Trois semaines de rêve en avril au Maroc

Forum Maroc

En ce mois de janvier morose, sans aucun projet de voyage pour les mois qui viennent, je me replonge dans mes albums de photos et je voyage à ma façon…C’est mon ersatz…
Et pourquoi ne pas partager ce voyage avec ceux qui pourraient être intéressés ?

Ce voyage a duré un peu plus de 3 semaines ,au départ de Marrakech, en Logan de location.

Nous avions choisi de partager ce voyage en 3 temps forts: le bord de mer d’abord, une semaine à Aourir au nord d’Agadir, puis une semaine à Aït Baha et Tafraoute, et enfin une semaine dans la palmeraie de Skoura, avant de passer nos 3 derniers jours à Marrakech.

A notre arrivée, nous avons été surpris par les températures, beaucoup plus élevées que les années précédentes et nous avons été étonnés et même émerveillés par les paysages fleuris qui ont jalonné tout notre parcours. Les Marocains nous ont expliqué que l’hiv

er avait été généreux en eau,une eau bienfaitrice,pas une eau qui détruit tout sur son passage…

Première étape : Aourir.
Installés au Bab Aourir, on a pu rayonner dans le secteur.
Belle découverte de cette année, la grotte de Assif El Had, au-delà d’Immouzer. Une belle route pour s’y rendre. Et un calme absolu quand on y est. Un bel espace pour pique-niquer

au bord de la séguia à l’entrée de la grotte.

Un beau puits de lumière éclaire l’intérieur de la grotte.

Autre jolie promenade, la vallée du paradis et là vallée du miel.
C’est toujours un plaisir.
Les apiculteurs sont au travail.

Ils utilisent encore beaucoup ce type de rûches.

On fait une halte pour profiter des petites piscines naturelles et pour se promener dans les jardins du paradis.

Les épiciers de Tamzergoute nous saluent au passage.

Mais c’est à Aourir qu’on fera nos achats pique-nique pour le lendemain. Ici,c’est la ville des bananes.


La journée suivante sera consacrée à la plage et à la baignade. Parasol obligatoire, le soleil tapé très fort. Il est prudent de se mettre à l’ombre.

Après cette journée de farniente, on décide de monter sur les hauteurs de Taghazout. On domine toute la baie. C’est magnifique.


On partage ces moments magiques avec un monsieur du village qui garde ses quelques bêtes.
Intrépides, les chèvres montent à l’assaut des arganiers.

Au retour, on descend jusqu’à la plage de Taghazout.


Le lendemain, petit tour au souk d’Aourir. Il dure toute la journée. C’est riche en couleurs et en animation. C’est le rendez-vous hebdomadaire des habitants de la région et des camping caristes.

L’après-midi on s’offre une belle petite rando le long de la côte et on fait de bien jolies rencontres. Le hasard…c’est parfois mieux qu’un rendez-vous.

On n’a pas boudé notre plaisir!

C’est vraiment une excellente idée de nous proposer ce voyage au Maroc.
On a dû reporter notre voyage à 2 reprises déjà, alors il va sans dire que j’apprécie votre initiative.

Et je voulais aussi vous dire mon étonnement devant tous ces dromadaires devant la mer !
Je les imaginais plutôt dans le désert!

Et maintenant, j’attends de voir les prochaines étapes.

On croise des dromadaires un peu partout au Maroc. Mais ce jour là, au nord d’Aourir, ils étaient nombreux. Et dans ce décor, c’était magique !

Et souhaitons pouvoir retrouver le Maroc en 2021.
Pour les Marocains et pour nous.

finalement il ne faut pas grand chose pour nous faire plaisir et rêver…mais nous avons tout de même hâte de retrouver le plaisir de voyager
en attendant je voyage avec vous merci

Voilà 3 semaines qui vont nous faire rêver ! Merci !

On va donc continuer ce voyage après une dernière journée à Agadir, on prend la route d’Aït Baha.
Notre but est la visite du grenier collectif d’Inoumar. Grâce aux précieuses informations de Michel Terrier, on finit par le dénicher. Au bout d’une piste entourée de champs d’orge et de quelques arganiers,on arrive dans un petit village et là on rencontre un groupe de touristes français accompagné de leur guide. On se joint à eux pour la visite. Sympa,très sympa.

On ne découvre le grenier qu’au tout dernier moment, il surplombe l’oued qui coule ,ou qui ne coule pas,en contrebas. C’est superbe!!!

