtes), nous arrivons à Clearwater.
CLEARWATER (1 jour)
Notre premier sentiment est très décevant : on s’attendait à une mer turquoise, en fait la mer a une couleur grisâtre, lié au fait que le ciel est couvert ? Au niveau de l’hôtel (on avait décidé de tester pour une fois un Hilton) : là aussi on est super déçus (et on n’a pas manqué de leur dire dans leur questionnaire de satisfaction à notre retour) : accueil pas terrible, un peu guindé. Le réceptionniste prend un air ennuyé quand on lui demande s’il sait où se trouve un resto dont on a eu l’adresse dans un guide touristique. Quant à la chambre, là aussi, comparé au Radisson, rien d’extra, le tableau sur le mur ressemble à un bout de papier peint des années 70 mis sous verre… Mais on n’est pas venu pour la chambre d’hôtel, donc on bouge ! Et après avoir fait un peu de plage et de piscine l’après-midi (pas top leur piscine, on veut le Radisson !!!), nous filons faire un mini-golf, super sympa, avec un bateau et une cascade en décor. Rien à voir avec ceux d’Orlando mais on s’amuse bien quand même, et on y passe près d’1h30. Ensuite, nous filons voir le front de mer un peu plus loin, et là, nous découvrons une très jolie plage et un superbe coucher de soleil. Nous n’en reverrons pas d’aussi beaux par la suite (y compris à Key West).
Le lendemain matin, une feuille glissée sous la porte nous explique que nous n’avons pas besoin de passer à la réception pour le check-out, un reçu faisant office de facture étant joint, il suffit de laisser le badge d’entrée dans la chambre en partant. Cool. Nous prenons donc la route pour Sanibel Island (île faisant face à Fort Myers).
Nous n’aurons pas le temps de visiter ni Tampa ni St Petersburg, ni Fort Myers ni Naples, une autre fois peut-être…
SANIBEL ISLAND (2 jours)
Bienvenue au Paradis, à tous niveaux : l’île, le cottage, l’accueil au Gulf Breeze Cottage (trouvé sur internet), la plage !!! le calme, et même le magasin où nous ferons nos courses. On aurait dû venir directement ici d’Orlando sans faire étape à Clearwater, on regrette un peu. Dommage qu’on y reste que 2 nuits. Notre coup de cœur pendant le circuit, sans aucune hésitation.
Nous profitons de la plage (privée) quasi déserte, enfin une belle eau turquoise comme dans les brochures ! et du soleil ! et des coquillages ! le rêve à l’état pur ! le sable est beau (blanc). Les petits neveux sont contents, et nous, aussi. Tu veux faire quoi plus tard ? « Vacancier à temps plein » (au retour de vacances, on parlera déjà du prochain voyage : Chine ou Thaïlande… La Thaïlande ça a l’air sympa côté plages…).
Après ces quelques moments de farniente bien appréciables, il est déjà temps de partir vers les Keys. Au revoir Sanibel, tu nous laisses du rêve plein la tête…
Nous ferons étape à Key Largo avant de rejoindre Key West.
Sur la route qui mène à Key Largo (Alligator Alley), nous apercevrons un alligator écrasé au bord de la route. Des deux côtés de la route, s’élèvent des clôtures en fils barbelés, et l’on devine facilement que les petites et grosses bêbêtes doivent grouiller derrière…
Côté péages, on sera surpris de n’avoir pratiquement aucun frais entre Clearwater et Key West (moins de 10$ en tout pour environ 250 miles soit 400 kms).
