voici la copie d’un message, adressé pour information de “rourisme québec”, au ministère du tourisme québécois, rubrqiue “plainte”.
Bonjour Madame ou Monsieur.
Je porte les faits suivants à votre connaissance, vu les répercussions négatives qu’ils ont sur le tourisme au Québec. Je ne demande rien mais tiens à faire savoir.
2006: je fais un voyage touristique au Québec; je fais un vol Lyon-Paris-Montréal par Air Canada. À l’escale de Paris, malgré le fait que mon billet soit émis pour la totalité du vol par Air Canada, il me faut me représenter au comptoir d’Air Canada: j’y suis refusé au motif que je m’y présente trop tard, je n’ai pourtant pas traîné, alors que l’hôtesse est en train de fermer le service d’enregistrement; faisant part de mon mécontentement, en particulier devant le refus d’Air Canada de payer les frais d’hôtel à Roissy qui me sont donc imposés, il m’est répondu : « si vous n’êtes pas content, adressez-vous au président de la république. »
Mis sur un vol du lendemain, il manque à l’arrivée une valise qui me sera remise 2 jours plus tard, fracturée; il manque une partie de mon matériel médical, dont un otoscope à fibre fort coûteux. À titre d’indemnisation, je recevrais plusieurs mois plus tard un chèque doublement ridicule par son montant: 50$cad , et par le fait que je ne peux pas l’encaisser, n’ayant pas de compte en dollars.
2008: nouveau voyage au Québec. Voyage par Air Transat (plus question de voyager avec Air Canada) dont le seul intérêt est le vol sans escale Lyon-Montréal: service à bord très quelconque, et ce n’est pas le vol le moins cher. Au retour en France, j’apprends de ma banque que ma carte bancaire a servi pendant mon séjour au Québec pour payer des jeux en ligne sur Internet pour 400€ avant que ma banque n’intervienne et bloque les paiements. Le système de paiement par carte bancaire au Québec est moins performant qu’en France, et on est bien obligé de donner sa carte à un employé pour payer. À 2 reprises, ma carte est restée totalement hors de ma vue assez longtemps, alors que celui à qui je l’avais remise écrivait: dans une grande surface de Shawanigan et chez le louer de voiture Enterprise, où on avait donc tout loisir, sans que je m’en aperçoive, de noter le numéro de carte et le cryptogramme permettant de payer sur Internet.
2009: nouveau séjour au Québec. Voyage avec British Airways Lyon-Londres-Montréal: ça coûte moins cher qu’Air Canada ou Air Transat, le service à bord est de meilleure qualité, pas besoin de refaire les formalités d’enregistrement à l’escale de Londres. Parlons donc d’Enterprise, le loueur de voitures, à qui j’ai reloué une voiture. À la restitution du véhicule, le loueur voit qu’il manque de la peinture sur l’aile arrière gauche, et alors qu’il n’y a aucune atteinte de la tôle, pas la moindre déformation, décrète que j’ai eu un sinistre et m’en impute la responsabilité; il me surfacture, pour cette raison de 250$cad. Il ne tient aucun compte de mes observations et de ma remarque qu’à l’évidence c’est un défaut d’usine.
Au retour en France je fais les formalités pour me faire rembourser les 250$cad par mon assurance. Pour cela, il me faut produire la facture acquittée prouvant la réparation. Après de multiples demandes en novembre et décembre 2009, je finis par obtenir un devis d’expertise daté du 24 décembre 2009 qui montre les photos des dégâts occasionnés: la zone de peinture manquante sur l’aile gauche, fait maintenant 30 cm de long alors qu’elle ne faisait que 10 cm début novembre, de plus il y a une nouvelle zone de peinture manquante à l’arrière du véhicule qui m’est aussi imputée: comment aurais-je pu faire 2 sinistres différents qui auraient tous les deux pour seul effet de faire partir la peinture sans la moindre déformation de la tôle? L’agrandissement de la zone atteinte sur l’aile gauche, l’apparition d’une nouvelle atteinte à l’arrière montrent bien qu’il s’agit d’un défaut d’usine lors de la mise en peinture.
Nous sommes début février, je n’ai toujours pas obtenu d’Enterprise la facture acquittée prouvant la réparation; je ne peux donc me faire rembourser par mon assurance les 250$cad surfacturés.
Trois voyages au Québec, et chaque fois un incident sérieux qui me coute de l’argent: ne trouvez-vous pas Madame ou Monsieur que cela fait beaucoup et nuit à l’image touristique de ce beau pays?
Copie de ce mail est publiée sur un forum français consacré au tourisme au Canada.
Croyez à mes meilleurs sentiments.