Vivre à Digne-les-Bains

Forum Provence

je suis bien d’accord ensuite pour ce qui est des opinions négatifs ça c’est une chose.
Ce qui me tape sur le système c’est le Français qui gémit sans arrêts mais bon d’une part en général le Français qui gémit c’est qu’il est devenu un vieux schnok il a dépassé la cinquantaine et on va pas refaire le monde.

C’est une chose ensuite en prenant le message de Habanita cette personne est comme une majorité d’autres il faut avoir un idéal de vie sur mesure préfabriqué comme si on “l’idéalisme” ou l’utopie s’achetait au supermarché du coin…
d’ailleurs on ne sait pas pourquoi il faudrait avoir un idéal de vie c’est certainement une injonction du développement personnel , de l’indifvidualisme mais ça c’est un autre sujet si j’ai plus de temps je développerai…

Bref des personnes veulent avoir un idéal de vie sans idée précise de leur idéalisme c’est pour ça que ça ne fonctionne pas;ils ont une vision totalement brouillonne de ce qu’ils veulent faire…
Et on peut très bien se planter à Digne comme en région parisienne comme à Bordeaux comme Dunkerque comme on peut se planter n’importe où dans le monde donc tout cela frise l’absence de bon sens…

s’il vous plait n’écrivez pas des inepties; d’une part quand on tient un discours on argumente à minima donc il faudrait nous écrire pourquoi la France s’enfonce dans le chaos…

bahhh comme je l’ai écris auparavant autant aller s’installer en région parisienne ou Seine-et-Marne
On se doute bien que le Queyras et le département des Hautes-Alpes c’est enclavé et cela a ses défauts comme ses qualités…
c’est comme si en n’aimant pas la chaleur j’allais m’installer dans un pays d’Afrique tropicale…ou en n’aimant pas le froid je vais m’installer en Alaska

Bien que je n’ai pas à justifier mes propos , (qualifiés d’ineptie , donc faux , selon votre avis)? C’est votre droit absolu de les contester ! je donnais simplement mon sentiment fondé sur une carrière professionnelle qui me permet en toute légitimité d’émettre un avis , je rapproche donc la situation de Digne les Bains et autres petites villes impactées par l’hyper social , à la situation nationale dégradée que nul ne peut ignorer !
Si ce forum ne vous a rien apporté d’interressant , il a le mérite d’apporter les d’informations recherchée sur certaines réalités locales vécues , sans aucune obligation d’adhésion , et en toute liberté !

Exact, chacun de nous fait ses choix de vie , et trouve son bonheur ! même à Digne les Bains!
Il s’agît seulement d’informer honnêtement des personnes désirant s’installer à Digne , et leur éviter de commettre des erreurs de choix de vie , lesquelles au final coûtent cher , principalement pour les jeunes ménages avec enfants … et pas seulement les retraités qui
sont généralement satisfaits du coin pour l’hyper tranquilllllliiiiiitttttttéééééé ! 3 morts quand même à Digne par arme blanche en deux ans !!!

…je suis bien d’accord ensuite pour ce qui est des opinions négatifs ça c’est une chose.
Ce qui me tape sur le système c’est le Français qui gémit sans arrêts mais bon d’une part en général le Français qui gémit c’est qu’il est devenu un vieux schnok il a dépassé la cinquantaine et on va pas refaire le monde.

  • J’ai connu des jeunes schnocks des trois sexes, des râleurs boutonneux et des ménagères de moins de cinquante ans geignardes. Tous n’étaient pas français…
    Je dirais qu’on peut aussi refuser de porter des oeillères et se contenter de ce qu’on nous serine. Prétendre à un minimum de confort là où on vit et se sentir ulcéré par ce qu’on voit autour de soi, ou du moins, concerné. On nous dit, on est en république et ça fonctionne comme ça et ça, et quand on constate qu’il n’en est rien, et que mieux que ça, on a sur le territoire des petites poches féodales où des abrutis maintenus à leur place par des ignares font absolument n’importe quoi et s’en mettent grâce à ça plein les poches sur le dos du contribuables, on a d’autant plus envie de mordre qu’autour, c’est linertie.