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KEY LARGO (1 jour)
Key Largo était une étape pour rejoindre Key West, et s’il n’y avait eu ce super resto, on en conclurait qu’il n’y a rien de spécial à voir ou à faire…
On parlera pas de l’hôtel totalement insignifiant : accueil pas top, un semblant de déjeuner servi dans le hall de l’hôtel (se limitant à un café pas bon, un jus d’orange, une pomme, et un semblant de viennoiserie pas bon). C’est qu’on devient exigeant ! Moralité : ne pas s’arrêter au fait que le petit déjeuner soit inclus quand vous choisissez un hôtel, car ici c’était plus que décevant… Et la chambre était quand même à 80€, soit près de 120$, on pourrait s’attendre à mieux à ce prix-là. Merci Expedia ! Ca nous apprendra à pas prendre les adresses dans des guides (nous sommes plutôt fidèles au routard, au Lonely Planet et à Ulysse, mais parfois on fait confiance à internet, on devrait pas car on aura la même expérience décevante à Miami, voir plus bas)
Key Largo restera donc pour nous une étape sans grand intérêt sauf que on y trouvera un super resto, comme on en voit dans les films : extérieur quelconque (fenêtres calfeutrées dissimulant l’intérieur du resto) et quand on rentre, on a l’impression de changer de monde : ambiance, musique, lumière tamisée. Vraiment très chouette et encore une fois, les plats sont très (trop) copieux pour nos estomacs. Mais on ne s’en plaindra pas.
Le lendemain matin, nous partons donc de bonne heure pour Key West, et faisons escale au Bahia Honda State Park : à voir absolument. Par contre, allez-y effectivement le matin, pour profiter de la belle petite plage sans la foule (on remarque un premier car de touristes vers midi, heure à laquelle le parking a commencé à se remplir). Baignade dans une mer turquoise, où l’eau est chaude, depuis le début que nous nous baignons, elle doit être autour de 28/30° (aussi chaude qu’en Polynésie, en fait). Le pied !!! Quelques photos, encore et toujours, pose lézard sur un cocotier, et hop on repart… Pas facile d’avoir un timing quand on est en vacances.
Direction Key West.
Le paysage est assez identique tout le long : on traverse des îlots, on passe sur un pont, la mer des deux côtés, différentes variantes de bleu, turquoise, marine… Joli à voir mais pas aussi impressionnant qu’on nous avait laissé entendre.
KEY WEST (1 jour)
Nous arrivons à Key West et filons déjeuner dans un super resto (vous trouvez qu’on ne pense qu’à manger ? vous avez tort, on boit aussi, lol).
On arrive à l’hôtel où on nous annonce gentiment que nous sommes « upgradés ». Est-ce à cause des travaux qu’ils font côté jardin ? Toujours est-il que nous avons une super chambre avec terrasse offrant une belle vue sur la mer (et la plage privée de l’hôtel). Le tarif affiché derrière la porte indique 2000 $ la nuit. Gloups ! Y’a vraiment des gens qui payent ce prix-là ou c’est juste un truc pour impressionner le client ? Parce que nous on a payé 311$ (ce qui est déjà cher) mais alors 2000$ pour une nuit, ceci dit pourquoi pas quand on a de l’argent, vous me direz. Certes.
On se croirait dans un autre monde : super hôtel, super accueil, personnel aimable et pas guindé. Quand à Key West, on trouvera que c’est « sans plus », trop touristique, trop de boutiques qui se suivent et se ressemblent (en plus, ce n’est ni spécialement beau ni bon marché). On n’y achètera rien, déjà que le shopping c’est pas notre fort… Et le fameux coucher de soleil : le temps était couvert, donc il n’était même pas au rendez-vous…
Le lendemain, départ pour Miami, dommage, on se plaisait bien dans cet hôtel et la petite plage était bien sympa. Pour la petite histoire, à un moment, un enfant vient nous dire qu’il a aperçu un barracuda. Tout le monde sort de l’eau et se retrouve à la piscine. Plus tard, à la nuit tombée, nous apercevrons des gens (personnel de l’hôtel ?) à bord d’un petit bateau en train d’éclairer la plage avec des torches comme
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s’ils cherchaient quelque chose ? Le barracuda ? On ne saura jamais la fin de l’histoire…
Quant aux requins et aux dauphins, on n’en aura jamais aperçu durant nos baignades en mer, dommage (enfin je pensais aux dauphins).
