Namibie - 15 jours en octobre 2018

Forum Namibie

Bonjour,

La Namibie ? bof, bof, ça ne casse pas trois pattes à une pintade .

Sossusvlei, par exemple : Big Daddy, c’est beaucoup trop haut et il n’y a même pas d’escalier.Mieux vaut aller à la dune du Pilat.
Quant au Deadvlei, on ne trouve pas une seule buvette alors que ce n’est pas la place qui manque.
Et tous ces arbres morts, ils devraient les couper parce que là, ça ne fait pas très entretenu.

A Etosha, quelle arnaque ! les animaux sont beaucoup trop éloignés les uns des autres et les quotas ne sont pas du tout équilibrés ( trop de zèbres et pas assez de lions ).Ca ne vaut pas le zoo de Beauval où on est sûr de voir des pandas.

Bon, tout le monde va bien ? Pas de crise cardiaque ? Tant mieux car je plaisantais bien sûr.

Ni les superlatifs, ni les plus belles photos ne rendront compte de la magie de l’instant à la découverte des dunes du Namib, à la vue de la première girafe, du premier éléphant et, enfin, du premier lion.

Tout a commencé en août 2016 par la lecture d’un carnet sur le Routard.On se met d’accord pour un voyage en avril 2017 et je prends contact avec Tourmaline.Mais au fil des lectures sur le forum, je comprends que le mois d’octobre est peut-être l’un des meilleurs pour voir des animaux.
On laisse le temps passer et c’est à l’occasion d’une discussion avec Sophie et Bruno, un couple d’amis également intéressés par cette destination que je relance les démarches pour un départ en octobre 2018.

Si nous avons rapidement opté pour le 4x4 avec les tentes sur le toit ainsi que Qatar Airway comme compagnie aérienne, restait la question de l’itinéraire.Finalement, après de nombreuses lectures de carnets et d’avis, nous avons choisi celui des “Anciens” du Forum.J’en profite pour les remercier ainsi que tout ceux qui y participent et aident à préparer nos voyages plus sereinement.

Donc, ce sera Londiningi Guesthouse, Gecko Camp, NWR Sesriem ( 2 ), Oysterbox Guesthouse ( 2 ), White Lady Lodge, Hoada camp ( 2 ), NWR Okaukuejo, NWR Halali, NWR Namutoni, Omboroko Camp, Londiningi Guesthouse.
J’aurais aimé ajouter une nuit au Spitzkoppe pour découvrir ces monts et couper la longue distance jusqu’au Brandberg mais le temps nous était compté.

Vendredi 19 octobre

Nous quittons le Loir-et-Cher à 6H30 pour rejoindre nos amis en région parisienne.Après un repas pâtes - poulet, nous roulons vers le parking PR de Roissy.Mais là, on a un problème : impossible d’accéder aux quais du CDG VAL avec les trois chariots portant nos grands sacs et nos bagages cabine.Il faut les laisser à l’entrée de la station et se les coltiner jusqu’au quai puis de la sortie du VAL jusqu’au Terminal 1.On n’a pas encore quitté la France que je suis en nage.On ne fera pas la même erreur au retour.
Après un rafraîchissement avec des lingettes ( merci Sophie ) et un changement de T-shirt, direction le guichet Travelex pour retirer les rands commandés.Le taux n’est pas très bon mais on voulait avoir du cash et éviter la queue à l’ATM de l’aéroport de Windhoek.
Nous étant enregistrés en ligne, nous évitons la longue file d’attente et déposons nos bagages au check-in bagage drop ( ou un nom comme ça ).

On décolle à 16H.Arrivés à 23H30 à Doha, nous avons un temps d’escale confortable puisque nous repartons à 02H30.Sur le chemin du transfert, on consulte un tableau qui indique notre prochain vol “Gate D21”.Ou du moins, c’est ce qu’on a cru lire.En attendant, on s’installe dans un café puis on se rapproche de la Gate D21.Je suis assis près du tableau des départs quand mon regard tombe sur " Windhoek Gate B5", c’est à dire à l’autre bout de l’aéroport.Vite ! Il faut prendre une navette.Ouf ! On arrive à temps pour l’embarquement.

Sculpture géante à l’aéroport de Doha

Le B-787 pour Windhoek

Samedi 20 octobre

Nous arrivons vers 10H, un peu avant l’heure prévue.Sur le tarmac, des employés de l’aéroport, postés tout au long du chemin, nous demandent d’accélérer et ne nous laissent pas prendre de photos.On a compris pourquoi quand peu de temps après, un autre avion KLM a atterri.
On passe la douane en 30 minutes.Chaque passager est photographié.Coco, correspondant Africa 4x4, nous attend et nous conduit aux locaux de la société à quelques kilomètres de là, sur la route qui mène à la capitale.

