Récit de voyage : Bali, lombok du 10 au 28/11/2013
Voyage par klm : bien
Dimanche 10/11
Atterrissage 20h20.
Arrivée à l’hôtel Kumala autour des 22h (350 000 la nuit !) à Legian Kaja, près de l’aéroport : gkumala@indosat.net.id). On est sorti après avoir pris possession de notre chambre et d’avoir pris une bonne douche.
On a mangé du tofu-champignon et roulé (viande/verdure) avec une bière locale : assez cher 130 000 pour 2. En fait, si nous n’avez pas l’intention de rester sur Kuta le lendemain, il vaut mieux, depuis l’aéroport prendre un taxi qui vous amène à Ubud (où vous trouverez un peu moins cher en logement et surtout vous pourrez dès le lendemain faire des excursions plus intéressantes qu’en étant à Kuta. Par contre c’est un peu plus loin (compter 1h30 de trajet depuis l’aéroport).
Lundi 11/11
Nous nous renseignons pour rejoindre Padangbai afin d’aller sur Lombok. Il faut compter 25 000 en taxi pour aller jusqu’à la route. De kuta où se trouve le bus station compter 150 000 pour se rendre à Padangbai. Nous changeons donc de l’argent et payons 2 x 80 000 avec le bus perama qui viendra nous chercher à 11h30 arrivée 14h30 en passant par Ubud.
A Padangbai nous trouvons une chambre à 100 000 avec ventilo (pas moins et on a fait le tour des hôtels/homestay) : Kembar Inn, Segara 6, tel 62 36 3 41364, kembarinn_padangbai@yahoo.com et négocions le fast boat pour le lendemain pour les Gilli’s départ le 12/11 à 9h30 : 300 000 pour 2. Diner au bord du port bière 20 000 poisson dorade (mahi mahi) 100 000…
On entendait les ferrys arriver et partir. Fort trafic . Le port marchand est très important>. Un seul quai peut accueillir un ou deux ferrys ; Beaucoup attendent dans la baie.
Mardi 12/11
Petit tour dans la rue principale. Les balinais commencent à nettoyer bateaux, abords des rues, font leurs offrandes. On doit venir nous chercher vers 9h pour prendre le fast boat.
Padangbai est tout petit, 1 seule rue qui longe le port et nous amène à l’est à lagon blue beach (du centre, environ 800 m de montée) ou à l’autre plage à l’ouest. Attention aux courants. L’autre plage est plus sale, nous l’avons fait au retour de Lombok et après une grosse pluie nous n’avons pas pu nous baigner tellement qu’il y avait des ordures qui flottaient. Le bateau en fait ne va pas directement à Gilli air mais passe à Lombok ; On arrive à 12h sur gilli Air ; île aux carrioles et vélos, le long de la plage, les gîtes, bungalows très chers entre 250 et 500 000. Mais un peu en retrait bungalow précaire à 150 000 que nous négocions à 100 000/nuit en restant 2 nuits sans pdj. Nous déposons nos affaires et allons à la plage. Là une vraie piscine idyllique ‘avec un aquarium de poissons tropicaux à la pelle. On nage parmi eux, de beaux coraux. On est face à Lombok
Pour info, le saty hotel qui était à 80 000 rp en fait est à 200 00. Notre homestay : nina cottage à 100 000rp/nuit.
Mercredi 13/11
Après une nuit ventilée, moustiquaire, nous partons vers 7 h pour pdj au port : 29 000 : 2 thés, 1 poulet, légumes, riz, 1 douceur sésame, un beignet tofu/légumes), nous prenons nos tickets pour meno 25 000 l’aller. Le départ à 8h30, le retour de Meno à 16h. On est sur l ‘île vers 9h10.
On commence par se rendre au parc des oiseaux de Java, Bali Lombok et autres îles d’Indonésie. L’entrée est chère 50 000 /pers mais il semblerait qu’une partie soit reversée à la fondation créée il y environ 10 ans par un néerlandais. En fait, la plupart des oiseaux sont dans des petites cages, le guide ne connaît rien à la faune, bref, pas terrible.
Nous décidons ensuite de nous rendre sur des plages ; on remonte l’île et on s’arrête tout d’abord à un endroit où peu de poissons et forts courants. Nous faisons une autre halte et nous avons en face de nous Trawangan. Plongée belle avec variété de poissons un fonds diversifié et surtout une tortue en train de manger.
Cocktail dans le cadre de happy hour : 2 cocktails pour le prix d’un : carpirinha 45 000 rp et lui une grande bière, nous en avons en tout pour 85 000 ! (dur, dur, c’est presque le prix d’un hébergement pour 1 nuit). Ensuite, nous allons dîner au même endroit qu’hier soir et prenons crevettes/calamars au curry 30 000 c/u et 1 bière locale 20 000 Face à la mer, super cool. Le warung se trouve à gauche du port quand on est dos à la mer, à environ 200m.
Le salaire moyen mensuel d’un indonésien, ici et à Lombok (un peu plus cher) 80 euros/mois nourri logé. Au tout d’un an 15 jours de congés. Les indonésiens de l’île sont peu fiables, d’après le Français et peuvent « déserter » le travail sans crier gare.
Le prix de la terre sur Gilli : 150 euros/m2
Internet 400 idr, une eau minérale 5 000.
Jeudi 14/11
Pdj : 12 000. On prend le public boat à 7h30 (10 000 c/u) on est chargé à bloc : bidons d’essence et d’eau vides, des touristes et des locaux. On discute avec 2 jeunes qui
travaillent dans un café et un restaurant sur Gilli air et qui retournent de temps à autre à Lombok . Sur gilli, il y a 1 école, secondary school et 3 cliniques (générales).
