Randonnées au Maroc

Randonnées au Maroc
Randonneurs dans les dunes de Merzouga © Manel Vinuesa - stock.adobe.com

À 3 h de vol en moyenne de la France, le Maroc offre un dépaysement à vous saturer la carte graphique.

Partout du bleu, partout du beau, avec par endroits des nuages gros comme des ballons et juste en dessous des champs de blé qui frétillent, des dunes qui moutonnent et des couchers de soleil à redessiner des moutons.

Dans les montagnes de l’Atlas marocain qui traversent le pays sur un axe sud-ouest/nord-est, point de souk, point de villes impériales ni d’interminables marchandages. Plutôt le corps à corps avec une nature dominatrice d’une insolente beauté. Une grosse envie de vivant, dans une formidable terre de randonnées !

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Le Toubkal, point culminant d’Afrique du Nord

Le Toubkal, point culminant d’Afrique du Nord
Le Toubkal © Eric Milet

« Il existe, aux limites du monde connu, une montagne fabuleuse, étroite, parfaitement ronde et si haute, dit-on, que son sommet, toujours dans les nuages, reste invisible : les gens du pays disent qu’elle est la colonne du Ciel » Hérodote d’Halicarnasse (Ve s av. J.-C.), le père de l’histoire, appela cette montagne l’Atlas.

Atlas, le titan mythologique éponyme qui, vaincu par les dieux, fut condamné à porter la voûte céleste sur ses épaules après que Persée, lui ayant présenté la tête de Méduse, l’eût changé en rocher… donnant naissance ainsi à la chaîne de montagnes qui traverse le Maghreb.

Et c’est vrai que lors de l’ascension du Toubkal, point culminant de l’Afrique du Nord avec 4 167 m, on a de quoi être médusé ! Cependant, si l’ascension de ce « 4 000 » n’est pas des plus techniques, elle n’en demeure pas moins soumise aux risques inhérents aux conditions météorologiques caractéristiques de la haute montagne.

Imlil (1 740 m), village berbère situé à une soixantaine de kilomètres au sud de Marrakech (départ en grand taxi de Bab Agnaou), est le point de départ de la rando. C’est là que l’on trouve guides et muletiers. Le village possède aussi plusieurs auberges et logements chez l’habitant. On trouve auprès des guides locaux le matériel complémentaire dont on a besoin : chaussures, raquettes (si besoin), vestes, sac de couchage type « polaire », etc.

Débarquer à Imlil un jour avant l’ascension pour s’enquérir auprès de son aubergiste d’un bon guide et louer du matériel en bon état n’est pas un luxe et souvent gage de la réussite de l’expédition.

Refuge du Toubkal © smoke666 - stock.adobe.com

L’ascension démarre à partir du refuge construit par le Club Alpin français de Casablanca en 1938 que l’on atteint en 6 h de marche depuis Imlil. Un gîte (à réserver à l’avance) que l’on gagne depuis Imlil au terme d’une rando d’une bonne demi-journée. Sur place c’est souvent l’effervescence, entre fêlés de montagne et touristes impatients d’en découdre avec Sidi Chamharouch, le roi des djinns qui veille sur le Toubkal.

On y dort peu, autant le savoir, l’essentiel étant plutôt d’être sur place afin d’entreprendre l’ascension dès potron-minet le lendemain. De là, compter environ 12 h pour réaliser l’ascension et rentrer à Imlil avant la nuit… si les conditions météo sont bonnes, évidemment.

Sommet du Toubkal © Anthony Coadou

Souffle court, vent cinglant le visage, la colonne des marcheurs se met en branle « à la frontale » dans le noir, avec juste au-dessus un véritable tapis d’étoiles. Au terme de 4 h d’effort, le sommet est atteint. Petit selfie et on entame la descente. Ce n’est pas la partie la plus facile, en raison de l’instabilité du sol (souvent glissant).

C’est de loin la journée la plus intense au niveau des sensations. La plus éprouvante, aussi, alors mieux vaut être en excellente condition physique. La haute montagne n’est jamais tout à fait une promenade de santé. Un guide expérimenté et diplômé, donc attentif à ses clients, est nécessaire. Prenez toujours la peine de vous renseigner sur votre guide. Sinon passez par une agence et rappelez-vous qu’au Maroc personne ne viendra vous chercher en hélico si vous êtes en difficulté.

