Cape Town (Le Cap), au bout de l’Afrique
Troisième ville d’Afrique du Sud, après Johannesburg et Pretoria, Cape Town (Le Cap) a été le berceau de l’histoire du pays.
Aujourd’hui, elle continue à être la cité emblématique du dynamisme sud-africain. À Johannesburg, la finance et le commerce. À Pretoria, la politique et l’administration, et à Cape Town l’énergie et la créativité dans tous les domaines.
Un site maritime remarquable, un climat tonique et vivifiant, une population jeune et bigarrée, libérée des démons de l’apartheid… Cape Town, à l’extrémité sud de l’Afrique, réunit toutes les qualités innées et acquises pour être la ville symbole de la nouvelle nation « arc-en-ciel ».
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- Le Cap, une ville et un site mythiques
- Le Cap, aux couleurs de la nouvelle Afrique du Sud
- Table Mountain : la Table de la Liberté
- Sugar Man : le génie oublié et retrouvé
- Robben Island : le bagne de l’enfer
- Vins du Cap : les plus beaux vignobles d’Afrique du Sud
- Cap de Bonne-Espérance : autant en emporte le vent !
- Fiche pratique
Le Cap, une ville et un site mythiques
Du hublot de l’avion, la mer, « éternellement recommencée » et son cortège de vagues et d’écume, puis un immense township étendu dans une basse plaine à l’est. Un escarpement imposant, la Montagne de la Table, domine la ville du Cap et, plus au sud, une grande péninsule s’achève par le légendaire cap de Bonne-Espérance. Comme le Cap Horn, voilà un site mythique, une fin des terres, l’extrémité méridionale de l’Afrique entre l’océan Atlantique et l’océan Indien.
Le Cap (Cape Town) est né au 17e siècle de la volonté des navigateurs hollandais. Ces pionniers protestants et commerçants cherchaient un lieu abrité pour leurs bateaux, des terres fertiles pour y implanter l’agriculture et ravitailler en salades et en légumes les marins malades du scorbut.
Mission accomplie, le petit comptoir hollandais devint une colonie habitée par les rudes Boers, puis elle passa non sans heurts sous contrôle britannique au 19e s. Sous l’apartheid, ce fut la cité de toutes les injustices, des inégalités raciales et des souffrances. Mandela libéré de prison y a tenu son premier discours public du balcon de l’hôtel de ville, un lieu symbolique !
Aujourd’hui, Cape Town est une ville renaissante, cosmopolite, active et créative aussi (la ville des designers et des artistes), un des endroits les plus dynamiques d’Afrique. L’éclat de la lumière de l’été austral, la limpidité de l’air, les nuages et les vents qui changent sans cesse, la mer omniprésente : on est subjugué.
Athéna qui veille sur Athènes, la déesse de la Liberté sur New York, une Amazone à Rio, quelle divinité tutélaire préside à la destinée de Cape Town ? Elle se cache, elle est quelque part, invisible mais bienveillante !
Le Cap, aux couleurs de la nouvelle Afrique du Sud
The City Bowl (le « bol »), constitue le noyau historique de Cape Town, autour de Long Street, une rue bourdonnante d’activité. De là, on peut admirer les monuments emblématiques : la château de Bonne Espérance, le Parlement, la Cathédrale St George’s et de vieilles demeures de style Cape Dutch.
Adossé à la montagne de Signal Hill, Bo Kaap est le quartier musulman où les habitants s’appellent les Cape Malays, descendants de migrants venus d’Asie (Malaisie, Indonésie, Sri Lanka). Sa particularité ? Pas d’immeubles mais une kyrielle de maisons basses aux façades multicolores. Voici bel et bien le quartier arc-en-ciel de Cape Town !
Au nord du City Bowl, Victoria & Alfred Waterfront, l’ancienne zone portuaire est aujourd’hui vouée au commerce et au tourisme. On se croirait en Floride ou en Californie, tant par le climat que par le style du quartier. De vastes hangars ont été transformés en malls de luxe, tel que le gigantesque Victoria Wharf.