On arrive à Bangsal, parcourt environ 800 m pour arriver au centre pour trouver une location de scooters (ceux du port voulaient nous louer un scoot pour 70 000 rp/jour /scoot). Dans le centre ville, pas de scoot en location, tout le monde nous renvoie sur Senggigi. Pour s’y rendre, il n’y aurait pas de bémo, Un indonésien nous trouve une estafette pour 70 000 pour nous 2 et nous arrête à une loc qui pour 40 000 /j /scoot x 7 nous loue. Début difficile pour moi. Nous nous arrêtons pour prendre de l’essence au bord de la route (5 l x 8000 = 48 000 rp) et pour acheter du riz et pastèque 15 000 que nous mangeons au bord de la mer. Puis nous repartons. Autre petite halte rapide puis carburant à Senaru 3 x 800à (ils voulaient nous le faire payer à 10 000 rp) = 24 000 et nous trouvons un bungalow pour 70 000 rp/j x 2 jours [1] ; nous allons ensuite à la cascade, la 2ème
est introuvable et les indonésiens ne veulent pas vous guider car ils veulent être payés pour nous y amener. Nous négocierons pour 550 000 rp l’AR cratère pour 2 personnes pour le lendemain. Nous voulons réfléchir car ça sent l’embrouille, connaissant les tarifs qui se pratiquent et sachant que 150 000 rp/pers est obligatoire et correspondent au prix d’entrée au PN.
Le proprio du homestay nous propose 650 000 avec repas guide inclus + entrée pour 2. Nous allons donc prendre Rus pour 550 000. Je lui donne 50 000 à sa demande pour
acheter son repas et nous nous donnons rv à 5h le lendemain matin devant le bungalow. Pour 4h30 nous aurons le pdj. Je pars acheter 3 bouteilles d’eau, des cacahuètes, bananes et riz 28 000 rp . Ce soir nous dînerons pour 19h, le bungalow où nous sommes descendus se trouve presque au bout de la route qui mène au PN et s’appelle Pandor gunung B aru.
Vendredi 15/11
Réveil à 4h pour pdj à 4h30 mais la tante chargée de le faire ne se réveille pas. A 4h50 et après avoir frappé à la porte d’un des proprio, le neveu réveille sa tante et nous prenons rapidement un café Lombok (café turc) et thé +°pancake nature et à la banane. Nous démarrons la marche à 5h30.
Nous commençons à nous rapprocher de l ‘entrée du parc. La montée pour se rendre au premier « pos = abri/arrêt est assez raide mais facile. Fabrice souffre un peu et décide
d’abandonner et redescendre à son rythme. Je demande à Ruso (le guide) de renégocier le prix puisqu’il s’agit d’une seule personne. Il me dit avec raison que nous avions convenu pour 5500 000 pour 2 et que de plus il avait déjà payé les entrées à 150 000. Je lui demande donc de nous montrer les entrées. Il les a oubliées ! Commence alors
une discussion assez animée et nous convenons que je lui donnerai la totalité du dû quand il me montrera les entrées qu’il ira chercher à notre retour ; je pressens qu’il n’a pas acheté les tickets la veille. Nous montons que tous les 2 et ruso continue à discuter. Au bout d’un moment, je lui demande d’arrêter afin de pouvoir profiter de ma rando. J’essaye de lui poser qq questions d’ordre social et botanique mais je ne reçois que très peu d’information en retour. Nous montons assez vite, le temps est couvert et il pleut un peu.
Nous arrivons au sommet pour voir le cratère et le lac à 10h45, soit 4h15 de montée pour faire 8 à 9 km avec 2 200 de dénivellé. Là-haut il fait froid et il pleut bien. Dommage car la vue doit être encore plus belle. Sur le chemin nous croisons plusieurs locaux et touristes qui étaient montés la veille en dormant près du cratère. Au bord du lac, beaucoup de tentes, de locaux balinais et d’après Rus, ils font des offrandes au lac (ce sont avant tous les indous). Nous redescendons avec la pluie et arrivons au bungalow vers 14h. Descente un peu difficile car glissante ; d’ailleurs, les derniers 2 km avant d’arriver au cratère sont raides et très glissants aussi ; En arrivant vers la fin du parcours l’on reparle de l’argent. Il faut savoir qu’entre temps il a passé son temps à parler au portable avec sa copine. C’est comme ça que j’ai su qu’un portable simple coûtait 25 000 idr et pour 1200 idr on pouvait avoir des communications illimitées entre 6h et 24h dans une zone restreinte.
Il me réclame l’argent un peu avant d’arriver à l’entrée du PN, je lui rappelle notre « deal » : il me montre/donne les entrées du PN et je lui paie la totalité ; sinon je déduis l’entrée de Fabrice. Il commence à me menacer avec des paroles et un ton agressif, puis en levant la main sur moi, tout en se maîtrisant. Je le calme en parlant doucement et en répétant notre deal. Nous croisons des indonésiens qui se retournent, puis un garde forestier avec un fusil. Il lui parle rapidement et saisit le fusil en me menaçant.
J’interpelle le garde forestier en lui disant qu’il était normal de voir les entrées du PN. Je vois qu’ils sont tous de mêche, dans la magouille car un garde forestier en France exigerait de voir les entrées ; ce n’est pas le cas sur Lombok. En fait, j’imagine qu’après m’avoir quittée, Rous devra lui donner une petite somme pour que le garde ne l’ennuie pas. Bref, ambiance très lourde, rus menace d’appeler la police ; je l’invite à le faire. Il appelle apparemment son frère/cousin qui aurait avec lui les entrées et me dit qu’il faut attendre 15h pour les récupérer. Bref, une entourloupe de première, j’en ai marre et j’arrive quand même à me libérer pour retourner à pied au bungalow en lui disant qu’il passe au gîte avec les entrées un peu plus tard. Je le retrouve devant le gîte quelques mn plus tard. J’appelle Fabrice qui était en train de lire et qui souhaite en finir avec cette histoire et donc de lui payer ce qu’on lui doit. Je n’aime pas ce procédé, prendre les gens pour des cons. Devant le neveu de la femme qui louait le bungalow je lui remets les 500 000 (avec les 50 000 de la veille) et lui demande de me ramener les entrées du PN. Il va de soi que nous ne les verrons jamais, mais au moins et devant témoin, j’ai un peu montré que l’on n’était pas tous dupes.
