La Vendée à vélo

La Vendée à vélo
Saint-Laurent-sur-Sèvre © simonbourcier.com

La Vendée aime le vélo : le département est quadrillé de pistes cyclables qui récupèrent bien souvent des cycloroutes comme la Vélodyssée, la Vélo Francette, la Vélidéale et La Loire à Vélo. En tout, 1 850 km d’itinéraires cyclables sont regroupés sous la bannière « Vendée vélo », dont 550 km en voie verte.

Les balades sont sûres, agréables et bien fléchées. Elles s’engouffrent dans un territoire composite qui fait la part belle à une nature variée, aux vieilles abbayes, aux châteaux en ruines, aux villages et à des cours d’eau énergiques. Même si le dénivelé reste maîtrisé, l’assistance électrique, notamment sur les tronçons généreux, est fort appréciable.

La Vendée compte 210 établissements « Accueil Vélo » : hébergeurs qui offrent un local vélo, un kit de réparation, des possibilités de recharges, mais aussi des sites touristiques, des loueurs et réparateurs de vélo, offices du tourisme, restaurants.

On a testé 4 parcours, entre bocage, Marais poitevin et littoral. Une jolie diversité de paysages à savourer à son rythme. On vous dit tout…

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Le haut bocage, de Saint-Michel-Mont-Mercure à Mortagne-sur-Sèvre

Le haut bocage, de Saint-Michel-Mont-Mercure à Mortagne-sur-Sèvre
Bocage vendéen © philippe Devanne - stock.adobe.com

Distance : 32 km

À 1 h en voiture de la Roche-sur-Yon, le parcours débute à Saint-Michel-Mont-Mercure, à 290 m d’altitude, le point culminant de la Vendée. Il suffit de pédaler 20 min pour rejoindre le bocage vendéen, avec ses champs fermés par des alignements d’arbres datant des XVIe et XVIIe siècles et implantés sur les derniers contreforts du Massif armoricain.

Premier arrêt à Saint-Mars-la-Réorthe, avec son église Saint-Médard, sa statue de saint Roch et ses vitraux qui redonnent vie aux guerres de Vendée. Encore 20 min plates pour atteindre Les Epesses, la commune qui accueille depuis 1978 le Puy-du-Fou et sa fameuse Cinéscénie.

Mallièvre © Vendée Tourisme - simonbourcier.com

De là, on rallie en 20 min l’ancien village de tisserands de Mallièvre, arrosé par la Sèvre Nantaise. Il faut se promener dans ses ruelles fleuries gardées par des maisons de pierre aux volets peints. Ici, la cave des tisserands (ouverte du 2 avril au 30 septembre) nous en apprend davantage sur cette activité qui se développa entre les XVIIe et XIXe siècles.

Plus loin, le jardin des plantes tinctoriales Marie-Eulalie enfonce le clou sur la passion teinturière du bourg. Partout, des fontaines, un lavoir, des maisons de maître du XIXe siècle, des demeures de tisserands et les ruines du château de Mallièvre, dont on peine à imaginer le glorieux passé.

Cet éden de pierres derrière soi, on délaisse un temps l’urbain pour retrouver la Sèvre Nantaise, et plonger dans la vallée de Poupet. Une pause verte bienvenue, avant d’entrer dans la « ville sainte » de Vendée, Saint-Laurent-sur-Sèvre, la seule à se prévaloir d’une basilique (où Jean-Paul II s’est recueilli en 1996) dans le département.

Mortagne-sur-Sèvre © Julien GAZEAU / Vendée Expansion

Retour au vert ensuite alors que l’on distingue au loin les quatorze arches du viaduc de Barbin (300 m de longueur, 38 de hauteur) et qu’on lorgne la dernière étape, Mortagne-sur-Sèvre. On ne compte plus, le long de la Sèvre Nantaise, les mini-ponts moussus comme celui du Blanc.

