Oui, pour le PACSée, ce que dit la loi c’est qu’au moins 1 des 2 partenaires doit être français. je suis moi-même PACSée avec un américain.
Bon courage à toutes les 2 !
Tu es en Suisse depuis quelques temps et un revenu suisse et une adresse en suisse.
Le PACS est un acte officiel ( ok ! Français ), si tu subviens au besoin de votre couple en Suisse ( = revenu satisfaisant de ta part ), vous n’avez pas de grosse crainte pour que ton “épouse” soit en Suisse durablement.
Ton “épouse” peux trés valablement se faire connaître auprés des offices pour la recherche d’un emploi et en même temps de faire valoir ses droits au chômage de la part de la France ( si elle y a droit …).
Job en Suisse, la demande est tellement forte que ce n’est pas un soucis…
Vos meubles venant de France ( ceux de ton épouse ), cela sera de la TVA Suisse à 2,4 %, mais les meubles ne doivent pas vavoir une grande fortune, donc autant les revendres en Française ( sauf ceux qui sont affectifs ).
La difficuté en Suisse est les premiers mois ( usage et us et coutumes et les fameux bulletins de versements), je sais ce n’est pas évident et une bonne intégration est une histoire de volonté par rapport à des objectifs.
J’admets, ce n’est pas évident, mais nous y passons tous et puis les années passent et vachement heureux en Suisse.
Non, il n’est pas difficile de vivre en Suisse et à l’appréciation de tous. Les échecs existent mais plus le fait d’un refus de certains principes et d’oublier les comparaisons entre le pays d’origine et le pays d’accueil ( la Suisse ).
Laurent
je trouve ces propos hors sujet. J’ai moi même vécu en Suisse et je suis reparti non par manque de courage mais à cause des difficultés. Vivre à l’hôtel pendant plusieurs semaines en mangeant des sandwichs ce n’est pas top. Dépenser ensuite son mois de salaire dans un meublé et se voir refuser un acompte par l’entreprise: ce n’est pas normal surtout quand cette même entreprise m’avait promis lors des entretiens un logement en 15 jours, des aides de toute sorte… Je n’ais jamais rien vu que des propos racistes de la part de mes collègues. Je travaille en France et je m’en porte mieux et je gagne mieux ma vie. On oublie en Suisse que l’on travaille 42h00, que les temps d’habillage ne compte pas, que l’on n’a que 4 semaines de vacances, pas de CE, pas de mutuelle d’entreprise et que pour un technicien les impôts sont de 20%, en France pour moi c’est 10%. Le mirage Suisse cela dépend pour qui.
C’est vrai qu’en Suisse on paye des impôts et une caisse maladie et que le tout n’est pas bon marché.
N’empêche que: La Confédération helvétique est faiblement endettée. En 2010 il y a eu un bonus de 3 milliards de CHF.
D’autre part les caisses maladies payent les coûts réels de la Santé publique et il n’y a pas de “trou de la sécu” comme en France.
Ceci est donc un désavantage pour les expatriés qui payent les coûts réels en Suisse, puis une fois de retour en France, finirons bien par payer la note et les intérêts.
Pour éviter cela, il faudrait quitter la France et ne plus y retourner que pour les vacances.
Chère Mary,
Je vous ai écrit une petite annonce pour pouvoir - si vous l’acceptez - vous demander des renseignements concernant la vie en Suisse. Si vous trouvez ma petite annonce, vous en saurez un peu plus long… c’est un peu difficile, il m’a fallu m’inscrire sur le site du routard - cela n’est pas dans mes habitudes(j’aurais préféré un contact plus discret)
Vous me feriez grand plaisir en acceptant de me répondre.Eventuellement, par la suite, nous pourrions échanger nos e-mails…
Codrialement, Tazamao. ('aurais préféré un contact plus discret, mais je n’avais pas le choix…)
bonour, j’ai lu vos reponses et je comprend tout à fait votre reaction. nous vivons actuellement en france (bouches du rhone) et aimerions d’ici 3 trois ans venir vivre en suisse, pourquoi? tout d’abord nous supportons plus l’etat français et voudrions changer d’air !!! nous avons choisi la suisse sur plusieurs points: 1. mon meilleur ami y vie depuis 3 trois et m’envoie les meilleur chocolat. 2.il me parle de ce pays avec une maniere qui donne envie de demenager de suite. 3. le monde du travail. mais certaine personne de notre entourage nous s’encourage pas beaucoup !!! c pour cela que j’aimerais discutée avec une personne qui vie en suisse, qui peux nous expliquer le mode de vie, le travail, les loisirs, etc…je cherche pas specialement des amis, mais pour un debut des connaissances en suisse. merci
Voici enfin une reponse intelligente, une personne adulte et mature qui n’a pas besoin de denigrer pour s’exprimer.
Pour ma part je ne suis ni suisse ni francaise mais j’ai vecue et cherché du travail en France, et en Suisse, et les deux pays sont sur un même pied d’egalité en ce qui concerne la difficulté pour étranger de trouver du travail…
Concernant le travail tout dépend des domaines.
Il y a une forte demande pour des infirmières. En ce qui concerne la finance si vous avez de l’expérience il est assez facile de trouver un travail très bien payé.
