Voici un ensemble de conseils suite à notre voyage en Équateur en octobre 2010.
Le prix affichés pour les hôtels sont ceux d’une chambre double sans petit déj (parfois négociés).
N’hésitez pas à poser des questions
Quito:
Nous avons dormi à l’Auberge Inn (22.5$) et à l’hôtel Flores (20$).
Auberge Inn, correct, chambres propres et au calme, peuvent être un peu fraiches. Buffet petit déj sympa (en sus). Internet payant (wifi gratuit), resto suisse et agence de voyage ouverte en semaine.
hôtel Flores: dans le Quito Colonial, assez calme et joli patio, sans petit déj. Correct sans plus.
Pour les déplacements, absolument tout le monde déconseille les trolleys à cause des pickpockets visiblement experts, et depuis peu les terminaux de bus ont migré à la périphérie, donc avec le gros sac à dos, le taxi est plus cher mais plus sur et plus pratique. Pour les terminaux, c’est assez simple, pour le nord du pays (Ibarra, Otavalo) et et le nord-ouest (Esmeraldas, Mindo, …) c’est le Terminal Calderon au nord. Pour le sud (Latacunga, Banos, Cuenca, Guayaquil, …), c’est le terminal sud. Hormis depuis l’aéroport, nous avons trouvé moins cher de négocier un prix fixe pour le taxi que d’utiliser le meter, mais c’est proche.
Otavalo:
A un peu moins de 2h de bus de Quito. Arrivés vers midi un samedi, nous avons raté le marché aux bestiaux. Au delà du marché pour touristes, le marché local alimentaire est sympa, mais rien de plus qu’une ville moyenne partout dans le pays.
Souhaitant dormir chez l’habitant, nous sommes passés par une agence qui se situe sur la place du marché touristique. Pour 27$/personne, on nous amène dans la région de Cotocaxi, on partage diner et petit déj dans une famille indigène, dort chez eux (petits bungalows aménagés contre la maison ou dans le jardin) et on nous ramène à Otavalo. Nous avons séjourné dans la communauté Santa Barbara. Ce que nous avons apprécié c’est la simplicité avec laquelle nous avons été accueillis, pas de “petits plats dans les grands”, le repas normal, la télé allumée sur les infos, chacun vaquant à ses activités tout en étant attentif envers nous si nous avions un besoin particulier. Même si ce n’est pas complétement authentique (le bungalow fait pour les touristes), je recommande.
Grâce à eux, nous nous sommes fait conduire à la lagune Cuicocha qui est proche. Bonne intro à la marche en altitude, pas trop long (4h), pas trop haut (entre 3100 et 3400m). Nous avons fait le tour par la gauche, ce qui est une bonne idée mais nous aurions du écouter notre chauffeur qui proposait de nous conduire à Los Piños, ce qui nous aurait épargné 45 minutes de marche sur route inintéressante sans la vue sur la lagune.
En finissant le trek vers 13h nous avons le temps de redescendre à Otavalo et regagner Quito avant la nuit.
Mindo:
Il existe deux façons de rejoindre Mindo en bus. Le direct qui ne part pas encore du terminal nord, mais seulement 2 à 3 bus par jour. Les bus qui vont vers la cote nord-ouest et qui stoppent sur la route à quelques kilomètres de Mindo. Bonne fréquence pour ces bus que l’on prend au terminal nord (Calderon) en demandant juste “Mindo” même s’il ne s’y arrête pas.
Il dépose donc à un carrefour en haut de la vallée et de la, des pickups vous descendent pour 3$. Si on est seul, c’est cher, si on est plus, c’est le même prix.
A Mindo, nous avons dormi à l’hostal El Descanso. (32$ petit déj inclus). Gros avantage de cet hôtel: le jardin avec des dizaines de colibris à quelques mètres (j’ai même vu un toucan au matin). Mindo est couru le week-end et blindé de quiteños, à éviter aux dires de français qui habitent la bas depuis quelques mois. Cela explique aussi les prix un peu élevés.