Samedi 16/11
Départ vers 8h pour Tetebatu.
Belles vues sur la côte, traversée et rizières, on va jusqu’à Lombok (ouest de l’île). On s’arrête à un petit port 6000 pour 2 cafés (la pluie est là) et un poisson grillé 70 000 pour 2 avec légumes et riz. Grosse averse. Il nous reste encore des km pour aller à Senaru. Après avoir fait le plein sur la route, 5 l x 7000 = 42 000 idr, nous changeons 100 euros à 145 000 rp et traversons beaucoup de villes actives, marchés, jeunes sortant de l’école (jeunes filles voilées) quête face aux mosquées. Nous arrivons à Tetebatu. Le Lombok tetebatu annoncé sur les guides et forum à 80 000IDR est en fait à 150 000.
Nous nous rendons à Hakiki, il est plein, l’autre est à 150 000. Nous nous rendons à un homestay juste derrière la mosquée colorée et Fabrice négocie à 90 000 (au lieu de
100 000) La famille est très agréable, la jeune fille, Pandini, 13 ans, aussi. Elle parle bien l’anglais. L’électricité est coupée en journée, elle revient vers 16h. On est juste derrière la jolie mosquée de Tetebatu. Vers 18h, la fille nous invite à aller à une cérémonie, mais nous arrivons à la fin. Les femmes sont maquillées, les hommes en tenue traditionnelle. Elle nous amène avec son frère Ryan un peu plus haut pour une vue panoramique. Nous laissons les scooters et marchons un peu le long d’un canal. Nous faisons un tour avant
de nous détendre autour de la ville avec une pluie intermittente. Plantation de tabac, de concombres.
Pandini qui est au collège me dit qu’ils ont 3 uniformes dans la semaine (elles sont aussi voilées, légèrement).
Elles font du sport avec une tenue de sport et aussi de la musique (tambour) à l’école.
Dimanche 17/11
On prend le pdj à 7h30 ; Avant grand fou rire de Fabrice au moment de l’appel à la mosquée ; à 4h du matin. Les chiens, puis les coqs reprennent de plus belle. Quelle nuit ! Je pars faire un petit tour à côté du cottage de bonne heure mais aucun animal ; par contre belles couleurs matinales.
On prend le petit déjeuner : omelette pour moi, et banana pancake pour Fabrice. Puis on part vers 8h15 pour la rando en compagnie de Pandini. On passe d’abord par des rizières, très belles couleurs.
On nous montre du riz de Lombok (riz utilisé pour les gâteaux, plus haut, plus jaune, l’autre est destiné à la base alimentaire). On voyait des gens récolter et d’autres planter. Des sacs d’azote le long du chemin montrent l’apport qu’ils mettent. Mais la veille, avant d’arriver à Tetebatu, j’avais remarqué des hommes pulvériser les rizières. Des champs de tabacs, manioc. Après environ 3h de marche, on arrive à l ‘entrée du parc naturel où il faut s’acquitter de 20 000 rp/pers (pas compris dans le prix de la rando). Le PN est gardé par des rangers. Aujourd’hui, bcp de gens de Lombok viennent y faire un pique-nique car c’est dimanche. Chacun doit payer 20 000 rp mais il existe des prix pour famille et groupe. Le chemin est bien aménagé ; i l faut environ 40 mn pour se rendre à la cascade. Très belle mais l’eau est froide. Les deux chiliens qui étaient avec nous au gîte se sont baignés. Beaucoup de monde descendait dans la cascade. Nous remontons jusqu’à l’entrée du parc pour rejoindre le gîte par la route. En chemin, nous essuyons une
sacrée pluie torrentielle. Nous sommes trempées jusqu’aux os. Nous nous protégeons avec des feuilles de bananiers, protégeons les appareils photos mais pas le portable de Fabrice. Arrivons vers 12h au gîte, nous changeons, prenons un café, un thé et partons en scoot pour Ekas. Mais la pluie reprend de nouveau et nous devons nous abriter de temps à autre. Nous avions bcp de route à faire et ne voulions pas rouler de nuit. Nous décidons de continuer en dépit de la pluie.
Arrivée à Kitur, nous demandons notre chemin pour Ekas et on nous l’indique. Nous demandons régulièrement aux intersections et suivons les indications qu’on nous donne. Au bout de 3 bonnes heures de route, nous trouvons bizarre de rester dans les montagnes, nous redemandons notre route et nous nous rendons compte que nous sommes à l’ouest
de l’île, plus proche de Mataram : Il est déjà 16h ou 16h30. Nous devons arriver à un endroit avant la tombée de la nuit. On fait donc à l’envers. On ira d’abord à Kuta puis à Ekas ensuite. C’est plus court. Nous voilà partis pour 2 petites heures de route (ce sera en fait 1h). Partis à 12h du gîte, nous arrivons à 17h15 à Kuta lombok et nous trouvons un hébergement presque à la sortie de Kuta (est).
Avant d’arriver à Kuta nous traversons plusieurs villages animés avec des fêtes et habits traditionnels, nous nous arrêtons un moment sur le bord de la route pour prendre des photos d’un mariage l’adresse recommandée à 80 000 rp était en fait à 150, négociable à 130. Attention aux prix donnés dans le guide du routard 2013 qui ne correspondent pas à la réalité, même en basse saison
Nous trouvons le Bukit cottage à 80 000 rp (100 au départ). Petit bungalow rustique, face à la plage et au rocher. Personnes agréables, bière à 20 000.
Nous nous posons, payons l’hébergement puis allons faire un tour avec un seul scoot pour voir les restos. Nous nous arrêtons à un resto local et mangeons fruits de mer,
vegetables, riz, poulet et vegetable carry (moins bon qu’à Senaru et Geli air) : 120 000 rp pour 2, 1 gde bière et 2 thés au gingembre. Nous retournons au bungalow car en principe il y a la fête car c’est la pleine lune. Mais il semblerait qu’il n’y ait personne.
