… et donc dans la foulée les Canaries avec elle, avec un taux de chômage qui était de 30% de la population active au début de l’année.
Alors que vous dire ?
La problématique ce n’est pas tant Tenerife ou Las Palmas, mais Tenerife ou Gran Canaria, ou alors, entre Santa Cruz de Tenerife et Las Palmas de Gran Canaria, les deux capitales provinciales.
Vous cherchez dans un secteur en particulier ?
Celà peut avoir son importance pour vous renseigner.
D’une façon générale, si vous visez l’hôtellerie, la haute saison touristique commence début novembre.
Or dans ce secteur là, peu importe Tenerife ou Gran Canaria : il faut vous diriger (j’allais dire malheureusement) vers les coins les plus touristiques de ces deux îles en valorisant par exemple les langues que vous parlez.
Sur Gran Canaria, ce ne sera pas forcément Las Palmas mais d’autres coins de l’ìle (ce qui ne vous empêche pas d’aller prospecter quand même à Las Palmas) : ce n’est pas forcément dans les 2 capitales qu’est concentrée l’activité touristique génératrice d’emploi.
Attention également au fait qu’augmentation saisonnière du tourisme ne veut pas forcément dire augmentation fulgurante des emplois dans l’hôtellerie : ici aussi la politique c’est de faire toujours plus avec moins de personnel.
La seule grande différence entre les deux capitales provinciales à mon sens, c’est que Las Palmas de Gran Canaria est plus dynamique que Santa Cruz de Tenerife en ce qui concerne les activités commerciales.
Autre chose, ici les salaires sont globalement plus bas que sur la Péninsule.
Compensation : lorsqu’on vit sous des températures clémentes les besoins ne sont pas les mêmes.
Aprés il vous reste l’option de ne pas attendre qu’on vous donne de boulot dans un contexte de crise et de peu d’embauche, mais de vous le créer vous même… Risqué, mais pas infaisable.
Voilà pour du brut de pomme, faute de plus d’infos sur le secteur d’activité.
Bien cordialement,
France (Tenerife Autrement)