C’est une chose ensuite en prenant le message de Habanita cette personne est comme une majorité d’autres il faut avoir un idéal de vie sur mesure préfabriqué comme si on “l’idéalisme” ou l’utopie s’achetait au supermarché du coin… d’ailleurs on ne sait pas pourquoi il faudrait avoir un idéal de vie c’est certainement une injonction du développement personnel , de l’indifvidualisme mais ça c’est un autre sujet si j’ai plus de temps je développerai…
Bref des personnes veulent avoir un idéal de vie sans idée précise de leur idéalisme c’est pour ça que ça ne fonctionne pas;ils ont une vision totalement brouillonne de ce qu’ils veulent faire…

  • Sans vouloir m’exprimer à la place de Habanita, je pense que quand on a passé des années dans un climat toxique, on peut avoir envie du calme et de la tranquillité montagnarde, indépendamment des difficultés pratiques que cela suppose. Il y avait un poste à pourvoir à Digne et un autre à Arvieux dans son secteur d’activités. Elle nous demande comment est la vie à Digne, on lui explique ce qu’il en est. Habanita opte pour le poste à pourvoir dans le Queyras. Je ne vois pas où est l’idéal de vie dans cette histoire. Si la vie était si impossible en Haute-Ubaye, dans les Ecrins ou le Queyras, ce serait le désert. Il y a une forme de vie possible en haute-montagne comme il y en a une dans les villes balnéaires du Var et des Alpes-Maritimes, et une autre encore dans les Grands Causses et dans la lande bretonne.

Ame Nomade, Je ne vois pas en quoi avoir un idéal de vie est critiquable… mais ça reste un avis personnel et effectivement, j’ai un idéal de vie, à savoir au calme, avec un minimum d’insécurité (que je vis au quotidien et qui me pourrit littéralement la vie…) Chacun apprécie la vie a sa propre valeur et ma valeur est quel a vie est courte et que j’ai envie de faire autre chose. Peu m’importe votre jugement en ce qui concerne mon “idéal de vie” que vous semblez qualifier d’idiot car peu réfléchi.
Comme l’a bien souligné “Inthedesert”, je me documente, afin de ne pas trouver ailleurs ce que j’ai déjà ici et qui ne me convient pas.
Chacun a son propre idéal : la ville avec ses animations, la montagne avec son éventuelle solitude ect ect… Chacun ses choix, ils appartiennent à chacun et ironiser dessus est mal venu, à mon avis. Je suis heureuse d’avoir “un idéal de vie”, contrairement aux moutons qui, tels des automates, font durant 45 ans la même chose, bien élève appliqué, sans chercher à savoir ce qu’il pourrait se passer ailleurs.
Je remercie toutes les personnes qui m’ont apportée des avis réels et constructifs sur Digne…

Exactement et je vous en remercie.