Point d’arrivée, Mortagne-sur-Sèvre, l’une des 9 Petites Cités de Caractère de Vendée, possède un patrimoine remarquable comme l’église Saint-Pierre, l’ancien château ou les jardins en terrasse de la Cure et leur vue sur la vallée. Les passionnés s’arrêteront à Vendée Vitrail, un parcours qui révèle tous les secrets de cet art.

Le + de routard.com :

L’office du tourisme de Mortagne-sur-Sèvre cartographie plusieurs boucles qui lèvent le voile sur les curiosités patrimoniales et l’histoire de la ville.

Le Marais poitevin, les Vals d’Autise

Le Marais poitevin, les Vals d’Autise
Le Mazeau - bateau © simonbourcier.com

Boucles des Vals d’Autise (Distance : 35,6 km, dont 35,6 km de voie partagée)

Avant d’enfourcher le vélo, on prend son temps à l’abbaye Saint-Pierre de Maillezais (entre 6 € et 8 €), superbe introduction à l’histoire du Marais poitevin. Aujourd’hui, Saint-Pierre de Maillezais, classé monument historique depuis 1924 et formé de l’abbatiale-cathédrale, de l’hôtellerie et du cloître (il n’en reste que les fondations), résiste du haut de son éperon calcaire.

Après cette mise en bouche historique, il est temps de mouliner 30 min vers Le Mazeau et son embarcadère (il en existe une dizaine en Vendée) pour effeuiller, en bateau – en « plate » comme on dit –, le marais mouillé bocager poitevin, aussi appelé la Venise verte ou la cathédrale de verdure.

Le long des conches, c’est un tout autre paysage qui se déplie avec des saules blancs, des peupliers et surtout des frênes, bizarrement étêtés (victimes d’un champignon, la chalarose) qui maintiennent les berges. Il n’est pas rare de croiser des ragondins et des écrevisses américaines, et parfois, l’une des cent loutres qui commencent à repeupler les 8 200 km de voies d’eau, dont 1 000 à 2 000 km seraient navigables.

Damvix © simonbourcier.com

Difficile après cette balade de se remettre en route, mais l’accueillante Sèvre Niortaise, sur un tronçon commun à la Vélo Francette, nous facilite la tâche jusqu’à Damvix, petite cité tranquille qui accueille également un embarcadère.

On rase ensuite le canal de Bourneau jusqu’à Maillé, merveille de village maraîchin pépère où il fait bon prendre une mousse locale, la Cibulle, en terrasse. On regagne Maillezais par le canal de la Jeune-Autise en traversant le double aqueduc de Maillé. De là, un chemin terreux et accidenté nous porte jusqu’à Maillezais. La boucle (d’Autise) est bouclée.

Le + de routard.com :

Le Marais poitevin est maillé d’itinéraires thématisés et circulaires (pictogramme pour chaque parcours, un seul sens indiqué) : Rabelais (20 km), le Halage (16 km), les Garennes (27 km), les Ragondins (17 km), les Écluses (22 km), les Vals d’Autise (35 km), les Frênes (19 km).

Le Marais poitevin, de Maillezais à la Tranche-sur-Mer

Le Marais poitevin, de Maillezais à la Tranche-sur-Mer
Vélo au Marais poitevin © simonbourcier.com

Distance 93,58 km (voie verte : 30,57 km ; voie partagée : 62,91 km)

Rien de mieux, pour décoder le Marais poitevin (112 000 ha environ) et ses trois zones – littoral, marais desséché, marais mouillé – que cette balade, exigeante surtout par sa longueur, entre Maillezais et La Tranche-sur-Mer.

Traversé par la Vendée, la Sèvre Niortaise, le Lay, l’Autise, le Mignon et le Curé, le Marais poitevin s’étend entre Niort et l’Atlantique, sur trois départements, la Vendée, la Charente-Maritime et les Deux-Sèvres. Il compte 30 000 ha de marais mouillé (inondable), 70 000 ha de marais desséché (protégé par des levées et des digues) qui constituent le cœur du Marais poitevin et propices aux cultures céréalières, et 10 000 ha de marais maritime en bordure de mer, une réserve naturelle très prisée des oiseaux migrateurs.