District Six fut un quartier multiracial, vivant et vibrant. Dans ces rues naquit le premier jazz sud-africain. Il fut anéanti par le régime d’apartheid dans les années 1960 mais l’esprit et la mémoire demeurent.
À l’est de la ville, Woodstock, ancien quartier d’entrepôt, naguère paupérisé, a retrouvé aussi une nouvelle jeunesse. Boutiques de mode et de design, restos et bars branchés, se succèdent le long d’Albert Road.
Les quartiers riches du bord de mer, Sea Point, Clifton Bay, Camps Bay… font contraste avec les quartiers pauvres, qui forment une immense ceinture de bidonvilles à l’est de la ville. Plus de 2 millions de personnes y résident, comme dans le township de Khayelitsha, le plus grand de Cape Town. On peut le visiter avec une agence (de préférence) et même y dormir chez l’habitant. Voir ce n’est pas être voyeur !
Table Mountain : la Table de la Liberté
Une montagne tutélaire au-dessus d’une ville admirable ! Rio de Janeiro a son pain de sucre, Naples son Vésuve, et Le Cap a sa Table Mountain, la Montagne de la Table. Ce grand promontoire rocheux domine la ville comme s’il en était le château fort depuis toujours. On ne voit que lui dans le paysage, curieux héritage des siècles et de la géographie.
Impassible muraille, immuable éminence rocheuse, majestueuse et dominatrice, la Table Mountain a traversé les turpitudes de l’histoire sans perdre sa beauté ni son prestige. La Montagne de la Table s’élève jusqu’à plus de 1 000 m d’altitude. Elle a en effet la forme d’une table, son sommet étant plat ou presque. Voici un mont imposant symbole d’éternité, de confiance et d’espérance !
Aujourd’hui on peut y accéder en téléphérique et l’explorer au fil des sentiers. Est-ce un hasard si Table Mountain a servi de repère aux navigateurs au fil des âges, mais aussi aux prisonniers politiques de Robben Island ?
Depuis leurs sinistres cellules, Mandela et ses compagnons de l’ANC contemplaient cette superbe montagne, si proche mais si lointaine pour des reclus. À leur libération, une fois débarqués au Cap, les prisonniers avaient une priorité : monter au sommet de Table Mountain. Ainsi l’objet tant convoité de leur enfermement devint la montagne de leur liberté retrouvée !
Très souvent, elle est recouverte par une nappe nuageuse qui vient se poser à son sommet, la Table reste quelques heures ainsi, la tête dans les nuages, avant que le vent océanique ne reprenne ses droits. Avec ce phénomène étrange, le paysage devient une œuvre d’art.
Sugar Man : le génie oublié et retrouvé
Une histoire de gloire, d’oubli et de résurrection, une destinée pathétique et magnifique !
Sixto Rodriguez, alias « Sugar Man », est né en 1942 à Détroit (Michigan), dans une famille pauvre d’origine mexicaine. Il mène une vie de prolétaire avant de se lancer dans la musique rock & folk. Aux États-Unis ses disques ne se vendent pas, il n’a aucun succès.
En Afrique du Sud sous l’apartheid, c’est le contraire. Rodriguez devient une star acclamée par la jeunesse (années 1970-1980). I Wonder, Sugar Man, Crucify Your Mind, ses chansons exaltent la liberté, l’égalité raciale et la fraternité, elles enflamment les foules. Tous y voient un message d’espoir dans une société nécrosée par le régime. Ses disques se vendent par centaines de milliers... Plus que les Rolling Stones !
Ironie du sort : Sixto Rodriguez ne le sait pas. Il continue à vivre misérablement à Détroit. Pire, il ne touche pas un centime de ces ventes colossales. Un intermédiaire aurait-il empoché ses droits d’auteur ?
