Avant d’attaquer un nouvel hiver j’avais envie de me laisser tenter par le bord de l’adriatique découvert dans le sud de l’Italie l’année dernière. Mais bon, ca faisait un peu le même voyage … Mais qu’il y’a t’il en face ? De l’autre coté de cette magnifique mer ? La Croatie bien sûr ! Tant vantée il y’a quelques années pour ses prix attractifs et la beauté de ses cotes, Allez ! Je vais voir par moi même
Le débrief, est à la fin comme d’habitude
Jour 1 : Beauvais - Zadar (26 Sept 2108)
Cette première journée de récit est une mini journée car le décollage se fera le soir (20h20) Décollage presque à l’heure … une chose de cassée mais qui va ne mettre que 5 ou 7 minutes à réparer annonce le commandant … rassurant
Vu l’arrivée tardive (22h30) j’avais choisis un transfert par navette, la personne m’attends avec une tablette arborant mon nom, la classe !
15 minutes plus tard j’arrive chez Marin, le chemin n’est pas sans rappeler celui à l’arrivée dans les pouilles … les chemins sont vraiment étroits et entrelacés entre chaque maison, parfois ça tourne à angle droit et point de trottoir ici.
Marin a entendu la navette et sort m’accueillir, il fait 9 degrés et il court vite pour contourner la maison et me faire découvrir le logement.
C’est simple mais propre, par contre aucun petit cadeau d’arrivée, le seul repas sera le croissant café pris à 20h avant d’embarquer à Beauvais …
Jour 2 : Bibinje
Ce matin il est temps de se restaurer et je file à l’épicerie du coin prendre pain beurre et café soluble, c’est petit et vraiment d’un autre temps mais le pain est super croustillant.
Ici la terre est rouge et les anciens cultivent toujours le jardin familial, aucun espace de terre n’est laissé à l’ornement et au plaisir du jardin, tout est cultivé, les routes n’ont jamais de trottoir comme si chaque centimètre carré devait être « utile ».
La matinée se fera le long des plages et de la marina de Bibinje, l’eau est vraiment belle et transparente … les plages sont certes petites mais je me laisse tenter par une baignade sur le retour, l’eau est un peu plus fraîche que je ne le pensais … par contre leur système de cabine pour se changer est plutôt pas mal.
L’eau est vraiment magnifique et sur ce point le Croatie tient ses promesses mais les plages sont plus graveleuses que du coté Italien, alors les chaussures de bains sont les bienvenues.
Récupération de ma première voiture de location (pensez bien à avoir l’encours nécessaire sur votre carte car moi j’ai du appeler ma banque …) et me voici au volant d’une Volkswagen Up.
Grace à elle je me rends au supermarché plus conséquent mais le constat et le même que ce matin … beaucoup de charcuterie industrielle … la bouffe ici, ça n’a pas l’air top …
Voici pour cette première journée que je souhaitais volontairement calme pour attaquer du bon pied la suivante, et oui, demain je file de bonne heure direction Zagreb et les grands lacs du parc de Plitvice
Jour 3 : Plitvice et ses lacs
Départ vers 8h30, le plein fait mais petit souci de GPS, le fidèle Tomtom que j’emmène dans toutes mes aventures redémarre sans cesse … heureusement que marin, mon hôte, m’avait dit que c’était simple : « Tu prends la route direction Zagreb puis à droite et toujours tout droit et tu es arrivé »
Effectivement c’était très simple mais heureusement que le portable est là aussi … 10h30 et la voiture est garée
A l’entrée du parc je vous conseille d’aller à la station 2 , de prendre ce petit « train » qui emmène au plus haut du parc (il n’y aura plus qu’à descendre)
Le petit chemin de terre laisse vite place à un chemin de rondin sur pilotis qui parcourt l’ensemble des lacs, on est au milieu de cette nature incroyable par sa grandeur et ses couleurs.