Bac à chaîne Jean Guillou © simonbourcier.com

La première portion du parcours emboîte Maillezais à l’Île-d’Elle (26,76 km dont 6,7 km de voie verte et 19,96 km de voie partagée) en plein cœur du marais mouillé. Elle sinue entre la Sèvre Niortaise et le Contrebot de Vix, l’un des principaux canaux du marais poitevin. Ceux qui voudraient traverser la Sèvre Niortaise peuvent emprunter le bac à chaîne Jean Guillou. Les autres se contenteront de zieuter les deux îles, de la Chate et de Charrouin avant d’arriver à l’Île-d’Elle.

Le deuxième morceau embranche l’Île-d’Elle à Saint-Michel-en-l’Herm (43 km dont 9,9 km de voie verte et 33,1 km de voie partagée). Un autre paysage, plus décharné, pelé, qui fait place nette aux champs, aux arpents céréaliers et à des vignes éparses. Le circuit descend une partie du canal des Cinq-Abbés, creusé en 1217, puis celui du Clain, avant de rallier deux ouvrages hydrauliques importants, la porte des Grands-Greniers, dont l’ouverture dépend de la marée, et le capricieux pont du Brault.

La Faute-sur-Mer © Julien Gazeau/Vendée Expansion

La partie finale entre Saint-Michel-en-l’Herm et La Tranche-sur-Mer (23,82 km, dont 13,97 km de voie verte et 9,85 km de voie partagée) défie le sud du littoral vendéen. Et là, tout change, alors qu’on laisse derrière soi les derniers polders, la réserve naturelle nationale de la baie de l’Aiguillon, ses prés salés (les « mizottes ») où paissent de rares ruminants et les vasières qui régalent les oiseaux migrateurs.

Rapidement, une autre surprise, La Dive, l’un des îlots calcaires de l’ancien golfe des Pictons, ceinturé d’une falaise ramassée. Puis on remonte la côte par la route de la Pointe, le long de la digue et de l’estuaire du Lay, pour aborder L’Aiguillon-sur-Mer, qui fait une spécialité des moules de bouchot.

Après La Faute-sur-Mer, vous pourrez pousser, sur L’Aiguillon-la-Presqu’île, jusqu’à la pointe d’Arçay et même y poser votre serviette. Ensuite, on remonte la presqu’île par la réserve naturelle de la Belle Henriette et ses paysages lagunaires avant d’arriver à La Tranche-sur-Mer, la « petite Californie » qui déplie ses kilomètres de plages.

Le + de routard.com :

À Saint-Michel-en-l’Herm, soufflez un peu en inspectant les ruines de l’abbaye royale, fondée en 682. Le chauffoir, toutes voûtes et ogives dehors, est aussi romantique que photogénique.

Le littoral vendéen, de la Tranche-sur-Mer aux Sables-d’Olonne

Le littoral vendéen, de la Tranche-sur-Mer aux Sables-d’Olonne
Marais du Payré © Florent Oumehdi

Distance 44,1 km (voie verte : 31,77 km ; voie partagée : 12,33 km)

Une fois désenvoûté de La Tranche-sur-Mer, de ses 14,7 km de rivages sablonneux et de la pointe du Grouin du Cou (beaux crépuscules), on affronte, vraiment, le littoral vendéen qui récupère, en partie, l’itinéraire de la Vélodyssée.

Après un départ en pleine forêt de chênes et de pins (forêt domaniale de Longeville-sur-Mer), on s’attaque aux marais du Payré en sortant de Jard-sur-Mer. À cheval sur Talmont-Saint-Hilaire, Jard-sur-Mer et Saint-Vincent-sur-Jard (l’un des fiefs vendéens de Clemenceau), ils amalgament, sur 850 ha, des prés salés, des marais salants, des prairies humides, mais aussi des marais à poissons.

