Depuis le départ de Fanny l’auberge a perdu tout son charme. Elle est sombre presque lugubre. Le nouveau patron n’est jamais là. Il y a juste un employé plein de suffisance qui se croit dans un Palace et ment comme il respire. Les prix ont explosé. Les chambres sont basiques sommaires sans confort. Fanny était un soleil qui illuminait tout et créait une belle ambiance familiale. J’y suis allé pour louer une chambre mais je suis reparti aussitôt. L’auberge est vide. Une seule touriste en partance qui n’a même pas dit bonjour. Elle fuyait la pauvre. L’auberge Djamila sans Fanny est nulle.