La fête de la pleine lune sensée réunir aussi des locaux fut en fait un rassemblement de jeunes touristes et nous retrouvons d’ailleurs nos 2 chiliens… L’orage gronde depuis un certain moment. La « teuf » bat son plein.
Lundi 18/11
L’anse de Kuta est belle, entourée de rochers et de collines. Bizarre, au petit matin, nous n’avons pas été réveillés par la mosquée. Elle doit être loin.
Nous partons vers 9h :9h30 pour une petite marche côté est de l’île : Panti segard (on passe d’abord par les rochers) ; on se baigne, l’eau est bonne mais aucun poisson. Nous continuons et sommes arrêtés par un pont cassé où il y a de belles statues. Nous devons rejoindre la route pour aller vers Tanjung Aarn. Nous revenons vers 13h sous la
pluie et prenons ensuite une moto pour aller voir les plages côté ouest. Mawan, (parking moto 5000). Bcp de monde. Nous allons donc à la prochaine : Mawi. Là, on nous demande 10 000 bien avant d’arriver à la plage. Nous décidons d’aller à la suivante, Selong Blanak (5000 l’entrée). Nous prenons la pluie, nous abritons sous un café où nous reprenons un café, thé pour 10000. Très belles plages dans une baie . Nous attendons un peu que la pluie cesse et revenons vers Kuta (la route n’est pas terrible) ; nous faisons le plein de la moto 24 000 rp 3 litres. Revenons à Kuta , prenons 2 mangues pour 10 000 (c’est presque la saison) et devons revenir à la boutique Aladin récupérer le portable que Fabrice avait laissé et qui avait pris la pluie à Tetebatu. Pas moyen de le réparer. Revenons au gîte (café et Bintang. Nous avons dîné dans un warung près de l’hébergement 37 000 rp pour 2 (2 sate pusut : très bon) (brochettes).
Mardi 19/11
Lever 6h45 pour un pdj à 7h qui s’annonce en fait être à 7h45 : café, pancake : 2 en ¾ d’heure !
Nous partons donc à une moto pour Awang. Très joli village de pêcheurs. Un gros st pierre, des sardines, une grosse raie. Les pêcheurs venaient d’arriver, les femmes achètent et mettaient leurs poissons dans un panier posé sur leur tête. Nous repartons vers le nord pour se rendre à l’est de la péninsule. Cependant, nous décidons d’aller visiter le village sasak près de là et nous nous y arrêtons. La personne nous demande 50 ou 60 000 rp/pers ! À la fin, il acceptait 30 000 pour nous 2. Comme nous avions dormi chez l’habitant depuis notre arrivée à Lombok dans une culture sasak, seul le grenier à riz de ce village pouvait être un plus. Nous préférons donc ne pas nous y arrêter et filons sur Kuta . On a traversé des champs de tabac, de bananiers, 2 ou 3 marchés,. Nous nous renseignons sur les horaires du bateau de Lembar à Padangbai. Il part toute les heures et le dernier
est à 22h : il faut y être 2h avant ; Il coûterait 50 000 /pers.
Nous posons nos affaires au buckit cottage et allons à pied à la plage, côte ouest. Eau bonne mais pas de snorkeling dans cette zone. Il faudra attendre Amed. A kuta le Segaer reef homestay est en fait à 150 000 négociable à 130 000.
Mercredi 20/11
On prend notre pdj à 7h ; on avait prévenu la veille qu’il fallait être à l’heure. Pas de douche car depuis hier soir et suite à une « cagade » de la petite de l’employée, l’eau avait été coupée. On a été réveillé par la mosquée 2 fois. En fait, l’hôtel est bruyant, près de la route et le personnel très /trop cool, pas trop d’attention alors qu’on est les seuls touristes… A peine le plein d’essence fait, la pluie commence à tomber, avec du vent. A un moment, nous faisons une pause pour nous mettre à l’abri. On a du mal à se faire comprendre pour commander un thé (il faudra regarder le mot indonésien). Nous prenons 2 cafés, ils les servent sucrés pour 4000. Nous arrivons au temple (le seul, je crois sur l’île)près de Sengiggi : 10 000 pour l’entrée et les 2 ceintures à mettre autour de la taille. Nous rendons les motos, le proprio fait remarquer une rayure sur le scoot de Fabrice
mais nous rappelons que nous avons fait le plein alors qu’au début de la location le réservoir était vide. Il nous rend mon passeport et partons chercher des bémos. Il faut changer 2 fois : Sengggigi : Malakuka : 10 000 pour 2 ;Malakuka – lembar : 30 000. Au départ de Senggigi on nous proposait 120 000 /pers pour se rendre à Lembar alors
qu’en fait à nous 2 nous avons dépensé 50 000. En bémo, on change 2 fois et on a mis 1h10.
Nous payons ensuite l’entrée du bateau 40 000 x 2. Il part à 13h et met 5h. Fabrice achète à 5000 du riz servi dans une feuille de bananier.
Impressions générales sur Lombok
J’ai aimé Gilli Air et Meno (moins touristique) pour sa tranquillité (pas de voiture) et ses fonds marins ; senaru et tetebatu (chute d’eau et rando à travers rizières à faire). Fabrice a aimé la plage de Mawu, anse près de Kuta.
On a traversé l’île d’ouest en est et vers le centre, on a trouvé un peuple qui travaille (hommes et femmes) qui construit des maisons en dur (pour eux, pas seulement pour les touristes), des cultivateurs (riz, tabac, maraîchage). Tout le monde travaille. Nous étions sur l’île à l’époque des noix de coco, de la pastèque.
