Très bon séjour à Monopoli où nous avons trouvé un excellent B&B “Casa Palmieri” à Monopoli, en plein centre historique. L’hôtesse , toujours de bonne humeur, se met en quatre pour faire plaisir , donner de bons conseils . Le petit déjeuner est bon et copieux. Les chambres sont jolies, calmes et bien entretenues, et le prix très raisonnable (60€) . De là on peut visiter à pied toute la ville, le vieux port avec ses barques bleues, et aller à la plage. C’est une vraie ville avec ses pêcheurs, les gens qui travaillent, ça n’est pas une ville seulement tourisque, elle est très authentique. Les habitants sont charmants et bien loin de la consommation à outrance.Rien n’est très loin, le plus éloigné est Lecce (100km) en voiture, mais il y a un train, ainsi que pour Bari. En voiture, pas de problème, en mai, pour se garer, les parkings sont payants mais peu chers pour tous les petits villages, Alberobello , Locorontondo, polignano a Mare, Martina Franca…
Nous sommes restés une semaine, mais 5 jours peuvent suffire à avoir une bonne idée des Pouilles.
Merci au Routard pour avoir conseillé “l’Osteria Perrici”,. Nous en avons fait notre “cantine”, c’est bon, peu cher, et très sympathique.
Utile à la communauté des routarnautes.
Encore merci.
Nous sommes restés quatre jours chez Maria à Monopoli, Casa Palmieri. Son B&B est au centre de la vieille ville, très bien aménagé et d’une propreté exemplaire. En cette saison, le coût est de 50 euros et comprend le petit déjeuner. Un régal ! C’est l’occasion de déguster des produits faits maison et Maria prépare devant nous un excellent cappuccino.
Maria ne sait pas quoi faire pour rendre service. Ce qui fait aussi son attrait, c’est qu’il est possible de discuter avec elle longtemps de l’histoire, l’économie de la région et elle peut même organiser pour qui le souhaite des visites avec des gens compétents qui vous font sortir des sentiers battus.
Son atout : communiquer la culture de cette région, l’amour de cette terre qui est la sienne et qui a été désertée pour des raisons économiques.
Ah, j’oubliais, elle essaie de parler un minimum toutes les langues des touristes qui se présentent.