Nous quittons Key West pour Miami.
Il fait toujours aussi beau, on a de la chance, quand on pense que c’est soi disant la saison des pluies. Cela fait plusieurs jours, en fait depuis que nous sommes partis de Clearwater qu’il ne pleut pas. C’est cool.
En route, un peu après Key Largo, nous faisons un détour pour aller visiter Alligator Farm. Très sympa comme endroit : on assistera au repas des alligators (impressionnant comme animal) avant de faire une ballade en air boat avec un conducteur aussi cool que déjanté qui s’amusera à faire des dérapages et à foncer au milieu des marécages. On ressort morts de rire… et trempés. Un seul bémol, si vous êtes sensible au niveau des oreilles (comme moi), le bruit du moteur de l’air boat est assez perçant. Malgré le casque de protection et des boules de coton que nous a gentiment donné notre guide, j’ai ressenti une sensation de vibration dans le tympan un peu désagréable.
Après ça, nous allons voir un mini-show sur les serpents, puis reprenons la route pour Miami où nous arriverons vers 19h.
MIAMI (4 jours)
Globalement, on peut dire que Miami aura été l’endroit le moins passionnant de tout notre séjour. Pourquoi ? Parce que South Beach n’a pas grand intérêt, une fois qu’on a vu Ocean Drive et ses belles façades, et fait un saut sur la plage (et pris plein de photos). Lincoln Road est sympa à voir, mais ça reste une série de restaurants et boutiques, à l’affût des touristes.
Le soir, nous arrivons à l’hôtel « Le Claridge » (trouvé sur internet, merci fastbooking !), le hall est sympa mais là où on va être surpris, c’est quand, en ouvrant la chambre, une odeur de clope nous sautera au nez. On le signale à la réception, qui ne bougera pas le petit doigt. En plus de cela, le frigidaire ne ferme pas. Pas de machine à café (jusqu’à présent on en a toujours eu) dans ce qu’ils appellent pourtant une suite… 2 serviettes seulement dans la salle de bains, alors que nous sommes 4… Ca commence à faire beaucoup de détails. En plus c’est tout petit. Ca n’a rien d’une suite, vraiment ! Qu’est ce qu’on fait, on reste ? on se casse ? Il est près de 20h, allez, on passe la nuit ici et on avisera demain matin.
Vers 20h, et bien qu’étant un peu « HS », on décide d’aller faire un saut vers le centre ville (le Claridge est plus haut que la 30ème rue, et le centre ville est vers la 16ème, ça représente quand même un peu de marche). Donc, on se ballade gentiment quand éclate un violent orage, trombes d’eau, éclairs et tout et tout… Bienvenue à Miami, décidément tout se barre en couil… On achète 2/3 trucs à grignoter dans un magasin et retour à l’hôtel.
Notre première impression sur Miami est pas top… loin de là.
Le lendemain matin, nous appelons la Villa Paradiso (l’adresse de secours, citée dans plusieurs guides, qu’on avait emportée au cas où) qui nous propose une super suite (en fait un joli petit appartement avec parquet, donnant sur la route, mais très bien insonorisé) en plus, à un tarif plus intéressant. Ca fait ni une ni deux, nous passons à la réception du Claridge pour le check-out. La réceptionniste semble embarrassée voyant que nous partons plus tôt que prévu, et nous demande pourquoi. Elle n’était pas là la veille et n’est donc pas au courant du problème d’odeur de clope et du frigo et des autres détails, que je lui explique. Toujours avec le sourire, elle nous répond qu’on aurait dû lui signaler afin qu’elle nous change de
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chambre (euh, j’ai dû louper un chapitre, pourquoi le réceptionniste d’hier soir ne l’a pas fait à notre arrivée ?). Va comprendre Charles… Ceci dit, on n’insiste pas car la Villa Paradiso est de toute façon bien mieux située (sur la 14ème rue), à 2 pas du centre ville. Finalement, le Claridge nous facturera un supplément sur la nuit d’hôtel (vu que nous ne sommes restés qu’une nuit au lieu de quatre), ben voyons ! C’est pas grave, non seulement on reviendra pas mais en plus on vous fera de la pub. Et hop 163$ pour une fausse suite, contre 115$ pour l’apparte (avec une belle cuisine) de la Villa Paradiso, y’a pas photo !