La traversée du Haut Atlas central

La traversée du Haut Atlas central
Vallée des Aït Bougmez © Dean Moriarty - stock.adobe.com

Au Haut Atlas occidental qui domine la plaine du Haouz où est lovée la ville de Marrakech, succède vers l’est le Haut Atlas central.

Si le premier est plus riche en « 4 000 » et aussi plus tortueux, avec ses vallées encaissées et ses parois abruptes d’un noir intense, le second est principalement calcaire, offrant des vallées plus longues, des hauts plateaux désolés entaillés de gorges profondes et de nombreux cols offrant des horizons dégagés.

De nombreuses agences de trekking organisent la traversée du nord au sud (ou l’inverse), à hauteur du Mont Mgoun (4 068 m) en 5 ou 6 jours (selon que l’on effectue l’ascension du Mgoun ou pas). La plupart d’entre elles partent de la célèbre vallée des Aït Bougmez, que les agences de tourisme ont baptisée « la vallée heureuse » sur leurs brochures en papier glacé. Ces dernières mettent à votre disposition un guide-cuisinier et un muletier, car le portage des bagages est effectué par des mules.

Vallée des Roses © Xavier29 - stock.adobe.com

Pendant ce genre de traversée, l’hébergement est sommaire. On loge sous tente igloo ou chez l’habitant. Les repas (souvent assez frugaux) sont concoctés avec la nourriture emportée depuis le départ. L’essentiel ici étant de bouffer du paysage …

Durant la traversée, pas de difficulté particulière pour celui qui aura pris soin de « faire » ses chaussures de rando au préalable. Cependant, de forts dénivelés sont à prévoir, alors mieux vaut être en forme. Mais qu’on se rassure, le panorama et la rencontre avec les transhumants Aït Atta en route pour les ilmouten (pâturages) d’altitude en été compensent largement les petits désagréments inhérents à ce genre d’expédition.

L’arrivée se fait au village de Boutaghar, planté au cœur de la célèbre Vallée des Roses. La dernière journée emprunte les gorges que l’oued Mgoun a taillées dans la roche au fil des siècles. La traversée se solde généralement par un bon repas (méchoui ou couscous) dans une des auberges du coin, folklore à la clé…

À lire également, Maroc, la grande traversée de l'Atlas.

Traversée du djebel Saghro, il était une fois dans l’oued…

Traversée du djebel Saghro, il était une fois dans l’oued…
Djebel Saghro © streetflash - stock.adobe.com

Le djebel Saghro (2 712 m), c’est le Far West à la sauce berbère. Un enchevêtrement de roches fantomatiques sévèrement entaillé par des torrents impétueux qui gonflent en un clin d’œil les jours d’orage. Le paysage, situé dans l’Anti-Atlas, à 150 km à l’est d’Ouarzazate, est époustouflant.

C’est aussi une des dernières régions du Maroc épargnées par le tourisme de masse. On y croise les nomades Aït Atta dans leur migration bisannuelle entre les estives du Haut Atlas central et leurs quartiers d’hiver de la vallée du Drâa.

De prime abord, le Saghro semble impénétrable. Les sentiers se font et se défont au gré des intempéries et, au fond des oueds asséchés, des blocs de pierre volcanique tantôt rose tantôt verte, noire et même parfois blanche, témoignent de la richesse minérale du sous-sol.

Relief du Saghro © streetflash - stock.adobe.com

Dans le Saghro, la géologie est d’une complexité déroutante. On y trébuche sur des sols de l’ère primaire farcis de fossiles mille fois perforés par les intenses activités volcaniques qui se sont succédé au fil des millénaires. À la surface des sols rocailleux qui luisent au soleil comme des météores s’élèvent de gigantesques pains de sucre qui rejettent à leurs pieds d’immenses éboulis !