Je recommande le resto italien (trattoria sur la droite au milieu en remontant la rue principale) dans la rue principale où nous avons mangé le meilleur poisson (tilapia) de tout notre voyage (moins de 8$)
Nous avons fait la balade des cascades avec la tarabita (nacelle sur câble qui traverse une vallée). Sans guide, un peu déçus car peu d’oiseaux… Et puis le tarif pour s’y faire conduire est exorbitant (8$ pour 6 kilomètres). Nous sommes revenus à pieds par la route (un peu plus d’une heure) et avons vu quelques oiseaux en chemin.
Si vous voulez vraiment voir des piafs à Mindo, je pense qu’il faut se renseigner voire faire appel à un tour ou un guide.
Latacunga:
Petite ville à 2h au sud de Quito. Intérêt limité mais idéalement placé pour Quilotoa et Cotopaxi.
Ayant lu de bonnes critiques sur le net, nous sommes allés à l’hostal/cafe Tiana (8$/pers en dortoir, petit déj frugal inclus). Grosse déception: il est vrai que nous sommes arrivés tard (vers 20h30) et congrès de docteurs en ville oblige, plus aucune chambre n’était libre nous faisant atterrir dans un des dortoirs. Mais cela n’explique pas le gars à la réception ivre, la porte du dortoir défoncée qui ne ferme pas et impossible à bloquer (et il fait frais la nuit à 2800m), et cerise sur le gâteau, un autre membre de l’hôtel, cuvant lui aussi, enfermé dans le local servant à garder les sacs qui tambourine pendant 1h à 4h du mat pour qu’on vienne lui ouvrir. Nous avons eu vent d’autres histoires similaires.
Bref, cela ressemble à une adresse qui a du être un bon plan mais qui est maintenant victime de son succès, faute d’un management digne de ce nom. Je déconseille vivement pour la partie hôtel, la partie resto est pas mal (mais service lent)
Suite à cette mauvaise expérience, nous avons migré à l’hôtel Central à notre retour de Quilotoa (18$ petit déj inclus). La patronne Viola, palestinienne d’origine, est adorable, ce qui compense les chambres sans grand charme et un peu vieillottes mais très clean. Elle nous a gardé nos sacs pendant les 3j autour de Quilotoa, et même offert un petit cadeau lors de notre départ (après seulement 2 nuits passées chez elle et même si nous lui avions amenés des clients). A noter aussi la terrasse d’où l’on voit la place centrale de Latacunga et si vous êtes chanceux comme nous, le Cotopaxi. Une adresse sans chichis mais à l’accueil chaleureux.
Quilotoa:
Nous avons fait la “boucle” en 3j, à savoir, J1 Latacunga à Quilotoa via Zumbahua et laguna Quilotoa, J2 Quilotoa à Chugchilan, J3 Chugchilan à Latacunga via Sigchos
Il existe un bus direct Latacunga-Quilotoa (via Zumbahua) qui part du terminal terrestre entre 9h30 et 10h la matin et relie Quilota en 2 bonnes heures.
A Quilotoa, on dort plus ou moins chez l’habitant, c’est sommaire surtout si comme la nuit où nous sommes arrivés, il n’y a pas eu d’électricité pendant 2h et jamais d’eau dans notre chambre: hostal Pachamama, 20$ (diner et petit déj inclus, mais pas de chauffage contrairement à ce qu’écrit un guide). Pour prendre une douche, le proprio nous a conduit aux Cabanas Quilotoa, même niveau de “confort”. Sinon dormir à 3900m d’altitude dans une chambre sans chauffage, c’est sympa mais frisquet (ils ont assez de couvertures, pas d’inquiétude, sauf pour le bout du nez rouge ;))
La maison d’avant Pachamama fait aussi hôtel, mais sa cuisine est surtout plus sympa (salle à l’étage) et sert un bon almuerzo.
