Mon mari a dû être frappé, il a cassé ses lunettes
En tombant, le gars a pu arracher mon sac, impossible autrement
Dans ce sac, il y avait des roupies et 2 billets de 50 €, je voulais faire du chnage en rentrant
Un mini-parapluie ( de marque ), divers objets dont des mouchoirs en papier et de pansements !
Les gens se sont arrêtés pour proposer de l’aide , mais c’est mon mari qui a dû leur demandr d’appeler la police J’étais couverte de sang
La police est venue a regardé et a attendu que le chef vienne !!!
Mon mari a a largement eu le temps de prendre des photos …
Heuresement, je n’ai pas perdu connaissance !
Finalement,je suis repartie dans la voiture de police ,à Pamplemeousse, pour faire une première déposition …Inutile de vous parler du jean et du tee-shirt … du visage en sang …
Ensuite, direction l’hôpital de Pamplemousse . … Je ne décrirai pas les conditions de soins . Ma tête a éét recousue , une radio faite de mon pied “pas cassé” …
Puis retour au poste de police où il a fallu décrire par le menu ce qui était arrivé .
Tout était écrit à la main, des feuilles de papier carbone pour dupliquer.
Au bout de 2 heures environ, la police nous a remmenés dans le fourgon grillagé , à notre hôtel .
Point positif : le chef m’avait apporté un tee-shirt ,le mien avait viré du rose au rouge écarlate …
Le problème : impossible d’avoir le récépissé de notre “agression” . La correspondante de notre TO ( Summertimes ) n’y est pas arrivée . Le policier a raccroché au nez de mon mari …
J’ai envoyé un mail au consul de France qui a immédiatement répondu qu’il contactait la police de Pamplemousse , mais qu’il fallait se déplacer.
Mardi matin, nous avons pris un taxi ( tête et pied en mauvais état ) et l’accueil à Pamplemeousse a été très peu courtois . Ils ne voulaient pas nous donner le récépissé …
Finalement, au bout d’une heure, on a eu un papier, rédigé en anglais cette fois, avec menaces en échange , de ne rien dire à la presse !!! Papier très succint , ne mentionnant pas la perte des objets.
Conclusion : on avait pris toutes les précautions , mon sac bandoulière m"a été arraché violemment … On marchait prudemment, alors que faire ??? En plein après-midi…
La police n’est pas coopérative …“ne rien dire aux médias” …
Nous qui avions bourlingué à travers le monde, on est refroidis par cete mésaventure mauricienne …
La faute à pas de chance ?