Sur le bateau un café coûte 7000. Nous nous en offrons 2. Il commence à pleuvoir (tiens donc, comme c’est bizarre) pendant la traversée, 1 h après avoir quitté le port. Nous décidons de nous rabattre dans la salle principale (on se met sur le côté, un peu moins climatisé) y’a la tv et le président qui parle. Départ 13h, arrivée 17h30 (même endroit pour le débarquement des voitures et des passagers) à Padangbai. A notre arrivée à Padangbai, nous prenons possession de notre hébergement habituel car il est difficile de trouver un logement à moins de 100 000 et allons manger un gado gado : classic indonesian salad of tofu, tempe, egg, greeen beans, salad, peanut sauc e and krupuk. Fabrice, un nasi goreng special : spicy fried rice served with balinese sambla, chicken sate, peanut sauce and krupuk. On sort ensuite trouver un bemo ou Perama bus. Le prix affiché 50 000. Nous arrivons à 30 000/pers, le départ étant le lendemain à 9h. avec 1h30 de route. On se retrouvera donc à 8h30. On fait un tour vers l’endroit où l’on n’était pas allé. C‘est une rue où il y a plein de temples. Nous y retournerons demain matin avant de prendre le bus et en plein jour car la nuit commence à tomber. Nous posons nos affaires à l’hôtel, p renons une bonne douche, la puce du portable de Fabrice et allons manger le nasi goreng et un vegetable curry. Fabrice arrive à emprunter un portable et y mettre la puce pour appeler sa fille pour son anniversaire. Dans la rue, plein de décoration, c’était pour la fête qui réunit les familles et qui a eu lieu 6 mois avant.
Dîner 121 900 ! dont 15 % de service et taxe.
Jeudi 21/11
50 000 x 2 pour se rendre à Ubud. Par le parama qui part à 9h et arrive à 10h15 car la personne qui nous avait proposé à 30 000 n’était pas au rv.Après la traversée de rizières et bananiers, toujours un peuple qui travaille, que ce soit pour les maisons ou aux champs. On traverse Ubud pour chercheur un logement. Tout le monde nous dit que l’on ne trouvera pas à moins de 150 000. L’adresse frog bond inn mentionné à 80 -120 000 n’est pas trouvée. Nous avons négocié à 130 000 par nuit pour 3 nuits dans un joli emplacement. Belle chambre, eau chaude, thé ou café d’accueil : daftar isian tamu asing. Après une bonne douche, nous partons pour le monkey forest : 20 000 rp chacun. Plein de macaques gris dans une végétation luxuriante, un temple de crémation. Ensuite, nous décidons d’aller à pied à 2,5Km d’ubud à Goa gajah (grotte de l’éléphant] (2].
Là, 150000 rp/pers au lieu de 8000 annoncé dans certains guides. La façade de la grotte est une sculpture de diverses créatures et de démons menaçants. La gueule d’un monstre sert d’entrée à la grotte. Le couloir de 13 m de longueur mène à un carrefour en T. D’un côté on observe une statue (1 m de haut) de Ganesh, de l’autre côté, trois statuettes représentent des lingams de Shiva.
Nous ne prenons pas de guide, faisons un tour dans la grotte et autour et retournons par la route à Ubud (pas d’accotement, bcp de trafic, pas top à faire à pied). Nous regardons/prospectons pour des scooters et arrivons à négocier pour 35 000 un scoot pour partir de demain autour de 8h30. Ce sont des scoots neufs. Nous faisons ensuite qq achats dans un centre commercial pour touristes mais il faut dire que pour des petits cadeaux, c’est parfait. Ubud est d’ailleurs une étape intéressante pour cela (bcp de boutiques).
40 000 thé gingembre ; épices : 15 000 ; café 500 g : 26 500 Achetons qq tomates pour 3000.
Renseignements spectacles de danse pour le lendemain 75 000/pers sans repas ; 150 000/pers avec repas. Nous passons devant le musée : 50 000 rp/pers.
Vendredi 22/11
Après une nuit calme, pas de coq trop tôt le matin, pas de bruit de scoot, un tokay et un autre bruit bizarre seulement, réveil à 7h. pdj café, thé omelette, qq fruits : très bien
Nous allons chercher le scoot, mettons 23 000 rp d’essence et nous rendons assez rapidement à Mengwi (jolie ville avec un temple au bord de la rivière. On nous demande 15000/pers) pour le visiter. Nous restons à ses abords puis nous rendons vers Bratan. Rencontrons en chemin une fête avec des femmes bien habillées, hommes et enfants en blanc dominant. Beaucoup restaient assis avec leurs offrandes. A l’intérieur du temple de la musique (xylophone avant tout) et des femmes qui rentrent avec leurs offrandes à la queue leu leu. Je demande à une jeune fille qui me dit que c’est une fête 1/an apparemment pour célébrer la liberté, Ses explications étaient assez imprécises. Cependant, la circulation est faite par les gens du village et les policiers afin de ne pas trop bloquer la route. Très bien organisé.
En chemin depuis Ubud, traversée de champs de rizières, papayes et plus on monte, depuis Mangwi, plus nous rencontrons des zones de maraîchage, de la fraîcheur. Tout se couvre, c’est bien gris. Il commence à pleuvoir. On s’arrête dans un warung et la pluie s’arrête. Après avoir payé 32 000, nous repartons ¼ d’h après : pluie battante et nous trouvons un abri (photo) .On est à environ 40 KM de Tanah lot. Le temple en réfection auprès du lac bayan est très beau avec sa pagode.
Nous nous rendons vers Tanah lot par le même chemin. Le temps est gris noir mais se découvre peu à peu. Après1h30 environ, nous arrivons à Tanah lot (c’est magnifique) 30 000 /cu. L’entrée + 2 euros pour le scoot. ça vaut le coup. On décide de ne pas rester pour le coucher du soleil : d’abord car il ne s’annonce pas très bien et aussi parce qu’il vaut mieux ne pas conduire de nuit à cause de nids de poule sur la route.
Avant de partir, nous faisons des emplettes : 1 T Shirt 12 000, 1 chemise courte 25 000.
Reprenons la route et arrivons à Ubud vers 17h. Belle journée le lac bayan moins touristique le Bratna avec en plus ce super temps. Tanah lot vaut le détour.
Je goûte à une douceur indonésienne, 10 petites boulettes roulées dans de la noix de coco/ c’est vert, ça a un goût agréable : 10 000 rp. Ce soir Fabrice décide de s’offrir ½ canard (bebek) à la sauce épicée, spécialité d’ubud : 50 000 rp. Pour ma part plat végétarien me suffit : prix total 92 000.