Le plus simple est de regarder les sites d’emploi ou de passer par un cabinet de recrutement qui saura vous dire si votre profil est recherché et ce à quoi vous pouvez prétendre.
Je travaille depuis 2006 en Suisse et mon seul regret est de ne pas être venu plus tôt .
merci beaucoup pour c’est reponse, je pars le 16 aout 2011 pour 5 jours voir mon meilleur ami, il a un restaurant a lausanne. j’ai hate d’y etre, moi c’est une recherche dans la restauration, je pense pas avoir trop de difficulté a trouver, en france je suis propriétaire d’un etablissement restauration rapide. je me languis !!!
bonjour, je vous écris suite à votre message en me disant peut être que vous pourriez m’aider ou me conseiller.je suis en France depuis 11ans et j’ai une carte de résident. depuis un moment je voulais quitter ce pays.
aujourd’hui étant au chômage et pour élargir mes chances de trouver du travail, j’aimerais m’installer en suisse.
mais je ne sais pas comment cela se passe au niveau des lois pour les étrangers qui ne sont pas européens. à savoir si je peux travailler en suisse en tant que frontalier, si je peux venir m’installer et chercher du travail sur place, quels sont les secteurs qui recrutent, les profils recherchés…
s’il vous plait j’aimerai vos conseils et avis.
merci
pour les nons européens c’est la galère et devenir frontalier dans ces conditions ne doit pas êetre facile. vous devriez trouver du travail dans les secteurs suivants:restauration hôtelllerie
vengte de détails
travaux publics bâtiment
soins si vous êtes qualifiés (milieu hospitalier ou maison de retraites)
pour les démarches, vous devez en premier lieu trouver un employeur puis demander un permis de travail. en tant que non européens, il est certrains que pour devenir frontalier il doit y avoir une condition de séjour préalable dans la régions
renseignez-vopus auèprès des agences d’intérim e de placement pour trouver une emploi et auprès des groupemenbt de frontalies pour les détails adminnisttatifs
merci pak45 pour les informations. pour mon cas je suis qualifiée et j’ai de l’expérience aussi. je ferai le nécessaire alors auprès des agences d’intérim et des personnes dans le même cas que moi.encore merci.
En France, il y a plus d’offres d’emplois qu’en Suisse !En Suisse, il y a certes de la demande, mais vu que rester chômeur pendant longtemps, n’est pas une façon de vivre pour ne pas dire très mal vu, autant vous dire que les offres d’emploi sont vite pourvues. Bref, le marché de l’emploi en Suisse est dynamique, mais tendu. Comparer le taux de chômage suisse et français et vous verrez qu’en Suisse, on aime travailler et on aime les bosseurs et ce quelles que soient vos qualifications.
Enfin, venir s’installer en Suisse ou même en restant frontalier, tout en étant au chômage … se passe de commentaires. Si ce n’est que pour avoir un permis cela va être plus délicat.
je n’ai jamais dit que je voulais partir en suisse pour y rester au chômage, au contraire. je suis au chômage que depuis une semaine et je ne pense pas non plus avoir quelque chose à perdre en tentant ma chance ailleurs. et puis on ne vas pas comparer ces 2 pays.
je demande juste s’il y’a des gens qui peuvent me renseigner concernant mon statut et qui se sont trouvés un jour dans le même cas que moi c’est à dire des étrangers non européens mais qui détiennent une carte de résident.
Merci Chantillon de nous dire que la France qui a 10 fois plus d’habitants que la Suisse propose plus d’offres d’emploi. On y aurai pas pensé de nous même.
Comment renseigner Dyfille si (il ou elle) ne donne aucun renseignement, ni sur ses qualifications, ni ce qu’elle (qu’il) cherche. Est un homme? une femme? Je veux bien aider mais pas dans le vague.
Bien vu et pour aller encore plus loin : quand toutes les personnes parlent de la Suisse et des offres d’emploi qu’il y a là-bas, évoquent-elles TOUTE LA SUISSE ou bien seulement la partie francophone ?
Les gens qui cherchent à travailler en Suisse ne visent-elles uniquement la Suisse Romande ou bien leurs recherches sont également étendues à la Suisse Alémanique, au Tessin et aux Grisons ?
Je pense qu’en posant ses questions et en y répondant, il serait plus aisé de préciser ce point afin de lever toute confusion.
Déjà un permis, ca ne s’obtient qu’avec un contrat de travail (sauf si c’est dans le cadre d’un “regroupement familial” ).
Etre frontalier : Se présenter dans la commune où l’entreprise se situe, avec une copie de contrat de travail pour faire un permis G.
Etre résident en Suisse :
Contrat de travail d’une année ou CDI : Permis B.(européen ou étranger) Se présenter dans la commune de résidence pour faire une demande de permis. Il faudra remplir un formulaire, deux photos + le contrat de travail. Le permis viendra du canton. L’imposition se fera à la source. (directement prélevé du salaire).
Contrat de travail de moins d’une année ou dit permis saisonnier : Permis L. Même démarche.
Après 10 ans de résidence en Suisse, l’étranger pourra troquer son permis B en C, plus d’imposition à la source, date d’échéance plus longue.
