climat en aout ?

Forum Nouvelle-Zélande

nous voudrions partir en famille en camping car 3 semaines en NZ mais nos possibilités sont seulement en aout ( vacances scolaires obliges) ne fait il pas trop froid ? les camping cars sont ils bien chauffés ? les paysages ne sont ils pas cachés par le brouillard ?les randos sont elles faisables à cette saison? ce n’est surement pas l’agence qui va nous dire la vérité je compte sur les routards …merci

Salut Marie line,
Puisque la Nouvelle Zelande est dans l hemisphere sud, le mois d aout c est en plein dans le milieu de l hiver. J ai parle avec des kiwis et ils disent que la moyenne de la temperature en hiver est de 0c a -10c en montagne c est plus froid bien sur!!! Les stations de ski ouvrent dans trois semaines et ce jusqu en octobre. Moi je suis presentement en NZ pour profiter du snowboard, de l heliski et du backcountry. C est possible de faire des randonnees mais il faut etre bien equipe et savoir quoi faire en cas d avalanche et sauvetaqe. Il faut apporter un bips, probe, pelle si jamais une personne se fait enterrer par une avalanche… Donc si vous voulez faire de la randonnee d hiver vous devez avoir une bonne connaissance de l equipement et avoir de l experience ou avec de tres bons guides. La plupart des randonnees sont fermes justement du au danger. Il y en a ouverte a l annee mais c est plus des terrains plats. Par contre quoi de plus beau qu etre au sommet d une montagne enneigee et d un grand ciel bleu…

Hello,

C’est vrai que Août est le plein hiver mais y a pas que la montagne en NZ !!
Il y a de supers randos sur les côtes comme Abel Tasman, Queen Charlotte…C’est vrai que certaines grandes rando sont fermées mais le Fjordland par exemple est super en hiver, plus sec que l’été et très beau avec la neige sur les sommets, Les activités y sont plus limités mais le nombre de touristes aussi et les prix bien plus bas…

Bref, l’inconvenient majeur de l’hiver se sont les journées courtes et des températures plus basses mais tout a fait supportable.
L’île nord est plus chaude…

A+

Matt

Bonjour marie line, N’essayez pas La Nouvelle Zélande en camping car ? Si vous avez vu le film “camping”, vous aurez enfin l’occasion d’être dans la pellicule. Mais mieux vaut avoir la mentalité du campeur, comme dans le film, sinon vous vous retrouverez comme Gérard Lanvin, légèrement décalé, car c’est une véritable fausse bonne idée qui peut vous faire perdre beaucoup d’argent… !!

En retenant et payant à l’avance un camping car auprès du “tour opérator” Australie Tours, partenaire de la société Kea Campers en Nouvelle Zélande, pour le mois de juillet, j’ignorais encore tout du métier de campeur professionnel en basse saison dans l’hémisphère sud.

Au cours de l’excellent accueil de Kea Campers à Auckland, j’apprends que l’accès aux grandes villes de Nouvelle Zélande (NZ) n’est pas possible… On ne vous remet d’ailleurs aucun plan de ville… !! Exit, les possibilités de voir les monuments, les musées ou les “Shoppings Centers”, trouver facilement des accès Internet café ou même l’ambassade France dans la capitale en cas de besoin, car les campings cars ne sont pas les bienvenus à Auckland, Wellington, etc.…

Le système de parking néo-zélandais en centre ville ne permet déjà techniquement pas d’absorber le monstre… et la police est friande de sa chasse, car c’est un animal rare !! Gare aux PV… qui vous seront bien sur ultérieurement facturés par Kea Campers qui conserve l’empreinte de votre carte bleue !! Si vous souhaitez visiter quelques villes, il vous reste les réseaux de bus, hélas, peu importants, et relativement complexes à utiliser dans un pays ou l’individualisme est roi… Le choix d’un taxi est aussi une solution, mais pour richissime campeur seulement car l’aller retour nord / sud à Auckland vous contera la bagatelle de 130 dollars… A mettre au budget si vous voulez voir absolument les villes…

L’accès aux petits cours d’eaux ou aux bords de mer n’est pas non plus recommandé par le loueur car le véhicule est très lourd et peut s’embourber ou s’ensabler… (encore plus en hiver austral) et ce cas n’est évidemment pas prévu dans l’assurance qui coûte tout de même plus de 30% du prix de la location.