Le gardien,l’amin, nous ouvre les portes et nous accompagne pour la visite.
C’est en très bon état.
Chaque famille du village y possède une ou plusieurs cases pour y entreposer ses réserves de céréales. Autrefois, on y mettait tout ce qu’on voulait protéger en cas de razzia : papiers,actes de mariage,nourriture…

Entre le village et le grenier, on note la présence de nombreuses citernes semi enterrées qui récupèrent les eaux de ruissellement. Certaines de ces citernes sont pleines. Certaines sont isolées, d’autres sont en enfilade.

Le soir, on passe la nuit à Aït Baha à l’hôtel Al Adarrissa,confortable et calme.

Sur la route,en venant à Aït Baha, on s’est retrouvé parmi les charbonniers. J’avais déjà vu faire du charbon de bois en ville,en médina. Mais là, c’est en pleine campagne. Des tas de bois plus ou moins grands.

Ces tas de bois sont recouverts de terre et les charbonniers y mettent le feu pour faire le charbon de bois.

Et puis partout des fleurs,des fleurs de toutes les couleurs…

Superbes photos !
Mais je suis surprise que vous ne soyez pas allé jusque Taroudant. Vous êtes passé si près !
Une autre fois, n’hésitez pas. C’est une ville agréable.

Taroudant est une ville que j’aime bien aussi. On l’appelle parfois la petite Marrakech.
Ses remparts ont été rénovés, ils sont très beaux.

Le quartier des tanneurs est plus petit que celui de Marrakech mais on y est nettement mieux accueillis.

Le souk hebdomadaire qui se tient le dimanche à l’extérieur de la ville est très intéressant.

Et on peut toujours y acheter son pain,un grand pain rond,cuit sur un lit de petits cailloux. DELICIEUX.

Mais parfois on passe sans s’arrêter. On essaie de varier les plaisirs,

Alors ce sera sûrement pour un prochain voyage .

Après une bonne nuit, on décide d’aller déjeuner dans un petit café de la rue principale et on cherche une pâtisserie pours’acheter des viennoiseries. Et c’est un petit marchand de légumes du coin de la rue,qui abandonne quelques minutes son étal pour nous guider jusqu’à la pâtisserie. Plutôt sympa. Deux croissants et 2 pains au chocolat, 6dh. Et puis on va prendre 2 cafés cassés en terrasse,16dh les deux. Pour un excellent petit déjeuner !
Prêts à affronter la route de montagnes jusqu’à Tafraout. Et là, tout au long de la route, on va en avoir plein les yeux.
Dès cultures en terrasses…

Des scènes de vie et de travail quotidien des femmes.

Un petit âne chargé de fleurs

Dans un décor exceptionnel

Une route qui se fraie un passage en sinuant entre les rochers…

Un habitat différent à l’approche de Tafraoute. Les façades sont ouvragées,décorées. Les maisons plus grandes…

On s’approche doucement Tafraoute, un de nos sites préférés au Maroc.
Le lion de l’Atlas veille toujours sur la vallée des Amelnes

Et on pose nos valises à L’Arganier des Amelnes, une auberge où l’accueil est toujours aussi sympathique.
Et la piscine nous tend les bras. On ne va pas se faire prier.

Les lumières du Maroc sont extraordinaires. Ça nous manque cruellement en ce moment.

On passe une bonne nuit,très calme,alors qu’on avait craint l’arrivée tardive d’un groupe de 17 participants à un rallye en 205. Mais ils ont "oublié " de venir. Majid était déçu, ils les ont attendus jusqu’à 3h du matin. Nous on a bien dormi.
Se réveiller dans un tel décor,c’est juste magique.

Les habitués reconnaîtront le lion qui trône au-dessus de la vallée.

Et on a pris un bon petit déjeuner avec messemens,amlou,miel,confiture… Tout ce qu’il faut et même plus…puisque tout avait été prévu pour les 17 absents.
Et avec un pique-nique on a pris le chemin des rochers peints.

Et on a poursuivi notre route vers la vallée de l’Aït Mansour. Et là,c’est beau!

Ici,on a le sentiment d’être dans un autre monde,hors du temps. C’est génial !

On continue notre chemin jusqu’au village de terre de Gdour. Un village qui se vide petit à petit de ses habitants . Les maisons s’animent quand elles ne sont plus habitées.

Mais certaines maisons ont encore fière allure.

De retour à Tafraoute, on s’achète un goûter. Le marchand de beignets, des sfenjs, est toujours fidèle au poste.