Certainement, Sylber. Mais Digne n’est pas Hyères ou Cannes, elle ne se présente pas comme la cité de la retraite heureuse où tout n’est qu’ordre et beauté, luxe calme et volupté. Tout le monde à Digne ne mène pas une vie de retraités et tous les retraités à Digne ne vont pas jouer au golf. Croyez moi qu’il y en a qui après avoir travaillé dur toute leur vie se retrouvent à galérer avec moins de 1000 euros par mois dans une ville sous-équipée, où l’accès aux soins est devenu problématique, où le moindre déplacement est compliqué si on n’a plus de voiture, où le lien social est de si mauvaise qualité que beaucoup de gens sont seuls, vraiment très seuls malgré des flopées d’associations qui coûtent plus en subventions qu’elles ne produisent de concret… et dont, malchance pour les retraités qui y adhèrent, les activités cessent lors des vacances scolaires, et qui ne proposent rien pour meubler les week-ends. Il y a par ailleurs à Digne des gens en âge d’être actifs qui ont besoin de gagner leur vie, qui ont besoin d’accès aux soins, qui ont besoin de se déplacer et qui n’ont pas ou plus de voiture, qui ont besoin de se loger autrement que dans des HLM mal habitées ou dans cette collection de gourbis insalubres, échappant aux contrôles administratifs, que l’on voit régulièrement s’afficher sur LeBonCoin avec des loyers alignés sur ceux de Marseille. Digne a des prétentions urbaines, c’est une préfecture, elle revendique 18.000 habitants (vu la dépopulation grandissante, le chiffre serait à revoir), et il serait un peu normal pour une ville-préfecture que ses élus cherchent à développer une économie créatrice d’emplois pérennes, oeuvrent à l’attractivité de la ville par l’encouragement à des manifestations culturelles autres qu’en appelant à de problématiques bénévolats, et soignent leur prétendue vocation touristique en développant des infrastructures propres à faire de Digne une ville de séjour, et non une ville-étape. Or, les projets sont à l’arrêt depuis des années au motif d’une dette abyssale dont on ne voit pas très bien comment elle pourrait être résorbée. Le résultat est sous les yeux de ceux qui chaque jour, parcourent les rues de Digne : commerces fermés, hôtels et restaurants à la vente, quartiers délabrés, chantiers inachevés, déprédations, montée d’une insécurité résultant d’une politique sociale démagogique et irresponsable, paupérisation d’une population active vouée aux sous-emplois “aidés”, mais pour les élus tout va bien, ils engrangent de très correctes indemnités et la plupart n’habitent pas Digne, viennent de vieilles familles aisées, bref ! se tiennent à distance de ces réalités qui valent à Digne la réputation d’un avant-poste des quartiers Nord de Marseille. Triste privilège que nous partageons avec Manosque.
Alors de grâce, Sylber, ne voyez pas midi à votre porte. Digne ne se résume pas à Courbons, au plan de Gaubert et à son golf très excentré.

Oui, Ame Nomade. Sauf que là on est en France, phare de la Civilisation. Et que ce soit dans le Queyras ou en Seine-et-Marne, on a tout à fait le droit de prétendre à certaines commodités en principe incluses dans le package République & Civilisation “vu à la télé” : qualité d’habitat, accès aux soins, adaptation des équipements et des infrastructures aux variations climatiques. Sans quoi on prévient les gens comme quoi on a décidé de faire d’une région un Disneyland du XIème siècle ouvert les deux mois d’été aux seuls touristes, lesquels seront distraits par des amuseurs, bénévoles ou intermittents du spectacle, déguisés en bergers, en paysans, en cantonniers, en montagnards aux accents rudes et aux manières brutes de décoffrage.
L’enclavement de régions entières, leur délaissement au profit de l’activité concentrée dans les seuls tissus urbains, résulte d’une politique dont ni vous ni moi ne sommes comptables. Quand on instaurera le Revenu Universel, cela changera la donne, certains pourront construire un projet de vie personnel sans avoir à prendre en compte l’écueil de l’emploi. Restera celui du logement. On n’est pas près malheureusement, d’instaurer des plafonnements de loyers, de pénaliser fiscalement les marchands de sommeil, de casser la dynamique malsaine de la spéculation immobilière. De mettre un terme à cette prise d’otage exercée par une partie de la population sur le reste de la population. Ce serait toucher au coeur une clientèle électorale juteuse. Cependant, l’accès au logement, en ville comme ailleurs, c’est le problème dont découlent tous les autres, y compris ceux du chômage et de la désertification du rural et des territoires de montagne.
Vaste question qui n’est pas près d’être résolue.