Les belles images romantiques de Campings cars installés le long de plans d’eaux néo-zélandais bucoliques dans les brochures du « tour operator » Australie Tours et celles affichées dans l’agence Kea Campers sont essentiellement là pour vous faire rêver de l’été en hiver… La liberté de la formule connaît en fait quelques restrictions…

En fait, ma charmante hôtesse Kea Campers me conseille d’aller tout simplement de camping en camping et me remets de nombreux catalogues d’adresses pour bien me faire passer le message… L’exposé est bien enchaîné après la déconvenue d’apprendre que la couverture assurance très chère (30% en plus de la location) ne couvre pas les éventuelles fantaisies du découvreur de territoire que je suis… c’est plus sage ou plus sûr… mais un peu limité pour ma mentalité d’aventurier en quête de grands espaces !! J’irai donc sagement de camping en camping…

Je découvre enfin ma maison roulante… Le choc : Des trappes partout, des tuyaux, des commutateurs, des niveaux d’eaux ou de déjections à surveiller, des arrimages de tiroirs ou d’ustensiles, des protocoles pour faire fonctionner tel ou tel appareil… Une vraie petite capsule spatiale avec possibilités de travaux extérieurs quotidiens pour l’astronaute que je deviens. La découverte d’une télévision camouflée dans un placard me rappelle aussi les films de James Bond ou “Moonraker”… Hélas, on ne peut recevoir des chaînes que de très peu d’endroits en Nouvelle Zélande, essentiellement près des zones urbanisées… ou l’on n’a pas accès… tant pis pour les “news” néo zélandaises…

Nous parcourons en détail mon nouveau domaine. Véhicule conçu pour 4, nous devrons heureusement n’y vivre qu’à deux pendant 26 jours… J’imagine un instant ce scénario cauchemardesque d’y être à quatre, ce qui me rapprocherait alors de la sensation de la sardine dans sa boite, mais sans l’huile… Les placards d’affaires personnelles, suffisant pour deux, auraient avantage à être pris d’assaut si nous étions 4 pour la règle du premier servi… les 2 autres occupants se contenteraient toujours de tasser leurs affaires personnelles sur le toit … près de la décorative et inutile antenne TV.

Ma charmante hôtesse me propose de découvrir ensuite le mode d’emploi des lits… Au bout de deux minutes à la regarder démonter tables et sièges vers l’arrière pour simuler la préparation technique d’un lit, et sans avoir toucher à rien, je m’assieds épuisé et lui fais signe d’arrêter…

Ma débordante imagination vient de se projeter dans les 26 X 2 démontages et remontages qu’il me faudra effectuer dans le ventre du monstre ces prochains jours et mon taux de sucre dans le sang s’est effondré.

Heureusement, il y a une autre solution de couchage dans l’appendice du monstre au-dessus de la cabine de pilotage. Certes, il faut aimer les petites échelles pliables et la technique de faire son lit à quatre pattes dans un mini cercueil, mais cela semble plus rapide et compatible avec un rythme lascif de vacances.

Les placards sont remplis de tas d’appareils et ustensiles… Ne pas oublier de tout caler pour éviter la désagréable surprise de voir la batterie de cuisine débouler dans la cabine de pilotage avant en cas de freinage d’urgence avec un taboulé en préparation. On peut aussi –2eme version - écouter le tintamarre irrégulier d’un fantôme, joueur de “batterie” amateur, caché au fond d’un tiroir !

Le cours de mon “instructrice” se poursuit sur les interactions entre les fusibles, les appareils qu’ils commandent, les robinets de bouteilles de gaz… Ils mériteraient d’être enregistrés sur un lecteur MP3 pour se le repasser dans les futures longues soirées d’hiver… Gare aux oublis dans les protocoles pour arriver à faire fonctionner, soit le micro ondes, soit le mini-four , les lampes, soit l’un des deux systèmes de chauffage ou le système de lecture DVD/CD, etc… Si j’avais su par Australie Tours que ce dernier lecteur existait à bord, à coté d’une télé décorative, j’aurai sans doute pris de quoi l’alimenter…. seule l’animation des campings bercera donc mes soirées d’hiver…