Heureusement que nous avions encore la voiture (que nous rendons dans la matinée) qui nous a permis de transférer nos affaires à l’hôtel, sachant en plus, que Thrifty à South Beach est à 2 pas de la Villa Paradiso. Bien vu !
Il fait beau, tout s’arrange, direction le Welcome Center (l’office de Tourisme en quelque sorte). Et là, les boules : il est fermé, avec une pancarte « Nouveaux horaires d’été : fermé le lundi ! ». Génial ! Un détail, mais quand on a 3 jours pour visiter une ville on n’a pas envie de perdre son temps. Du coup, on n’y reviendra pas et ferons notre programme au feeling, ce qui est parfois pas plus mal.
On chope un taxi (le welcome center étant un peu excentré) : ça nous coûtera moins de 10$ la course, ce qui n’est pas très cher, quand on sait que le bus coûte 1.50 $/pers. Ca incite à opter pour le taxi pour un trajet court et quand on est plusieurs (et qu’on n’a pas envie d’attendre le bus, sous le soleil).
Ce qui nous surprendra durant ces quelques jours, c’est le peu de personnes qui se promènent (à cause de la chaleur), hormis sur Lincoln Road où il y a toujours du monde. Dans l’ensemble sur Collins Avenue et Ocean Drive, nous croisons peu de gens à pied. Et lorsque le dernier jour, alors que l’afficheur de Lincoln indique qu’il fait plus de 40°, nous disons à un vendeur que nous avons marché près de 2/3h, il est très surpris. La chaleur ressemble à ce qu’on a eu en France pendant la canicule et peut-être même en pire, donc il faut vraiment aimer ça pour venir à cette saison.
En résumé, durant ces 3/4 jours à Miami :
- nous ferons un peu de plage (pas très propres, beaucoup de mégots, ça vaut pas Sanibel, par contre, on y trouvera de jolis coquillages)
- nous ferons une excursion bus et bateau, pour visiter les différents quartiers de Miami : Miami Beach, Downtown Miami, Little Havana, West Miami et Coral Gables). Le chauffeur manque pas d’humour et l’ambiance dans le bus est vraiment sympa. Nous marquons un arrêt devant le Biltmore Hôtel (un Palace dont je vous conseille d’aller jeter un œil au site : pour admirer la superbe piscine), puis nous visitons la Venetian Pool, grande piscine publique où plein d’enfants ont l’air de bien s’éclater. Le bus nous conduit alors à Little Havana où le guide nous fait entrer dans une boutique où un excellent café cubain nous est offert. En très petite dose mais vraiment excellent. Départ pour le port où nous embarquons à bord d’un joli bâteau pirate. On aperçoit les villas des stars (Jennifer Lopez, Madonna, Shakira, Ricky Martins, Julio puis Enrique Iglesias, chacun sa cabane, lol). Celle que je préfère ? Celle de Will Smith avec la piscine à débordements.
- nous irons perdre un après-midi à Aventura Mall : énorme centre commercial sans intérêt, on se croirait à La Défense. Il faut une heure en bus pour y arriver en partant de Lincoln Road. On y est allés pensant trouver une « plateforme Yu-Gi-Oh » (genre de plateau pour poser des cartes, pour un kid collectionneur) et malheureusement aucun Toys’R Us ici, contrairement à ce que nous avait dit notre guide la veille. Mais le personnel du centre commercial nous indique un Toys’R Us à Downtown. Nous reprenons le bus mais rentrerons finalement bredouilles : l’article en question n’est pas encore dans le commerce, il doit sortir pour les fêtes de Noël.
