bonjour
par où doit on passer pour arriver a la porte d’entrée inscrit christiania et où se trouve les maisons décorées surtout la jolie verte
merci d’avance
bonjour
par où doit on passer pour arriver a la porte d’entrée inscrit christiania et où se trouve les maisons décorées surtout la jolie verte
merci d’avance
la fameuse maison verte
est au croisement de prinsessegarde et Bådsmandstræde
sur google map tu le vois il y a un pictogramme
sur la photo tu vois l entrée sous l arcade
Merci beaucoup
Les gens très antipathiques. Ils crient sur les gens qui prennent des photos… De plus, il y a de la saleté partout, plein de junkies, de vendeurs de drogue illégaux, … je conseille de ne pas y aller, et certainement n’y emmenez pas des enfants. Ce n’est pas une communauté hippie plutôt une bande de criminels.
Mais qui déciderait d’y emmener des enfants?
Toute généralisation est abusive : même si évidemment il y a des délinquants de là à dire que la population est une bande de criminels on franchit un raccourci qui est excessif. Il y a de tout comme partout, de doux rêveurs, des asociaux cherchant d’autres modes de vies, des artistes voulant un logement bon marché, des libertaires acharnés, des jeunes en rupture de ban familial, de vieux hippies aussi, probablement des drogués ( je parle de drogues dures mais n’en ai pas vu), etc.
Il est logique que certains souhaitent ne pas être photographiés, ce n’est pas une specificité du lieu d’ailleurs mais une tendance de plus en plus généralisée.
Enfin il y a du très beau street art.
Il existe de nombreux articles sur Christiania comme celui-ci. Il suffit de chercher un peu sur internet. Je ne sais pas quand tu y es allé mais les choses empirent évidemment avec le temps qui passe
Nous y sommes allés il y a un peu plus de cinq ans et déjà l’ambiance s’était dégradée par rapport aux années 80.
Le ton de l’article est un peu ingénu, ce qui s’y passe est inévitable quand un endroit devient un centre d’approvisionnement pour drogués et s’il n’y avait pas de demande il n’y aurait pas cette offre. L’auteur idéalise la situation des Pays-Bas : ce n’est pas parce qu’il y a des coffee-shops qu’il n’y a pas de réseaux pourvoyant les drogues dures.