Dormir chez l'habitant
Les plates-formes de couchsurfing, échanges de maisons ou locations entre particuliers, explosent sur le Net, à croire qu’Antoine de Maximy n’est plus le seul à vouloir s’incruster chez les autres le temps d’une nuit.
Dormir chez l’habitant, c’est désormais un business, et ça s’organise plutôt bien, au point de faire trembler les professionnels de l’hôtellerie. L’industrie classique voit d’un mauvais œil cette concurrence déloyale (les particuliers ne sont pas soumis à la même réglementation) et fait pression pour que la situation soit clarifiée, du moins en ce qui concerne la sous-location. Un New Yorkais a été condamné à une amende de 2 400 $ pour avoir enfreint la loi municipale sur les hôtels illégaux !
En attendant, le flou juridique permet aux loueurs d’arrondir leurs fins de mois et aux voyageurs de profiter de bonnes affaires, aux quatre coins du monde.
Voici tout ce qu’il faut savoir sur ce phénomène en plein boom.