Bonjour;
Il n’y a pas besoin de chercher bien loin des récits édifiants sur le comportement du personnel de l’ambassade de Kiev, on en voit pas plus loin que sur ce forum, voici un exemple:
Des récits comme ceux là, on en trouve plein, et j’en ai moi-même fait les frais… Évidemment, et c’est bien connu, on entend que les 1,17% de mécontents (ou les 5% des autres années…)
Une demande de visa à l’ambassade française, c’est la loterie. Parfois c’est oui, parfois c’est non. Bien sûr, le dossier est identique. Je parle ici d’un visa touristique de base, avec toutes les garanties, accueil, garanties financières, lettres de recommandations, photos…
Impossible de joindre ou de communiquer avec l’ambassade, et quand on se retrouve sur place, on doit faire face le plus souvent à une attitude hautaine. Beaucoup d’argent et de temps gâché pour un résultat très incertain… C’est plus facile avec les ex colonies!
Reste le visa Schengen, c’est ma femme qui s’en est chargée. Je dis çà, c’est tout de même aberrant, étant français, de devoir faire appel à d’autres pays alors que l’on est de bonne foi… Manifestement la France a un état d’esprit d’avant Schengen alors qu’on est en plein dedans, et c’est là que çà coince…
Un visa slovaque avec une escale à Vienne, un visa polonais avec escale à Varsovie, de même pour la Grèce, Portugal, Espagne… Évidemment les douanes râlent quand ils contrôlent à la volée, mais lorsque la personne a assez d’argent sur elle (la loi indique qu’il faut justifier de 40 ou 60€ par jour pour se loger), ça passe. Surtout, ce qui importe à la douane française, c’est d’avoir la garantie que la personne reparte bien chez elle à la fin de son séjour, les histoires de visas, ça ne les regarde qu’à moitié…
Doit-on également parler des pratiques “borderline” de l’OFII à Kiev, qui consiste à prendre l’argent des subventions afin d’apprendre le français aux ukrainiennes mariées à des français, de leur faire baragouiner 3 mots de français, de les envoyer en France et d’apprendre une fois ici, qu’il faut reprendre toute la formation… A ses frais, forcément… Doit on en parler? Non, restons en aux questions des visas…
Comme le dit Sandro, il y a le discours officiel, et la réalité…