bonjour Jessie
je viens vous parler du kuriri et de Maupiti, de votre voyage en décembre…
je ne suis pas une agence, je ne travaille pour l’intérêt de personne. Je n’ai pas à faire l’éloge de rien ni dire du mal de quelqu’un.j’ai fait 3 voyages en Polynésie, le 1er en janvier 1987 où jeunes mariés, nous avons choisi de vivre qq jours à Maupiti, Manihi et Kaukura, puis en avril 2005 pour faire connaitre la Polynésie à nos 3 enfants nous revenions à Maupiti, Raiatea, Huahine , Bora bora, Moorea et Tikehau pour revenir en juillet 2006 et vivre le heiva aux Australes, aux Gambier, à Maupiti (eh oui, encore!!), et Fakarava.
je peux vous dire que là-bas, à l’autre bout du monde, où que vous soyez vous serez la bienvenue, vous serez chouchoutée…
à Maupiti, vous avez choisi le Kuriri et vous demandez comment est cette pension à Vahine qui vous a donc répondu.De mon côté, je tiens à vous dire le merveilleux accueil que nous y avons reçu.et je vous redis : l’accueil là-bas en Polynésie est partout extraordinaire. Chaque pension a ses particularités, et chez Anne-Marie et Camille du Kuriri, qui nous ont accueillis en 2005 et en 2006 (et qui accueillaient encore mon mari et mon fils de 13 ans partis seuls cette année pour un tour "Australes - Marquises -Ranguiroa), donc chez le couple qui gère le Kuriri, l’accueil est sincère, leur équipe polynésienne est merveilleuse, souriante, fière de leurs patrons, fière de partager les recettes savoureuses ; vous avez le choix complet pour le temps que vous passez sur le motu ou sur l’île. Camille est prêt à vous amener sur l’île quand vous le voulez et je me rappelle cette traversée de nuit pour aller voir les danses de juillet, cette soirée conviviale…
la traversée à pied du motu dure à peine 5 minutes, ce chemin qui passe devant la maison des chiens : une originalité, une beauté de plus : je suis revenue avec des photos de chiens, ceux-là, mais aussi ceux qui rodent par ci par là. (Près des autres pensions, ce seront des chats, des coqs, de la vie…) ; au kuriri, il y a des oiseaux, ce qui est rare en Polynésie. (kuriri =nom d’un oiseau polynésien).
pour la pension: des fare en constructions bois solides, agréables, spacieux pour les grands, les petits restant très confortables ; tous sont très proches de l’accueil, et là-bas il fait bon sortir du fare la journée.un salon extérieur avec bibliothèque peu commune, une terrasse aux mille coussins, une plage de sable blanc et un lagon où on peut nager comme dans une piscine . (attention, en polynésie, on nage toujours avec des chaussons de mer :il y a du corail partout ! ).
nous avons pu y voir comme partout de multiples poissons, et surtout ne pensez pas en trouver plus ou moins qu’ailleurs car les poissons ça sait nager et il n’y a pas de barrières d’une pension à l’autre…le motu est un immense jardin cultivé par endroit, on peut s’y promener partout au travers ou en faire le tour à pied.
les fare sont très propres , bien entretenus.j’ai du échanger un grand contre un petit les 2 derniers jours, cela n’a pas été un problème, juste l’organisation d’une pension comme une autrre qui se donne beaucoup de mal pour contenter chacun.merci à Camille et Anne-Marie.
A Maupiti, il y fait bon se promener à pied ou à vélo, y chercher les pétroglyphes, assister à une célébration religieuse, visiter les quelques artisants qui essaient de vivre de leur art, discuter avec les maupitiens tous si fiers de partager leur sourire ; le temps de faire de magnifiques photos de fleurs, de mer, de soleil, d’apprendre à connaître nos compatriotes du bout du monde.
j’espère Jessie qu’à votre retour de voyage vous viendrez sur ce forum partager ce merveilleux que l’on trouve là-bas, ce merveilleux d’une vie respectueuse, ce merveilleux dans la simplicité des rapports, ce merveilleux dans l’accueil de tous.