Comme pour la traversée du Haut Atlas Central, la plupart des agences de trekking mettent un guide-cuisinier et un muletier à disposition des marcheurs. Le portage des bagages étant effectué à dos de mules.

Contrairement au Haut Atlas Central, les dénivelés sont généralement moins importants, mais les panoramas n’en sont pas pour autant moins spectaculaires, bien au contraire. On a même parfois l’impression de marcher sur la lune…

Le djebel Siroua, l’autre côté du désert

Le djebel Siroua, l’autre côté du désert
Village de Tagmoute dans le Siroua © Robert Szymanski - Shutterstock

L’Anti-Atlas occidental, au sud-ouest du Maroc, est déjà une montagne saharienne. Nue et sèche, âpre et tailladée de profondes gorges dans lesquelles se sont nichées de verdoyantes oasis, elle offre au randonneur de multiples possibilités d’excursion.

La végétation a su adopter ici un fort pouvoir de résilience, il s’agit surtout de plantes grasses : figuiers de barbaries, euphorbes, formant un tapis peu engageant au toucher duquel se détache la frêle silhouette des amandiers.

Les femmes berbères du djebel Siroua sont réputées dans tout le Maroc pour leur créativité en matière de tissage. Tous les mercredis, c’est le branle-bas au souk de Taznakht quand débarquent les Bedford des « ramasseurs » remplis de la production des villages environnants.

Nul doute que les femmes qui habitent la région puisent leur inspiration dans la beauté du paysage, constitué lui-même d’un patchwork de couleurs où se mêlent le camaïeu de vert des oasis au mauve des vastes plateaux arides percés de loin en loin d’étonnants éperons de basalte noir.

Bergerie d'altitude près du massif du Siroua © Christophe Cappelli - stock.adobe.com

Au cœur de ce paysage de ciel et de roc, les agences de trekking offrent des randos à vous couper le souffle (au propre comme au figuré) vers le plateau de Maous, invitant au passage à l’ascension sans difficulté du djebel Siroua (3 305 m).

Du sommet, c’est carrément l’extase, avec d’un côté la chaîne du Toubkal et de l’autre celle du Saghro, prolongée au sud par celle du djebel Bani qui accompagne la vallée du Drâa, jadis point de convergence des caravanes en provenance du Sahara.

Souss-Massa, le refuge de l’ibis chauve

Souss-Massa, le refuge de l’ibis chauve
Palmeraie dans le parc de Souss-Massa © Eric Milet

Quittons l’Atlas… Au Maroc, la façade atlantique étire ses plages désertes sur des distances considérables, dessinant de vastes baies où les puissants oueds qui descendent des montagnes finissent leur course. Ils forment d’étonnantes lagunes riches d’une flore et d’une faune qui tranche avec l’âpreté des zones désertiques sur lesquelles elles sont adossées.

Le parc du Souss-Massa fait partie de ces espaces protégés où le randonneur peut aisément partir (accompagné d’un guide-naturaliste) à la découverte de la biodiversité caractéristique de ces latitudes. Il s’agit le plus souvent d’aller observer les oiseaux migrateurs qui trouvent ici matière à faire une étape revigorante dans leur longue pérégrination entre le nord de l’Europe et le sud de l’Afrique.

Ibis chauves © Monique Pouzet - stock.adobe.com

Au sein de cette biodiversité, l’ibis chauve (Geronticus eremita), un oiseau laid comme un pou, attire l’attention des ornithologues du monde entier. Ce gros échassier trapu de 70 cm de haut environ, à la tête rouge entièrement dégarnie (d’où son nom), au bec recourbé et au plumage noir, a eu la bonne idée de réapparaître aux yeux de la communauté mondiale des ornithologues après avoir disparu depuis le 16e s ! Alors pensez bien qu’aujourd’hui, l’emplumé fait l’objet de toutes les attentions !

Le parc de Souss-Massa recèle également une sorte de parc animalier où quelques rescapés de la faune saharienne – gazelles, addax et autruches –, gambadent en toute tranquillité sans risque de finir dans le frichti d’un escadron de militaires.

Quelques guides-naturalistes proposent de partir à la découverte du parc et de ses animaux au fil de randos de quelques heures, voire d’une journée.