Retour à l’auberge. Petit moment de détente à la piscine avant de passer à table.
Tajine de boeuf aux fruits secs. Salade de fruits frais. Très bon.

Le lendemain matin, on quitte l’auberge à pied pour aller découvrir les nombreux villages de la vallée.

On s’arrête prendrez le thé à la maison traditionnelle. C’est charmant ! On y passe un moment agréable.

A midi,on déjeune en ville,à Tafraoute, au Tanger. Excellent rapport qualité prix.

Et on va se promener du côté du village d’Aday,c’est toujours un plaisir. Tout est harmonie.

De retour en ville,le souk se termine. On fait un petit tour en ville. Le souk des babouchiers est agréable et coloré.

Les tenues des femmes de la région sont toujours aussi élégantes.

Tafraoute fait partie de nos coups de coeur. C’est toujours un plaisir d’y passer quelques jours.

Petit déjeuner sur la terrasse au-dessus de la piscine et du jardin où nichent quantité de petits oiseaux qui pépient joyeusement depuis le lever du jour.


Et puis on prend la direction d’Igherm.
La route est magnifique.
Des plissements incroyables.


Les tâches quotidiennes des femmes. Pas toujours faciles.

Des images insolites.

Ça monte et ça descend, on traverse et on traverse l’oued Tata.
La route suit souvent les oueds qui étaient les premières voies de communication utilisées par les nomades depuis la nuit des temps.

Et partout des fleurs et toujours des fleurs. C’est exceptionnel !

En soirée, on arrive à Skoura. On retrouve Mohamed au gîte Kasbah La palmeraie. On a plaisir à retrouver Ghizlane et leurs 2 enfants que nous voyons grandir au fil des ans.
On choisit de s’installer sur la terrasse pour bénéficier de la vue sur la palmeraie et sur les sommets de l’Atlas.

Dès le lendemain matin, Mohamed nous accompagne dans la palmeraie. Les palmiers sont en fleurs. Fleurs mâles et fleurs femelles sont différentes. Et c’est la plupart du temps la main de l’homme qui intervient pour la fécondation qui ne se fait pas naturellement.


Fleurs femelles


Fleurs mâles

Les premières fleurs de grenadiers commencent à s’ouvrir.
Et les premières roses parfument déjà les chemins.

L’eau court dans les séguias pour irriguer les jardins de la palmeraie.

De majestueuses Kasbahs se dressent parfois au détour d’un chemin.

Et certaines Kasbahs se détériorent au fil du temps et il n’en reste quelquefois que des pans de murs qui nous permettent malgré tout d’imaginer la splendeur des Kasbahs d’autrefois.

Retour au gîte pour lire,bien installés sur la terrasse.

Le lendemain matin, là encore, comme pour l’Aït Mansour, pour la énième fois, on ne résiste pas à l’appel de la vallée des amandiers. C’est tout proche de Skoura et c’est géant. Et en plus, en avril, des versants entiers de montagnes sont couverts de fleurs.

Après le petit déjeuner et les délicieuses crêpes au miel de Ghizlane,on va acheter notre pique-nique et on s’enfonce tranquillement dans la vallée des amandiers.

Les roseaux et le bois sèchent en bordure de route tout comme l’herbe coupée pour nourrir les animaux.


On pourrait penser qu’il a neigé , à la sortie de Toundoute, le sel affleure sur le sol.

Un point d’eau au milieu de nulle part et on partage un moment avec le berger venu faire boire ses bêtes. Il pose même pour la photo, sympa.

On poursuit notre route vers le fond de la vallée. On suit ou on traverse des oueds géants. C’est époustouflant de beauté.

Puis en contrebas de la route, on aperçoit un rûcher collectif qui s’abime un peu plus chaque année mais qui semble encore partiellement en activité.

A l’heure du pique-nique, bien installés à l’ombre des oliviers, on se croyait seuls dans ce petit coin de paradis quand on a entendu des bêlements derrière nous,c’était un troupeau de moutons et de chèvres qui arrivait dans l’oued et qui s’apprêtait à escalader la montagne. Et ce fut fait en un rien de temps. Le berger,expérimenté, avait pris un raccourci et il arrivait en même temps que ses bêtes au sommet de la montagne…Bravo!

Et partout des fleurs, des rûches…C’est le printemps !


Ce jour-là on va jusqu’au bout de la vallée, jusqu’au village de Cantola. On y gare la voiture et on part marcher dans les jardins au-dessus du village. Un rythme de vie qui laisse rêveur. Une grande sérénité. C’est magnifique !