Une anecdote amusante : sur le parking de l’aéroport, un jeune homme range nos sacs dans le coffre.Je cherche un pourboire mais je n’ai que des grosses coupures en rand.Alors il me montre une pièce de 2€ et comme j’en ai sur moi je la lui donne.C’est après que j’ai fait la conversion.
Le montant du pourboire sera une interrogation constante : assez ou trop ? Nous avons souvent été mal à l’aise avec cette pratique hormis au restaurant où le “tarif” est de 10%.

Chez Africa 4x4, Irène la manager et Michael de Tourmaline nous accueillent.Le briefing est assez long et insistant sur la sécurité et sur l’assurance qui se désengage dans de nombreux cas.
Interdiction d’aller au-delà de 100 km/h sur les routes à 120 ( sauf en cas de dépassement ) sinon le tracker relié au mobile d’Irène sonne et c’est 650 NAD de pénalité à chaque fois.

Puis on passe à la prise en main du véhicule et du montage de la tente.
Je suis un peu inquiet quand je découvre que c’est une boîte automatique, ce que je n’ai jamais pratiqué.Mais je n’ai pas regretté tant la conduite est agréable ainsi.C’est Bruno qui commencera à conduire.

Nous arrivons à 14H20 au Londiningi Guesthouse.Les chambres ( 7A et 7B ) sont sympas.Les employés sont souriants et très accueillants.Malgré l’heure tardive, on nous sert un croque-monsieur salade et une bonne bière fraîche.
On s’installe tranquillement.Pour une première fois en Namibie, on n’aurait été incapables de prendre la route, faire les courses et atteindre Gecko Camp avant la nuit.

Salon d’accueil du Londiningi

La terrasse devant les chambres 7A et 7B

La piscine et la salle à manger

Le repas est bon : gaspatcho de concombre, pavé d’oryx tian de légumes, salade de fruits frais.
On est bien contents de dormir dans un vrai lit après ce long voyage et en pensant aux nuits dans la tente qui nous attendent.

Dimanche 21 octobre

Voilà, c’est le début de l’aventure.
Après un très copieux petit-déjeuner, nous quittons la guesthouse direction le Spar de Maerua pour les premières courses : adaptateur, nécessaire à vaisselle, nécessaire pour le braii, l’alimentaire pour les petits-déjeuners et quelques repas chauds, la viande sous vide ( vacuum packed meat ).
Mais impossible d’acheter de l’alcool car c’est dimanche ; on verra ce soir à Gecko Camp.

Le coffre est vite plein.

Pour aller à Gecko Camp, Michaël nous a conseillé la B1 jusqu’à Rehoboth puis la C24 car il y aurait des travaux sur la C26, route que je souhaitais prendre.
A Rehoboth, on achète une carte pré-payée pour le téléphone débloqué ( Tourmaline nous a fourni une carte sim ) ; elle servira quelques jours plus tard.

La B1

1er panneau gravel road

Après un pique-nique pris à l’abri du vent et de la poussière ( elle sera notre ennemie pendant 15 jours ), on prend la direction du Spreetshoogte pass.

Les arrêts photos sont nombreux

Le Spreetshoogte pass offre une très belle vue dégagée

Sympa, la descente !

Nous arrivons peu de temps après au Gecko Camp

on domine la plaine

notre campement à Hilltop

Première journée bien remplie.Nous sommes déjà sous le charme de la Namibie.
Quelle est bonne cette bière ce soir en faisant le braii, le regard perdu sur la savane.

Extinction des lampes frontales à 21H30.

Lundi 22 octobre

Réveil à 8H00.
Après le petit-déjeuner, on joue à " qui voit l’oryx assis sous l’arbre dans la plaine ?"

Départ pour Solitaire où après avoir goûté l’incontournable apfelstrudel, les photographes ont dégainé leurs appareils et fait feu pendant une heure.


Après le déjeuner au café Van der Lee, nous reprenons la route pour Sesriem.

L’orage n’est pas loin

Nous arrivons à NWR Sesriem vers 15H30.
De forts vents balaient le camp et le sable soulevé entre partout.
L’orage éclate alors qu’on n’a pas déplié les tentes.Tant pis, on s’y collesous la pluie.
Comme la plupart des campeurs, nous trouvons refuge au bar-restaurant où nous prendrons notre dîner.
Nous nous couchons pas très rassurés par les vents violents qui secouent la tente, ni par la foudre qui semble tomber toujours plus près.Et comme je suis d’une intelligence ( hahaha ! ), je retiens l’armature métallique de la tente avec mes mains.
Quant à Bruno, photographe intrépide, il ne peut s’empêcher d’inaugurer son Pluto pour saisir les éclairs.
Les alarmes de certaines voitures se déclenchent intempestivement.
L’orage se calme vers 3H00 dans la nuit.On peut enfin dormir un peu.

Mardi 23 octobre

Réveil à 5H00 comme presque tout le monde autour de nous.
Départ à 6H00 pour Sossusvlei et arrivée au parking 2x4 à 7H00.On a respecté la limitation de vitesse mais j’ai l’impression qu’on était les seuls tant on s’est fait doubler.

