Voyage Surinam
Que faire, que visiter en voyage Surinam
Un immense pan d’Amazonie abandonné à la faune et aux chercheurs d’or clandestins, des villes coloniales à l’empreinte hollandaise, des maisons de bois à balcons, des casinos, le rose indien d’un sari qui vole au vent, de jeunes filles en couettes, uniforme et chaussettes blanches défilant dans les rues, un fumet épicé s’échappant des très populaires warungs (petits restos d’origine javanaise), des rues où s’alignent indifféremment églises, temples hindous et mosquées … voici le Surinam.
Vous n’en avez jamais entendu parler ? Jetez un coup d’œil sur la carte de l’Amérique du Sud. Le Surinam est là, blotti à l’ouest de la Guyane française. Nommé sans doute d’après un peuple amérindien jadis implanté sur ces côtes, voici l’un des pays les plus multiculturels, multiethniques et polyglottes du monde !
Mais le Surinam, c’est aussi un territoire affichant l’une des plus faibles densités de population de la planète, où la nature règne encore largement dès lors que l’on quitte l’étroite bande littorale. Avec plus de 90 % de forêt et 11 réserves naturelles, le Surinam s’engage à fond dans le développement de l’écotourisme. Au programme : longues remontées en pirogue des fleuves, pêche au poisson-chat géant et découverte des villages marrons éparpillés sur les rives, où résonnent encore les tambours.
Vous n’en avez jamais entendu parler ? Jetez un coup d’œil sur la carte de l’Amérique du Sud. Le Surinam est là, blotti à l’ouest de la Guyane française. Nommé sans doute d’après un peuple amérindien jadis implanté sur ces côtes, voici l’un des pays les plus multiculturels, multiethniques et polyglottes du monde !
Mais le Surinam, c’est aussi un territoire affichant l’une des plus faibles densités de population de la planète, où la nature règne encore largement dès lors que l’on quitte l’étroite bande littorale. Avec plus de 90 % de forêt et 11 réserves naturelles, le Surinam s’engage à fond dans le développement de l’écotourisme. Au programme : longues remontées en pirogue des fleuves, pêche au poisson-chat géant et découverte des villages marrons éparpillés sur les rives, où résonnent encore les tambours.
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FORMALITÉS
- passeport
- vaccin
DÉCALAGE HORAIRE
-5h en été et -4h en hiver
DURÉE DE VOL DIRECT
12h
- Papiers :
- passeport valide au moins 6 mois à partir de la date d’arrivée ;
- Droit d'entrée payant.
- Vaccin obligatoire : fièvre jaune (certificat de vaccination) pour les voyageurs provenant de pays touchés (Guyane française, Guyana, Brésil).
- Vaccins conseillés :
- vaccins universels (DTCP, ROR) ;
- hépatite A et fièvre typhoïde ;
- en fonction des conditions de voyage : fièvre typhoïde, méningite, hépatites A et B, rage ;
- éventuellement pour un voyage au sud du Suriname et dans la zone frontalière avec la Guyane : traitement antipaludique.
- Meilleure saison : de fin août à mi-novembre (saison la plus sèche), surtout septembre et octobre.
- Durée de vol : pas de vol direct au départ de Paris ; compter au moins 12h de vol avec escale.
- Décalage horaire : - 5h l'été, - 4h l'hiver.
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