Voilà, bonne chance pour la suite et en espérant que tu te sortes de cette galère
Je propose que le titre de ce forum soit modifié en paraphrasant le titre du film de Michel Audiard (1974) “Comment réussir dans la vie quand on est …”
et de l’intituler ainsi:
Comment réussir en Suisse quand on est français et pleurnichard.
Voilà pourquoi j’écrivais la Suisse n’a pas besoin de chômeurs … La condition sine qua non pour séjourner en Suisse et donc obtenir un permis ( à part si l’on vient en touriste = moins de 3 moins), c’est d’avoir un contrat de travail en Suisse. Pour certaines branches déjà mentionnées ici pas de pb. Certains profils sont très demandés en Suisse, sinon inutile d’essayer de venir. La Suisse n’est pas comme la France en matière d’immigration. Les portes sont ouvertes, mais il faut répondre aux besoins économiques du pays et être prêt à bosser. C’est donc très dur de trouver du travail en Suisse quand on est chômeur français, même depuis 1 semaine. Enfin j’insiste la Suisse est un superbe pays, libéral, ouvert, dynamique et bosseur. Il existe véritablement une autre culture du travail ici : 42 heures de travail par semaine cadre ou pas, préférence donnée à la discussion, la conciliation plutôt qu’à l’esprit de grève et de revendication, esprit de service ausso beaucoup développé qu’en France, etc. La râlerie attitude et à tout va, ça ne se fait pas. Sinon je maintiens qu’être frontalier est une mauvaise idée. Du reste, les contrôles se renforcent entre la France et le canton de Genève, justement pour “traquer” les fraudeurs, qui veulent un salaire à temps partiel suisse et leurs avantages sociaux français. En un mot, la Suisse se mérite.
Des messages sont maintenant trop vieux sur le sujet ( depuis 2007 ) et des choses ne sont plus valables…et donc donnent maintenant de fausses indications.
Un bon nettoyage serait indispensable en gardant les messages " utiles ".
Les frontaliers : les mal aimés. C’est même un soucis pour les communes frontaliéres Françaises ( article du matin du 13 ou 14 août ).
Bonjour à toutes et à tous.
Quelle désagréable surprise, de tels messages, sur la Suisse et ses habitants.
Je suis français, vivant à Paris.
A maintes occasions, j’ai eu besoin d’aller en Suisse, que ce soit à Zürich, Lausanne et Genève.
A chaque fois, j’y ai séjourné, avec le plus grand plaisir.
Les commerçants y sont, autrement, plus agréables, qu’à Paris. Les villes sont d’une propreté, à faire rougir de honte les parisiens. Les Suisses, en voiture, sont d’une courtoisie et d’une patience exemplaire. Les avertisseurs sont réservés aux touristes mal élevés.
Dans les restaurants, quelque soit le standing, il y a, toujours, la courtoisie, la qualité et la gentillesse, en prime.
Evidemment, « les colonisateurs, conquérants, bruyants, sans éducation, sont pris, pour ce qu’ils sont. Il est normal de les remettre à leur place.
Vous pouvez quitter les grandes villes, aller dans des régions plus reculées.
Là, votre réserve et votre bonne éducation, seront vos meilleurs passeports. N’est-ce pas partout la même chose ?
Pourquoi, voudrait-on attendre des autres, ce que l’on ne donne pas ?
Lorsque l’on veut s’installer en Suisse, où que cela soit, vous aurez, toujours, des contraintes administratives.
Voyez, même, en France, lorsque l’on vient d’un autre pays, le parcours du combattant est décourageant, à plus d’un titre.
Beaucoup de pays demandent, au minimum, de parler la langue officielle et de connaître l’histoire et les lois.
Alors, là, la Suisse, devient un vrai paradis !
En ce qui me concerne, j’espère, bientôt, avoir le privilège de m’y installer, à mon tour.
Un futur ex-parisien, voire, français, amoureux de la Suisse.
Pierre-Henri .
La Suisse c’est une histoire d’amour de ce pays personnellement.
J’y suis depuis 1996 et j’y reste définitivement.
Je bosse pour une firme Alémanique…je ne parle pas l’Allemand, c’est ma firme qui c’est adapté au Français ( langue ).
En 6 ans j’ai fait évoluer le niveau de Français de mon patron, ce qui a permis une ouverture vers la France…2 grandes entreprises Françaises sont nos partenaires et nous importons de plus en plus de produits Français en exclusité pour toute la Suisse ( pour notre domaine d’activité en Suisse ).
Par contre, j’admet que l’intégration puisse être difficile pour certains en Suisse…c’est pas toujours facile d’être expatrié de son pays d’origine.
Laurent
Hello,
je suis français et tes propos me choquent… fallait rester en france !
Juste une remarque, si tu te maries pas, c’est donc que ce n’est pas sérieux avec ta copine. Pourquoi ferions nous un effort pour une femme qui sera peut-être que passagère ? Epouse la… ou laisse la !
Bonjour à tous,
le post de départ date un peu mais je réagis car certains commentaires me révoltent!
