Je voulais attirer l’attention des personnes allant a Yogyakarta. Nous avons été drogues a notre insu en pleine journée aux arborées de la jalan moliaboro à deux pas de l’Office de tourisme où tout à commencer. Cela nous a coûté 250€ et une journée où nous étions mal ,bizarre avec le cerveau en compote.
Nous nous en sortons bien.
Il s’agit d’une drogue qui a du être mise dans le thé de bienvenue que nous avons reçu dans une fausse boutique de batik. (Ils se sont présentés comme des artistes locaux) nous arrivions, nous étions cons.
Je n’ai bu que la moitié de la tasse mais beaucoup d’instant sont encore flous. Ils vous parle du batik, et tout ça très vite, ils ne vous laissent pas le temps de réfléchir, de regarder autour de vous. Ils maintiennent toute votre attention le temps que la drogue agisse. Ils ne me laissaient à peine mettre mes lunettes de vue. Leur empressement parait justifier par la fermeture éminentes du lieu. Puis ils vous font regarder leur travail , et vous maintienne toujours par la parole. Au fur et a mesure leur emprise sur vous devient plus grande, et nous commençons à être heureux, plus jovial. Une partie de vous sait que c’est une arnaque, sans un danger, mais l’autre partie s’amuse, trouve tout cela amusant, vous avez l’impression d’avoir vraiment eu de la chance qu’on vous est emmener ici. ( un type qui présente pas bien sur lui, nous accosté sur le perron de l’Office de tourisme, il nous parle de sa ville nous demande ce qui on en pense quand on rerpoart…évidemment on repartir le lendemain, et là sans qu’on s’en aperçoit le piège vient de se refermer sur nous. Sous prétexte toujours de vous parlez de la ville, il l va nous montrer où est cette expo de jeunes artistes locaux qui se ter minent bientôt. Il nous montre le chemin, nous fait traverser tes très vite la jalan malioboro.il ne faudrait pas que la police lui tombe dessus. Lui nous dit se peser car son patron peut vite revenir. Il est chauffeur. Sur l’angle dans face il fait s semblant de nos montrer une vraie galerie plus loin, et la il prend s un escalier a grand pas, nous laisse la a l’étage. Il fait comme si il ne connaissait pas les types, mais nous laisse entendre que nous avons de la chance que ça soit encore ouvert, cela aurait été dommage de partir de Yogyakarta sans voir ces jeunes artistes. En vrai il vient de déposer son butin, ses petits déjà un petit peu manipuler. On pense bien que ça sent bizarre. Mais on est sur de ne rien à acheter ou un mini truc et donc oui si on paie un petit truc 50℅ de plus , ce sera comme souvent en Indonésie, le tarif pour les occidentaux.)
Mais ce n’est pas comme ça que ça va se passer pour nous. Une américain e qui elle vient par un vendeur des galeries du dessous acheta un care de tyissu de 30cm par 30 pour 60€, elle n’aura pas touché au thé.
Nous nous devons euphorique, mon ami regarde des toiles plus grande des verticales, puis moi aussi, puis en soie. Les premirees que nous trouvons belles sont a 250 en coton. Pour nous il est hors de question de laisser un telle somme. NK vous n allons rien prendre puis dehors une autre verticale en soie est à 700€ , on rigole, ces le prix de notre billet aller retour. Ce n’est pas pour nous, il faudra qu’il trouve des clients plus fortunés pour vendre ces toiles, ce n’est pas dans notre budget. Il righole aussi, insiste, il parle anglais, un peu français, connait trois mots en allemand, ça ne colle pas avec un artiste, mais nous n’arrivons pas à partir, il ne nous laisse pas nous parler. En vrai il attend que la drogue agisse, nos cerveaux sont divisé s entre cette euphorie interne et une toute petite partie de nous qui nous dit danger, danger, danger. Je crois qu’il s nous ont éviter de voir l’escalier.jeme souviens attendre devant , mais mon ami est plus loin, je ne peux partir sans lui et ça continue. Apres je vais sur leur terrasse, je veux voir si la police est là, si le type est toujours sur le perron de l’Office de tourisme. Je sais qu’il a menti, mais on me dit de regarder les toiles. D’en choisir une…
La seule qui nous plait est annoncé a 700€, elle nous plaira tous les deux, mais a ce prix on est sur d’être quasi en sécurité. Jamais je ne donnerai une telle somme à ses escros. Il ma demandé a plusieurs reprises de dire mon prix maximum, je finis par dire 200€, puis il va parler avec mon ami,
Mon ami me demande, lui aussi est euphorique, je lui reponds que je ne sais pas. Mon corps veut partir, mais je me sens faible, me rassoit.Le type arrache un 250€ a mon ami, il ne sait pas comment, il est joyeux, cas me fait plaisir de le voir ainsi. Nous savons que nous devons partir, il ne faut pas tarder, le danger est trop grand.