Mais voilà, les années passent, Mandela est libéré et l’apartheid aboli, la nouvelle Afrique du Sud panse ses plaies. Rodriguez reste introuvable. On le dit même mort. On pense qu’il se serait immolé sur scène. Disparu, volatilisé !
En 1998 un journaliste génial, C.B. Strydom, mène une longue enquête, et finit par le retrouver à Détroit (É-U) menant une vie de miséreux. Rodriguez apprend qu’il est une star en Afrique du Sud. Le musicien prolétaire est invité en grande pompe. Il vient enfin (pour la première fois de sa vie) en Afrique du Sud où – miracle ! – le revenant fait un triomphe. Les retrouvailles sont des plus émouvantes ! Cape Town est pour lui une nouvelle terre promise…
Robben Island : le bagne de l’enfer
Pendant 400 ans, Robben Island, cette île aride et désolée au large du Cap a servi de lieu de réclusion pour les lépreux, les fous, et les prisonniers politiques. Du temps de l’apartheid, Nelson Mandela, le prisonnier le plus célèbre du 20e s, y fut enfermé 18 ans sur les 27 années que dura son emprisonnement (de 1963 à 1991).
Nous y arrivons après une traversée en bateau de 45 minutes. Un bus embarque les visiteurs pour un tour de l’île. On nous montre la carrière de calcaire où les prisonniers travaillaient chaque jour sous un soleil de feu. Mandela y passa des années à casser des blocs de chaux. La lumière aveuglante lui abîma les yeux à tel point que, devenu célèbre, il refusa qu’on le prenne en photo avec un flash.
Et voici maintenant la fameuse prison, en particulier la sinistre section B, encore appelée Maximum Security Prison. On y isolait une trentaine de prisonniers (des activistes de l’ANC) dans des cellules grandes comme des cages, le long d’un étroit couloir. La pièce la plus remarquée est la minuscule cellule de Nelson Mandela : on ne peut faire plus dépouillé, un lit, une table, une fenêtre à barreau. Les visites sont assurées par d’anciens prisonniers politiques, ils savent de quoi ils parlent !
Un ancien gardien de Mandela, Christo Brand, tient une boutique en bord de mer, non loin de la prison. Il commença par haïr Mandela, puis une relation d’amitié naquit avec le temps. Un autre ex-gardien James Gregory a connu ce type d’évolution psychologique. Mandela magnanime l’invita même à Pretoria par la suite, à la cérémonie d’investiture à la présidence de la République. Cette aventure humaine unique est devenue un livre, puis un film réalisé par Bille August (2007). « Good Bye Bafana-Le regard de l’antilope ».
Vins du Cap : les plus beaux vignobles d’Afrique du Sud
Sur le flanc est de la Montagne de la Table, à l’abri des rafales de l’océan, la nature généreuse a favorisé l’éclosion du vignoble de Constantia (Constance).
Après la fondation en 1652 du comptoir du Cap par la VOC (Compagnie des Indes Hollandaises), le gouverneur van Riebeeck voulait faire venir des paysans connaissant la culture de la vigne mais la VOC refusa. Il s’obstina, planta quelques arpents de vigne, mais il manquait le savoir-faire et la main-d’œuvre.
C’est de France que vinrent les renforts. Après la révocation de l’Édit de Nantes en 1685, des protestants persécutés (les Huguenots) quittèrent la France de Louis XIV et débarquèrent au Cap. Travailleurs expérimentés, ces pionniers développèrent la viticulture. Ils venaient de Provence, de Bourgogne, d’Aquitaine. Leurs patronymes, Malan, du Toit, de Villiers, du Plessis, ont fait souche, tout comme les pieds de vigne.
Né à Constantia, le vignoble s’étendit vers l’est (Stellenbosch et Franschoek) où la terre et le climat étaient plus favorables. De passage au Cap en janvier 1769, Bougainville en fit l’éloge « nous y bûmes beaucoup de son vin ! ». Un vin si délicieux que Napoléon voulut en boire avant de mourir sur l’île de Sainte-Hélène (elle n’est qu’à 3 jours de mer à l’ouest du Cap). Le poète Charles Baudelaire, au retour de l’île Maurice, fit escale au Cap, où il goûta ce vin remarquable. Il fut ébloui au point de le citer dans un poème des Fleurs du Mal.