Pour aller vers Chugchilan, si on ne veut pas prendre de guide, mieux vaut avoir des instructions car les marques ont été délibérément effacées par les pseudos guides… Certaines agences à Latacunga ont des photocopies ou sinon suivre les instructions qui suivent (que j’avais récupérées auprès de Doris et Olivier, merci à eux, et que j’ai un peu complétées):
La boucle de Quilotoa en solo sans se perdre ou presque (randonnée de 4 à 5h) :
- Du point de vue du village de Quilotoa, repérer le 3ème banc de sable le long de la crête du cratère. Il est plus bas que les autres et est à ¼ de distance du point de départ de la randonnée.
- Suivre le chemin le long de la crête. Au premier banc de sable prenez le chemin en face à droite qui monte et surtout pas ceux qui bifurquent sur la gauche.
- Arrivé au troisième banc de sable, prendre le chemin qui descend sur votre gauche. Ce chemin est très sablonneux. Normalement et si la visibilité vous les permet vous voyez Guayama et Chugchilan. Vous arrivez sur une bifurcation avec une maison à votre droite, prendre le chemin de gauche qui descend (les chiens vous orienterons là dans tous les cas à force de vous aboyer dessus pour défendre leur territoire).
- Vous arrivez sur une grosse route en terre, prendre à gauche sur la route et après 5 à 10 minutes, il y a un petit chemin sur votre droite. Empruntez ce dernier pour arriver sur le village de Guayama (il traverse des propriétés)
- A Guayama, suivre la route jusqu’au bout du village. Vous débouchez sur le cimetière. Prendre à gauche en longeant le cimetière (normalement une flèche bleue vous indique le bon chemin) et reprenez une grosse route en terre.
- Après 10 à 15 minutes sur la grosse route, apparaît juste avant un virage à gauche un bosquet de sapins (en oct 2010, une maison de bois était en construction). Au niveau de ce bosquet, un chemin peu visible (cherchez bien) s’enfonce dans un canyon en face légèrement sur votre droite (oui, oui c’est bien ce chemin, peu avenant !). Prenez-le, si vous traversez un pont en bois au bout de 5 bonnes minutes, c’est la bonne route !
- Vous allez descendre, descendre. Il y a une seule bifurcation où vous prenez le chemin de droite jusqu’à une rivière avec une planche pour la traverser. Ensuite le chemin remonte, à la première bifurcation à gauche, puis ça monte et monte. Vous ne pouvez pas vous perdre. Vous êtes arrivés.
Balade superbe, paysages andins, champs en pente, canyons, vue sur les volcans Ilinizas, villages, …
A Chugchilan, l’adresse recommandée et qui tient ses promesses: Mama Hilda (34$ sdb partagée, diner et petit déj inclus). Excellent accueil, jolis bâtiments, agréable jardin, très propre, salons sympas, cuisine excellente et copieuse. Pas grand chose à faire au village mais allez voir les matchs acharnés d’ecuavolley sur la place centrale en fin d’aprem.
Pour rentrer sur Latacunga, la belle affaire ! Est-ce parce que des pickups existent qui peuvent vous emmener à Zumbahua ou Sigchos pour 20-25$ ? Il est impossible d’avoir des infos fiables via les habitants ou les hôtels… A notre arrivée en début d’après midi nous avons demandé si un bus existait. “Non non, rien avant demain matin”. nous avons vu deux bus passer pour Sigchos (nous avions décidé de rester). Le lendemain, seul un bus à 3h du matin était sensé exister. Nous avons opté pour le camion de lait passant vers 9h. Mais en l’attendant, vers 8h45, un bus direct vers Latacunga s’est pointé et même si nous n’avons pas pu tenter l’expérience “milk truck”, on était bien contents de trouver ce bus direct (3h pour Latacunga)
Nous avons vu des voyageurs se trainer leur gros sac sur cette boucle. Aucun intérêt car tous les hôtels de Latacunga vous gardent gratuitement vos sacs. Pour manger et boire, très peu de choix, si vous êtes allergique aux almuerzos, mieux vaut éviter, mais ce serait vraiment dommage de passer à coté d’une telle région…
Cotopaxi
Nous sommes passés par l’agence recommandée par l’hôtel/cafe Tiana (dans la rue, juste en face). pas de chance peut-être mais notre guide était nul. Gras, des blagues nulles et limites insultantes, donnant très peu d’infos, et le pire, il n’avançait pas. J’ai mis 35 minutes pour monter du parking au refuge, il est arrivé hors d’haleine 20 minutes après. J’ai même cru qu’il ne nous accompagnerait pas au delà alors que je voulais vraiment aller plus haut et franchir la barre des 5000m (inédit pour moi). Finalement, il nous a suivi (de loin) et rejoint à 5200 semblant un peu moins peiner sur cette partie (il avait du se doper au refuge ;)), mais bref c’était plus un boulet qu’autre chose, donc méfiance.