La visite de la salle de bains constitue ensuite un grand moment de désillusion… C’est en fait la visite d’un placard sanitaire multi fonctions. Le WC est en bas, le lavabo est au-dessus, plié quand on ne s’en sert pas et une douchette sert aussi bien à vous laver le corps (Bon courage pour l’exercice) qu’à effacer vos éventuelles salissures dans la jolie cuvette immaculée dessous. La douchette vient en sus d’un flux (chasse) d’eau qui ne fonctionne que dix fois… avant recharge… bien sûr obligatoirement dans un camping payant. L’autonomie de ce camion liberté est donc réduite en-dehors des campings. Bien sûr, si l’on se douche, il faudra nettoyer le WC plein d’eau en dessous, les bords de lavabo et le plancher… Un diplôme de nettoyeur serait peut être utile à passer avant de choisir la formule camping car pour maintenir la qualité de l’hygiène collective…??

En fonction toilettes, il faut enchaîner sans erreur les gestes si “l’on se vidange” car il y a de grosses molettes à tourner dans le bon sens pour ouvrir les petites trappes d’évacuation. Les odeurs seront certainement au RDV parfumé du second utilisateur et des suivants…. L’absence de balayette exclut qu’un occupant ait la “tourista”… Il ne pourrait de toute façon rester en place longtemps sans les quolibets des autres passagers l’observant à travers la porte vitrée polie mais tout de même translucide du petit “placard sanitaire”. Le sanitaire a une autonomie ultra limitée et ne constitue donc qu’un accessoire d’urgence dans un pays ultra propre ou se lâcher dans la nature serait certainement très mal vu… Faudra t il se retenir 26 jours ?

Bravo aussi à la femme coquette qui chercherait à s’entretenir… : mini miroir et peu de places pour décharger un sac de produits plein de fonds de teints ou de rouges à lèvres… c’est la méthode campeur!!! En espérant que deux couples avec femmes coquettes ne s’installent pas dans cette caisse transportable avec son micro placard sanitaire. Les hommes n’auraient alors plus de place pour mettre leurs mousses et dentifrices… et la guerre des roses pourrait avoir lieu. L’achat de produits divers d’entretiens et de désinfection, de désodorisants est fortement recommandé en petits achats à mettre en plus au budget des nombreux imprévus…

En quittant le loueur, l’arrivée au 1er camping en limite d’Auckland est un grand moment dans la vie du campeur débutant qui pensait aller librement à travers la NZ… L’aimable gérante du lieu, lui explique qu’il vaut mieux se servir des facilités du camping (Sanitaire, restauration, lingerie…) car le véhicule se permet même pas de tenir un jour en pleine nature surtout à 4… Adieu les rêves de grands espaces et vivent l’installation entre deux autres Camping cars puis 4 puis 6 puis 12…Une grande famille !! Les voisins occupants, qui n’ont pas grand chose à faire dehors en basse saison australe regardent l’installation et le début de vie du campeur novice par les fenêtres… Pour le rêve de nature c’est assez limité, pour la liberté, c’est assez enchaîné et pour l’intimité c’est complètement raté…

Le branchement électrique en dépliant la rallonge sur un poteau à l’emplacement N° 18 ( ça ne s’invente pas) permet un peu plus de confort par l’usage de tous les instruments embarqués ce qui n’est pas le cas en pleine nature… On n’a dans cette hypothèse que les lampes et un peu de gaz pour la cuisinière et le chauffage N°2… Le déclenchement archi bruyant du chauffage N°1, la “clim” réversible, fait comprendre au novice que les soirées seront longues et que les nuits seront ou fraîches ou blanches, au choix…

Anéanti, je regarde à mon tour mes voisins et les observe passer avec leurs petites cassettes de déjections humaines sous le bras, démontées des entrailles du monstre… sympathique opération à répéter deux fois par jour si l’on est 4 et dont la complexité technique doit être mémorisée pour ne pas faire une erreur qui serait tout à fait odoriférante !!.. Gare aux doigts bronzés également !!