On trouve rapidement une navette.Je paie le chauffeur pour l’aller et le retour et je lui donne un pourboire.Et là, je me dit que j’ai gaffé ( manque de sommeil sûrement … ).On verra bien.

Tandis que Sophie et Bruno se dirigent vers Deadvlei, Mary et moi attaquons Big Daddy.Mais rapidement, on sait qu’on n’ira pas au bout.A la perpendiculaire du vlei, on descend le dune, moi en courant et Mary sur les fesses à cause de son appareil photo.






On profite du vlei jusqu’à 10H00 ; il est temps de partir car les bus, de plus en plus nombreux, déversent des dizaines de visiteurs.
Sur le parking, nous retrouvons notre chauffeur.Il fait un détour par le parking de Big Mamma pour déposer des touristes allemands et nous ramène au parking 2x4 en faisant la course avec une autre navette ( on s’est bien amusés ).

L’après-midi, nous sommes trop fatigués pour aller au canyon ou la dune Elim.Ce sera braii, sieste, douche.
Un nouvel orage s’annonce ; heureusement, il n’éclarera pas sur le camp.A 19H, on se rend à pied au Sossusvlei Lodge pour dîner au buffet recommandé très souvent sur le forum.
Alors, je ne dis pas que c’est mauvais mais je m’attendais à mieux.D’accord, il y a du choix mais on ne peut pas dire que c’est raffiné.


Il est temps de se coucher pour récupérer de la nuit dernière, mais aussi car demain sera une longue étape jusqu’à Walvis Bay.

Jolies les photos d’orage.
Ah merci ca me rassure pour le diner de Sossusvlei lodge ^^

Bonjour,
Merci pour ce beau carnet qui me fait revivre mon premier voyage!
J’embarque.
Superbes photos. Un ciel d’orage est souvent très beau, avec une lumière particulière.

Impression différente sur le buffet de Sossusvlei, que nous avons beaucoup aimé. Le décor, notre premier kokerbooms, et le choix de viandes où l’on pouvait découvrir tout ce qui se fait ( ou presque). Nous sommes sans doute TRÈS carnivores.
Et nous ne nous attendions pas à un restau étoilé! (Les étoiles étaient restées accrochées là-haut…)

Je pense que nous avons failli nous croiser chez Namibia 4x4 rentals ( où nous avons loué pour la 3e fois) : nous avons rendu notre voiture à 9h. Mais avec Qatar, vous avez dû arriver vers 11h?

Cordialement,
Patou

Bonjour Patou,

Merci pour vos encouragements.

Nous nous sommes certainement croisés chez Africa 4x4 car nous y étions à 9H15 ( j’ai tout noté en prévision du carnet de voyage ).Je me souviens d’un couple ( Sudafs ? ) qui louait un minibus de 14 places.

Mercredi 24 octobre

On quitte Sesriem à 8H00.
L’orage a rempli les lits asséchés.Avant Solitaire, on franchit un gué en soulevant de belles gerbes d’eau.De l’autre côté, les occupants d’une voiture citadine se sont arrêtés, se demandant si ça va passer.


Gourmandise oblige, la pause café se fait à Solitaire.Nos photographes ressortent leurs appareils : existe-t-il un coin de Solitaire qui leur a échappé ?


Un p’tit tour en mongolfière ?

59 mm de pluie, dit le tableau

Retour sur la C14.Les paysages sont sublimes.





Pendant la préparation du voyage, j’ai souvent lu de bons commentaires sur ce lodge.

Vers Kuiseb Pass, on s’arrête au panneau d’entrée dans le parc du Naukluft.Bruno s’aperçoit que le pneu avant gauche est à plat.En tendant l’oreille, on entend un léger sifflement.Je n’ai rien senti en conduisant.
Il est midi et il fait très chaud.On sort toutes les affaires du coffre pour atteindre la roue de secours.

On reprend la route


Après la descente dans cette plaine, elle restera monotone jusqu’à Walvis Bay.
Nous hésitons à entrer sur le site de Vogelfederberg mais nous n’avons pas de permis et nous n’osons pas.
Soudain, au loin, une harde de springboks ! Nos premiers animaux ! Excitation et émotion.

Arrivée à Oysterbox GH à 17H ( on avait quitté Solitaire à 10H … ).
Chambres 6 et 9 avec vues sur l’Atlantique.
A l’heure bleue, balade sur le front de mer pour photographier les flamants.

Dîner au Raft : crabe, calamar, fish trio, mixed game meat ( plus dessert, bien sûr ).



Ahh c’est génial un nouveau carnet et quelle belle lumière au camp de Sesriem !
Merci de nous faire rêver et d’avoir l’impression d’y être encore …
Nous y étions en septembre mais ni pluie, ni crevaison, … ouf…!
Bien aimé le buffet de Sossusvlei L, par son ambiance, la bonne viande et excellent poisson
au plaisir de vous lire,

Merci Madilou.

C’est assez fastidieux notamment le tri des photos.
Interdiction de procrastiner sinon on ne le termine jamais.

