ouvrir une boulangerie au bresil:bonne idee?

Forum Brésil

bonjour a tous.
etant allé au bresil plusieurs fois je suis tombé amoureux de ce pays et je reve de m y installer
voila je suis boulanger de profession et ayant un capital de depart pour creer mon entreprise je projete d ouvrir une boulangerie dans le nordeste.
le pain est il apprecié des bresiliens?
bref ouvrir une boulangerie peut elle etre une bonne idee?
merci d avance pour vos conseils et renseignements.
fredo

Bonjour,
Ouvrir une boulangerie française c’est une bonne idée, et les brésiliens adorent le pain français, les croissants etc…mais, attention,renseignes toi bien avant, sur les farines à utiliser, le beurre aussi. Ici il contient beaucoup d’eau et les résultats ne sont pas toujours à la hauteur de tes espérances.
Il y a un français qui a ouvert à Fortaleza, une super boulangerie il y a quelques mois, et il a fermé au bout de très peu de temps. Nous l’avons rencontré et il nous a avoué ne pas s’etre renseigné sur les produits brésiliens, et ne pas avoir fait de tests avant d’ouvrir. Il nous a fait gouter son pain et ses quelques patisseries…! Lui meme n’était pas convaincu de leurs qualités.
Si tu veux plus de renseignements, je reste à ta disposition.

salut, non ce n’est pas une bonne idée parcaque ca a dejà existé et ça n’a pas marché,ici le pain est vendu au poid et ça coûte pas cher,environ 4 reais le kg ,ça depend des villes,mais la concurence est grande,toutes les grandes surface vendent du pain,les stattions d’essence s’y mettent aussi,bref,je ne pense pas que c’est un bon buisness,mais par contre la patisserie oui,ici les anniversaires sont fêtés en grandes pompes,et les gateaux sont trés cher, entre 25 et 35 reais le kl,par exemple,dans mon quartier,les gens achetent leur gateau d’anniversaire a credit,en 10 mois sans interet !!!
un autre monde pour toi,n’est-ce pas ?

Bonjour,

C’est un business possible, mais effectivement bien te renseigner sur les matières premières qui n’ont en général pas les même qualités et caractéristiques que les produits que tu as l’habitude d’utiliser.
Il faudra sans aucun doute développer la partie patisserie très appréciée, dont les marges sont plus importante que celle du pain qui bénéficie déjà d’une grande concurence.
Il te faudra également bien choisir la ville et le quartier dans lequel tu veux ouvir ton commerce.

Nick

Contrairement aux réponses précédentes, en ce qui concerne Fortaleza, puisque tu parles du Nordeste, les bonnes boulangeries qui font du pain français et de la viennoiserie française, manquent.
Par expérience, nous savons que la clientèle aisée recherche du pain français de bonne qualité. Exemple la baguette de 200g se vend R$ 2.50 soit 1 euro, en grande surface. Quand aux pains fantaisies, il n’y a pas de prix, sans parler de la viennoiserie, croissants, pains au chocolat. Ici à Fortaleza, la demande est réelle. Si la boulangerie est bien placée et propose un petit déjeuner conséquent, il y aura toujours du monde.
Si tu veux d’autres renseignements tu peux me contacter sur mon email perso. michelelascaux@hotmail.com.

Je pense que c’ est très interessant parce que il y a du marche´ pour le pain de bonne qualité. À Rio,ou j’ habite, ça marcherait sans doute. Pour la patisserie c’est ancore plus favorable. Si tu veux une partenaire bresilienne…

Bonjour,

Sans avoir l’air d’avoir la réponse à tout voilà mon conseil :
(J’ai ouvert deux commerces à São Paulo en 2002 - un PUB irlandais 'CORCORAN’S et un bar très classe ‘Sir Winston’) J’ai 5 pubs à Paris cela m’a couté 500.000 € plus deux associés etc,