Baie de Cayola © Florent Oumehdi

Pour s’approcher de la mer, on s’arrête au parking de la plage de la Mine à Jard-sur-Mer pour partir à l’assaut de la pointe du Payré, dans une boucle de 5 km, qui lèche les côtes vendéennes, l’estuaire du Payré, en traversant, aussi, des forêts et la plage du Veillon.

Après Bourgenay, on rejoint la baie de Cayola et sa dune de galets de quartzite, puis le Puits d’Enfer, entaille profonde dans la falaise où rugit l’océan à marais haute. Il est temps de rejoindre Les Sables-d’Olonne, le point d’arrivée de notre périple.

Le + de routard.com :

Tous les étés, le château de Talmont organise des spectacles de chevalerie et de fauconnerie. L’occasion de découvrir autrement l’histoire de cette forteresse médiévale, construite par Guillaume le Chauve et qui domine l’estuaire du Payré.

Les Sables-d’Olonne, vitrine du littoral

Les Sables-d’Olonne, vitrine du littoral
Sables-d’Olonne © Christian Musat - stock.adobe.com

Les Sables-d’Olonne restent la vitrine du littoral vendéen avec, depuis 1989, le Vendée Globe, la fameuse compétition à la voile, en solitaire et sans escale ni assistance, qui enquille, tous les quatre ans, les caps de Bonne Espérance, Leeuwin et Horn. La prochaine édition aura lieu le 10 novembre 2024.

La ville, cinquième port de pêche français, doit beaucoup à l’océan et à sa situation privilégiée. Sa baie est labellisée « plus belle baie du monde » depuis 2021, et son port Olona s’est imposé comme le tout premier de plaisance du département. Le développement du tourisme et le succès des bains de mer au XIXe siècle ont marqué à jamais son visage architectural en la dotant de nombreuses villas de style Belle Époque, « régionaliste » ou balnéaire, notamment autour de l’avenue Aristide Briand.

Et puis, les Sables, ce sont évidemment des kilomètres de côtes : 21 km en tout, dont 3 pour l’incontournable Grande Plage, concurrencée à l’ouest, par celles des Graviers, de La Paracou, de Sauveterre ou des Granges, ceinturées d’une dense forêt de 11 km, sans parler de Tanchet, à l’est, qu’affectionnent tant les surfeurs.

Les Sables-d’Olonne - quartier de l’île Penotte © Florent Oumehdi

Dans le centre-ville, on admire des bariolées et briquetées Halles centrales de style Baltard en ne zappant pas quelques velléités street art ou le quartier de l’île Penotte, constellé de coquillages figuratifs sortis de l’imagination de Mme Arnaud-Aubin. Sans oublier le quartier de la Chaume, le plus ancien des Sables, dont les basses maisons chaulées étaient occupées par les pêcheurs d’antan.

Enfin, au nord, on retrouve le marais d’Olonne : 1 300 ha de marais à poissons et de marais salants coincés entre L’Île-d’Olonne et Les Sables. De nombreuses balades pédestres et cyclistes le balaient (guide à télécharger gratuitement ici).

Le + de routard.com :

Les Sables-d’Olonne ont rénové plusieurs pépites de leur patrimoine, comme la Villa Charlotte et son parc, le château Saint-Clair qui accueillera Nacéo, le musée des gens de la mer (2028) ou la Tour d’Arundel. Avant eux, il y eut le Prieuré St Nicolas, un lieu d’exposition depuis 2004 ou le musée du Blockhaus hôpital (9,50 €/7 € TR), construit en 1943 et aux 20 pièces quasi intactes.

Fiche pratique

Retrouvez tous les bons plans, adresses et infos pratiques dans le Routard Pays de la Loire en librairie.

