j avais de longue date une répulsion a retourner dans la région d’ Almeria, la honte écologique de l’ Espagne (mais l Europe a besoin de petites tomates et le système économique, quasi mafieux, qui entoure les plantations a permis toutes les dérives)
pour faire bref… j’ai traversé vite fait les 250 km de serres pourries (el mar de plastico) qui séparent Malaga de Cabo de Gata
pour rejoindre, au milieu du parc naturel protégé (mais l appat au gain étant élevé les serres, insidieusement, se rapprochent…) un hotel spa situé à Rodalquilar qui sera notre base pendant quelques jours