J’ai vécu les mêmes questionnements que David, mais du point de vue de la copine en question. La bonne volonté était là, je suis travailleuse et pas bête, et pourtant j’en ai chié. Vraiment chié… Oui il n’y a pas de chômage en Suisse: forcément, ceux qui n’ont pas les moyens d’y rester sont “invités” à partir! Oui il y a des offres d’emplois: mais si on a le malheur de ne pas avoir le “bon” permis/statut, peu importe votre bonne volonté de travailler! Oui il y a des français qui font l’effort d’aller frapper aux portes pour se renseigner sur les démarches et les us et coutumes: mais à quoi bon si les interlocuteurs adéquats eux-mêmes sont incapables de vous répondre ou qu’ils vous pondent 3 versions différentes? Et j’en passe.
Quand on sait qu’il faut payer simplement pour avoir une attestation de domicile alors qu’on est sans revenu… Bref. Quand je lis que “la Suisse, ça se mérite”, je suis horrifiée!! Parce que ça sous-entend que la France (ou tout autre pays qui n’est pas la Suisse) non, et que la Suisse a un “quelque chose en plus”. On croit rêver! Chaque pays est différent, la Suisse n’est pas au-dessus des autres! Les cultures sont différentes, alors il faut s’adapter, certes. Mais dire aux gens qui aimeraient découvrir la Suisse qu’ils ne sont pas assez biens pour, est-ce vraiment constructif? Suspecter le moindre étranger de n’être intéressé que par l’argent, est-ce là le reflet de cet esprit d’ouverture et de tolérance revendiqués par les suisses? Sérieusement…
En ce qui me concerne, ça fait maintenant 4 ans que je suis en Suisse, ce n’est pas l’enfer mais c’est vraiment difficile. Il y a de la m**** ici, mais il y en a aussi en France. Il faut arrêter en disant que toutes les difficultés sont imputables à la Suisse, mais aussi arrêter de crier sur tous les toits que la Suisse c’est ouvert et que tout est possible. A mes yeux ce n’est pas une question de nationalité, mais une question de personnes. Ceux (suisses, français ou autres) de ce forum qui font des généralités sur les français « qui se plaignent et qui ne font pas d’effort» ne valent pas mieux que ces français qu’ils accusent de critiquer la Suisse. Je suis tombée sur beaucoup de personnes flemmardes et discriminantes ici, mais aussi sur quelques perles d’humanité et de gentillesse. Et j’ai envie de dire heureusement, car sans elles je ne sais pas où j’en serais aujourd’hui ici. Bref. Concrètement, mon copain a trouvé un boulot ici et je l’ai suivi en me disant qu’en 3 mois (cf. accord de libre circulation) je trouverais bien un job qui me permettrait de décrocher un permis de séjour pour rester plus longtemps et m’installer auprès de lui. Ca n’a pas été le cas. Même pour faire des paquets cadeaux ou préparer des colis la nuit, c’est pas gagné. Si j’ai survécu (financièrement et administrativement) ici, c’est en changeant d’option: reprendre mes études universitaires. En tant que travailleurs étrangers c’est galère de bosser, par contre en tant qu’étudiant il y a beaucoup plus de possibilités (je n’ai pas repris la fac pour ça hein, mais j’ai pu trouver un job pour la payer parce que j’étais étudiante).
Mon conseil aux futurs couples qui souhaiteraient venir en Suisse: discutez. Beaucoup, souvent, de ce que la situation va impliquer pour vous. Il y a beaucoup de démarches et de contraintes administratives pour celui qui suit son conjoint ici, sans être marié et sans avoir de boulot… Si vous avez une réserve d’argent les premiers temps, ça vous facilitera un peu la vie, si non celui qui a un travail devra se porter garant financièrement (si vous restez au-delà de ces fameux 3 mois). Alors oui le salaire en Suisse peut n’être pas mal selon le job, mais il ne faut pas croire: il y a aussi des gens qui bossent en Suisse et qui ne touchent pas plus de 3000 chf par mois. Et avec les coûts que l’on connaît, à 2 sur un salaire ça grimpe assez vite… Et il faut être solide pour ne pas se laisser bouffer par ça. J’insiste là-dessus car c’est une chose dont on parle finalement assez peu, à côté des démarches administratives : les implications d’une situation asymétrique pour le couple. Il faut vraiment y réfléchir ensemble.
Pour terminer: j’ai certains griefs contre la Suisse, mais il n’y a pas que des choses mauvaises ici, évidemment. Et jamais je ne prétends que la France est mieux pour quoi que ce soit. Je le répète: c’est différent. Par ailleurs, je ne prétends absolument pas parler au nom de tous ici, suisses ou étrangers: je ne partage que mon opinion et ma propre expérience, et seulement pour la Suisse romande (Lausanne). Je sais qu’il y a eu pire que moi, mais aussi bien mieux. C’est pourquoi je suis convaincue que le débat France/Suisse est stérile, car tout est fonction de votre situation particulière, et des gens sur qui vous allez tomber. Sur ce : courage, patience et plaisir aux futurs migrants
(Désolée pour le petit bug :-s)
oui il faut mieux se reseigner au départ. malheureusement, beaucoup refusent de vous donner des renseignements notamment sur les salaires, charges et impôts à payer. Mon employeur m’avait menti sur mes conditions de travail. En comptant des impôts plus élevés les petits salaires payont 10% en Suisse 20%. Une sécurité sociale privée plus chère, un départ à la retraite plus tard, un salaire horaire inférieur… Le rêve Suisse c’est pour les cadres pas pour les ouvriers surtout si vous êtes seuls à travailler. Et je ne parle pas du racisme anti français que j’ais du vivre à Neufchatel.