Les lacs sont d’une couleur turquoise étonnante, l’eau qui coule sous mes pieds est d’une clarté incroyable …
En fait les lacs de Plitvice sont plusieurs lacs situés les uns à l’aplomb des autres et qui sont reliés par de multiples cascades c’est vraiment magnifique, pas étonnant que l’Unesco ai classé ce site.
Certains de ces lacs laissent apparaître au fond des arbres plantés bien droit, à l’évidence certains lacs ont envahis des parties de forêt … vraiment étonnant.
Ce qui m’impressionne le plus est surtout la grandeur du site, prévoyez une journée pour profiter pleinement sans oublier eau et nourriture.
Le plus grand des lacs devra d’ailleurs être traversé en bateau durant une bonne vingtaine de minutes. Le débarcadère et son grand espace de verdure sera d‘ailleurs propice à votre pic nic si vous avez prévu cet option, de nombreuses tables sont disposées à cet effet.
Le dernier chemin emmène à la grande cascade, plutôt haute effectivement mais assez peu alimentée, remontez ensuite vers la Station 1 ou le petit train vous ramènera à la Station 2 et de ce fait, à l’entrée du parc.
16h45 la visite se termine et la route pour rejoindre Bibinje dévoile des décors de western, de grandes steppes non cultivées où quelques fermes isolées ponctuent le paysage, c’est une des choses qui me frappe sur cette route : ni culture ni élevage le long des 150 Kms parcourus. Je croise également peu de voitures sur cet axe qui est pourtant principal… ce long pays apparaît peu peuplé.
En bord de route je vois aussi quelques cimetières aux tombes désordonnées, le tout juste clôturé d’un simple grillage ou même de rien du tout … a ce moment la, l’histoire Croate me ressurgit brutalement.
Ici, loin de la carte postale et des récits des collègues, il faut se rendre à l’évidence : Il y’a 20 ans le peuple a combattu pour son indépendance et certains d’entre eux, tombés ici ou la, ont certainement du être enterrés au plus vite.
Jour 4 : Zadar
Il est temps de découvrir ce matin la vieille ville de Zadar puisque j’en ai fait mon point de chute pour ses 4 premiers jours en Croatie.
La vieille ville est située sur une presqu’île face à la mer, on y pénètre par des portes, franchissant ainsi les fortifications.
Je suis un peu dérouté en y pénétrant, les rues sont droites, perpendiculaire les unes aux autres, les bâtisses rectilignes, bref peu de choses qui pourraient faire penser à une vielle ville …
Et puis, petit à petit, en avançant de plus en plus vers la pointe de cette presqu’île, je découvre des ruelles un peu plus biscornues, des façades et des places qui par moment font penser à l’Italie … le marché est pittoresque et le charme opère …
Le marché justement : les étales sont toutes les même et les marchands ont l’air de locaux qui viennent vendre la production de leur jardin.
Les uns à côtés des autres on trouve exactement les mêmes légumes d’une étale à l’autre. Malgré cette concurrence sur des dizaines de mètres, tout le monde a l’air d’y trouver son compte dans une ambiance détendue.
Une fois passé l’église Saint Donat et son site archéologique, le bleu profond de l’adriatique ce laisse apercevoir, je suis au bout de la presqu’île.
Une douce mélodie arrive à mes oreilles : c’est bien l’orgue marin qui se fait entendre.
Certes j’avais lu dans les guides que c’était une des choses à voir à Zadar mais c’est tellement irréel que même une fois assis sur les marches qui bordent la mer, je cherche du regard un quelconque matériel hi-fi qui pourrait diffuser cette douce mélodie …
C’est pourtant bien le ressac de la mer sous ces marches qui par un jeu de trous creusés dans celle-ci, diffuse cet incroyable mélodie … c’est étonnant, englobant, envoûtant, bref complètement magique
Je quitte Zadar en continuant mon chemin le long de la mer qui est superbement aménagé, le chemin se termine en bas dès rempart par un tout petit port de plaisance.
L’après midi sera quant à lui destiné à la plage et au farniente.