Jeudi 25 octobre

Nous avons apprécié la nuit passée dans un vrai lit.
Rendez-vous à l’embarcadère de Levo Tours à 8H30.En partant, nous laissons un sac de vêtements à laver à la réception ; nous le récupérerons le soir même.

Le temps est parfait : tempête de ciel bleu.Beau temps, belle mer !
Ce fut une sortie très agréable ; les 3 heures sont vite passées.
Nous étions 10 sur le bateau et l’ambiance était sympa.Au programme : dauphins bottle nose, un manchot perdu dans la baie, un mola-mola ( poisson-lune ), un pélican adopté par le capitaine et des centaines d’otaries.

terminal hydrocarbures


dauphins


le mola-mola, qu’on aurait presque pu toucher de la main.

Erik, le pélican adopté

les otaries


un phare-hôtel, bien isolé.

La sortie se termine par un bruch accompagné de mousseux sud-africain.


Nous prenons une photo avec le “Captain”

Après-midi à Swakopmund.
C’est bien beau de se promener mais il serait temps de s’occuper du pneu crevé.
On prend contact avec Marko de chez Africa 4x4 qui nous donne l’adresse de Tyres 2000.
Là, on nous remet un pneu neuf.Comme nous avons pris l’assurance pneus + vitres, nous ne payons rien.Le pneu rechapé retournera certainement sur un véhicule dont l’emprunteur aura pris l’assurance pneus.Ainsi, les pneus neufs sont payés par les assurances.

Passage au Spar pour le ravitaillement du frigo et des portefeuilles.
La fin de l’après-midi est consacrée à la visite de la vieille ville.Pour ma part, mon sentiment est mitigé.Certes, tout est propre, joli et on se sent en sécurité mais ça manque d’animation.
Arrêt au café Anton ; achat de souvenirs et cartes postales.

De retour à Walvis Bay à 19H.
On dîne encore au Raft mais cette fois au bar.En fait, on y mange pratiquement la même chose en étant également assis à table.Bizarre …
Demain, on entame la deuxième partie du voyage qui nous rapproche d’Etosha.

Vendredi 26 octobre

Départ à 9H30 direction le Brandberg par Henties Bay et la C35 ( nous zappons Cape Cross ).
Arrêts à Wlotzkasbaken, village aux maisons colorées, puis à l’épave du Zeila.




Après Hentis Bay, nous abordons la très monotone C35.
Arrêt pique-nique au milieu de nulle part, sans abri ombragé ( pas eu la chance de Patou ) et exposés au vent.


A l’approche d’Uis, les paysages ont plus de relief ; on approche du Branberg.

Plein de carburant à Uis.

A l’intersection de la C35 et de la D2359, une femme accompagnée de ses enfants, agite une bouteille d’eau vide.On fait demi-tour.Elle nous explique qu’elle habite un peu plus loin et qu’elle manque d’eau.On lui en donne.
Aujourd’hui, impossible d’ignorer la valeur de l’eau pour nous qui n’avons qu’à ouvrir le robinet.Mais lors de ce voyage, nous y avons été directement confrontés quand les coupures d’eau ont eu lieu le soir dans certains camps.

Tout près de White Lady Lodge


Arrivée à 16H00 à l’emplacement 17.
A une trentaine de mètres, on aperçoit au sol des traces du passage d’éléphants.
Mon petit doigt me dit que c’est de bon augure …


Tout le monde y trouve son compte

Notre campement la nuit

un moment important de la vie au camp : le braai

Ce fut une journée de transition, pour moi la moins intéressante du séjour.
Mais demain sera une autre journée, une très belle journée.

Bonjour Pascal,
Je continue à me régaler, ton carnet est très beau.
A Henties Bay, je crois que nous avions eu de la brume, pas envie de flâner.

J’ai adoré l’oeil du pélican.
Et là, je salive…
Mais tu as oublié l’apéro?

Bonne journée,
Patou

Hahaha ! L’apéro, mais oui Patou c’est vrai, pas de photo bizarrement … Pourtant on n’en a pas raté un seul !

Samedi 27 octobre

Peu avant 7H, encore sous la tente, on entend un barrissement : ils sont là !!!
On se précipite vers la source sonore, et magiques, deux groupes d’éléphants surgissent, majestueux, placides.Quels frissons ! Un de mes voeux est exaucé.
On n’a pas de photo car dans l’excitation, les Canon et autres Nikon sont restés au campement.
Oui, je sais, c’est bête mais on a vraiment vécu ce moment intensément.

De retour en France, sur ce forum, une jeune fille a raconté que ce même jour, elle a été chargée et s’est retrouvée dans un buisson.

Un visiteur traverse notre campement.

On quitte White Lady Lodge à 9H45.

Twyfelfontein, visite de la Lion Man Route avec Kennedy, notre guide, sous le soleil de plomb de midi.
1 heure d’explications intéressantes mais en anglais, et avec notre niveau scolaire on n’est pas toujours sûrs d’avoir tout compris dans le détail.