Nous avons payé 40$/pers (plus 10$ d’entrée au parc, c’est le même prix partout) et ça inclut le trajet AR, le déjeuner et la grimpette au refuge ou plus si affinités (hors partie glacier bien sur). Beaucoup de vent là haut, gants/bonnet et vêtements coupe-vent indispensables, crème solaire et lunettes tout aussi obligatoires. Mais si vous avez beau temps, c’est juste grandiose.
Baños
Ville différente et peu authentique à nos yeux car très touristique. Contrairement à beaucoup de villes, ici le terminal de bus est quasi dans le centre, on peut se passer de taxi pour aller à son hôtel. Hostal Leon 16$. Joli petit hôtel mais accueil impersonnel, aucune info, même pas celle qu’il fallait réserver son petit déj la veille sinon la cuisinière ne se déplace pas…
Il pleuvait lors de notre descente de la route des cascades en VTT, donc avis plus que mitigé, mais je peux quand même dire que c’est la route des dollards. A chaque arrêt, on peu facilement se délester de 1, 2, 5$ voire plus (saut à l’élastique) le pompon étant une tarabita qui te descend moyennant finance à un pont. De l’autre coté du pont se trouvent 2 cascades. Pour aller en face des cascades, il faut repayer 50 centimes. C’est rien mais j’appelle ça du racket.
Quand aux bains du soir (de la Virgen), un peu cher pour ce que c’est (vestiaires béton sans douche)
Riobamba
Ville camp de base pour le Chimborazo et 4 autres volcans, et le train du Nariz del Diablo. On la dit sans charme, nous l’avons trouvé presque agréable. On recommande le marché dans des halles ouvertes près du centre (vers le nord-est), ouvert jusqu’à la tombée de la nuit.
Hôtel La Estacion 24$. Surtout éviter les chambres du fond (une fois n’est pas coutume) car le système de pompage d’eau est dans la cour et malheureusement très bruyant. Sinon, c’est une adresse correcte, sans plus.
Chimborazo:
Grâce à vous j’avais lu le plus grand bien de la descente en VTT du plus haut volcan d’Equateur. Je confirme et j’ajoute l’agence trouvée ici que nous recommandons chaudement: Pro Bici. La boutique ne paye vraiment pas de mine (bureau à l’étage d’un magasin de tissus), mais ils sont hyper pros / hyper gentils. Des vélos super qualité, nombreux conseils, une organisation bien huilée, un rapport qualité/prix imbattable: de 35 à 50$ selon l’itinéraire choisi, et ce sont les seuls à faire vraiment un parcours hors asphalte car ils ont un accord avec les villages des environs ce qui leur permet d’emprunter les chemins à travers champs et villages sur le dernier tiers du parcours. (les autres tours que nous avons vu ne sont quasi que sur la route)
On recommande l’option forêt de Polylépis, un étonnant bosquet à 4300m d’altitude.
Départ 8h30, retour 19h, une longue et très belle journée.