Petite précision il n’y a pas de crèche donc les femmes s’arrêtent de travailler pour s’occuper des enfants et il n’ y a pas de compensation de salaire comme en France.
Ce qui m’a le plus choquée en tant que femmes c’est le plafond de béton. Technicien 30% de femmes, crew leader 15%, superviseur et au dessus aucune femme.
@ P. et cory65
Que les choses ne soient pas parfaits en Suisse, je suis le premier à en convenir.
Mais une petite remarque s’impose : si vous êtes en Suisse, c’est que vous y trouvez un avantage par rapport à votre propre pays (à moins d’être masochiste).
Personne ne vous oblige à y rester.
Alors, faites preuve de décence et ne crachez pas dans la soupe.
Plus spécifiquement, pour cory65, si vous en êtes encore à écrire Neufchatel, alors que le nom Neuchâtel est écrit sur des milliers de panneaux, c’est que vous avez vraiment un problème d’intégration.
Je ne crache pas dans la soupe puisque je suis revenue travailler en France on reconnait plus le travail des femmes ce qui fait que j’y gagne mieux ma vie. De plus, qui ne fait pas des fautes d’orthographe? Je tenais juste à prévenir ce couple qu’il faut bien réfléchir avant de s’engager.
Quelle vie familiale envisage t’il? Couple avec ou sans enfants. Quelle vie professionnelle envisage t’il en Suisse? Pour 2, 20 ou 40 ans. Sa copine est elle prête à faire un break dans sa vie? Quel niveau d’études a t elle et quel salaire?
En plus les situations dépendent beaucoup des salaires et de l’emploi occupé. Nos sportifs qui habitent en Suisse n’ont pas les mêmes préoccupations qu’un technicien ou un cadre.
De plus petit conseil on préfère les couples mariés dans certaines régions. La Suisse est très croyante.
Votre emploi est il plus important que le mariage? On peut se marier en 10 mins sans frais. Si vous voulez des enfants ce sera plus facile du point de vue administratif.
En ce qui me concerne, le seul avantage que j’ai à être en Suisse est de pouvoir rester auprès de mon copain. Et encore, notre situation bancale exacerbée par les considérations administratives d’ici a failli avoir raison de notre couple. Donc, sans être masochiste, je ne tire absolument aucun bénéfice spécifiquement suisse. Pour autant je « ne crache pas dans la soupe » et tente de m’intégrer autant que possible. A l’inverse de la situation de David, je n’ai pas renoncé malgré les difficultés que je rencontre encore aujourd’hui, et je suis toujours là. Mais il est clair qu’à terme on ne restera pas. Est-ce bien étonnant lorsque, face aux désaccords et difficultés que l’on peut émettre, les gens vous gratifient d’un « si ça ne vous convient pas, vous n’êtes pas obligé de rester » ? Moi je ne cherche pas spécialement à critiquer les gens ou les systèmes, je voulais juste qu’on m’aide à vivre ici pendant le temps que ça durerait, de la même façon que j’offrirais mon aide à toute personne qui souhaiterait s’intégrer dans mon propre pays, aussi imparfait soit-il. Si j’avais eu ces difficultés dans un autre pays que la Suisse, j’aurais dit exactement la même chose : pour moi, accueillir les gens « sous conditions » c’est limite, mais dans une certaine mesure je peux quand même comprendre. Par contre, ne pas les aider à satisfaire ces conditions s’ils en manifestent la motivation et les renvoyer à eux-mêmes, c’est de la moquerie.
Et ce que je trouve effectivement encore plus regrettable, c’est que cela pourrait être évité en permettant justement aux gens de s’informer avant de s’engager, comme le dit cory65. Sauf que ce n’est pas ce qui se passe dans la pratique (en tout cas cela n’a pas été le cas pour nous) : la grande majorité de tout ce que l’on sait aujourd’hui sur la vie en Suisse, on l’a appris au fur et à mesure, et encore.
Enfin, il me semble que beaucoup de personnes laissent de côté une chose qui me semble pourtant essentielle : une immigration (comme tout ce qu’on peut faire), ça s’inscrit dans un contexte de vie. Pour quelqu’un qui va s’installer dans un autre pays que le sien, les difficultés rencontrées sont souvent bien plus larges que la simple adaptation culturelle, car il vient avec ses propres « bagages ». Lorsqu’il demande de l’aide, ce n’est pas nécessairement parce qu’il ne veut pas faire d’efforts, mais peut-être aussi parce qu’il est dépassé par ce que ça implique pour lui dans sa propre situation. Alors bien sûr, ce n’est pas au pays d’accueil de se préoccuper de la vie de chacun de ses résidents potentiels. Mais il me semble que chacun gagnerait à être considéré comme une personne à part entière, plutôt que juste comme «étranger » ou « suisse ». Personnellement, j’ai été choquée de constater la différenciation nette et appuyée qui est faite entre « suisse » et « étranger ». J’avoue que j’ignore totalement, finalement, si ça se passe de cette façon dans mon propre pays (tout comme, de ce que j’ai pu comprendre en discutant avec mes amis suisses, ces derniers ne savent que vaguement comment les choses se passent pour les étrangers ici). Et si en rentrant chez moi je découvre que c’est le cas, je ne manquerais pas de le dénoncer, de la même façon que je le fais ici.