L’erg Chebbi, tant qu’il y aura des dunes…

L’erg Chebbi, tant qu’il y aura des dunes…
Dunes de Merzouga © Kotangens - stock.adobe.com

On vous le dit tout de go, une méharée dans l’erg Chebbi, un gros tas de sable de 27 km sur 6 km situé au sud d’Erfouz, tient plus d’un week-end à Disneyland que d’une véritable expérience saharienne.

Cependant, il reste la magie des dunes de Merzouga et le contact avec les chameaux (des dromadaires plus précisément) même si ceux-ci s’apparentent plus – vu leur taille – à de vulgaires animaux de bât qu’aux nobles vaisseaux du désert que sont les méhara (méhari au singulier) dressés par les Touareg.

Sur le flanc ouest de l’erg Chebbi, entre Dar Kaoua et Khemlia, les auberges sont pratiquement les unes sur les autres (avec une recrudescence de celles-ci autour de la petite ville de Merzouga). C’est de là qu’en fin de journée partent les petites caravanes de touristes en direction des bivouacs installés dans l’erg tout proche.

Le mode opératoire est toujours le même. On se joint à un groupe constitué, on grimpe sur le dos d’un de ces charmants animaux qui refoulent du goulot et pètent à l’envi et on part à la queue leu leu à travers les dunes. Direction un bivouac installé sous tente berbère où l’on dînera et passera la nuit avant de rentrer à l’auberge-point de départ le lendemain matin afin de prendre une bonne douche et un petit déjeuner. Ouf !

Selon le prix, plusieurs formules. De la méharée à 2, serrés sur la bosse, tagine de quart de poulet partagé à 6, nuit sur matelas mou à même le sol enroulé dans une couverte peau de panthère (ou Spiderman, ou Tom & Jerry, c’est selon…) à la formule grand luxe, avec dromadaire parfumé rien que pour soi, lit douillet sous tente caïdale, toilettes sèches, douche chaude, cuisine raffinée et folklore oriental…

Dans tous les cas, peu de chance que vous vous sentiez seuls au monde, même si on vous promet un bivouac isolé. Le mythe du désert à la peau dure.

On l’aura compris, une méharée dans l’erg Chebbi, ce n’est pas notre tasse de thé (à la menthe) ! Pour un peu plus d’authenticité et surtout moins de monde et de papiers gras, mieux vaut pousser plus au sud, au-delà de Taouz.

Jdaïd ou le désert pour soi

Jdaïd ou le désert pour soi
Kasbah Itrane Sahara © Eric Milet

Continuons vers le sud, donc… À une petite vingtaine de kilomètres à l’ouest de Taouz, une dalle de grès violacé située aux environs du petit village de Jdaïd recèle quelques gravures rupestres de style libyco-berbère. On y voit une profusion de signes géométriques ainsi que quelques chars typiques des représentations sahariennes.

Non loin de là se trouve une petite auberge isolée au cœur du désert : la kasbah Itrane Sahara. Cette charmante adresse née de la rencontre entre Mohamed (un natif de Jdaïd) et de Joël, tous les deux amoureux du désert, s’avère être une excellente base pour partir explorer la région à pied ou à dos de dromadaire. Car ici, rien à voir avec les embouteillages de Merzouga, le désert vous appartient !

Nomades dans les environs de Jdaïd © Eric Milet

Si les dunes sont peut-être un peu moins spectaculaires, l’impression de désert en revanche est vraiment très prégnante, car on retrouve, dans un périmètre somme toute assez restreint, toutes les composantes du désert proprement dit : le reg, l’erg, la montagne et les oueds. Rajoutez à cela quelques (vrais) nomades et leurs troupeaux de dromadaires et l’image d’Épinal est presque parfaite.

Il y a de cela quelques milliers d’années, alors que cette partie nord du Sahara était encore bien arrosée et verdoyante, batifolaient ici rhinocéros, girafes, éléphants, autruches et grands félins. Un gibier potentiel que chassait une population semi-nomade qui avait établi ses villages de huttes sur les hauteurs, bien en retrait de la crue des oueds.