De curieux mouvements d’autres roulottes dans le camping me font ensuite comprendre la réalité quotidienne de la joie du campeur… Il faut déplacer le véhicule pour aller vidanger l’eau de cuisine à un endroit spécial… la “Dump station” puis retourner le véhicule dans le sens inverse… pour refaire son plein d’eau et repartir enfin à son emplacement se re-brancher… Les connexions sont dans des sens opposés et il faut donc garder flegme et humour dans la manœuvre… 1 fois par jour à deux et près de deux fois par jour à 4…

Il est temps d’aller visiter les “facilités” du camping quasi obligatoire et qui coûte 20 dollars non prévus au budget, soit 520 dollars sur 26 jours alors que Kea Campers annoncait un coût sans surprise dans sa location… Mais il est vrai que ce n’est qu’un coût induit comme les coûts indirects des produits d’entretien à bord à acheter… les coûts exorbitants du passage en ferry dans l’île du sud ( 900 dollars au moins l’A/R) et bien sûr les frais de carburant (500 à 1000 euros selon les trajets), de nourriture et d’accès aux sites payants.

L’entrée dans les toilettes me pétrifie… alignement à perte de vue de lavabos inox avec deux robinets sans mélangeurs, cloisons précaires et disjointes des WC et douches dans une immense pièce sibérienne… Le partage sonore (Et odoriférant) des bruits et exhalations naturelles humaines donnent, certes, un peu de chaleur et d’ambiance mais il a aussi ce pouvoir indicible de déconcentrer ou déconcerter. Je vais éprouver du mal à me brosser les dents, engoncé dans une grosse veste et enveloppé d’une écharpe…

La cuisine collective contiguë aux toilettes est un autre cauchemar… Les impétrants à la fonction “se nourrir” font la queue pour faire fonctionner l’un ou l’autre des appareils destinés à chauffer les plats… les plans de travail sont pris d’assaut et nous sommes pourtant en basse saison… Personne ne semble vouloir cuisiner dans sa roulotte et chacun transporte ses paquets de nourriture, de sa maison roulante à la cuisine collective… Ne pas oublier le sel ou autres… sinon il faut être bon marcheur…!! Quand c’est bien chaud, on repart en portant le précieux chargement et les paquets restants à travers les autres roulottes et les pelouses du camping jusqu’à son “home sweet home”, 100 ou 150 mètres plus loin. La « dégustation » aura lieu autour de la table familiale sur des banquettes qui peuvent servir de matelas en béton peu armé le soir… J’essaye de ne penser à rien avant de rentrer dans le ventre de mon monstre me faire bercer par la clim-chauffage qui caquette bruyamment.

Il est enfin temps de faire son lit et se coucher… Pour limiter le ridicule qui ne tue plus depuis bien longtemps mais me gêne tout de même, j’ai fermé en plein après midi mes rideaux me coupant de mes voisins curieux mais aussi des vues agréables sur la baie d’Auckland. Je peux donc monter faire ma gymnastique et installer le lit dans le caisson cercueil sans que ma grosse voisine examine mes fesses à travers les vitres… Prêt pour ma nuit de rêve, je décide d’aller à pied chercher un restaurant, renonçant à bouger d’un poil le lourd véhicule ancré au port afin d’aller collecter ma pitance ou partager les joies de la cuisine collective.

La nuit tombée dans le camping désert, rentré dans ma maison, je me glisse à l’étage par l’échelle pied nu et m’allonge sur le matelas trop cuir de vache pour mon dos lombalgique… Heureusement que le véhicule est à l’horizontale… pour ne pas glisser !! J’imagine ou plutôt n’imagine pas une seconde qu’un couple puisse ici devenir adepte du “Kama Sutra” . Juste au-dessus de mon nez fragile, un gentil aérateur non réglable me balance un filet d’air froid dans les narines avec le claquement irrégulier du capteur extérieur sous le vent… Le ronflement de la climatisation me tamponne l’oreille gauche car j’ai choisi de ne pas devenir congelé comme “Hibernatus”… Si l’on s’endort par mégarde, il ne faut pas oublier ou l’on est au réveil car le choc front/toit de cabine (situé à 15 cm au-dessus) sera très douloureux.