Paysage de Twyfelfontein

En route avec Kennedy vers le site


Blackboard rupestre

On reprend la route direction le Grootberg.De nouveaux panneaux nous donnent le sourire.



Paysage

En montant le Grootberg, la route est de plus en plus délicate.
Peu avant le pass, on voit des zèbres ( de Hartmann ? ) et des girafes.
Dans la plaine, une autre girafe nous attend au bord de la route et pose pour nos photographes. On est aux anges !



Vers 18H, nous arrivons à Hoada Campsite, emplacement n°8.
Nous réservons pour le lendemain 8H, une viste du village de Deska, un employé Damara du lodge.

Le campement est sympa, blotti dans des rochers.
La propriétaire nous dit juste de faire attention aux babouins qui viennent boire dans les toilettes.


Apéro, braaio, photos et dodo.

Dimanche 28 octobre

Réveil à 6H30.

A 8H, alors que nous cheminons vers son village à deux kilomètres du camp, Deska nous rejoint, accompagné de jeunes touristes allemands.

Le chemin


Nous avons été très touchés par la gentillesse de Deska.
Quant au village, son dénuement nous semble total : eau rare et convoitée par les éléphants, quelques chèvres, vaches et poules dans un paysage désolé et aride.



Le jardinet

Deska nous montre le fonctionnement de la pompe pour puiser l’eau.


Deska nous montre la préparation du torchis de bouse de vache et son application.



Retour à Hoada vers midi.
Alors que nous croyons devoir payer la visite à Deska, c’est la propriétaire du campsite qui encaisse les 360 NAD par personne.Pourtant la veille, on a cru comprendre que l’argent servait au développement du village.

L’après-midi, les babouins assoiffés viennent dans nos sanitaires, enlèvent le couvercle de la chasse d’eau et s’abreuvent.Alertés par leur barouf, on s’approche et un grand mâle vraiment impressionnant bondit devant nous et s’enfuit dans les rochers.

Babouin sur son rocher ( au loin … )


Les sanitaires

La douche

Les toilettes après le passage des babouins

Lézards des rochers


Au coucher de soleil, on monte prendre l’apéro au bar situé en haut dans les rochers.

Hoada est un campsite plutôt sympa ; dommage qu’il y ait toutes ces petites mouches qui vous agressent en permanence.

Demain Etosha !

Salut Pascal,
Enfin des apéros! Me voilà rassurée…

Bon. En matière de zèbres : le zèbre de Hartman ( zèbre des montagnes) est plus petit que son cousin des plaines, mais surtout il a le ventre blanc, sans aucune rayure.
Deux autres détails : il peut y avoir du beige ou du marron dans les rayures ( mais ce n’est plus obligatoire), et ils ont une petite bande de peau qui pend sous le cou.

Pour le zèbre des plaines, et bien c’est le contraire! Larges bandes noires et blanches (25 à 30 au total), qui se rejoignent sous le ventre en rayures horizontales.
Sur ta photo, ceux de gauche semblent être des zèbres de plaine. Celui du milieu, je ne vois pas bien, est loin!

SUPER, ton carnet. Même sans photo des éléphants.
Haha, Les babouins! Ils ont tout compris.

Bonne journée ( moi je décolle aujourd’hui pour Le Cap!)
Patou

Salut Patou,

Merci pour ces explications.

Bon voyage au Cap.
Un de nos projets ( quand on sera en retraite car il faut du temps … ) serait d’aller du Cap aux chutes Victoria.
On attend la fin de ton carnet en cours.

A bientôt,
Pascal

Lundi 29 octobre

Ce matin, dilemme sur l’itinéraire.
Lors du briefing le premier jour, Mickaël, correspondant Tourmaline, nous fait entrer dans Etosha par Galton Gate.Il nous précise qu’il faudra quitter Hoada très tôt car il y a 200 kms de traversée du parc.
Et dans le roadbook, voici ce qu’on y lit :
“Il est possible d’entrer par Galton Gate.Cet itinéraire n’est pas compatible avec la longueur de votre étape.Ne prenez pas cet itinéraire qui vous imposera un détour trop long et des temps de route trop importants”.
Faudrait se mettre d’accord …
On décide de suivre le roadbook.A-t-on raté quelque chose ? Qu’en pensez-vous ?

Donc départ à 7H30 direction Okaukuejo par les C40, D2694 et D2710.
Arrêt à Kamanjab pour le carburant, l’alimentaire et le cash.

A l’entrée de Kamanjab


Sur la route



Nous arrivons à Okaukuejo pour le déjeuner que nous prenons au restaurant du resort ( buffet ).
L’après-midi est consacrée à notre premier game drive, dans la partie ouest.
Circuit par Wolfness, Okondeka, Adamax, Natco, Leeubron.









Retour à 18H pour l’installation au n°37, le plus au fond.


Nous avons roulé avec le canopy fermé et tout ce qui est dans le coffre est recouvert de poussière.Il ne nous reste plus qu’à tout sortir et à nettoyer.