  • C’est un très bonne idée - il faut ouvrir une boulangerie / patisserie - mais pas une boulangerie simple. Il y a deux concepts : 1. La Boulangerie / Patisserie idem à ce qu’on trouve en France partout qui ne fait que la vente au clients d’une surface de 50/70 m² vente et la technique 50/70m² donc, un local maxi 130/140m², le loyer d’une surface comme celle là ne doit pas couter cher moins de 2000R$ mois - Je payé pour 280 m² deux niveaux en 2002 4500R$ et 6000R$ en 2006 à SP.
  1. L’autre idée c’est La Boulangerie / Patisserie avec salle pour la clientèle qui consommera sur place. Donc, la vente à emporter et la vente assise (meilleur coefficients).

Ce qui est top c’est les produits de base sont ‘made in Brazil’ la farine les oeufs, le lait, les buiscuits, etc alors qu’avec un Pub, restaurant les bières à 70% les alcools à 90% étaient importé avec une taxe de 70/150% mon coeff était une misére de 2.50 alors qu’en France je tape les 4.75/5.20 !!! on parle argent après tout !

conclusion :
Je connais un Français ‘Le Boulanger’ Olivier Anquier il est très connu des médias la bas… il a fait fortune avec le pain qu’il vend dans plus de 300 Pao d’Açucar (supermarchés appartenant à la Famille DINIZ). Il y a de la concurence mais il n’y a pas toujours l’authentique, la touche VRAI qu’un Français pourra apporter.

Voit pas trop grand - Investit intéligent est tu sortira gagnant avec une qualité de vie INCROYABLE - GOOD LUCK

J’ai connu à Praia do forte un jeune couple qui avait ouvert une boulangerie, pâtisserie avec petit salon pour consommer sur place. Ils avaient parait-il bien étudié le marché, le village était très touristique( presque trop à mon goût). Quand j’y suis retournée 6 mois + tard, ils étaient parti; on m’a dit qu’ils étaient allés s’installer à Salvador près de l’Alliance Française mais je n’ai pas vérifié.
Ca peut marcher si tu t’installes dans une grande ville, dans un quartier riche, où les gens peuvent mettre le prix de la qualité, pas dans un quartier où les gens se nourrissent de produit de base; Bon courage. A Salvador, je me résigne à faire mon pain. Il y a une " boulangerie française sur la route"estrada do coco" mais je n’y suis jamais entrée et c’est très loin de chez moi.

j ai pense ouvrir moi aussi une boulangerie au bresil a salvador je suis moi meme boulanger, j ai renonce parceque les bresiliens aiment le pain francais mais ne sont pas pret a paye + de 4 real le kg. par contre en ce qui concerne la patisserie il y a pas mal de possibilite… avant d ouvrir une boite au bresil il faut que tu es le cartao permanante.moi j ai une idee a developper au bresil sur la boulangerie si tu es interrese mon mail herve.grente@wanadoo.fr

Il faut faire attention car la matiere premiere n’est pas la même non plus!

Bonjour,

ouvrir une boulangerie au Brésil n’est pas une si mauvaise idée, mais comme l’ont dit déjà certaines personnes, la farine est différente de celle utilisée en France. Du coup, la qualité est différente ainsi que la manière de travailler la pâte…il faut donc s’adapter ou bien alors importer sa farine…mais bonjour le parcours du combattant.
Cela fait une dizaine d’années que je vais régulièrement au Brésil : Curitiba, Rio, Sao Paulo, Belo Horizonte, Macéo, Salvador etc…et sincèrement le Nordeste est très pauvre, trop peut être pour une qualité de pain français…de plus les boulangeries au Brésil pour la plupart sont aussi des épiceries où on peut trouver aussi bien de la charcuterie que des laitages des jus de fruits ou les journaux du jour…les boulangeries de ce type proposent également petits déjeuners et déjeuners…et c’est un boulot 24 H sur 24…et une armée d’employés ! Il est clair que le pays fait rêver mais les cocotiers et les plages dorées resteront très loin de la boulangerie pendant longtemps !
En résumé, pour bien gagner sa vie en étant boulanger, mieux vaut s’installer en France !