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Attention, en ce qui concerne les bus à Miami :
- premièrement, c’est 1,50 $ le trajet mais 2$ pour 2 trajets (si vous prévoyez de faire un transfert = prendre un 2ème bus tout de suite après pour vous rendre à votre destination, il faut le signaler au chauffeur qui vous remettra un coupon pour le 2ème bus et vous fera payer 2$ (on l’a su un peu tard…),
- ensuite, les chauffeurs n’ont pas de monnaie ! A vous de faire l’appoint. Du coup, on a laissé 10$ (au lieu de 6$) pour un trajet, sachant que le chauffeur nous a invité à demander aux gens dans le bus si quelqu’un avait de la monnaie, mais personne n’a répondu, donc… Un peu curieux comme façon de faire.
En conclusion, on a le sentiment d’avoir loupé quelque chose en étant restés sur South Beach, mais 4 jours ça passe trop vite. Il aurait fallu avoir un guide local qui nous emmène dans des endroits vraiment sympas.
Avec le recul, on se dit qu’on aurait peut-être dû prévoir 2 semaines et non 10 jours pour le circuit, pour prendre le temps de visiter St Petersburg et Naples.
Ce qui est sûr, c’est qu’on gardera un souvenir incroyable de ce voyage, à plein de niveaux : un ciel aux couleurs parfois surprenantes, des baignades dans une eau turquoise et toujours à la bonne température, la découverte d’endroits magnifiques tels que les mangroves, et puis les crises de fous rires, les moments de bonheur dans les restaurants, et surtout… l’éclate totale à Orlando, qui est vraiment l’endroit idéal « to have fun » comme ils disent, et avoir le sentiment de se déconnecter du monde réel pendant quelques temps…
En tout cas, c’est sûr qu’on reviendra à Orlando, dans 4, 5 ou 6 ans, qui sait…
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Anecdotes
Lorsque nous logeons au Radisson, nous avons une formule B&B (petit déjeuner buffet inclus). Le hic c’est que la climatisation dans leur restaurant est tellement forte que dès le 2ème jour, je prends des cachets contre le mal de gorge. On finit par leur demander s’ils accepteraient que l’on mange dehors, et là ils nous sortent un « discours à 2 balles » (on risquerait de casser de la vaisselle dehors, et ça tomberait par terre, ça pourrait blesser quelqu’un donc c’est interdit, c’est le réglement… j’hallucine) pour nous faire comprendre que nous DEVONS prendre le petit déj dans la salle. Bizarrement, le lendemain, nous arrivons, il ne fait plus froid du tout, la température est normale. On se demande s’ils ont tenu compte de notre remarque pour baisser la clim. Pas du tout ! Elle a sauté ! mdr ! Ils l’ont mise tellement fort qu’ils l’ont faite sauter (c’est une serveuse qui nous en informera). Excellent !
Les fastpass « Universal Express » ne passaient pas à Universal (alors qu’ils avaient fonctionné à Islands of Adventure). Après être allés se renseigner au Guest Services, on nous a expliqué que nos pass n’étaient valables que pour un parc. Aberrant ! L’employé nous explique que c’est 35$ (par personne et par jour) pour un parc et 41$ pour les 2 parcs. Du coup, il nous propose (gratuitement) un « upgrade » pour que notre pass fonctionne dans les 2 parcs. Sympa ! D’autant que ce n’était vraiment pas volontaire de notre part, et que l’info sur le site d’Universal n’était pas claire du tout, j’étais persuadée que le pass était pour les 2 parcs.