Cuenca:
Hôtel Milan 25$. hôtel qui nous avait été conseillé, et après les 6h de bus depuis Riobamba, nous n’avons pas cherché autre chose. Correct, bien placé, mais un peu bruyant sur rue. D’ailleurs, c’est le coté décevant de Cuenca. malgré son classement Unesco depuis des décennies, la circulation dans le centre-ville historique est la même que dans les autres villes du pays, les antiques bus crachent leur panache gras et noir, les trottoirs sont étroits, et à mon avis ça gâche un peu le plaisir.
Pour le parc de Las Cajas, nous avons eu la chance de rencontrer un couple d’ornithologues français qui nous y ont conduit. Donc pas d’info pratique mais allez-y si vous pouvez, c’est superbe et assez différent des autres paysages de la Sierra.
Guayaquil:
Juste une nuit au Dreamkapture Hostal $22.50 (sdb partagée). Seul avantage: près du terminal de bus et de l’aéroport. Dans une banlieue, enceinte sécurisée, correct, bon accueil.
Galapagos:
Nous avons négocié notre vol+croisière avec Palmar Voyages sur place depuis Quito 12 jours avant le départ. Super bien reçus par Isabelle. C’est pas simple, ils appellent en direct les agences une à une en fonction de vos demandes (dates, prix, parcours,…). Ils n’ont pas forcement tous les catalogues (pareil ailleurs). Mais au final, on a trouvé un très bon deal: 5j sur un classe turista superior, le Yolita II, pour 850$/pers. Pour le vol, Guyaquil-Santa Cruz-Quito, 350$ (basse saison) avec Tame. Autre soucis, ils chargent 8% en plus si on paye par CB (même chose ds toutes les agences). Du coup, nous sommes sortis retirer chacun 600$ en liquide (max possible) au centre commercial proche El Jardín. (Banco Pacific). Et pour le vol, on a pu le payer par carte sans la com, donc au final on s’en est bien tirés, mais tout cela prend du temps…
Ce post était un post de conseils pratiques, je ne vais pas vous raconter notre croisière en détail, mais nous avons été très satisfaits du Yolita II, et également de notre guide Washinton, intéressant, cultivé, drôle, super plongeur, imitant les sons émis par tous les animaux rencontrés.
Pour ceux qui partiraient maintenant, sachez que suite à un exceptionnel El Niño cette année jusqu’en juillet, la Niña qui a suivi génère des courants plus froids qu’à l’habitude. L’eau était donc à 14-15° fin octobre (oui, vous lisez bien…) donc la combi intégrale quasi indispensable. Tous les bateaux que nous avons croisé et le notre en étaient équipées et il se sucrent sur la loc… cependant, voir raies, requins, tortues marines et lions de mers en une seule sortie snorkelling, ça n’a pas de prix
Nous avions choisi de rester un jour de plus à Puerto Ayora. La balade vers Tortuga Bay (1h aller) est sympa mais quand on arrive de 5 jours de croisière… Tout y est environ 2x plus cher que sur le continent (hôtels, restos, …) Nous avons dormi au B&B Peregrina, 44$. Bon plan diner: une petite rue dans le centre à 2 quadras du front de mer envahi le soir par des tables en plastique. Fréquentés par les locaux, ces petits restos de rue servent entre autres des plats de langouste pour 14$ (contre minimum 20$ dans les hôtels du front de mer).
Pour rejoindre Baltra (aéroport), prendre un pickup jusqu’au terminal de bus (1$) et ensuite le bus jusqu’au ferry (environ 2$), le ferry coute moins d’1$ et de la les bus sont gratuits jusqu’à l’aéroport.
Remarques générales:
- il est important de connaitre 3 mots d’espagnol car même dans les hôtels, rares sont les réceptionnistes qui parlent anglais
- nous n’avons eu aucun soucis de sécurité, la seule précaution que nous avons respecté étant de ne pas mettre nos sacs de journée dans les compartiments hauts des bus.
- les équatoriens sont des gens charmants et ils sont contents de vous renseigner, n’hésitez pas à demander votre chemin ou tout autre info dans la rue