Si je suis d’accord concernant la pauvreté du Nordeste, il y a à Fortaleza une catégorie de personnes un peu huppée qui raffolent du pain français et de sa viennoiserie. Des plages dorées et des cocotiers aussi mais ce n’est pas incompatible avec le pain.
Pour preuve, lorsque nous sommes arrivés au Brésil il y a 12 ans, en attendant de savoir ce que nous voulions faire, nous nous sommes associés à un français qui avait une boulangerie dans une favela, parce que nous savions faire du pain, des gateaux, croissants et autres.Et nous avons approvisionner les restaurants, hotels avec nos baguettes, pain de campagne, gateaux, croissants en autres, et nous étions très demandés aussi pour les buffets.
Comme nous n’étions pas venu au Brésil pour etre boulanger, nous n’avons pas continué, mais je sais qu’il y a une demande pour cela. A l’époque, le gouverneur de la ville venait lui meme acheter son pain.
Quand aux produits, inutile de faire venir de la farine d’argentine, il y en a ici qui fonctionne bien, la Soberama par exemple.

Olà!
la dernière réponse m’a paru tellement généreuse…mais effectivement il faut avoir la vocation! J’ai vécu deux ans dans une petite ville de l’Etat de Rio et actuellement je vis à São Paulo. Ce que j’en pense c’est que je suis contente et je fais des kms pour aller chercher mes croissants - et ne suis pas la seule- et ils sont comme là-bas! Alors quelle farine? J’y avais pas pensé du tout ce que je sais c’est qu’ils ne sont pas fortiches en viennoiseries -celles que nous on aime - contrairement à l’Argentine où c’est TB. A Rio aussi les viennoiseries sont appréciées; bref là où il y a un public français et un public brésilien initié! Ici c’est la ville de la gastronomie, nombreux Chefs français ou Chefs ayant été formés en France ont grand succés…peut être peux tu déjà entrer en contact avec ceux là? Ou envisager une boulangerie- pâtisserie -salon de thé plus que la boulangerie traditionnelle donc parle à juste titre Jeff; j’en connais une qui fais uniquement celà, une autre qui fait brunch au buffet et Boul-Pât, sans faire concept store - cigarettes- drugstore et eau et charbon et bref le méga -store décrit par Jeff!!! Mais çà, c’est Sampa…dans le Nordeste, la briochette- bisnagui -coûte 5 fois moins cher qu’à Sampa…tu veux faire fortune ou vivre d’eau fraîche? Bon courage tu vas trouver un compromis c’est sûr!

si quelqun peut me donner des renseignement sur le matieriel de boulangerie en vente au bresil et sur des fournisseur de matiere premieres je suis preneur !!! mon mail hervegrente@hotmail.fr

Bon jour,excuses par mon français, je suis brésilien…

Oui, les bresiliens aiment le pain, j’habite à Sao Paulo et par ici quelques petits boulangeries sont ouverts par gents qui on apris la profession en France (ou par des français) et sont bien reussis, les bolangeries traditionales bresiliennes sont toutes la meme chose, et on a besoin de noveutés.

Je crois qui une boulangerie au Nordeste peut etre une bonne idée, la bas ils ont trés peu des endroites plus elaborés, et les nouveux endroits genre petit bistrô français, etc…marchent bien.

J’espere de conaitre votre boulangerie, e j’ai une amie qui travaille comme chef dans un bon restaurant à Salvador (Gengibre)

Et bienvenu , les bresiliens aiment les gents des autres terres.

Comme information suplementaire.j’envoie un link dune boulangerie d’un français à Sao Paulo que vas trés bien (en verité, cést une patisserie, mais ils font aussi du trés bon pain.

C’est : http://www.patisseriedoucefrance.com.br/

salu.