Jour 5 : Pakostane - Pirovac - Okrug Gornji
Le départ se fait vers 10h, bye bye la maison de Bibinje direction la belle maison avec terrasse sur l’ile près de Split
La route se fait au plus près de la côte et le premier village rencontré est Pakostane, la beauté de la Croatie se ressent vraiment ici : la transparence de l’eau, les îles verdoyantes qui plongent dans la mer, le bleu profond de l’adriatique un peu plus loin.
Quelques hommes s’affairent à entretenir une barque, le tour de la crique dévoile quelques unes d’entre elles sagement rangées entre deux épis de pierres, ici on construit en dur !
Le deuxième arrêt surprise se fera à Pirovac, cela semble animé mais surtout j’ai la chance en rentrant dans le village de découvrir quelques ruelles de l’époque, le sol est fait de pavés d’un autre temps, de certaines maisons il ne reste plus que les façades et les volets.
Drôle de contraste entre ce quai flambant neuf offrant une jolie carte postale et l’envers du décor.
Il est temps de manger et l’ile de Murter fera un point de chute idéal, en descendant le long d’une corniche le paysage est à couper le souffle, on dirait par moment de véritable fjord …
Quelques victuailles achetées a la superette « Tommy » et il est temps de rejoindre cette si belle plage et ses voiliers au mouillage aperçus de là-haut.
Le chemin indique « Auto Kamp » je suppose que c’est un camping, la barrière est ouverte je continue la descente, effectivement quelques tentes et caravanes sont bien là mais l’endroit est idéal, allez je me pose !
Une fois installé parmi les pins sur ce petit muret de pierre donnant sur la mer quel est mon étonnement de voir des gens nus allez tranquillement se baigner …
Serai-je dans un camping naturiste ? J’hésite à remballer mais de l’autre côté je vois des familles portant bien des maillots, je vais pouvoir déjeuner habillé, ouf !
Il me reste une heure avant de récupérer mon autre voiture de location, le temps de visiter Nin, petit village aux ruines archéologiques et aux marais salants, le paysage est ici différent, la montagne qui se laisse entrevoir en fond de paysage marin est aride, on dirait les Alpilles.
La visite se fait au rythme des rotations des hydravions de l’école de pilotage toute proche.
La nouvelle voiture récupérée, il est temps de rouler vers Split et l’ile de Ciovo où se trouve mon logement du soir.
La berline est parfois un peu grande pour la dernière centaine de mètres et ses minuscules rues qui tournent à angle droit, je dois même descendre par moment pour vérifier que ca passe … mais je trouve sans difficulté la maison de Josipa, mon hôte pour la semaine a venir.
Les beaux-parents de l’hôte m’accueillent, le logement est superbe, les matériaux de qualités, bref un petit palace …
Je distingue depuis la terrasse les lumières des habitations de la colline d’en face, le petit morceau d’adriatique qui nous sépare laisse entendre le ressac, la lune se reflète dans la mer juste en bas …
Calme et sereine, cette ambiance n’est pas sans me rappeler celle du film « nuit blanche à Seattle »
Jour 6 : farniente à Okrug
La promesse des photos de la location est bien la, la grande terrasse surplombe la mer, et le petit déjeuner est royal sur cette terrasse face à la mer.
De jour, les ruelles sont moins impressionnantes qu’hier, mais bon c’est tout de même tout petit ! La plage est à deux pas du logement l’eau est toujours aussi belle …
Les ruelles montent dur à flanc de colline, la rue principale m’emmène au supermarché du coin, mais je découvre également un tout petit bourg où l’on trouve tout commodité, boucher boulanger, poste, café, tabac.
Le déjeuner se fera sur la terrasse à l’ombre du parasol …
La Sieste, l’écriture de ce récit et la pluie vers 19h ponctueront le reste de l’après-midi.
Jour 7 : Trogir
Ce matin le temps est un peu couvert et donc propice à la grasse matinée.
Le départ pour Trogir se fera à pied vers 12h, il y’a environ 5 Kms pour y aller, ça sera l’occasion de voir le bord de mer de ce côté de l’ile.