Une chambre derrière la gare routière est à 120 000 mais nous ne sommes pas allés la voir.
Samedi 23/11
Lever 6h30. Je regarde le plan de route pour le mont batur et le temple. Avant nous irons à l’agence de voyage pas loin du bungalow pour voir s’il faut confirmer les billets ; ON s’arrête en chemin photographier de belles rizières en amphithéatre à Tegalalang, pas trop loin d’ubud. On arrive à Batur facilement, vue du lac ,bcp de militaires. Entrée 11 000 (comme pas trop de monnaie, il nous fait 17 000 pour nous 2 et nous entrons ). Nous apprendrons qu’il y a la visite officielle du président (à Batur) et le lendemain à Amed.
Nous trouvons un petit chemin de terre qui nous amène à des habitations, proches du mont Batur. Nous demandons à un agriculteur si l’on peut laisser le scoot chez lui. En retour, nous lui achetons des tomates. Nous sommes allés en contre bas du sommet du mont Batur. Nous ne montons pas jusqu’en haut de peur d’être appréhendés par des guides un peu zélés. Sur la montée, nous l’avons d’ailleurs été mais nous économisons ce guidage qui est souvent très peu intéressant car les personnes qui soi-disant sont habilités ne savent pas bien l’anglais et ne connaissent pas tous la faune et flore locales.
Beaux épicéas, autour des 1000 m. Chant de « cigales ».
Nous allons à Besakih (entrée 15000 x 2) et là, assaillis par les jeunes pour nous louer des sarongs 10 000/pers ! Nous avons le prix pour 10 000 pour 2, les louons.
En haut de l’édifice principale, super temple, l’indonésien ne nous laisse pas entrer sauf si l’on paye un guide. Il prétexte qu’il y a une cérémonie ! Et que nous n’y sommes pas autorisés, sauf avec lui ! Bizarre.
LE temps est gris et nous avons visité ce merveilleux site dans le brouillard ; Dommage.
Nous prenons la pluie au niveau de Gianyar qui est une très grande ville. Nous passons à l’agence de loc de scoot et payons la loc jusqu’au mercredi suivant : 105 000 rp et
faisons le plein d’essence 18 000.
Paysages traversés : cafés, vers le lac batur, tomates, poivrons.
Dîner encore au même warung (fou de scooters et motos anciennes) : 62 000 rp dont jus d’avocat au lait de coco : excellent : 7 000 rp Le MIE goreng : nouilles épicées, légumes, œuf sur le plat dessus : 5 000 avec ou sans poulet.
Dimanche 24/11
Lever plus tard, bon pdj : omelette, café, thé fruit, beau cadre. On a laissé notre gros sac à dos chez le loc de scoot pour rayonner plus facilement avec un scoot , un gros sac à dos et nos deux petits sacs.
On se trompe au départ d’ubud pour la direction de Gianyar. Nous trouvons enfin notre route, faisons à mi chemin (avant Sidemen) une halte pour faire de l’essence, 2l, 14 000 puis avant Sidemen très joli village avec des vallées, rizières, pont que l’on traverse où les hommes font leur toilette, très vallonné, on aperçoit le mont Agung dont la cime est dans les nuages. Un peu plus loin, 11h20, Fabrice décide de s’arrêter à un warung à Tirtaganga, face à des chutes d’eau.
Sidemen est un endroit au milieu de la forêt, très joli. Il faudrait mieux rester 1 jour à Ubud pour aller au lac Bratan et faire ses emplettes puis prendre un homestay autour de Sidemen (plus calme, pas de pollution, plus authentique) pour se rendre au lac Batur, Besakih, etc.
Nous arrivons à Amed vers 12h30. Nous trouvons à l’entrée à gauche un hébergement (direction Segara warung), face à la mer, petit bungalow avec ventilo et salle de bain à l’extérieur mais attenant à la chambre. Il semblerait que ces hébergements à Amed soient tous ainsi car lorsque nous changeons le lendemain de logement n’ayant pas pu
trouver une solution pour mettre notre moustiquaire, nous trouvons le même type de chambre : salle de bain sans toit attenante à la chambre.
Nous payons 90 000 pour une nuit. On pose nos affaires et l’on va rejoindre par la plage Jemeluk (1,5 km d’Amed). Jolies barques colorées. On se renseigne pour les plongées. Comme Fabrice n’a pas de niveau officiel, le jeune qui parle assez bien le français lui propose 60 euros 1 baptême près du port et le lendemain une plongée à 6M.
Apparemment il ne faut que 18 à 24 h de repos entre une plongée bouteille et un voyage en avion.
Nous repartons par la route et nous renseignons pour des warungs pour le dîner. Poisson grillé : 25 000 . On se renseigne sur l’hébergement bambou bungalow entre 200
et 250 000 rp : trop cher pour nous mais très jolis bungalows.
Entre l’hébergement et Jemeluk : beaux endroits pour le snorkeling superbes poissons, une étoile de mer bleue magnifique. On se renseigne sur une promenade pêche avec un
pêcheur pour le mardi matin (départ 5h, retour vers 8h30). On négocie 100 000 pour nous 2. Le pêcheur tient un warung juste face à la plage et presque attenant à la chambre que nous avons louée. Ici, l’on cultive beaucoup le sel gris et l’on voit sur la plage des troncs d’arbre creusés dans lesquels ils mettent à sécher le sel une fois récolté Des jeunes filles vendent sur la plage aux touristes des petits paquets de sel. Pour la chambre on craint un peu car aucun moyen de mettre une moustiquaire. Espérons que la nuit sera calme. On regarde les pêcheurs rentrer assis face à la mer au Waring Segara
Lundi 25/11
Lla nuit a en effet été agitée, moustiques, bruit bizarre sous a toiture, vent, coqs.
L’endroit n’est donc pas à recommander car le proprio aurait pu aller chercher une échelle pour installer notre moustiquaire. Il n’y a pas eu d’effort à ce niveau.