Bonjour Cher Collegue,
j ai ouvert une boulangerie a Manille aux Philippines ou je vend des
pains aux levains et croissants a la francaise,
le marche bresilien m interresse, mais a la lecture de votre message
surroutard.com c est une aventure risque ???
Qu en est il reelement ? J utilise des farine locales importees des USA et Canada et obtiens d excellent resultats
Au plaisir de vous lire
Tres cordialement

Bon jour, mon cher ,

D’abord, encore en demandant des excuses par mon français , je crois qui on a besoin, au Bresil, des nouveux regards, des nouvelles visions et des choses bien faites.
De la farine, c’est pas un probleme

Cordialement,

Caio

je sais que les bresilien aiment le pain, ils aiment aussi beaucoup les gateaux!!! .

Fred je viens de retrouver tes coordonnées par le routard.com
Merci de prendre note de mon adresse e-mail.

A bientôt.

Bonjour,

Tu as l’air de quelqu’un de performant et de bien informé. Je me permet donc de te contacter pour savoir si tu saurait comment faire un business plan pour une pâtisserie que j’ai l’intention de monté à Brasilia. Ici,en france, impossible d’obtenir la moindre donnée stable. Si tu as une idée?..

Je suis allée à la chambre de commerce, au consulat, j’en passe et des meilleur. C’est la première fois que je dois me rompre à cette exercice.

Il faut avant tout obtenir le VISA investisseur et pour cela, les critères sont rigoureux et on ne peut y déroger:

D’après la "Resolução Normativa" RN84/09, le Ministère du Travail et de l’Emploi
(MTE) peut autoriser la délivrance d’un visa permanent au ressortissant
étranger qui souhaite s’installer au Brésil pour y investir son propre
capital provenant de l’étranger dans des activités productives.

Dans
le cas d’un investissement qui, en raison du nombre d’investisseurs
étrangers, peut causer un impacte économique et social considérable au
pays, la demande pourra être soumise par le MTE à l’appréciation du
Conseil National d’Immigration (CNI).

La
délivrance du visa est conditionnée à l’attestation d’un investissement
en devises d’un montant minimum de R$ 150.000,00 (cent cinquante mille reais), soit dans une entreprise existante, soit dans une nouvelle.

La
décision d’autoriser la délivrance d’un visa prendra en compte
prioritairement l’intérêt social, caractérisé par la génération
d’emplois et de revenus au Brésil, par la croissance de la productivité,
par le transfert de technologie et par la captation de ressources pour
des secteurs spécifiques.

Le
CNI pourra autoriser la délivrance d’un visa permanent à l’intention de
l’entrepreneur étranger qui va s’établir au Brésil pour investir dans
une activité productive, même si le montant de son investissement reste
inférieur au prévu.

Dans l’analyse d’une demande, l’intérêt social de l’investissement sera vérifié selon les critères suivants:

nombre
d’emplois générés au Brésil, moyennant la présentation d’un “Plan
d’Investissement” qui doit indiquer combien d’emplois seront créés par
an .

valeur de l’investissement, région où il sera appliqué

secteur de l’économie dans lequel aura lieu l’investissement

contribution à la croissance de la productivité ou au transfert de technologie

Le
droit de l’investisseur à sa permanence au Brésil est conditionné à
l’exécution de l’investissement sur lequel s’est fondée la délivrance du
visa.

Une
demande de visa permanent/investisseur doit se faire à Brasília,
directement à la “Coordenação-Geral de Imigração”-CGI à Brasília, par le
demandeur ou son procureur, moyennant la présentation des pièces
suivantes:

formulaire dûment rempli et signé par le demandeur (modèle fourni par la « Coordenação-Geral de Imigração »)une procuration * , lorsque le demandeur se fait représenter par un mandataire contrat social ou acte constitutif de l’entreprise qui bénéficiera de l’investissement, dûment enregistréjustificatif d’intégralisation du capital investiSISBACEN - attestation d’investissement étranger direct, à obtenir auprès de la Banque Centrale du Brésil ou contrat
de change émis par la banque réceptrice de l’investissement, selon les
codes du “Regulamento do Mercado de Câmbios e Capitais Internacionais”-
RMCCI qui caractérisent un investissement étrangerjustificatif original du paiement des taxes individuelles d’immigration au nom du demandeur (l’entreprise)justificatif
de présentation par l’entreprise bénéficiaire de sa plus récente
déclaration d’impôt sur le revenu au fisc brésilienPlan
d’investissement conforme aux exigences de génération
d’emplois/revenus, de croissance de la productivité, de transfert de
technologie et de captation de ressources pour des secteurs spécifiques
au Brésil extrait de casier judiciaire nr.3 récent (moins de trois mois), sans mention