Vos réflexions me conduisent à vous poser quelques questions :
Que pensez-vous de l’accueil fait à un Marocain, Algérien, Tunisien venu légalement en France (en partant de l’hypothèse folle que venir légalement en France, pour un Magrébin, c’est possible) ?
Ne pensez-vous pas que c’est pire que l’accueil réservé aux Français par certains Suisses ?
Que certains Suisses méprisent ou, plutôt, s’amusent des Français, c’est un fait, mais au moins, dans la plupart des cas, ils ne le montrent pas ouvertement, gardant une politesse de surface.
Ne pensez-vous pas que l’attitude arrogante de certains Français qui se pensent chez eux et veulent importer leur mode de vie et leur façon de penser est pour beaucoup dans ce rejet ?
La France a, sur son territoire, 5,9 % d’étrangers et vous pouvez déjà voir les cris et hurlements que cela provoque. Que se passerait-il si, comme en Suisse, il y avait 23,3 % d’étrangers ?
Peut-être faudrait-il, avant de s’occuper de la Suisse, voir comment cela se passe en France !
Mais je pense que vous avez compris une chose : si dans une partie de la Suisse on parle français, cela ne signifie absolument pas que le mode de vie et les valeurs sont les mêmes que ceux qui existent en France.
Merci Mimile pour votre commentaire, car il illustre parfaitement l’attitude dont il est question sur ce forum. Vous sélectionnez de mes propos ce qui peut alimenter vos griefs et faites fi du reste…
Là où je parle de difficultés d’intégration générales, vous ramenez vos questionnements à un débat sur la nationalité et l’ethnocentrisme. Vous avez peut-être de mauvaises expériences des français installés ici pour penser qu’ils se contentent de vouloir importer leur mode de vie, et si c’est le cas j’en suis bien navrée, car je ne trouve pas non plus correcte cette façon de faire. Cela dit il me semble que l’ouverture des frontières, cela fonctionne dans les deux sens, et qu’à partir du moment où la Suisse dit accueillir des étrangers (donc des gens qui ont forcément des façons de penser et de vivre non-suisses, différentes), cela implique aussi un certain degré de tolérance et d’acceptation de ces différences, et pas seulement du mépris (ou de l’amusement, selon) ou du « vous êtes ici, alors vous vous pliez aux us et coutumes et c’est tout ». Refuser la différence n’est pas quelque chose que je cautionne mais que je peux comprendre, seulement il me semble plus juste à ce compte-là de l’assumer, histoire que tout le monde sache à quoi s’attendre, et puisse du coup faire en connaissance de cause. De la même manière, ce que vous estimez être de la « politesse de surface », moi je considère cela comme de l’hypocrisie. Tout est une question de point de vue…
Du reste, la réponse à vos interrogations figure dans les parties de mes écrits que vous avez mises de côté. J’ai avoué ne pas savoir comment les choses se passent en France pour les étrangers. Je pense que si on n’y est pas confronté d’une façon ou d’une autre (métier, situation familiale, etc.), on ne pense pas forcément à s’interroger sur ces choses-là. Comme je l’ai écrit aussi, le fait de vivre cette expérience moi-même, de « passer de l’autre côté de la barrière », m’a permis de m’en rendre compte. Et de cette expérience, je vais ramener les mêmes questionnements que j’ai ici lorsque je rentrerais en France, car je n’ai jamais émis l’idée que la France était une terre d’accueil parfaite et sans problème. Comme vous l’avez peut-être compris, si une partie des français hurle au vu du nombre d’étrangers présents sur leur territoire, je ne suis pas de ceux-là. Je ne peux aujourd’hui pas vous dire si un magrébin serait plus difficilement intégré en France qu’un français en Suisse. En revanche, ce que je peux vous dire, c’est que si je croise le chemin de cette personne et qu’elle me confie qu’elle en bave, ma réponse ne sera certainement pas « t’es pas obligé de rester ».
Bonjour,
Je ne rentre pas dans le débat de la polémique…
Si vous regardiez mes posts…par exemple " coût de la vie en suisse ", je donne des infos qui évite les erreurs en s’installant en Suisse ( dans un premier temps avec un permis de séjour B ).
A part le fait : qu’il faut avoir un emploi et un employeur pour pouvoir venir en Suisse…le reste n’est pas un soucis en soit…si ce n’est d’accepter les US et Coutumes locales et la législation Suisse…et la vie politique Suisse ( quelque part géniale que les autres pays essaient de reprendre : Exemple Ecotaxe en France ( provisoirement abandonné ) qui une copie de la RPLP voté en 2002 en Suisse…et j’en passe…
J’ai toujours dit : nous sommes en Suisse par le pur hasard depuis 1996 ( période des quotas ) et chemin faisant que je ne ferais pas marche arrière.
