Ce samedi 27 juillet, je regagne les vestiaires pour constater que mon casier est ouvert. Blouson absent. La police est déjà sur les lieux. 7 casiers ont été forcés au pied de biche, dont le mien.
Dans mon blouson, il y avait TOUT. 700 euros, CNI, passeport, papiers de la voiture, téléphone, clé de la voiture etc, etc… Je ne laisse pas grand chose dans la tente et rien dans la voiture.
En HONGRIE, ne soyez pas prudent, méfiez vous de tout. A HEVIZ !!! un établissement thermal à fréquentation internationale.
Le même jour, un estivant anglais s’arrête dans le bar du village où se trouve le camping. En sortant, assommé, c’est une femme qui le trouve dans le fossé du bord de la route, et appelle la police. Il passe plusieurs heures à l’hôpital, et la police le ramène au camping à 2 heures du matin.
Dans le même camping, l’an dernier, c’est un couple hollandais qui a vu sa caravane cambriolée en plei jour. Le camping est clôturé, avec un portail à code.
Le samedi 4 août, il devait y avoir une “fiesta” au camping. Elle n’a pas eu< lieu, l’organisateur s’étant fait volé sa voiture le matin même.
La propriétaire du camping s’est fait voler son sac à main sur le parking d’un supermarché Tesco, ce printemps.
Pour moi, la Hongrie, c’est fini !!!
Anonyme2
Ce ne sont pas les Hongrois qui volent!
rolandp3
Ben, non, voyons, ce sont les personnes âgées, qui sont en cure thermale, qui s’équipent de pieds de biche, pour fracturer les casiers de leurs petits camarades…
De toute façon, on se fiche de qui le fait. Le problème, d’après le site du Ministère des Affaires étrangères, est qu’il y en a beaucoup.