L’extrait émis depuis plus de trois mois ne sera pas accepté.

si le demandeur se trouve à l’étranger, il la dressera chez un
notaire, ou bien il la rédigera lui même et suivra les instructions sur
www.cgbresil.org / Informations consulaires / Procurations.
Le
MTE informera le Ministère des Relations extérieures de son
autorisation pour qu’un visa soit délivré par les Ambassades, Consulats
ou Vice-consulats brésiliens à l’étranger.

Veuillez vous adresser au Consulat général pour savoir si les autorités brésiliennes concernées ont donné leur accord à la délivrance du visa,

Le demandeur notifié de l’arrivée de l’autorisation pour son visa doit présenter les pièces suivantes :

passeport ayant obligatoirement deux pages vierges au minimum et une validité d’au moins six mois à compter de l’entrée au Brésil. Le passeport biométrique ou de lecture optique n’est pas exigé 1 document contenant les noms complets des parents (original ou photocopie) formulaires de demande de visa dûment remplis et signés par le demandeurune photo récente, format identité (3,5 x 4,5), de face sur fond clair
extrait de casier judiciaire nr.3 récent (moins de trois mois), sans mention L’extrait émis depuis plus de trois mois ne sera pas accepté.
mandat compte de 200€
Sur
sa première “Cédula de Identidade do Estrangeiro”- CIE (titre de
séjour) sera notée sa qualité d’investisseur; il lui sera permis un
séjour de trois ans.

Il
incombe à la Police fédérale brésilienne de remplacer une CIE périmée
et de fixer la validité de la nouvelle carte, d’après la loi no. 8.988,
du 24 février 1995, moyennant la confirmation que son titulaire est
toujours un investisseur au Brésil.
(source: site du consulat du Brésil en France)
Noter que cet investissement est un minimum et que très souvent il est bloqué “un certain temps” avant qu’on puisse l’utiliser à des fins pratiques. Ce “certain temps” est parfois suffisamment long pour que, si on n’a pas des réserves supplémentaires, il suffit à couler le projet (lenteur des formalités administratives au Brésil et ne vous laissez pas prendre par des aigrefins qui vous certifieront que moyennant finances ils peuvent accélérer les choses: 99 fois sur 100, autant jeter le fric à la mer)
Autre chose: contrairement à ce que j’ai lu plus haut, il est difficile de trouver au Brésil une farine panifiable de qualité équivalente à celle qu’on utilise en Europe. C’est pour cela que le pain local est très “aéré” parce que levé de façon extrême. Je ne dis pas que c’est impossible, mais il y a des tests à faire et une sécurité d’approvisionnement à établir.
Bonne chance pour la finalisation, mais pour réussir il faut être conscient de toutes les difficultés.
Cordialement

BonjourLa farine bresilienne n.est pas.de.bonne qualitee . la faine manque de force( glutene) et trop fine calibre 45 mais jepense que l on peut en trouver en argentine…le seigle n est pas cultive aj bresil donc pains.speciaux delicats a produire priivilegie les viennoiseries au pains j ai une idee dans se.domaine pour des.personnes motives

cdt

Merci beaucoup pour toute cette précision. Mes meilleurs sentiments.

Je vis 5 mois par an au Brésil et je fais mon pain moi-même. Je vais chez le boulanger du coin qui me vend de la farine à pain sinon vente par 25kg dans les atacadão . Donc la farine panifiable existe. On peut y ajouter un peu de farine intégrale ou complète pour augmenter le taux de gluten. Pour les temps de fermentation, il faut tester avec la chaleur ambiante.