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Vendée Tourisme (page consacrée au cyclotourisme)

Vendée à vélo

Tracés GPX et les itinéraires du Vendée Vélo Tour (itinéraire cyclable en 20 étapes) sur https://vendeevelo.en-vendee.com

Bonnes adresses

– Hôtel Calme des Pins Piscine & spa : 43, av. Aristide Briand, aux Sables-d'Olonne. Façade Belle Époque, océan à 250 m de là, voisinage de maisons de style régionaliste, et un espace bien-être qui aligne jacuzzi, sauna, salle de fitness et lit hydromassant. Les chambres (entre 10 m² et 25 m²) sont bien tenues. Chambre individuelle (10 m²) 65-85 € et 85-99 € (selon la période).

– Moulin Pont Vieux : 4 ch. du Pont Vieux, à Mortagne-sur-Sèvre. Cet ancien moulin hydraulique du XIXe siècle (alors intégré à une minoterie), alangui au bord de la Sèvre Nantaise, abrite cinq chambres, confortables, fonctionnelles et bercées par le tumulte de la rivière, mais aussi la salle de billard ou le salon. Entre 75 € et 116 € (selon la saison).

– Maison d’hôtes La Parenthèse : 69, rue de l'Abbaye, à Maillezais. Une maison d’hôtes labellisée « Accueil Vélo » installée dans une ancienne demeure de maître du XIXe siècle. Elle abrite cinq chambres, décorées avec goût et une piscine. Françoise et Christophe sont des hôtes adorables avec qui il est bon de partager, devant la cheminée, un verre de Kiki, un apéritif vendéen. 5 chambres, à partir de 115 €.

– La Cabanajus : parking de la plage de La Paracou, aux Sables-d'Olonne. À la fois un bar à jus de fruits, légumes et smoothies (5,90 €) et snacking. Comme une parenthèse exotique en plein cœur du pays vendéen. L’été, des concerts viennent animer cette cabane qui n’en a pas forcément besoin tant l’ambiance (et la bonne) est au rendez-vous.

– La Pancarte : 22, promenade Georges Godet, aux Sables-d'Olonne. Dominique, le patron du restaurant, est un fana de cyclisme. Ici, la galette (entre 14 € et 16,50 €) et la crêpe (3,20 € au sucre jusqu’à 11,50 € pour les plus élaborées comme La Royale et son croustillant de praliné) sont les reines, et pas petites.

– Mont Bagel : 1, rue des Acacias, à Sèvremont. De succulents bagels et burgers garnis de douceurs du bocage et un petit coin épicerie pour s’approvisionner de bons produits locaux. Et preuve du succès, depuis 2021, un food-truck Mont Bagel ratisse également les environs. Bagel 9,90 €, burger 11,90 €, menu brasserie 30 €.

– Au Bord de l’Eau : 40, rue du Port, au Mazeau. Jouant à touche-touche avec l’embarcadère, un lieu, convivial et champêtre, qui ne désemplit pas à la saison haute. Rien d’étonnant avec ce cadre, le long des canaux, les pieds presque dans l’eau. Et puis, la carte et les produits n’y sont pas pour rien non plus. Ici, pratiquement tout est vendéen. Réservation fortement conseillée Plateau découverte à partager 15,20 €/pers (2 ou 4 personnes).

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Louer un vélo

Aux Sables-d’Olonne, Bertrand Scheenaerts s’est fait une spécialité des vélos hollandais d'occasion reconditionnés. Légers mais robustes, intuitifs et dotés de batteries endurantes, ses vélos électriques sont des partenaires fiables qui ne vous laisseront pas tomber. Possibilité, en plus, de se faire livrer le vélo. À partir de 39 €/jour le vélo électrique (69 € les 2 jours, 89 € les 3 jours) Infos : www.fiets.fr

Balade sur l’eau dans le Marais poitevin

Au Mazeau, Jérémy propose des embarcations et des visites guidées. Possibilités de louer, également, des kayaks et des paddles. Comptez 17 €/pers pour 1 h avec batelier (les balades vont de 45 min à 3 h), 20 € en tout pour 1 h sans guide (de 1 h à 4 h). Infos : www.la-venise-verte.com

Texte : Florent Oumehdi

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