Aujourd’hui, les vins sud-africains figurent sur la plupart des cartes de restaurants. Blancs ou rouges, ils appartiennent au patrimoine des saveurs !
Cap de Bonne-Espérance : autant en emporte le vent !
« C’est le plus grand et le plus périlleux cap qui soit au monde », écrivit Pigafetta, chroniqueur du voyage de Magellan.
Le continent africain dans son extrémité australe forme une grande péninsule rocheuse battue par les vents. Combien de marins, combien de capitaines ont lutté contre cette mer magnifique mais effrayante : Dias et Vasco de Gama, Bougainville, James Cook, Joseph Conrad et bien d’autres ! Ils devaient coûte que coûte contourner ce cap pour passer de l’océan Atlantique à l’océan Indien, c’était la route des Indes et de la Chine. Le cap redoutable de toutes les tempêtes, de toutes les prières et de tous les espoirs, c’est lui !
Pour y aller, il faut emprunter Chapman Drive, une superbe route en corniche creusée dans les flancs de falaises abruptes entre Hout Bay et Noordhoek, derniers villages avant la réserve naturelle inhabitée.
Le paysage ? Quelques baies et plages sauvages, des criques de galets aux vagues écumantes, des landes arides où gambadent babouins et autruches. Dans les airs, des sternes et des goélands, et, dans la mer, des manchots du Cap, des phoques, des éléphants de mer et des baleines.
Plus on approche de la pointe, plus le paysage se désertifie. À son extrémité, la péninsule dessine deux escarpements surplombant les flots : le Cap de Bonne-Espérance et Cape Point, coiffé d’un petit phare, modeste lumière dans les ténèbres océaniques. Il y a de l’épique et du mythique dans ce site exceptionnel qui n’est pourtant pas, géographiquement parlant, le point le plus méridional du continent : c’est le cap Agulhas). Un salut au Cap de Bonne-Espérance, fin de l’Afrique, fin des terres ! Comme dans tous les Finis Terrae du monde, tout finit ici et tout peut continuer….
Merci à Bertrand Deschamps pour son aide
Fiche pratique
Voir aussi notre guide en ligne Afrique du Sud
Comment y aller ?
Vols directs Paris-Le Cap avec Air France, en correspondance avec d'autres compagnies. Trouvez votre billet d'avion.
Adresses utiles
- Cape Town Tourism : The Pinnacle, à l’angle de Burg et de Castle St. Tél. : 0861-32-22-23. Oct-mars : lun-ven 8 h-18 h ; sam 8 h 30-14 h ; dim 9 h-13 h. Avr-sept : 8 h-17 h 30 en sem et 9 h-13 h le w-e. Office de tourisme moderne, et bien documenté.
Où dormir ?
- Ashanti Lodge Gardens : 11, Hof St (Gardens). En dortoir de 6-8 lits, env 190-220 R/pers (12-14 €) selon saison ; doubles sans sdb 700-1 090 R (44-69 €). L’une des meilleures auberges pour routards. Jolie maison ancienne de la fin du 19e s, avec une grande pelouse. Abrite de petites chambres agréables autour de la piscine.
- The Backpack : 74, New Church St. Plusieurs dortoirs de 4-8 lits, 200-400 R/pers (13-25 €) selon saison. Doubles 420-950 R/pers (27-60 €). Parking gardé. AJ de charme pour routards exigeants. Un de nos coups de cœur au Cap ! Accueil remarquable de Lina. Beaucoup de charme, propreté indiscutable et grande variété d’hébergements.
- La Rose B&B : 32, Rose Street. Doubles 700-900 R (44-57 €). Au début du quartier coloré de Bo Kaap, cette jolie maison jaune est tenue par Yoann, un breton, et Adheera sa charmante épouse sud-africaine. Ce couple accueillant propose des chambres bien équipées (avec AC et ventilo) à la déco soignée.