De cette époque révolue subsistent aujourd’hui quelques vestiges, des tombes et des traces de campement recelant par-ci par-là quelques outils de pierre, des gravures, mais surtout la marque indélébile du passé, de cet « avant » aujourd’hui révolu où l’homme vivait exclusivement de cueillette et de chasse. Émouvant.

Fiche pratique

Retrouvez toutes les infos pratiques, les bons plans et les adresses dans le Routard Maroc en librairie.

Pour préparer votre séjour, consultez notre guide en ligne Maroc.

Comment y aller ?

Le Maroc, c’est la porte à côté pour les compagnies low-cost (Easyjet, Transavia, Ryanair) qui desservent les villes touristiques du pays à partir de la plupart des grandes villes de France, mais aussi depuis la Belgique, la Suisse, l’Espagne et l’Italie.

Pour la rando et la découverte du sud, il est préférable de voler sur Marrakech. Pour l’Anti-Atlas et le parc de Souss-Massa, on peut atterrir à Agadir.

Seule Royal Air Maroc dessert Errachidia (aux portes du désert) depuis la France avec escale à Casablanca.

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Quand y aller ?

On peut se rendre au Maroc pratiquement toute l’année. Pour la rando en basse altitude en revanche, on évitera les mois de fortes chaleurs. Avril-octobre semble être la période idéale pour une rando en montagne (à condition d’éviter les violents orages qui peuvent s’abattre sur les reliefs entre la mi-août et la fin septembre).

Dans le désert, on évitera la période juin-août car il fait vraiment trop chaud. On peut aussi randonner dans le désert dès les vacances de février.

Formalités

Pour entrer au Maroc, il faut disposer d’un passeport valide durant la totalité de son séjour sur place. Ceci à l’exclusion de toute autre pièce d’identité (un passeport périmé ou une carte d’identité n’est pas valable, par exemple).

Nos bonnes adresses sur place :

Riad Atlas Prestige : à Imlil. Petit hôtel « habillé » à la marocaine avec une superbe terrasse en balcon sur la vallée et les montagnes pour toile de fond. L’endroit idéal pour séjourner et lier des contacts avant de partir à l’ascension du plus haut sommet du Maroc.

Kasbah Le Berger : à Khemlia (en bordure de l’erg Chebbi, au sud de Merzouga sur la route de Taouz). Petite auberge sans prétention isolée au pied de l’erg Chebbi. On s’y sent tout de suite à l’aise en compagnie de Mohamed et de son équipe. Point de départ incontournable des méharées dans l’erg Chebbi.

Kasbah Itrane Sahara : à Jdaïd (18 km à l’oued de Taouz, accessible uniquement en 4x4).  Belle petite adresse tout confort entièrement réalisée en pisé, isolée au beau milieu du désert. C’est le point de départ idéal pour une randonnée à pied ou à dos de dromadaire pour une journée ou sur plusieurs jours.

Les 4 Saisons du Dadès : à Aït Oudinar, haute vallée du Dadès, Boumalne Dadès. Les 4 Saisons, c’est la petite maison d’hôtes que Youssef (guide-accompagnateur de rando) a construite de ses mains. Un excellent point de départ pour partir à la découverte des campements nomades des environs ou entreprendre une traversée sud-nord du Haut Atlas Central.

La Palmeraie de Massa : entre Ifentar et Ida Ouloune, 80 450 Massa. Véritable havre de paix (avec piscine) tenu par un couple franco-marocain charmant. La base idéale pour aller observer les oiseaux et randonner dans le parc de Souss-Massa avec un guide-naturaliste.

Les agences :

En France 

La Balaguère www.labalaguere.com   

Allibert : www.allibert-trekking.com  

Sur place au Maroc :

Désert & Montagne Maroc : www.desert-montagne.ma

Maroc Organisation : www.marocorganisation.com

Plein Désert :  www.pleindesert.com

Un guide-naturaliste pour le parc de Souss-Massa : Rachid Baitar rachidguidecolovisite@gmail.com

Un guide-géologue pour le djebel Saghro : Mohamed Bouyiri. Tél. : +212 672 152 952

Texte : Eric Milet

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