Attention aux « lockers » (consignes) casiers obligatoires (mais gratuits si moins de 2h) pour ranger ses affaires (sacs), concernant certaines attractions telles que la Momie et Men in Black. Autant l’organisation est dans l’ensemble parfaite partout, autant là il faut prévoir 15 à 20 minutes de queue pour accéder à l’écran tactile qui vous permettra de débloquer un casier, et idem au retour, il faut refaire la queue pour libérer le casier. En plus le système est à reconnaissance digitale (il faut poser une empreinte sur une minuscule surface vitrée) et ne fonctionne pas correctement. Par exemple, un jour (heureusement un employé était là pour nous aider) le système a ouvert un casier qui n’était pas le nôtre, à partir de l’empreinte de mon pouce. Il faut espérer que ceux à qui cela arrivera seront également honnêtes sinon ça veut dire qu’on peut vous vider votre casier… Pas au point…
Internet : dans la plupart des hôtels où nous descendrons, on aura accès à internet gratuitement, dans ce qui s’appelle généralement le business center. Mais attention, selon la personne qui vous renseignera, on peut vous orienter vers une borne payante. Par exemple, à notre arrivée au Radisson, la personne de la réception nous avait suggéré d’utiliser un ordinateur payant (5$ la 1/2h) où on ne voyait jamais personne. En reposant la question le lendemain « avez-vous une connexion internet gratuite », cette fois on nous a indiqué où était le business center avec ses 4 PC en libre-service.
Publicité télé : pour la petite histoire, on a halluciné en voyant une page de pub tomber juste après le générique des Simpson ! avant même que le dessin animé commence.
Plage et coquillages : on a trouvé beaucoup moins de variétés à Sanibel (pourtant désignée comme l’île aux coquillages) qu’à Miami Beach. Par contre, la plage de Sanibel était nettement plus belle et propre que celle de South Beach.
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Timothy (un des petits neveux) a aidé une petite fille en difficulté à la piscine de l’hôtel (ça l’agace quand on lui en parle, il n’a que 10 ans et veut devenir pompier, alors c’est pas le genre à se la péter, lol, pour lui, il n’a rien fait d’exceptionnel). Donc, pendant que les parents de la petite étaient de l’autre côté de l’immense piscine, la gamine (5/6 ans, sans brassards et ne sachant apparemment pas nager) était en train de se débattre, à un endroit où elle n’avait plus pied. Mon petit neveu s’en étant aperçu, l’a aidée à revenir au bord de la piscine. Elle avait du mal à respirer. Une histoire qui finit bien, mais je comprends mieux comment une noyade peut avoir lieu, dans une piscine pourtant entourée d’une foule de gens. Nous n’avions rien vu alors qu’elle n’était qu’à quelques mètres. Quant aux parents, ils n’en sauront peut-être jamais rien… Ne parlant pas bien espagnol, nous ne sommes pas allés les voir pour leur expliquer.
Un soir, Timothy (encore lui !) avait un gros coup de soleil (bras, dos et cuisses). Je pensais lui avoir appliqué de la biafine, sauf que c’était du Baume Kamol. Au bout de quelques secondes, il me dit gentiment « euh, c’est normal que ça me chauffe, là ». Je constate l’erreur et lui répond, calmement « euh, viens, tu vas prendre une petite douche (tiède) et après Tatie te mettra la vraie biafine, c’est rien, ça va aller. » Je sais pas s’il sera pompier le môme mais sinon ça sera un « warrior ». lol.
Nos regrets / choses qu’on n’a pas eu le temps de faire
Un mini-golf à Orlando
Tous plus grands et délirants les uns que les autres. On est passé devant en voiture, ils sont magnifiques (végétation luxuriante, décor avec bateau pirate, cascade…). La prochaine fois, on en fera deux pour la peine !
Un tour d’hélico à Miami
Le guide avec qui nous avions fait un tour (visite guidée en bus et bateau pour voir les villas des stars) nous a parlé d’un tour à 20$, mais on n’a pas demandé où était l’embarquement et puis nous manquions de temps.
Rock’n roller coaster
L’attraction qu’on a loupée chez Disney.