Puis direction le trou d’eau.





Après le braai, retour au trou d’eau nocturne où nous verrons 4 rhinocéros.

Mardi 30 octobre

Départ à 8H ; déjà beaucoup de campeurs sont partis.
On fera une dizaine de “waterholes” jusqu’à Halali.

Bon, il faut que j’avoue quelque chose.Il nous est arrivé de faire des arrêts “techniques” hors des zones prévues à cet effet.D’accord, ce n’était pas très sérieux mais on regardait partout si un lion ne traînait pas dans les parages.

Le camp à Okaukuejo le matin


Le trou d’eau le matin

Une autruche sans tête

Encore une autre





Arrivée à Halali vers 13H ; déjeuner ( hamburger frites ) au snack près de la piscine.

L’entrée du camp à Halali


Notre emplacement

Il fait très chaud mais on résiste à l’appel de la piscine.
On repart pour un circuit des waterholes de Hélio, Goas, Nomiams et la Rhino drive.





Le soir, au waterhole d’Halali, nous verrons 5 hyènes.
Très belle journée et quelle émotion de voir tous ces animaux en liberté ; on ne s’en lasse pas.
Et on a vu des lions !
Demain une autre belle surprise nous attend …

Arrrrghhh! Quel suspense!
Aurais-tu vu un kangourou, par hasard???

Bon. Soyons sérieux. Très belles photos, on ne se lasse pas. J’adore.
(Moi, aujourd’hui, j’ai eu des otaries à fourrure!)

Cordialement
Patou

bonjour,
superbe carnet de voyage , belles photos … je prépare mon voyage pour avril 2019 … pensez vous qu’il faut réserver à l’avance tous les emplacemets dans les campings ? ou simplement pour Etosha ?

Bonjour lilalou,

Merci pour vos commentaires.

Je ne peux pas répondre à votre question car je ne suis pas un spécialiste de ce pays.
Nous y sommes allés en octobre, encore haute saison, et nous avions réservé un an à l’avance.
Pour le mois d’avril, il me semble que c’est moins tendu mais je pense qu’au NWR de Sesriem ça doit être plein.

Pascal

Mercredi 31 octobre

Départ à 8H50.
Il n’y a plus de gasoil à Halali mais pas d’inquiétude car la jauge n’a pas bougé ( double réservoir ).
Nous regagnons le pan, où se situent la majorité des waterholes, après un détour par Goas au cas où les lions d’hier patrouilleraient encore dans le coin.Mais on n’en verra pas là.

Le pan


Nous voyons toutes sortes d’animaux à profusion à tel point qu’on commence à ignorer zèbres et springboks pour s’user les yeux à la recherche de fauves.

Un serpentaire


Femelle zèbre pleine

Pintades

Très jeune impala et sa mère


Mais c’est à Batia que nous verrons une lionne pour la seconde fois.

Arrivée au NWR Namutoni à 12H30.
Installation au n°19.Bizarrement, depuis Okaukuejo, les mêmes touristes allemands sont nos voisins.


Déjeuner au restaurant du camp et plein de gasoil.J’ai voulu payer par CB ; j’ai tapé mon code mais l’appareil ne fonctionnait pas.J’ai donc donné du cash.Mais j’ai oublié de demander un ticket d’annulation.De retour en France, on a constaté le débit du montant par CB sur notre compte …

15H : on redécolle en direction du nord, toujours en longeant le pan, vers King Nehale Gate.
Vers Andoni, un groupe d’une vingtaine d’éléphants traverse la route devant nous.A ce moment-là, nous sommes seuls avec eux.



Nous finissons notre circuit par Klein Namutoni.
Des véhicules sont arrêtés.On aperçoit un guépard qui s’éloigne dans les brouissailles.On continue plus loin dans la direction qu’il semble prendre.Des impalas sont en alerte et poussent des cris.

Impala sur le qui-vive


Soudain, tous les impalas s’enfuient dans de grands bonds, juste devant la voiture.
Et “ils” apparaissent …




Bon, laissons-les se désaltérer et rentrons avant la fermeture des portes.
Encore une superbe journée ; on a bien mérité notre apéro.

Bonsoir bonsoir
Je découvre ton post ce soir
Au début j’étais un peu inquiet , puis j’ai compris la rigolade et ensuite j’ai adoré le récit ainsi que les photos .
Et oui , c’est magique hein !
De tels orages dans le Namib sont rares , et en Octobre , particulierement rares !
Tres cordialement
Tanit

Bonsoir

Oui , pour Etosha et Sesriem intra murros .
Tanit

Sorry Patou, ce message etait destiné à Pascal !
C’est rare d’avoir un tel retour .
Merci mille fois Pascal.
Sincerement
Tant

Pour Pascal
Je redige depuis qq années un petit guide sur la Namibie .
(Patou m’a donné un coup de main) .
Si celà t’interesse d’y participer , passer en MP .
Tanit

Bonjour Tanit,

Merci.
Je t’envoie un message en MP prochainement.