à St Georges de l’Oyapock, sur la frontière guyano-brésilienne, j’ai renoncé à la farine brésilienne pourtant exactement trois fois moins chère.
Ensuite, par miracle il y a eu un atacadão qui vendait de la farine argentine satisfaisante.

En revanche, la levure achetée au Brésil me donnait plus satisfaction.

De toute manière, au Brésil, on vend peu de pain, donc le créneau sera réduit aux “gente fines” dans les mégalopoles. En revanche la pâtisserie peut très bien marcher, à mon avis.

faire du pain avec une mauvaise farine ok tout est possble mais quid de.la.qualitee francaise?le climat chaud et humide e bahia et un avantage et une.contrainte techniquement je travail avec un levain exlusif s de.ma composiion et a 100% vegeta. ma production de.pain et uniqueement pour notre conso.perso

bonjours, je suis boulanger pâtissier je souhaite ouvrir au brésil avec une ou plusieurs personnes un commerce en rapport a se métier, merci

Bonjours, je prépars mon expatriation brésilienne pour le mois d’octobre ,et l’idée d’ouvrir une boulangerie patisserie me tente vraiment ,je n’ai cependant aucune formation dans ce domaine c’est pourquoi une associon pouurais etre la solution! je reste a dispo et vous laisse mon mail :dim111 @hotmail.fr

Bonjour,
J’aimerais attirer votre attention sur une intéressante opportunité d’investir à Lençóis, Chapada Diamantina, état de Bahia. Je cherche à revendre un commerce, anciennement structuré comme boulangerie (matériel inclus), parfaitement localisé au milieu de la rue la plus passante de la ville. La Chapada Diamantina est une formidable région touristique, en plein essor économique, et son portail, la charmante ville de Lençóis (voir Turismo e viagem para Lençóis - Férias em Lençóis - TripAdvisor), est un endroit idéal pour un investissement rapide et rentable. Prix : 30000 R$ à négocier, environ 10000 R$ de travaux à prévoir (surface : 50m²). Potentiel pour être utilisé comme boulangerie (projet initial, que j’ai abandonné faute de moyens) ou transformé en restaurant, bar, magasin ou autre. Loyer : 1000 R$ mensuels. Vous pouvez me contacter en MP pour plus d’informations.
Merci de partager aux personnes que cela pourrait intéresser, y compris en France car je suppose que des personnes doivent être exactement à la recherche d’une telle opportunité.
Némo (Némo Guide Chapada)

présuppose qu’on a réglé les permanences de séjour.

Le site “itamaraty” (site officiel de la diplomatie brésilienne) indique on ne peut plus clairement que la propriété de quelque bien que ce soit ne donne nullement droit à un visa permanent.
En outre il semble que le pays veut élever de façon conséquente le seuil d’investissement minimal pour avoir le droit à un VIPER investisseur.

Régler ce point AVANT d’investir.

Cela dit, bonne chance au vendeur.

Effecctivement, pour pouvoir investir dans un tel commerce il faut : être détenteur d’un visa permanent (visa investisseur avec un seuil très élevé, mariage ou autre), s’associer avec un brésilien ou une personne détentrice d’un tel visa (y compris un prête-nom, une “laranja” comme on dit ici), effectuer de courts séjours répétés avec un visa touristique (de nombreuses personnes sont dans cette situation ici).

C’est 90j maxi par période de 180j, soit 180j nettement dissociés au total dans l’année.
Il ne suffit pas de ressortir brièvement pour recharger comme c’est le cas par exemple au Paraguay

Bonjour,

si vous êtes toujours ern recherche de projet et partenaire/associé pour monter une affaire de Boulangeire-Patisserie au Brésil, je vous invite à me contacter. Je travaille actuellement sur un projet á fort potenctiel de croissance dans une ville de haut pouvoir d´achat de l´état du Paraná.
Cordialement.

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