Bonjour,
je désirerai l’expatrié en cote d’ivoire. Je suis donc à la recherche d’un emploi.
J’aimerai savoir quels sont les profils recherché pour l’expatriation dans le domaine scientifique.
Les sites d’offre d’emploi journalier:
http://www.rmo-jobcenter.com/fr/cote-d-ivoire/offres-emploi.html
http://emploici.net/
http://emploi.educarriere.ci/index.php?page=offres
Le domaine de recherche scientifique n’existe pas vraiment ici… ou très peu connu, à moins que tu recherches dans le domaine médical
bonjour,
c’est très simple, pour un expatrié français ( ou autre) qui souhaite travailler en côte d’ivoire(ou en afrique en général) il faut avoir une profession qui n’est pas déjà connue et occupée par des ivoiriens ou avoir un grande expérience dans une profession peu connue et recherchée, mais dans tous les cas il faut prouver que l’on est capable de gérer du personnel, les encadrer, les former. Ce n’est pas comme en france où vous allez occuper un poste dans une société avec des collaborateurs du même niveau que vous. Si les africains ont le même niveau que vous ils n’ont pas besoin de vous et le gouvernement ne vous donnera jamais la possibilité de travailler, car ne l’oublions pas, les expatriés sont censé travailler en afrique avec un but, celui de permettre à un africain suffisamment formé d’occuper le poste dès que possible.
salutations.
Louis.
Travailler en Côte d’Ivoire ou en Afrique c’est comme partout, avoir des compétences qui vous ferons préférer à un local . le mythe du blanc qui débarque de sa métropole pour mener à la baguette ces pauvre chou c’est fini. et le statut d’expatrié est en général celui du français qui travaille dans une boite française et qui est envoyé dans la filiale en Afrique ce qui est différent d’une personne qui s’expatrie mais qui cherche du travail sur le marché africain et donc qui recherche un contrat local.
2 méthode de recherche possible:
- contacter les multinationales qui y sont implantés mais avec des représentation en France
- partir directement là-bas et prospecter qui vous le ferez en France
Petite précision chercher un boulot de scientifique ne veut absolument rien dire, il vous faut une qualification précise, avec diplômes & expérience et un CV
je suis technicien chimiste dans le nucléaire actuellement.
bonjour “dav soul”,
le " mythe du blanc qui fait marcher les noirs à la baguette " c’est une image dont on peut parler quand on l’a vécu ou du moins quand on a passé des années avec les Africains et qu’on a pu écouter les anciens expliquer leur jeunesse et leur vie professionnelle, car il y aurait beaucoup à dire.
de toute façon on va dire que cela n’existe plus depuis l’indépendance, ce qui a changé c’est que les africains font marcher les africains et ce n’est pas à la baguette mais c’est pire. On peut en parler…!
revenons-en au contrat expatrié qui, selon vous, n’existe que si l’expatrié est envoyé en Afrique avec un contrat d’une société Française (par exemple) et sinon c’est un contrat local.
Vous confondez, on peut avoir un contrat expatrié qui est signé localement et qui comprend un salaire expatrié plus tous les avantages liés à l’expatriation au même titre qu’un contrat d’expatrié envoyé par une société française, la seule chose qui peut éventuellement manquer c’est la prise en charge des cotisations retraite et chômage par l’employeur.
Il y a des “blancs” qui se font embaucher par des employeurs Africains en contrat local avec un salaire à peine meilleur que les Africains et sans autres avantages, qui vivent au quartier (comme on dit) et on les surnomme “petits culs blancs” ça veut tout dire…! Toujours est-il que ces gens là n’apportent rien aux Africains qui ont besoin de repères, de formations, de conseils professionnels, de conseils aussi familiaux, d’aide et j’en passe. Ce n’est pas en vivant au quartier qu’on donne l’exemple et d’ailleurs les Africains n’ont aucune considération envers ces personnes.
pour en revenir à la personne qui est dans la recherche nucléaire, il n’y a aucun débouché en Afrique car il n’y a pas de recherche nucléaire ou du moins s’il y en a elles sont coiffées par un pays européen qui fourni des professionnels et des formateurs. C’est à ces “sociétés” qu’il faut s’adresser pour avoir un poste éventuel.
Il me semblait pourtant que dans ces écoles on expliquait aux étudiants la marche à suivre après l’obtention des diplômes pour obtenir de l’emploi…!
salutations.
Louis.
merci pour tes infos
Merci pour vos réponse.
pour le moment je suis dans la recherche nucléaire. Mais Ce que je fais ou certaine techniques que j’ai ou que j’utilise sont appliquable à d’autre domaines (laboratoire de contrôle qualité, de recherche…).
bonjour “toto”,
il y avait la possibilité de travailler en contrôle qualité dans une grosse usine de pâte à papier par exemple mais les usines connues en Afrique ont malheureusement fait faillite comme celle du cameroun à edea où j’ai travaillé et d’autres n’ont pas été terminées comme celle du gabon.
ces usines possédaient des laboratoires de recherches et des systèmes de fonctionnement assez sérieux pour que l’on ai besoin d’ingénieurs expatriés compétents. A edea nous étions 56 cadres expatriés entre les chantiers d’exploitation et l’usine c’est vous dire l’importance de cette société de 3500 employés locaux qui a fermé du jour au lendemain à cause d’une mauvaise gestion.
le problème c’est qu’il n’y a pas de grosses entreprises fabriquant des matériaux qui nécessitent des postes aussi élaborés.
Essayez les pétroliers qui ont des plateformes d’exploitation en mer mais aussi des laboratoires destinés à la recherche à terre dans les pays Africains concernés.
salutations.
Louis.
Bonjour,
Je suis tomber amoureux d’Abidjan, et je compte partir vivre la bas. Je suis fonctionnaire territorial, je suis responsable du service déchets et propreté dans une intercommunalité. J’ai une expérience de 7 ans dans ce domaine. Je m’occupe principalement du budget, des p,annings, du management et du suivi des tonnages et de la revente des matériaux.
J’ai 48 ans. Si vous connaissez une entreprise, qui recherche un homme qui a mon profil, faites le moi savoir.
Merci.