Bonjour Patou,
Pas mal, mes kangourous, non ?

Cordialement,
Pascal

Superbes!
j’en bave d’envie tout en regardant deux pintades passer devant moi…

Merci encore pour ce joli carnet!

Amitiés à toi et à Tanit,

Patou

Bonjour et merci pour ce carnet de voyage magnifique, qui me rappelle de très beaux souvenirs. Ce pays est impressionnant par sa beauté et sa diversité, j’espère pouvoir y retourner un jour !! Bonnes fêtes à tous d’avance

Jeudi 1er novembre

Réveil à 7H.
Pour la première fois, nous avons ressenti la fraîcheur de la nuit et dormi dans les duvets.
“Le soleil vient de se lever …”


Pendant le petit-déjeuner, nous avons la visite intéressée de mangoustes.

Il nous reste une matinée dans le parc d’Etosha qu’on doit avoir quitté à 12H30 au plus tard.
Petite visite au fort Namutoni avant de partir.

Départ à 9H pour la dik-dik drive.
La très charmante petite dik-dik

Un dernier coup d’oeil à Kein Namutoni



Sortie d’Etosha à 11H à la Von Lindequist Gate.
Horaires d’entrée et de sortie


A Tsumeb, nous faisons quelques courses à l’épicerie Pick and pay.Je demande la direction du Minen Hotel, où nous souhaitons déjeuner, à un couple de vieux blancs.Ils nous font signe de suivre leur vieux 4x4 et nous guident jusqu’au restaurant.Très gentil de leur part.
Le Minen Hotel

Le jardin

Très bon rapport qualité / prix.

On a un peu traîné en route et nous n’arrivons qu’à 17H30 à Okonjima.


Babouins à l’entrée de la réserve

Check-in à la réception du Bush Camp.Nous voulons réserver une table pour le dîner mais on dit que ce n’est pas possible.Quel dommage car le cadre est superbe.
Bush camp

On nous offre un cocktail de fruits.

Notre campement à Chilala


Le point de vue depuis Chilala

La douche

On est déjà couchés quand un guide de la réserve arrivé en quad nous annonce qu’on viendra nous chercher à 6H le lendemain pour la visite de la fondation, au lieu de 7H comme prévu initialement.

Même si Omboroko campsite est agréable, nous regretterons de ne pas avoir pris un lodge à Plain Camp.C’est le petit reproche que l’on pourrait faire à Tourmaline : ne pas nous avoir suggéré de le faire.

Bonjour,
« …nous regretterons de ne pas avoir pris un lodge à Plain Camp »
Ah ça, je te comprends! Tout y est tellement magnifique!
Mais, bon, la prochaine fois?

Je continue à te suivre avec grand plaisir, aujourd’hui depuis L’Agulhas, la pointe la plus du Sud de l’Afrique! Au bout du bout du bout, quoi- Le lieu de rencontre ( combat?) des océans Indien et Atlantique…
A+,
Patou

Wouahw fantastique ces guépards ! Merci pour ces superbes photos.
à Klein Namutoni aussi nous en avons vu un, qui se reposait sur une branche. On voyait sa tête, le tronc de l’arbre… puis sa queue qui pendait. C’est aussi grâce aux voitures qu’on l’a remarqué.

Patou : oui, il y aura une “prochaine fois” ; nord ou sud, on ne sait pas encore.On attend la fin de ton carnet …
madilou : bon, ce que les photos ne montrent pas, ce sont les voitures tout autour ; mais on n’a pas eu trop de monde à Etosha.

Vendredi 2 novembre

Comme prévu, à 6H, un guide passe nous prendre, direction Plains camp où l’on prend un café.On attend ( poireaute, plus exactement ) 1 heure.On aurait très bien pu venir à 7H et dormir plus longtemps.
Bref, la visite de la fondation commence, en compagnie d’un couple allemand.

Koudous, springboks et phacochères se baladent en toute quiétude près de Bush camp.



Nous pénétrons dans l’enclos des guépards.
Là, 4 guépards scrutent l’autre côté de la clôture ; à la vue d’un koudou, tous leurs sens s’éveillent.Leur instinct de chasseur est intact, ils pourront bientôt être lâchés dans la réserve.


Puis, c’est l’enclos du léopard.Là, c’est pas la même limonade !De sérieuses précautions sont prises pour éviter tout accident avec Waououh … C’est en lisant un carnet de Patou que j’ai appris son histoire : recueilli chaton et élevé par un fermier qu’il a tué car, devenu adulte, son instinct avait repris le dessus.La famille du fermier n’a pas voulu le tuer et l’a confié à la fondation.


Puis nous visitons les locaux de la fondation, dont la clinique vétérinaire.
L’accent est mis sur l’éducation de la jeune génération namibienne pour protéger les fauves.




La visite se termine à 9H.
Que vous vous sentiez concerné ou pas par la cause animale, Okonjima est un endroit à ne pas rater.Et si vous pouvez, dormez dans un lodge.

