Ouvrir une maison d'hôte au Brésil

Forum Brésil

Bonjour,

Nous sommes un jeune couple, indépendant, travailleur. Nous avons depuis quelques temps l’envie de partir de la france pour ouvrir une maison d’hôtes nous aimerions le brézil mais si vous connaissez un meilleure endroit n’hésitez pas à nous conseiller.

Nous aimerions savoir combien en budjet il faut prévoir, quels papier faut-il avoir, aussi si cela est une bonne idée ou non ?

Merci d’avance, bonne journée à tous.

qui présuppose un capital de 150.000 R$ minimum, et pas mal de paperasse.

Généralités sur le visa permanent

Le visa investisseur (liens)

Cette somme minimum me paraît de toute manière insuffisante pour ouvrir quelque chose de correct. Faites aussi attention, tout le monde veut aller au Brésil pour ouvrir des pousadas, mais le pays est déjà bien doté: en dehors de juillet, de carnaval et de la fin d’année, c’est souvent dur de remplir les établissements sauf dans quelques villes qui attirent les gens sans être encore pour autant bien dotées. Etude de marché très sérieuse à faire!
Sachez que la coutume au Brésil, c’est le petit déjeuner en buffet “a vontade” inclus, et ça diminue évidemment les marges.
Le mieux est d’aller voir avec un regard d’investisseur, pas de vacancier, en gardant toujours en tête que le travail au Brésil, ce n’est pas “sea sex and sun” comme les vacances. Allez par exemple jeter un oeil aux “filas” devant les administrations, les bnaques, etc.

Sans parler la langue… n’y pensez même pas et défiez vous encore davantage des étrangers qui ont une “super affaire en or” à vous proposer que des Brésiliens. Si elle est en or, pourquoi la larguent-ils? Et pourquoi doivent-ils solliciter un gringo de passage, au lieu d’un gars du coin?

Merci de votre réponse.

Entre temps des gens mon conseiller d’autre pays où cela est plus facile, car le Brésil fait rêver c’est sûr mais quand on si penche c’est vraiment pas simple.

Bonne soirée

salut c’est un peu une mauvaise idée…des pousadas il y en a des tas dans les villes même dans un patelin comme Poconé la porte du Pantanal
La différence entre vous et le Brésilien propriétaire d’une maison d’hôte c’est qu’il n’a pas les frais de visa à payer

“les frais de visa”, peu élevés, quasiment insignifiants, et l’investissement minimal exigé pour avoir ce visa, de toute manière insuffisant pour monter quelque chose de correct.
Il y a des tas de bonnes raisons de tirer la sonnette d’alarme et le trop grand nombre de pousadas déjà existantes en est une, pour ne pas en fabriquer d’autres

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