De retour à Skoura on retrouve notre terrasse baignée de soleil.


Et un coucher de soleil extraordinaire !

Demain sera jour de souk…

Donc lundi,c’est jour du souk à Skoura. L’animation bat son plein. Circulation compliquée au centre ville, surtout dans la rue principale en matinée.
Heureusement, le gîte est proche du centre. On y va à pied,on y est rapidement.

Et ici,chacun vend ce qu’il a ou répare ce qu’il peut.


Des tapis,petits ou grands…


Des boutons de roses.


Des bouquets d’oignons.


Des animaux.


Et même des poussins de toutes les couleurs…Incroyable !

Et chacun son mode de locomotion.

Avant de quitter le souk, on s’offre un thé à la menthe dans une des petites gargotte du souk que Mohamed nous a fait découvrir. Un thé délicieux.
C’est un lieu tout à fait extraordinaire où chacun peut apporter son propre thé,son sucre,sa viande, ses légumes et n’acheter que la braise. On a adoré ce moment et l’atmosphère qui y régnait ,une atmosphère faite de bienveillance, de partage,de sérénité. Et on voit bien qu’on ne compte pas son temps…

Ce souk doit s’installer à la sortie de la ville dans un avenir proche. Les espaces avaient été aménagés. Je ne sais pas où ça en est.

Le lendemain après le petit déjeuner, les enfants de la maison viennent nous chercher pour aller cueillir les roses du jardin. Les célèbres roses Damaskina qui sont utilisées pour faire de l’eau de rose. Nous,on les met dans un petit panier pour parfumer le salon.

Plus tard,dans la matinée, on voit arriver un groupe de musiciens qui vont de maison en maison pour jouer un petit morceau de musique et ainsi gagner de quoi vivre. Mohamed nous explique que ce sont des descendants des Abids,des esclaves noirs,qui,une fois affranchis,ne possédant ni commerce ni terre,étaient partis de ville en ville et de maison en maison pour jouer de la musique. Et c’est une tradition qui perdure.

L’après-midi, avec des amis venus nous rejoindre pour quelques jours, on va visiter une kasbah voisine.De la terrasse on domine la palmeraie et les oueds.

On se promène sans but précis dans la palmeraie, juste pour le plaisir.

On marche ainsi jusqu’à l’oued…Dès pistes ont été sommairement aménagées dans le lit de l’oued pour permettre de circuler.

On rentre au gîte pour l’heure du thé qu’on prend au jardin, sous la tente.

Mohamed nous accompagne ensuite chez son ami le potier. C’est toujours un vrai plaisir de lui rendre visite. Un homme d’une grande gentillesse et bourré de talent. Il est potier, mais aussi musicien, animateur…Et il a toujours le sourire. Un bon moment, un très bon moment !


Les enfants de nos amis pourront même s’essayer au métier de potier. Une jolie expérience !

Et le soir,surprise, Ghizlane à préparé un énorme gâteau d’anniversaire pour fêter les 7 ans d’un petit camarade en vacances. Et le "Joyeux anniversaire "sera entonné dans toutes les langues ou presque.

Excellente journée pour tout le monde,les petits comme les plus grands.

Je crois que c’est fait…Mais je n’ai pas encore eu l’occasion de voir le souk dans son nouveau décor.

Le jour suivant, avec nos amis et leurs enfants, c’est "plage "Et baignade dans le Dadès, à Sidi Flah, petite oasis verdoyante à 7 ou 8km de Skoura. C’est calme. On ne croise aucun vacancier. On est les seuls. Et pour la première fois depuis que je sillonne le Maroc en tous sens, je vois des Marocains pêcher à la ligne en rivière.

Les lauriers roses sont en fleurs, les grenadiers aussi,tout comme les figuiers de Barbarie.
Et même si ce n’est pas très profond tout le monde s’amuse.

On fait une promenade dans les jardins. Les amandes sont déjà bien formées.
Tout pousse ici,c’est un vrai jardin d’Eden.


Quand on regagne nos voitures en bord de route,des dizaines de petits écureuils de Barbarie sautent d’un rocher à l’autre,joue à cache cache. Tout un spectacle mais pas facile à photographier.

De retour au gîte, on profite du jardin et de la terrasse.
Dans le jardin de Mohamed, l’oranger est en fleurs et en fruits.En même temps ! C’est curieux ! Et délicieusement parfumé.

Superbe journée qui se termine autour d’un excellent poulet au riz et aux légumes, une spécialité de Ghizlane.

