Visiter Courtrai (Kortrijk), Voyage Belgique
Activités à faire, lieux à voir - Tourisme Courtrai (Kortrijk), Flandre Occidentale
Avec la disparition progressive de l’industrie du lin qui a fait sa richesse, Courtai a dû se réinventer, et vit de nos jours, une métamorphose complète. Le centre piéton offre une agréable balade jusqu’aux tours du Broel et aux quais, eux aussi joliment réhabilités. Courtrai est également un pôle économique et universitaire (plus de 25 000 étudiants) de 1re importance, à proximité de Lille et Tournai, avec qui elle forme désormais une véritable « métropole européenne ».
FORMALITÉS
- passeport
- carte d'identité
DÉCALAGE HORAIRE
DURÉE DE VOL DIRECT
- Papiers (UE) : avec les accords de Schengen, en principe, plus aucun contrôle n’est exercé entre la Belgique et la France. Mais des contrôles aléatoires existent aux frontières. Il vaut donc mieux vous munir d’une pièce d’identité en cours de validité ou d’un passeport valide ou périmé depuis moins de 5 ans.
- Meilleures saisons :
- pour les villes d'art : entre fin mai et fin septembre ;
- à Bruxelles : le printemps ;
- sur le littoral : l'été ;
- dans les forêts des Ardennes : l'été et le début de l'automne.
- Durée de vol direct depuis Paris : 55 minutes pour Bruxelles.
- Décalage horaire : aucun.
Infos pratiques Belgique
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Questions fréquentes Courtrai (Kortrijk)
Pour découvrir Courtrai, un document très bien fait est proposé par l’office de tourisme : le top 10 des curiosités d’hier et d’aujourd’hui, avec un plan malin. Voici une sélection des lieux à voir :
- Belfort : solitaire au milieu du Markt, c’est un vestige de l’ancienne halle aux draps du XIIIe s. Il est coiffé de 5 tourelles et d’un Mercure, symbole du dynamisme des habitants et du commerce. Les 2 jacquemarts, Manten et Kalle, sont quant à eux de création récente et sonnent les heures ;
- Beginhof : c’est l’un des plus attachants du pays, classé comme tous les autres par l’Unesco. Une quarantaine de maisonnettes baroques d’une blancheur éclatante s’ordonne autour d’une charmante place d’où partent quelques ruelles pavées. En dehors de la chapelle Saint-Matthieu dotée d’un des plus vieux orgues des Flandres (1678) et d’un tout petit musée interactif situé dans la salle sainte Anne (tour octogonale), on savoure ce village miniature de l’extérieur ;
- Broeltoren : dominant les rives surbaissées aménagées en terrasse, les tours sont le dernier vestige de l’architecture militaire de la ville. Percées d’archères et de canonnières, et reliées par un pont qui franchit la Lys, ces tours jumelles sont le symbole de la ville. Sur le pont, statue de saint Jean-Népomucène, patron des noyés et des mariniers ;
- Texture : ce musée passionnant, symbole à lui seul du renouveau de la ville, s’est installé dans un ancien entrepôt usine situé au bord de la Lys. Il s’adresse aussi bien aux néophytes qu’aux connaisseurs, aux jeunes qu’aux nostalgiques d’un âge d’or révolu. Le lin, mine de rien, fait partie de notre vie quotidienne, souvent à notre insu.