Une fois franchi la colline et le petit bourg me voici bordant la mer, les restaurants de bords de plage offrent quelques transats et une vue sur la baie plutôt sympathique. Bon il ne faudra pas trop tourner la tête sur la droite de peur de voir quelques grues d’un chantier naval flottant, c’est vraiment contrasté le paysage en Croatie
Je vous conseille d’emprunter le petit chemin « Shortcut » sur la droite, pour Trogir, certes c’est plus court (700 m) comme L’indique la pancarte mais ça grimpe dur … une fois sur l’autre versant c’est un tout petit chemin qui longe une maison qui vous permettra de rejoindre les rues et le pont pour Trogir.
Cette ancienne forteresse médiévale est vraiment charmante à visiter, les ruelles s’enchaine les unes aux autres, par moment on a même du mal à se situer tellement l’enchainement se fait naturellement.
Les restos sont nombreux et pour toutes les bourses, mais j’apprécie ici de ne pas être constamment interpelé par les rabatteurs locaux.
Si vous avez déjeuné tard comme moi, je vous invite à déguster face à la mer une excellente part de Pizza acheté au 51 de la rue GRADSKA. La part était généreuse et pour 12 Kunas (1,62 eur) on peut difficilement faire mieux. Une fois la pizza dégustée complétez le repas par une glace (à tomber par terre) chez « Bella » qui se situe à 50 mètres du vendeur de pizza, à côté de la poste (20 Kuna les deux boules) pour ma part c’était black chocolate et pistache
Le retour pour Okrug Gornji se fera en passant par la route, certes, c’est un peu plus long mais ça monte moins dur
Jour 8 : Split
Après un bon petit déjeuner sur ma terrasse, me voilà parti pour Split et ses 4 étoiles dans le guide.
En arrivant à Split, sur la droite on peut y voir des vestiges du passé communiste, c’est assez marquant, des barres d’immeuble de béton austères, cela fait penser aux appartement partagés que l’on peut trouver en Russie, seul regret, il y’a tellement de circulation que je ne peux m’arreter y faire une photo …
Split est la deuxième ville de Croatie après Zagreb, et on le sent très vite à peine arrivé.
Ça grouille de partout, des flots de touristes débarqués des autocars ou des ferrys arpentent par troupeaux les petites rues à la cadence effrénée de leur guide, brandissant tour à tour, un parapluie coloré ou bien un drapeau, sorte de totem de ralliement que semble vénérer, tels des zombies, cette mini secte d’un jour …
À contre-courant je me fraie un chemin, les ruelles de la vielles villes sont sympa mais vraiment commerçante, peu de possibilités de faire quelques photos sans avoir un morceau de parasol ou une enseigne dessus, dommage, un peu trop commerçant à mon goût.
Les vestiges de la cité romaine valent quand même le coup, le palais Dioclétien et sa tour son superbe, la statue de Grégory Nin imposante mais à choisir je préfère Trogir, beaucoup plus calme est pittoresque.
Vous l’avez compris Split n’est pas ma préférée, je ne m’éternise pas, le retour vers mon île ne se fait pas trop tard, je profite alors de la fin d’après midi (eh oui, le soleil se couche à 18h30 à cette époque de l’année) à la plage jus et en bas de ma maison.
Jour 9 : île de Čiovo
Une nouvelle grasse matinée et il est temps de découvrir à pied le littoral qui borde ma maison.
L’ile est grande et me voilà parti le long de la mer à l’assaut du paysage d’en face
Le chemin borde vraiment la mer les maisons sont toutes différentes mais on un point commun, chaque habitant à juste à traverser le chemin que j’emprunte, et il est à la mer.
Certes il n’y a pas de plage et l’accès à l’eau se fait en descendant sur l’enrochement puis par moment avec une échelle de piscine mais c’est quand même le grand luxe de pourvoir avoir accès direct à la mer.
Certains ont même aménagé quelques escaliers ou même des terrasses bétonnées et bon nombre ont des points de mouillage pour les bateaux.