Nous nous rendons à 5h au warung segala où nous attend notre pêcheur avec 2 cafés et des petits gâteaux balinais. Il faut aussi dire que la veille au soir avant de commander le repas, il avait gentiment offert un maquereau grillé à Fabrice.
Nous descendons son bateau à 3 (embarcation traditionnelle qui s’appelle jukung) (c’est assez lourd) et montons donc pour notre partie de pêche.
Le soleil se lève ¾ d’h plus tard. Après avoir fait environ 1,5 mile il commence à jeter sa ligne avec plusieurs petits hameçons. Pêcher à la traîne.
On ne prend que des maquereaux. Il essaye à plusieurs reprises un leurre avec un gros morceau de poisson pour le mahi mahi mais sans succès. La mer est clame et en général c’est le temps dominant. Quand le vent vient de la terre, ce n’est pas forcément bon pour le poisson. Très belle vue du mont Agung et au loin du mont Batur, de la côte, bref, superbe sortie. Nous revenons pour 8h, payons 100 000 comme prévu.
On prend possession de l’autre bungalow négocié la veille au soir, avec moustiquaire et payons 180 000 pour 2 nuits. Trouvons un arrangement pour baptême de plongée pour Fabrice et plongé 50 euros et snorkeling pour moi : 10 euros.
Nous partons faire un tour de scoot vers le sud-est d’amed. Trouvons un temple puis une petite plage avec plein de barques près de Selang. Un pêcheur nous accoste et nous arrivons à avoir quelques renseignements.
Un bateau coûte 9 millions de roupies, un moteur , 15 cv :13 millions. Les pêcheurs font des prêts à la banque pour pouvoir les payer. Le poisson est vendu à la pièce entre 1000 et 3000 selon la grosseur du maquereau. Ce n’est pas la bonne saison pour le thon ou le mahi mahi car trop de pluie.
A notre retour de plage, nous essuyons un gros orage (30 mm d’attente) et trouvons refuge près d’une épicerie. Puis nous nous arrêtons dans un warung à Amed, 47 000 : sate
chicken, très appréciés par Fabrice et pour moi un MAI (pâtes) + 1 coca light (très cher !) en boîte afin de confectionner un leurre que Fabrice a promis de faire à notre pêcheur de ce matin.
La terre ne se vend pas ici mais se loue. 1 500 000 roupies les 100m2, soit 1000euros
Un type de warung + maison :35 000 000 IDR = 3 000 euros et avec 2 chambres , compter 20 000 euros.
Nous testons un arak 5000 alcool local à base de coco : pas terrible. Nous payons au total 28 000.
Mardi 26/11
Il ne pleut plus, tant mieux pour notre sortie plongée.
Nous nous rendons en voiture sur le lieu du liberty –à Tulamben-, après avoir essayé l’équipement de plongé, Fabrice fera 2 plongées dont un baptême 12 m puis 7m. Je reste moi en snorkeling. Très beaux poissons, des nouveaux jamais vus auparavant. Au retour et à côté de son shop, nous attend un sari wareng (repas inclus).
Nous revenons au bungalow allons un peu sur la plage puis prenons la mob pour aller un peu plus vers le nord-est. Nous prenons un chemin qui nous amène à une plage où culture d’écrevisse, gambas. Beaux paysages, cocotiers.
Pour plonger en snorkeling, on peut tout à fait pour éviter de payer 10 euros, surtout si l’on a son propre matériel se rendre sur le lieu o ù il y a bcp de centres de plongée. Il n’y a pas de taxe à payer pour plonger (alors que certains nous annonçaient qu’il fallait en payer), une arnaque similaire à l’entrée du PN du Rinjani sur Lombok.
Mercredi 27/11
Coq comme d’habitude, bruyant à cause de la route. La veille un bruit bizarre ressemblant aux grenouilles.
Nous prenons notre thé et pancake et la route côtière d’Amed en direction d’Ujung. La route est sinueuse et pas très bonne mais beaux paysages. Tout le long de la route vente de maquereaux. Nous arrivons à Ujung et apercevons le floating palace : quelques photos mais nous continuons la route vers Candidasa . Un peu avant Candidasa, singes
gris au bord de la route. Presque mieux que la Forest monkey car même paysage de végétation luxuriante tropicale et gratuit !
Nous traversons Candidasa et ne sommes pas convaincus de nous y arrêter pour trouver un hébergement. Ca fait très touristique. Nous nous engageons dans un chemin qui nous mène vers la mer et un port marchand aussi grand que Padangai : raffinerie, gros cargo au quai et en attente de déchargement. Nous continuons notre route et finalement nous arrêtons à Padangbai. Même hôtel, c’est vraiment le moins cher. Beaucoup de monde, il y a une fête qui semble très importante.
On pose les sacs et allons à pied à sandy beach. Très sale, soit à cause de la pluie de la veille mais comme c’est aussi une petite baie, fort possible qu’avec les courants, toute la poubelle jetée par le indonésiens arrive ici.
Nous sommes arrivés à Padangbai le jour d’une cérémonie car dès notre arrivée nous voyons beaucoup d’animation dans la rue avec des balinais bien habillés, des paniers sur leur tête (offrandes, piquenique), des aller-venues au port, des gens qui débarquent pour se rendre à un temple. Il s’agit d’une fête bi annuelle (tous les 7 mois). Le calendrier comprend 140 jours et en l’hommage de dieux au temple situé en haut de la colline. Les touristes sont acceptés. Nous décidons d’y aller. Nous pouvons entrer avec sarong ou robe longue et épaules couvertes dans l’enceinte du temple. Véritable animation : femmes, enfants, hommes, tous très bien habillés, montent et attendent leur tour pour entrer dans le lieu de prière où nous ne pouvons pas pénétrer. Ce que dit/chante le balinais au micro est du sanscrit et apparemment pas compris par la plupart des balinais. Ils mangent à l’extérieur des brochettes de poisson (Fabrice en a mangé plusieurs] (3] 3 pour 5000, vendent des jouets et friandises. Fête religieuse alliant piquenique et prières. Nous descendons ensuite à un endroit abrupt (temple à flanc de falaise) où les balinais font la queue pour déposer leurs offrandes dans le temple. Ils ont des grains de riz collés sur le front, les offrandes : argent, fleurs, riz.