Merci de partager avec nous tous ce merveilleux voyage. Une lecture qui fait un bien fou au cœur de cet hiver tellement compliqué.

J’aime beaucoup cette petite oasis de Sidi Flah. C’est tellement calme ! Un calme absolu !

Le matin suivant on se réveille tôt et ça tombe bien car on a décidé de passer la journée dans la vallée des roses. On part donc en direction de El Kelaa M Gouna avec en toile de fond les sommets de l’Atlas légèrement poudrés de neige. Il a neigé pendant la nuit. C’est superbe.


Là encore on est surpris de voir autant d’eau dans l’oued.

On fait quelques petits achats pour pique-nique le midi et on prend la route de la vallée des roses.Les arrêts photos se multiplient, les paysages s’y prêtent.

Les jardins sont entourés de haies de rosiers. La cueillette qui se fait tôt dans la matinée n’est pas encore terminée.

A un moment, à la sortie d’un virage, on a la surprise de voir arriver tout un troupeau dans l’oued. Ce sont des nomades qui viennent faire boire leurs bêtes et qui repartent aussitôt après.

Dans le village de Boutraghar les femmes sont à la lessive.

Ou bien elles rentrent avec de quoi nourrir les animaux.

A la sortie du village, c’est le royaume des coquelicots. Un régal pour les yeux…

On pique-nique au bout de la vallée, les espaces ne manquent pas. Et au retour,on photographie les restes d’une ancienne Kasbah. Elle a encore fière allure.

Il fait chaud et les hommes comme les animaux cherchent à se mettre à l’abri du soleil.

Et le retour à Skoura se fait rapidement…dans la bonne humeur générale…
Tout le monde est content de retrouver l’ambiance chaleureuse du gîte et…Les bons petits plats de Ghizlane.

Le Maroc est un pays extraordinaire et en avril c’est magnifique. Merci pour tout.

Vos photos nous font vraiment rêver! Quel merveilleux pays! Merci pour ce beau récit de voyage.

voici une jolie composition réalisée avec des feuilles de palmiers séchées et des roses. C’était vendu par des e dans la palmeraie de Skoura en mai.

A Skoura,il ne faut pas manquer la visite de la kasbah Amridhil, c’est une très belle bâtisse, bien entretenue et qui propose une exposition d’objets utilitaires. Elle est vraiment imposante. Elle se visite pour une somme modique.

Tout à fait d’accord, la visite de la kasbah Amridil fait partie des incontournables…On l’a visitée à plusieurs reprises mais pas au cours de ce voyage. Cela dit,on en a visitées plusieurs dans la palmeraie de Skoura. Au cours de nos promenades,il arrive qu’on nous propose une visite. C’est souvent un bon moment à partager avec les gens de la palmeraie.


Vue sur la palmeraie depuis une terrasse de la kasbah Amridil.


Exposition de fours à pain,de tajines et de différents plats servant à la préparation des repas.

Autres belles kasbahs de la palmeraie.

Et pour voir les écureuils, il faut se montrer patient ?
Avec des enfants, c’est possible ?

Pas de problème pour voir les écureuils. Ils sont nombreux. Mais pour les photographier c’est une autre histoire…Ils bougent beaucoup…Mais on y arrive.
Et pour les enfants ce n’est pas un souci,on était avec des enfants , et on en a vus plusieurs.

Notre dernier jour à Skoura sera consacré au repos,à la flânerie dans la palmeraie. Mohamed a réservé des ânes pour faire plaisir aux enfants. Et c’est réussi.

On fait de belles rencontres.

Petite pause gourmande à la boulangerie du centre-ville et on assiste à une livraison insolite chez le boucher : des pattes de vaches? À mobylette !

Le lendemain, on se régale une dernière fois avec des bonnes crêpes maison et avec du pain chaud et croustillant cuit spécialement dans le jour du jardin pour le petit déjeuner.

Et puis c’est le retour à Marrakech. On y est dans l’après-midi. On traîne sur la place Djemma El Fna. Les touristes sont nombreux.
On profite de Marrakech by night.


Voilà donc la fin de ces 3 semaines, 3 semaines magnifiques qui en appelleront d’autres…forcément !

J’aurai pris plaisir à vous suivre, étape après étape. Merci d’avoir pris le temps de partager ce beau voyage avec nous tous.

Plaisir que je souhaiterais partager à nouveau dès que possible.

Et quel plaisir de revoir toutes ces images du Maroc…

Et oui ça nous fait rêver !

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