Je poursuis ce chemin où les pins ont remplacé les maisons, un peu d’ombre ne fait pas de mal, mais au bout de quelques kilomètres celui-ci fini en cul de sac sur une mini plage où l’on est seul au monde.
Retour par le même chemin pour un déjeuner sur ma terrasse, elle est quand même top cette vue
L’après-midi sera consacré au même chemin mais de l’autre côté de la maison, la cote a été beaucoup plus aménagé par chaque propriétaire, certain on vraiment de mini plage privée en espalier. Je suppose qu’à une époque on a dû laisser faire un peu chacun à sa guise …
Tantôt de superbes maisons tantôt d’autres laissés en cours de construction … par moment du goudron, par moment un chemin de gravier, ça reflète bien ce pays qui semble toujours en grande phase de reconstruction.
Au bout d’une heure de marche le chemin fini aussi en cul de sac sur une jolie plage
Jour 10 : Primosten - Sibenik
Départ pour Primosten par la route S8, celle qui borde la côte.
Les paysages de bord de mer sont toujours aussi beaux, avant d’arriver à cette petite presqu’île que constitue Primosten, il y’a un point de vue vraiment sympa sur celle-ci à ne pas rater, quelques vendeurs locaux de miel sont là, comme un peu partout le long des routes.
L’arrivée de Primosten se fera avec une petite contrariété de courte durée, le monsieur et sa golf derrière moi mon tapé l’arrière de la voiture, heureusement sans gravité… je vais donc garder ma caution
Le petit village est sympa, quelques ruelles débouchent souvent sur la mer et d’autres vont emmènerons vers le cimetière qui surplombe l’adriatique, il y’a pire comme dernière demeure …
Les tombeaux sont vraiment très large et l’on peut lire souvent au moins 6 noms, ici la famille vit ensemble dans les maisons, mais pas seulement apparemment !
Dommage que certaines ruelles soient bétonnées tout comme certaines constructions, je prends conscience que comme pour Le Havre, ma ville de résidence, il a fallu sûrement vite reconstruire et que le béton était la chose la plus rapide et facile.
Je reprends la route pour Sibenik, le bord de mer est plutôt bien aménagé et moins envahit que Split, une rue monte vers la cathédrale Saint James, ici les commerçant sont présent mais bien moins imposants qu’à Split.
Je me perds dans pas mal de petites rues qui s’enchevêtre les unes aux autres, l’ambiance est calme, sur les hauteurs près des remparts, le point de vue est étonnant sur cette crique à l’accès si étroit, la terre fait une sorte de pince pour l’entrée maritime de cette ville.
Dans une ruelle où les façades sont colorées je prends conscience que c’est une des grandes différences notamment avec l’Italie, ici peu de couleurs, souvent les rues sont ternes, au reflet de la teinte des pierres et du ciment.
Epilogue :
La Croatie est pour moi vraiment une terre de contraste, un mélange entre deux générations, ceux qui semblent s’en être sortis après la guerre et les anciens qui cultivent encore le moindre bout de terre, époque ou l’on était moins tourné vers le tourisme …
Certes, les villas grand luxe qui bordent la mer côtoient des chantier laissés a l’abandon, par moment c’est assez déroutant. Il est aussi dommage que les églises ne se visite pas, et n’ouvrent qu’aux heures des messes.
Si vous avez le projet de vous rendre en Croatie, Les lacs de Plitivice et leur immensité pour moi sont incontournables, ainsi que la visite de Trogir.
La vielle ville de Zadar quant à elle mérite évidement une visite ne serait ce que pour tomber sous le charme de son orgue marin envoutant, sur le chemin n’hésitez pas a faire un détour par Drage et sa petite crique.
En tout cas je vous invite vivement à parcourir ce pays ou les arbres regorgent de clémentines et de grenades, mais surtout pour ce qui fait la richesse de la Croatie : Cette cote sublime tant par la couleur de la mer que par son relief et vous aimerez forcement contempler le milliers d’iles qui bordent les cotes et qui confère à la Croatie ce paysage d’exception.