Bon, il faudrait savoir de quoi on parle, sans dévier trop du sujet. Je vous propose qu’on reste dans la problématique de Digne-les-Bains, citée en commentaire, par mes soins, dans cet article paru dans un blog Le Monde en janvier 2016, préparatoire au livre « Comment la France a tué ses villes », Olivier Razemon, aux éditions de l’Echiquier. (Au pays des villes mortes – L'interconnexion n'est plus assurée),

Olivier Razemon renvoie le déclin des centre-villes à l’extension des zones commerciales en périphérie. Or on voit bien dans certaines villes, que ces zones commerciales végètent, c’est le cas à Digne et on pourrait citer d’autres villes comme Orléans. Il est d’autres causes qui tiennent à des choix de société, des choix économiques inadaptés, qui conduisent des fractions entières de la population à ne plus disposer de pouvoir d’achat. Pas de pouvoir d’achat —> mode de vie restreint aux nécessités courantes —> disparition des petits commerces, etc. Je ne vais pas vous faire un exposé sur les lois de la macro-économie, elles sont basiques et n’importe quel commerçant pourrait vous expliquer la chose.

“la France entière s’enfonce dans le chaos comme Digne les Bains”, postule minou83. Il semble vouloir expliquer ce glissement vers le chaos par une politique orientée vers le social. Sauf que… une politique orientée vers le social est une réponse à une situation économique qui a conduit une partie de la population à se paupériser, voire à se marginaliser. Ou on ne fait rien et là, le chaos s’instaure pour de bon sur un mode insurrectionnel, ou on veut maintenir la paix sociale et on met en place de gré ou de force une politique orientée vers le social.
C’est ce qui a été fait depuis une trentaine d’années où on nous impose une politique dite libérale, qui pour le profit de quelques banquiers, rentiers et actionnaires, a précarisé l’emploi, conduit avec l’euro à une explosion du coût de la vie et a amené par la même à la sape des bases de la société telle que les plus anciens d’entre nous l’ont connue. Une société relativement équilibrée où le travail permettait de gagner sa vie, où existait une certaine solidarité qui n’avait pas besoin d’être organisée, où l’on avait la liberté de s’installer où on voulait, l’accès au logement n’étant pas comme aujourd’hui un parcours du combattant, où il peut être demandé à un individu de laisser jusqu’à cinq cent euros dans une seule et même poche déjà suffisamment garnie, pour avoir le droit d’habiter une “studette” d’une dizaine de mètres carrés.

A titre d’illustration de mon propos, un vieil article du Monde Diplo de 2002, qui malheureusement est devenu une référence pour les étudiants en socio, en ce qu’il décrit clairement le paysage social des petites localités, et les tenants et les aboutissants d’une question que nos politiciens évitent soigneusement d’évoquer : la crise du logement, ses pourquoi, ses conséquences :
http://laboratoireurbanismeinsurrectionnel.blogspot.fr/2011/10/france-exode-urbain-exil-rural.html

Pour moi, s’il y a chaos, c’est là qu’il se tient, minou83. Dans cet état de régression historique où cette politique dite libérale nous a précipités. Et qui est à l’origine d’autres questionnements que votre commentaire laisse pressentir. Les communautarismes se sont développés sur le lit de cette crise devenue perpétuelle, de même que les trafics et les économies parallèles que certains politiciens prétendaient combattre en secouant beaucoup de vent. Une immigration sans autre issue que les minima sociaux et l’entassement dans d’ignobles HLM, l’accueil de migrants à qui l’on offre des smartphones et des bicyclettes et le gîte et le couvert, et à qui on n’a pas plus à proposer qu’à nos jeunes issus des milieux populaires, ni à leurs parents précarisés ou chômeurs, qui n’ont d’autre solution, pour montrer leur indignation, que se tourner vers d’illusoires partis extrémistes se déclarant “anti-système” alors qu’ils brassent des fortunes acquises, justement, par leur pleine et totale implication dans le système.

