Bonsoir,
Dans quelques jours, ce sera le 1er week-end des grands départs. Et à chaque fois, ces questions: comment éviter d’être pris pour une tirelire?
Comment échapper à ces petites arnaques qui peuvent brouiller le plaisir dans les lieux les plus doux?
Voici l’exemple de Venis, ses gondoles, ses palais, sa majesté, mais aussi sa double tarification, l’une pour les locaux et l’autre pour les touristes.
Venise c’est Janus aux 2 visages, surtout côté tarifs. Il y a ceux spécialement étudiés pour les touristes et d’autres bien plus doux pour les italiens.
Expérience avec Margaret et Richard, de Paris, et Maria de Venise, inégaux, d’abord face aux transports en commun, les fameux vaporettos qui glissent sur l’eau: 7 euros par personne quand on est touriste. Ce qui n’est écrit nulle part, c’est qu’il existe un autre tarif pour les non touristes: 1,30 euro, 5 fois moins cher.
La pilule est amère.
Et ça continue: Pour un arrêt aux toilettes, 1,50 euro pour les touristes sinon c’est 1 euro (pourtant on parle bien ici de besoin urgent).
L’accès à Internet en wi-fi partout: 5 euros pour l’étranger et rien (0 nada) pour les autochtones.
Et maintenant, le meilleur de ce qui apparaît comme une discrimination: l’apéritif. 21,80 euros, un verre de vin et un jus d’orange.
Pour le même verre de vin, il y a la ristourne locale, un prix d’ami (l’étranger serait-il un enemi? Un pigeon, c’est sûr), ce n’est écrit nulle part. Mais si vous parlez la langue du pays, vous l’obtenez. Le verre de vin, c’est 2,50 euros, mais pour un touriste, c’est 5 euros.
Multipliez par 30 millions de touristes…
A voir absolument le documentaire complet sur: http://www.dailymotion.com/video/x2wb5w3
On peut parler dans ce cas de discrimination, fait puni par la loi, sinon alors que l’on en fasse de même de partout.
Merci.