Avec le décalage horaire, l’ambiance sonore, et finalement la coupure de la clim, plus tard dans la nuit excédé par le bruit (qui rendra la caisse glaciale), pour tenter enfin de dormir, mes envies de vidange sont fréquentes. La gymnastique de descente par l’échelle, puis le rhabillage pour aller aux facilités à 150 mètres me font doucement imploser… L’aube me trouve totalement blafard, ce qui pourrait être normal pour une aube… Il me reste 25 jours à tenir !!

Divers incidents extérieurs familiaux et professionnels, ajoutés à la vision d’apocalypse de ces premières 20 heures de camping car en camping me font me précipiter vers Kea Campers pour rendre la bête… au petit matin. L’agence se ruera sur moi à mon arrivée pour, à la fois suspicieusement contrôler le véhicule (rendu très propre sans usages domestiques), me dire qu’il ne me rendront pas les 1750 euros de location, ni les monstrueux 643 euros d’assurance et me réclamer ensuite un dollar (0,70 cts d’euros) pour le litre et demi de diesel consommé sur les 9,9 km parcourus seulement en A/R du camping… pendant ma “période d’essai”. La “réintégratrice” renoncera finalement à son dollar… bien que la société Kea Campers soit devenue l’enfant d’un libéralisme sauvage à l’américaine ou l’argent est un dieu vénéré !!

A Paris, l’agence Australie Tours refusera aussi le moindre remboursement, dédommagement ou geste commercial dans la plus belle logique économique et administrative…

Cette (més) aventure comme le film “Camping” le met savoureusement en scène, démontre que l’on ne s’improvise pas campeur… c’est un état d’esprit, une seconde peau, une façon d’être… et il ne faut pas céder aux belles images trompeuses de la pub sur la liberté en Camping Car en Nouvelle Zélande…

Le Camping Car est à déconseiller pendant les 8 mois ou il ne fait pas très beau (ou moins beau) en NZ d’avril à novembre. Mieux vaut avoir fait un tour d’essai avec l’un de ses monstres un week end non loin de chez soi pour s’exercer à souffrir un peu dans son propre pays. Cela permettra de découvrir, sur le pouce, si on a le goût des corvées en vacances et celui de la promiscuité. Après avoir payé d’avance une petite fortune, il sera trop tard pour se faire rembourser le prix du rêve!!

Je fais remonter le topic qui pourra nous être utile à tous car nous sommes nombreux à nous interroger sur la question camping car ou voiture.

J’étais hésitante, mais à la lecture de ce témoignage, on louera une voiture ! D’autant plus que nous projetons de partir en juillet août.

J’ai contacté l’agence NZ . On me dit qu’il faut de toutes façons passer les nuits dans des campings pour se chauffer, entre autre. J’ai l’impression que l’option voiture+ B and B ou motels est moins chère et surtout plus confortable.

Je suis pas du tout d’accord avec le témoignage de 10 pages qui précede.
A mon avis, il faudrait le deplacer dans “elucubration d’un touriste”.

Pour répondre aux questions de Marie-Line, la NZ est vraiment adapté au voyage en famille en camping car 3 semaines. Pour le temps au mois d’aout, dans l’ile du nord ca va, il fait pas chaud (les CC sont tres bien chauffés, pense à l’option lors de la location) mais il fait super beau (pas de broullard). Dans l’ile du sud, il faut s’attendre a avoir de la neige (c’est les alpes !) donc les randos, c’est pas trop possible, ou alors en bord de mer.

Moi j’ai trouvé les NZ super pro, pas d’embrouilles, c’est pas cher : moi j’ai payé 45$ (25eur)pour l’aeroport-centre ville pour 3 personnes; y en a certain qui devrait voyager en France pour avoir une correcte idée des prix. Pour les emplacements de camping car, ils sont super spacieux, de plus, il y a pleins de patelins qui mettent à dispo des zones pour CC gratos (regarder sur les cartes). Pour les grandes villes, il y a des parkings pour CC à la journée, env 10$ (6eur) : ex. le parking sur le port (pas celui des arrivées de ferry) à Wellington, en plein centre ville.
La formule CC permet d’être plus autonome et tu n’as pas a remballer tout tous les jours (si tu es en famille, tu sais de quoi je parle).

Vous m´avez faite mourir de rire! Chapeau!

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