Pour en revenir à Digne, cette ville nous montre.ce que peut donner une politique qui se veut sociale au travers d’une idéologie lénifiante, et qui produit exactement l’effet contraire. On loge des zonards chez des propriétaires qui ont passé un deal avec la mairie, mais on les laisse livrés à eux-mêmes ; on accumule des programmes d’HLM où viennent s’installer de toute la France et d’ailleurs des familles sans le sou qui, une fois sur place, se trouvent à devoir se débrouiller dans un vase clos très mal desservi par de rares bus, et où il n’y a rien à faire pour occuper ses journées ; on laisse évoluer sans accompagnement (faute de personnels, conséquence des restrictions imposées par la politique d’austérité) les malades mentaux transfuges de l’hôpital psy voisin, dont beaucoup sont incapables de se débrouiller tout seuls, même s’ils sont logés dans des appartements dits thérapeutiques, où ils sont supposés recevoir régulièrement la visite d’infirmiers spécialisés - ce qui n’est pas le cas ; on laisse prospérer des trafics de stupéfiants et des foyers de criminalité au motif du manque d’effectifs policiers et de la surcharge des chambres (le procureur retourne le plus souvent les dossiers, classés sans suite, et les délinquants parfois laborieusement arrêtés sont remis en liberté) ; on a une police municipale qui va distribuer des amendes de stationnement à tour de bras, et laisser tranquilles des individus alcoolisés, ou pratiquant une mendicité agressive, ou ayant un comportement inquiétant, ou proposant des doses de stups au coin des rues, au vu et au su de tout le monde ; et on ferme les yeux sur un trafic connu de tous, qui s’opère entre “résidents” de la vieille prison et individus venus de l’extérieur, par un jeu de lancers par dessus le mur surveillé par des caméras, où s’échangent barrettes de haschich, cartes Sim contre de l’argent.
Et à côté de ça, on nous joue la vieille litanie des restrictions. On augmente les impôts, l’eau, parce qu’il y a la dette et qu’on veut installer la fibre (comme s’il n’y avait pas des priorités plus immédiates!), on veut attirer par la parole (pourquoi pas par la pensée magique) les éventuels entrepreneurs et artisans, quand à côté de ça on matraque les PME existantes, on assassine les commerçants restants en quadruplant la TEOM, et on fait durer depuis trente ans le suspens du désenclavement routier, par un vieux projet de rocade desservant la Durance, mais qui passerait forcément par les terrains des bons copains, des cousins, de l’oncle ou du beau-frère… alors on engloutit des sommes monstrueuses dans des bureaux d’études trop ravis de l’aubaine, et rien ne se passe, et on risque d’attendre longtemps les gentils z’investisseurs venus d’ailleurs…! On nous dit que la mairie ne crée plus d’emplois mais bizarrement, on en crée des fort bien rémunérés pour des gens pas forcément compétents issus de vieilles familles locales, on fonctionnarise “pour l’étiquette”, genre “je favorise l’intégration” des employés de voirie d’origine étrangère et qui se déplacent en BMW, quand des personnes qui vivent depuis quarante ans à Digne et survivent du RSA, essuient des refus ou se voient proposés des contrats éjectables.
Je pense que ce cas de figure est transposable à la plupart des bleds reculés, qui gentiment voient partir leurs jeunes et mourir leurs vieux, et accueillent pour maintenir un seuil démographique et conserver des classes, des populations qui ne sauraient pas autrement où aller, dont lesdits bleds ne savent que faire à part leur garantir le gîte, le couvert et des batteries d’assistantes sociales.
Voilà ma version du Chaos.

Juste un petit retour ici, pour, malheureusement, valider les propos de Inthedesert.

Vous n’avez qu’à consulter le site (pas besoin d’inscription pour visualiser les offres d’emploi) “emploi-territorial”. Vous constaterez le nombre incroyable d’offres de postes dans les collectivités territoriales… De la secrétaire au médecin (conseil départemental). A signaler aussi des recrutement sur Barcelonnette pour des travailleurs sociaux pour les dossiers des migrants.

La ville de digne les bains est une ville sans problème de sécurité de tranquilité de havre de paix ,on y trouve de tout 2 grandes surfaces ,des pistes cyclables ,le climat est une merveille, son plan d’eau super et propre, son corso ,son marché provençal, les musées ,les cathédrales,pas loin de la mer ,des montagnes,des lacs , de nice toulon marseille avignon,des randos et beaucoup d’autres choses a voir a faire.

Bravo digne les bains

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