- Mount Nelson Hotel : 76, Orange St. Gardens. Une belle allée de palmiers conduit au Mount Nelson Hotel, le plus vieil hôtel-palace 5-étoiles de la ville, bordé par un charmant jardin. Il servit de QG aux officiers anglais durant la seconde guerre Anglo-Boer (1899-1902). Jeune correspondant du Morning Post, Winston Churchill y résida en 1899, le décrivant comme « un somptueux hôtel… très apprécié après un voyage en mer ». En 1925, Sir Conan Doyle, le créateur de Sherlock Holmes, y séjourna.
- Royale Eatery : 273, Long St. Lun-sam 12 h-23 h 30. Burgers et pizzas env 60-110 R (4-7 €). THE place pour déguster d’excellents burgers aux garnitures très variées et parfois originales. Également une bonne bière artisanale.
- Rick’s Café Américain : 2, Park Rd. Lun-sam. Repas env 100-200 R (6-13 €). Rick’s fait référence au bar américain tenu par Humphrey Bogart amoureux d’Ingrid Bergman dans le film-culte Casablanca (1942). Cuisine d’inspiration méditerranéenne. On aime l’atmosphère décontractée et chaleureuse, la belle terrasse sur le toit donnant sur Table Mountain.
- Societi Bistro : 50 Orange St. Gardens. Ouv tous les jours sf dim, 12 h-23 h. Plats 82-200 R (5-13 €). Réservation conseillée. Charmante vieille demeure dans le style Cape-Dutch avec un intérieur soigné et accueillant. Savoureuse cuisine créative mijotée par un chef inspiré par son pays mais aussi par l’Orient et l’Asie. Petite carte mais c’est bon signe : tout est frais.
- Savoy Cabbage : 101, Hout St. Tél. : 021-424-26-26. Ouvert tous les jours, midi et soir. Plats 130-225 R (8-14 €). Réservation impérative le soir. Ancien entrepôt de 1903 reconverti en resto trendy Savoureuse cuisine créative élaborée avec des recettes originales et des produits frais.
Musique, disques, CD
- Mabu Vinyl : 2, Rheede St. Gardens. Tél. : 021-423-76-35. Ouv tlj 9 h-19 h (sam 16 h) et dim 11 h-15 h. Stupéfiante caverne d’Ali Baba, ce magasin vend des disques (vieux vinyles 45 et 33 tours), des CD, DVD, comics, livres… Il renferme aussi une belle histoire, un conte de fée moderne. Stephen « sugar » Segerman le propriétaire de cette boutique est à l’origine de la recherche pour retrouver Sixto Rodriguez, alias « Sugar Man ».
Robben island
www.robben-island.org.za Réservation conseillée, souvent plusieurs jours à l’avance, sur leur site web.
– Départs des bateaux à Cape Town, depuis le Victoria and Alfred Waterfront, près de la tour de l’Horloge (Clock Tower), tlj à 9 h, 11 h, 13 h et 15 h. En très haute saison, bateaux dès 8 h et jusqu’à 17 h. Pas de liaison en cas de mauvais temps. Prix (incluant le bateau, l’entrée sur le site et la visite guidée – 3 h 30 en tout) : 300 R (env 19 €) ; ½ tarif moins de 18 ans. Trajet en 30-45 min.
Vins du Cap
- D’innombrables domaines viticoles sont ouverts à la visite du côté de Stellenbosch (env 50 km) et Franschoek (70 km) à l’est du Cap. Les plus proches de la ville de Cape Town se trouvent seulement à 25 km au sud, dans la région de Constantia. Parmi les 8 domaines présents dans ce secteur adossé au versant oriental de la Table Mountain, on peut notamment visiter les beaux domaines de Klein Constantia (1685), Steenberg (1682) et Eagles Nest (1836).
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Texte : Olivier Page
Mise en ligne :