On quitte Okonjima à 11H30.

Arrêt au Spar d’Okahandja : choix de salades et de plats préparés au détail.
On propose au gardien du parking tout ce qu’on ne ramènera pas ( charbon de bois, bonbonnes d’eau, l’alimentaire, bassine et autres ustensiles ) et il ne se le fait pas dire deux fois.

Voilà, il faut retourner à Windhoek.La circulation devient plus intense à l’approche de la capitale.Les camions et les bus nous doublent dangereusement bien souvent.
On fait également attention aux babouins et phacochères errant de chaque côté de la route.

Arrivée au Londiningi GH à 14H45.Un employé a la gentillesse de nous réserver une table au Joe’s beer house.C’est vendredi soir ; il y aura beaucoup de monde, nous dit-il.

En attendant, Sophie et Bruno vont visiter Windhoek.
Bushman art gallery


La Christuskirche

La gare

18H30 : Joe’s beer house.Cadre pittoresque.Tables à l’extérieur et à l’intérieur.
Excellentes brochettes.





Samedi 3 novembre

Nous quittons Londiningi à 8H45.

Plein de carburant et restitution du véhicule ( sale … ) au loueur et direction l’aéroport.
On donne nos dernières pièces au monsieur très souriant qui nettoie les toilettes.
On voyagera avec l’équipe nationale de rugby de Namibie ( oh, les gaillards ! ).
A l’escale de Doha, Mary achète un disque dur pour transférer les 380 Go de photos et vidéos.
Arrivée à 6H50 à Roissy.
Cette fois, Bruno et moi allons chercher la voiture au PR tandis que Sophie et Mary nous attendent au dépose-minute avec les bagages.
Après un bon p’tit-déjeuner café, croissants, pains au chocolat,on regagne notre maison solognote.


Un grand merci à tous ceux qui m’ont encouragé avec leur commentaire et à ceux qui ont pris du temps pour me lire.
Et bien sûr, merci à Sophie, Mary et Bruno.
A bientôt au Rajasthan !

Bravo Pascal,
C’etait super, je me suis régalée pendant tout le voyage.

Promis, je reprends mon carnet (il reste le KTP et le retour vers Windhoek) dès mon retour d’AFS…
Heu, non, un peu après, car je rentre le 24 ( des rdv …)!

Amitiés et bonnes fêtes,
Patou

P.S. Rajasthan : Rhhââââ…! T’as raté la superbe foire aux chameaux de Pushkar (3e lune de novembre)- Tant pis, la prochaine fois…

Sinon, Tanit a raison ( mais moi j’ai pas eu les moyens de loger dans le palace! Haha! Sacré Tanit!).

Bonsoir Patou

Ben oui , j’ai voyagé pour mon boulot .
Et il se trouve que j’avais de gros clients en Inde .
Ou , d’ailleurs j’ai eu un salarié local , à Dehli , durant 20 ans .
Representant les interets de ma boite .
Pas un Nabab , un ingenieur , tres competant .
Un excellent homme , et tres pro .
Bien que j’ai quitté la vie professionnelle depuis 20 ans , il est resté un excellent ami .
Nous correspondons toujours , je connais bien ses enfants qui sont tous magnifiques et actifs dans la vie pro dans differents domaines . (ils ont la trentaine ) .
Il nous a invités au mariage de son 1er fils il y a qq années . Nous y sommes allés !
Absolument magnifique !
Je ne te raconte pas , tu baverais !!!

Au cours d’un voyage dans le pays, il y a longtemps , mon ami m’a organisé un WE prolongé dans le Rajahstan .
Et c’est là que j’ai pu séjourner au Lake Palace .
Un hotel/palais de marbre blanc , magnifique , intimiste , auquel on n’accede qu’en bateau.
Car il est au milieu d’un lac de barrage . La datcha du Rajah à l’époque !
Au pied des murailles d’Udaipur .
Ambiance “La mousson” . Et vue imprenable !!!

Chance , autrefois , c’était la boite qui payait mes frais d’hotels .

Mais ce que j’ai préféré , c’est la visite des temples Djain des environs , marbre blanc , pureté absolue !!!
Le Taj est plus grand , mais là c’est vraiment spirituel .
Comment ces gens ont’ils pu construire tout celà ?

Bises

Tanit

Re

Pour moi , la plus belle foire aux chameaux , c’était celle de Goulimine (Maroc) .
Tanit

Pour ce que j’ai pu lire sur beaucoup de forum, c’est vraiment mieux de réserver. nous partons 3 semaines en octobre et novembre et il y a déjà pas mal de chose réservé déjà maintenant

Bonsoir

Celà dépend , camping ou lodge ?
En Novembre , celà devient plus facile .
Oui , les meilleurs endroits se réservent maintenant plus d’un an à l’avance . Dans les hauts lieux .
Mais , bon ,on arrive toujours à se faufiler .

Tanit

Nous faisons beaucoup de xaméoca et quelques lodhe

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