Conseils et sites web
HOTELLERIE : ayant l’habitude de voyager, et de subir parfois quelques mauvaises surprises, surtout au niveau des hôtels, nous vous conseillons de toujours avoir une 2ème adresse d’hôtel avec vous, avant le départ, au cas où… Cela nous aura bien servi à Miami. On avait déjà vécu ce genre d’expérience (en Europe), en principe l’hôtel que vous quittez ne vous posera pas de problème, si ce n’est un risque de surtaxe mais au moins vous ne serez pas condamnés à rester dans un endroit qui ne vous plaît pas. Assurez-vous qu’il y aura de la place dans l’autre hôtel en téléphonant avant, mais l’été étant la basse saison touristique en Floride (enfin à Orlando, j’en doute, mais c’est sans doute vrai pour le reste du pays), vous trouverez en principe facilement une chambre.
PARCS D’ATTRACTION : les pass Universal et Seaworld (achetés sur internet, respectivement 86,98$ et 79,95$) sont valables 7 jours après la 1ère utilisation et donnent chacun accès à 2 parcs : Universal et Islands of Adventure pour l’un, Seaworld et Aquatica pour l’autre. Il faut bien 5 jours en tout pour en profiter .
Quant à Disneyworld, chacun de ses parcs nécessitent une journée de visite. Nous avons donc opté pour un pass « Magic Your Way » valable 14 jours après la 1ère utilisation, et dont le prix s’élève à 228$, (hors options : changement de parc en journée, parc aquatique, qui montent le prix du billet à 328$).
Pour plus d’infos : http://www.orlandofuntickets.com/ (voir aussi les sites des parcs)
SITES WEB INTERESSANTS (en anglais) :
http://www.orlandoinfo.com/ (site office de tourisme d’Orlando)
http://www.visitflorida.com/ (infos générales sur la Floride)
http://disboards.com/ (forum de discussion Disney et Orlando)
http://www.mousesavers.com/ (site discount Disney)
http://www.universalorlando.com/
Theme Park, Zoo & Aquarium in Florida - SeaWorld Orlando
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Nos bonnes adresses
Les bonnes tables
Orlando :
Disneyworld :
Hollywood Brown Derby (Hollywood Studios) – excellent
Starlight café (Magic Kingdom) et Flame Tree Barbecue (Animal Kingdom)
ABC Commissiary (Hollywood Studios)
Ghirardelli (Downtown Disney) : glaces et chocolat extras !
Seaworld :
Sharks Underwater Grill (décor exceptionnel – très bons plats, desserts moyens)
Autres :
Kobé (service exceptionnel et plats succulents), en face du Radisson.
Autres villes :
Clearwater :
Frenchy’s Rockaway Grill (trop bon et trop de choix, ambiance rock)
Key Largo :
The Fish House Restaurant and Seafood Market (très copieux)
Key West :
El Siboney (resto esprit mexicain fréquenté par les locaux, super et pas cher !!!)
Miami : (sur Lincoln Road, Collins et Washington Avenue)
Nexxt Café (salades et hamburgers énormes et excellents, plateau de desserts faits maison !!!)
Café des Arts (croissants énormes et trop bons !!! excellent accueil, belle terrasse)
La Provence (viennoiseries, pain)
11st Diner (cadre très sympa, hamburgers terribles)
Les hôtels
LIEUX POINTS FORTS
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ORLANDO
Disney Coronado Springs navettes en permanence pour les parcs http://disneyworld.disney.go.com/wdw/index chambre bien située, belle piscine, très calme
Radisson la piscine, les cocktails, le confort (lits réglables)
2900 Parkway bd le cadre verdoyant, la formule petit déj. Inclus
Kissimmee navette gratuite pour les parcs (Disney, Universal et Seaworld)
http://www.radisson.com/hotels/flkissim -
SANIBEL Island
Gulf Breeze Cottages le cadre (plage superbe à 2 pas) et le calme
1081 Shell Basket Lane l’accueil, le cottage
http://www.gbreeze.com/ -
KEY WEST
Pier House Resort un peu cher mais cadre exceptionnel
1 Duval Street belle petite plage, jolie piscine, accueil sympa
http://www.pierhouse.com/ -
MIAMI
Villa Paradiso très bien situé et très bien insonorisé
1415 Collins Avenue accueil sympa, belle suite
http://www.villaparadisohotel.com/