Jeudi 28/11
beau temps. Espérons que ce sera pareil à Kuta. On part à 7h et on arrive à 8h50 à Ubud (-bcp de circulation) le matin. On rend le scoot après une petite discussion car le responsable avait noté qu’il manquait 1 journée (celle du 27). Je retrouve le papier où il était inscrit paiement jusqu’au 27 inclus, heureusement ! et nous nous dirigeons à 50 m plus haut à la gare routière où nous payons 100 000 pour nous deux pour retour sur Kuta. J’achète pour kuta 1 part de pastèque, melon, eau au supermarché car pas de postes de nourriture dans la rue près de la gare routière. 17 000 rp et nous attendons à la gare routière.
Le bus passe d’abord à l’aéroport puis nous dépose à la gare centrale dans une rue passante de Kuta et nous sommes à 10 mn à pied de la plage. Le bemo qui nous dépose à l’entrée de l’aéroport n’est pas loin de la gare routière. Nous partons à 10h30 d’ubud et arrivons à Kuta (agence de Perama) à 12h. Le chauffeur nous propose de laisser nos sacs à dos à l’agence. Nous allons à la plage « légers » en se faufilant dans les rues pleines de boutiques et de touristes. Beaucoup de surfers sur la belle plage soi-disant polluée. Nous nous trempons un peu les pieds. Ensuite, nous allons en reconnaissance pour trouver la station de bémo (bleu). On a tout type de prix ! 50 000 pour 2, 5000/pers ! , les taxis : 100 000, on arrive à en avoir un à 25 000. L’aéroport est très cher : 1 café 25 000 rp ! Alors qu’à Kuta : 5000. Duty free : excessivement cher. A éviter. On s’acquitte avant des 150 000 rp/ers au service de l’immigration.
Impressions et remarques générales
Les 3 dieux : Brahma : créateur Vishnu conservateur et protecteur Shiva transformateur.
Ganesh : divinité commune présente sous toutes ses formes.
Chaque jour le yadnya : rituel sacré.
Bahasa indonesia enseigné à l’école permet à tout le monde de se comprendre.
Sidemen est un endroit au milieu de la forêt, très joli. Il faudrait
mieux rester 1 jour à Ubud pour aller au lac Bratan et faire ses emplettes puis
prendre un homestay autour de Sidemen (plus calme, pas de pollution, plus
authentique) pour se rendre au lac Batur, Besakih, etc.
Les offrandes aux dieux : base de riz, noix de coco, fruits, fleurs
Peuple travaillera tout le monde travaille ; pas de mendiant (juste 2 ou 3 à Ubud, place touristique)
Très vert, bcp de rizières. Végétation luxuriante, tropicale humide
La mer est en général calme, la côte est peu ventée, d’où la forme des embarcations. Pêche « facile », eaux chaudes, temps correct pour pêcher, conditions générales bonnes. Barques –le junkung- faites en bois avec balanciers et stabilisateurs ‘flotteurs) en bambou bouché. Très étroite, le poisson est mis directement dans la barque. Le pêcheur en général est pieds et mains nus pour reprendre les lignes.
Sur l’eau, ils sont très nombreux. 2 sorties le matin entre 5 et 8h et l’après-midi 14h-17. Ils ne se saluent pas sur l’eau quand ils se croisent mais font attention à ne pas croiser leur ligne.
Peuple propre sur eux, volontaires, courageux, aimant le beau (jardin bien arrangé, sculpture, bien habillés lors de leurs cérémonie)
Lombok : les personnes de Lbk légèrement moins soignées sur eux. Rizières 80 ou 70 % des terres, végétation luxuriante, musulman, ordures
A l’intérieur des terres : culture « vraie » de Lombok : peuple pas trop insistant, agréable, islamisme « cool »
Bali : les femmes très belles, Il semblerait que l’on distingue les différentes classes sociales sur le vestimentaire
Réseau routier : Lbk : très bien, sf les petits chemins menant aux criques : nids de poule mais c’est normal Bali : réseau routier bon
Le scoot : meilleur moyen de locomotion
Klaxon pour dépasser : peuple tranquille en voiture, pas d’agression au volant ou au guidon, pas d’animosité envers le touriste
C’est un peuple qui pourrait presque s’auto suffire à part l’essence et maintenant le riz Ils ont tout : protéine : pêche, poulet, porc sur bali, œufs, poisson), fruits, légumes, riz
Les chiens en plein milieu de la route qui ne se bougent pas quand les voitures ou scoot arrivent
Les gens BK et Bali se baignent dans les canaux d’irrigation
L’essence vendue au bord de la route dans des bouteilles d’1 ou 2l : pas de pb, un peu plus chère que dans les stations essence mais servies avec des filtres
Nourriture : base riz : bonne mais sans plus, équilibrée, légumes riz, protéines, sauce curry à base de lait de coco, friandise sucrée : ok à base de lait de coco et riz
Mentalité
Gens neutres ouverts, intelligente pratique (dans leur travail, construction bien faite ;
Promouvoir le tourisme
Pas d’oiseaux en liberté originaux
Toiture et construction bambou, bois, travail sculpté sur Bali (côté artistique), côté artiste plus représentatif
Lombok : dôme et minaret, mosquée très beau ; par contre le reste de la construction est très simple
Attention : il est d’usage de laisser ses chaussures à l’extérieur des magasins, restos
[1] Pandor Gunung Baru, tel 6281907411211, demander Ady, le jeune proprio, sa mère et son neveu sont souvent là. Pour la petite histoire Gunung = mont/montagne
[2] Construit au IXe
siècle, il a peut-être d’abord été consacré au culte bouddhiste, avant d’être transformé en sanctuaire hindouiste
[3] Les sates sont de petites brochettes de viande grillées sur un feu de bois. On les arrose généralement d’une sauce à base de cacahuètes. Ca peut aussi être de la pâte à base de poissons