Nota : il y a autant de Suisse en France que de Français " installé " en Suisse ( je parle pas des travailleurs frontaliers ).
Par contre, j’invite les nouveaux arrivants de se faire connaître auprès de leurs consulats en suisse…c’est même une obligation.
Laurent
Bonsoir marmailles.
Le fait que vous parliez d’ “erreurs” à éviter est très parlant, merci
Quant à vos posts, j’en ai lus quelques uns lorsque je suis tombée sur ce sujet de discussion. Je ne sais plus si je l’ai déjà écrit plus haut, mais ce que je regrette c’est de n’avoir pas eu accès à ce genre d’informations auparavant. Mais maintenant que je connais l’existence de ce site et de ces possibilités de discussion, je ne manquerais pas d’y revenir pour ma prochaine installation à l’étranger s’il y en a une!
Quant à faire marche arrière… J’ai rencontré beaucoup de gens qui me disent la même chose que vous; moi il est vrai que je fais un peu figure d’extraterrestre à ne pas vouloir m’établir ici. Je pense que tous les pays ne conviennent pas à tout le monde, simplement, il faut trouver sa place. Mais malgré les difficultés qu’on rencontre ici, je suis contente d’avoir fait ce voyage et d’avoir passé ce temps à Lausanne, j’ai beaucoup appris! Mon but n’était pas d’alimenter une polémique… Simplement de faire entendre à qui est intéressé que pour ce qui est de ma propre expérience, l’intégration en Suisse n’est pas forcément très aisée, c’était juste le sujet de départ de la discussion. Je laisse bien sûr le soin aux futurs migrants de faire la synthèse de tout ce qui peut être dit sur le sujet, car ma situation n’est évidemment pas celle de tous les étrangers venus ici.
Mon rêve à moi …j’aurais aimé travaillé au Liban dans la plaine de la Beqaa ( l’autre Suisse )…trop difficile politiquement pour une famille à l’époque…dommage.
Ma ligne directrice est de dire : regardez les conseils des Consulats ( peu importe le pays d’origine ) et ensuite de demander des conseils via le forum ou en privé ( ça fonctionne avec le Routard ).
Le forum du Routard n’est pas un lieu de polémique…quand ça devient "houleux "…la personne reçoit un message perso " privé " de ma part pour plus de calme.
Au bilan : la Suisse est un pays extraordinaire, même si les contraintes sont fortes en apparence au début et au final pas si différentes ailleurs ( autres pays) .
Laurent
Il y a également plusieurs sites officiels suisses que je trouve plutôt bien faits et assez complets au niveau des démarches et informations. L’inconvénient c’est que ça reste au niveau général et officiel, et c’est loin d’être suffisant pour se faire une idée de la vie sur place. C’est pourquoi je suis bien contente d’avoir découvert ces forums de discussion, moins formels, qui sont un bon complément.
Quant à mon propre bilan, et j’arrêterai là mes interventions, il est donc plus nuancé: la Suisse? Mouais. Rien d’extraordinaire pour moi, un dialogue et des démarches fastidieux, mais aussi de belles choses à voir et à vivre.
Bonjour,
Le manque de satisfaction des futurs résidents et des nouveaux résidents en Suisse est le fait de " mettre la charrue avant les boeuf ".
Le système Suisse est à étage : emplois / logement…puis après commune / canton.
Autorisation de séjour, vous démènagez ce que vous voulez ( meubles/ hifi et etc)…y compris votre cave à vin…c’est une opération unique et de prévenir les douanes Suisse ( aucun frais de dédouanement ).
En 1996. j’avais fait une déclaration auprès de la douane Française ( inventaire totale du déménagement ) et j’ai présenté la liste à la douane Suisse…
Douane Suisse : " ce n’est pas valable "…sauf que j’ai tout passé sans contrôle à la vue du document à la frontière Suisse.
Le soucis est de faire les démarches correctement dés le début…et après " roule "…quoi que !!! après il faut l’apprentissage des règles Suisse et les " fameux BVD ( bulletin de versement ).
Franchement : 95 % des Français qui résident en Suisse…sont heureux d’y être…exemple dans le quartier ( de résidence ) : Franco/ Marocaine, Franco/ Italienne, Franco / Française , Suisse / Maroc…et etc…
Laurent
Bonjour à tous.
Je suis frontaliers depuis un peu plus d’un an. Après avoir discuté avec des parents qui se sont installés dans votre beau pays et des collègues je me suis mis à rêver à une installation. Je sais bien que la vie n’est pas tous les jours rose et qu’il faut travailler dur pour s’en sortir (ça tombe bien je suis courageux). Mais le côté “sans délinquants” me rassurerait pour l’éducation de mes enfants.
J’aurais donc besoin de vos conseils pour savoir quel sont les démarches à effectuer?
De plus, la condition à une installation sereine serait que ma compagne ai un travail. Afin d’offrir une vie décente à nos 2 filles. Quel méthode pensez vous qu’il vaudrait mieux adopter? Venir et chercher une fois sur place ou chercher par avance?
Je dois préciser que je ne suis pas encore engagé par la société ou je travaille, je suis encore en cdi avec l’agence de travail temporaire. Pensez vous que ça pourrait être un frein à une autorisation d’installation des autorités Suisse?