Puis nous pouvons avoir la toile de 700€ a 250€. Je ne comprends pas ce marchandage, c’est pas normal, nous n’avons pas négocier.
A partir de là tout va très très vite. Mon ami veut aller chercher l’argent, je veux l’accompagner, en moi même, je sais que dehors je changerai d’avis et que nous n’irons pas retirer de l’argent, que nous ne reviendrons pas. Ils ne nous laissent pas partir. Nous sommes à nouveau assis. Deux autres types arrivent et défont rapidement la toile de son cadre, la plie sommairementlz remetteau type qui s’occupe de nous. Il remplit un bon comme un bon de livraison, sur le papier il y a soit disant leur coordonnées, mon ami doit le signer aussi, je trouve ça bizarre, je ne vois pas le papier. Tout de suite, pour qu’il signe on me parle d’autre chose, le soit disant artiste, me dit qu’il faudra qu’on lui envoie la photo de sa toile exposée chez nous. (J’ai oublié, dans le toiles qui sont là on peut vraiment différencier une dizaine de styles donc de soit disant artistes, ce sont peut être même des copies dune dizaine d’artistes.) c’est bon mon ami a signé le papier qui stipule que nous n’acceptons pas sous la contrainte, et que tout retour est impossible. On me fait mettre le tissu qui est dans une simple enveloppe tamponnée : art batik et pas de retour, dans mon sac, bien au fond c’est précieux. Mon ami doit aller retirer, je propose de rester, mais je ne peux pas, ce n’est pas possible. Je dois aller avec, un type va nous accompagner. A nouveau tout va très vite, on descend enfin cet escalier, mer type nous fait traverser la rue,et s’enfonce très vite dans le centre commercial, je pense a me planquer, mon ami ne sait pas pas. Trop tard nous sommes au automates pour retirer, un est libre. C’est bizarre les gens nous regardent, on comprend rien, on s’applique chacun notre tour entre l’euphorie et u e peur intérieure a lui donner chacun le refait maximum. 2 millions de roupies soit 130€. Il nous parle mal, s’énerve, recompte, puis disparait. il est 17h15.
Nous serons euphorique et bizarres jusqu’à 22h environ, nous n’avons quasi pas faim, après le dîner, je veux regarder en ligne ce qu’il y z décrit sur cette exposition, évidemment rien. Art batik est accolé a escroquerie. Nous comprenons difficile ment que ce tissu vaut tout a plus 4€.puis mon ami qui lui a pris toute sa fasse de thé s’énerve , il est normalement très calme. Ces souvenir sont très flous. La nuit sera affreuses. Nous devons faire nos sac, l’avion pour valu n’attendra pas. Réveil est mis a 5h15, mais nous dormons environ une heure chacun, mon pouls s’emballe, je transpire de la poitrine, de la gorge comme jamais, j’étouffe, … Au petit déjeuner, j’ai des débuts de nausées. Puis cest le taxi pour laeroport, et la enfin calmé s nous parlons. Mon ami dit nous étions comme drogués, et moi comme Hypnotisé, puis on pense a ce thé… Nous n’aurons pas faim, ni soif le lendemain et nous obligeons le soir seulement à manger quelque chose.
Nous sommes conscients que tout cela aurait pu être bien pire.
Ah bah moi, c’est à Borobudur que j’ai été drogué et dépouillé, et par un Français ! Peut-être une spécialité locale après tout. Le récit ici : Voir Borobudur et dormir
Laurent (http://onechai.fr)