Dans l’attente d’une réponse,
En espérant pouvoir vous annoncer une installation prochaine.
A bientôt.
Bonjour à tous,
Cherchant une nouvelle expérience pro, je m’intéresse à la Suisse et ce forum me surprend.
Tout d’abord, ce sont clichés contre clichés donc difficile d’y voir du vrais.
De mon expérience, j’ai 4 potes suisses, 3 francophones et un germanophone rencontrés à l’autre bout de la planète. Et le minimum que l’on puisse dire c’est qu’à l’autre bout du monde on se sent relativement proche, surtout avec les francophones. Donc toutes ces histoires me paraissent un peu lointaines, il y a selon moi moins d’antagonisme entre français et suisses francophones qu’entre suisses eux mêmes. Si après le boulot on est ouvert à une bière et une petite discussion, on peut s’intégrer partout je pense.
De plus, l’intégration d’un provincial français à Genève est-elle plus dur qu’à Paris, hormis le côté administratif? Même si c’est cliché, bienvenue chez les Ch’ti appuie sur les difficultés d’intégration qui sont partout.
Pour les Suisses, j’aimerai soulever deux points: habitant au centre de la France, je suis environ à 3h30 4H de Paris, Montpellier, Bordeaux, Toulouse et… Genève. Je ne considère pas cela comme de l’emmigration véritable, mais pour bosser dans de grand groupe j’ai véritablement le choix entre Genève et Paris. Rien que d’un point de vue logistique travailler en Suisse peut donc être plus simple.
Enfin la question qui tue est l’espoir de gagner plus d’argent en Suisse. Suis-je opportuniste de me dire que je gagnerai le double à Genève plutot que Paris, avec une qualité de vie meilleure, des loyers sensiblement homogènes? Je réponds oui. S’entendre reprocher l’opportunisme par des Suisses me paraît être un comble? D’où vient la richesse de la Suisse, notamment au sortir de 45…? Qui a fait du lobbying pour récupérer les sièges des organisations internationales comme les JO, UEFA, FIFA qui viennent d’autres pays d’Europe? Si je ne m’abuse, nos sportifs ou hommes d’affaires ne vous dérangent pas? Donc l’opportunisme n’est pas l’apanage des immigrés en Suisse mais elle est à l’origine de la richesse de ce pays, je pense qu’il est donc déplacé d’en vouloir à ses voisins d’essayer de vouloir mieux vivre. Mais je comprends également le protectionisme et il est normal de défendre son beurre, j’en ferai de même si j’étais Suisse.
Le côté travailleur suisse et fainéant français… Cadre en comptabilité les 35h je connais pas ni les RTT, donc au final l’écart est juste d’une semaine de congés par an…
Maintenant, pour avoir voyagé, les français sont vraiment difficiles à supporter (X10 pour les parisiens) et donc il faut aussi chercher à s’intégrer dans le pays qui nous accueillent, cela passe par une phase d’observation et de réserve.
Je vais donc voir, mais la Suisse me paraît donc être intéressante pour vivre une expérience internationale tout en restant proche des siens. Mes amis suisses m’ont promis qu’on se mettra sur le toit pour fêter ça. Et arrêtons de nous prendre la tête pour rien car Suisses ou Français, il y a des fainéants, des travailleurs, des abrutis et des gens sympas. Si on fait preuve de respect et d’humilité, on peut s’intégrer partout.
Bonjour David ! Je reprends la phrase"Que les choses soient clair, je maintien ce quej’ai dit, la suisse est un tout petit pays isolé qui s’implique tres peu au nivrau international". elle reflète bien l’ignorance du pays dans lequel vous souhaitiez vivre ! Nestlé c’est pas international ? Pour oublier vos soucis vous pouvez toujours prendre un “Valium” médicament international mis au point chez le laboratoire “Roche” à Bâle en Suisse ! Eh oui y a pas que Ricola en Suisse ! Quand vous prenez du papier aluminium pour conserver votre “jambon beurre” c’est encore une invention suisse comme le cellophane ou la bande velcro ! Les industries chimiques suisses sont impliquées au niveau international au plus haut point ! Les banques Suisse dont on dit qu’elles possèdent l’argent des autres pays, ne représentent qu’à peine 10 % du PIB Suisse ! Cela veut dire que ce pays reste impliqué dans l’économie mondiale de la manière la plus performante avec des gens qui travaillent en s’impliquant et qui sont flexibles: 58 % des gens sont actifs et directement impliqués dans l’économie contre seulement 41 % en France avec un code du travail ( 1500 pages minimum )et une sécurité sociale française (que soit disant le monde entier nous envie) alors que tout cela paralyse le pays ! Sans la sécu, vous toucheriez votre salaire brut complet et vous assureriez dans le privé pour 7 fois moins cher et il vous resterait encore du pouvoir d’achat ! La Suisse, si fermée comme vous dites a un code du travail de seulement 30 pages et c’est quand même bizarre qu’avec au minimum 42 h de travail par semaine contre 35 en France avec également moins de congés payés autant de gens souhaitent s’y installer ??? Faut croire qu’ils sont tous masochistes pour vouloir quitter le merveilleux paradis d’assistés nivelés par le bas que devient peu à peu la France ?