bonjour a tous ,sympa le forum
je suis tchaé ,je voyage souvent ,et je parcours pleins de forum ,sur l’expérience des homme avec des femmes thaï.
j’ai moi aussi envie de mettre mon grain de sel ,dans ce qui est dis raconté et amplifié, sur les forums ,ou la liberté de s’exprimer est de rigueur .Comment des hommes d’Age de raison peuvent, se livrer a des propos aussi dure et cruel sur les femme thaï.(mariage, arnaque ,plumage ) Moi je donne mon avis ,mon vécu, jamais une femme thaï ne trompera un homme dans les sentiments ,ne lui fera miroité l’amour fou ,toutes les femmes la bas ,sont sincère et honnête. Bien entendu chercher une femme dans des lieux chelou ou chaud .avec 20 ,30 ans d’écart ,je peu comprendre et l’admettre .Mais tous le reste de la population n’est pas dans cette vision de la vie de couple ,aucune je vous dis ,J’ai pleins de potes marié a des thaï même si certaines pour survivre se sont faits payé la première fois ,pas des femmes de bar, ou de la nuit ,c était occasionnellement, sont maintenant en couple et bien marié ,sans aucun plumage ,ni arnaque aux sentiments. Moi je constate que lorsque un mec dis cet fais avoir ,tous brodent sur le sujet et font du copier collé avec d autre forum,(la misère) mes potes ne sont pas expatrier ,certains vivent en France avec leur épouse , d’autre vivent séparé, l’épouse au pays et eux en France .Achat de maison, la bas ,voiture ,et j’en passe ,croyez moi les sentiments sont toujours la ,de même que la maison .Mon coup de gueule
c est pour dire que j’en ai ras la tète des histoires a 2 balles ,des mensonges pour alimenter un forum .
Moi j’ai pas de femme thaï, je préfère voyager libre .sans contrainte .Mais pour dire que certains de mes pote ,premier voyage ,première rencontre de le mariage derrière ,sois après 3 mois ,sois un an ,et pas d’arnaque
messieurs pitié ,assez de préjugé; pas de femme avec 20 ou 30 ans de moins ,le même Age ,les même envies .
Pour finir ,le pire de tous c est le forum ROUTARD ,ou tous est dis déformé amplifié.
dans le seul et unique but de faire vivre celui ci .
osez avouez que je me trompe ,non personne ,ne peu dire cela même une relation a distance ,et se voir que 3 fois par an ,reste une relation solide et sans arnaque ,Nous somme adulte ,plus des gosses de maternelle ,alors un peu de bon sens et de respect
voici mon coup de gueule ,mais je devait remettre a jour les choses fausses
que cette discussion ne dérape pas ,je suis sain d esprit; mais laissons les clichés au placard
salut
PS vous pouvez vous exprimes ,je sais de quoi je parle
TCHAE
Bonjour
Vous avez le droit de vous exprimer, en effet, ici comme ailleurs
Et de pousser votre coup de gueule
Et même sur le ROutard, objet de votre vindicte, donc soyez reconnaissant à ce site si on ne fait pas disparaitre votre message
Mais tout n’est pas si manichéen
Quand je lis “toutes les femmes la bas ,sont sincère et honnête”, ça me fait juste sourire
Parce que nulle part cela n’est vrai, dans aucun pays, et on peut remplacer le mot femme par le mot homme
Alors baser votre coup de gueule sur ce socle est totalement déplacé et irréaliste
Bonjour ,
Je n’est pas d’experience ou dumoins de retour d’experience d’amis et de connaissance concernant les relations dont vous parlez .
Ceci dit , je suis 100% d’accord avec Fomec juste parce que les Hommes (avec un grand H , homme et femme) ne sont pas bon ou mauvais selon l’endroit ou ils vivent ou leur religion ou leur couleur de peau ou leur ages .
Alors : oui au coup de gueule à ceux qui stigmatisent les relations thai/occidentaux mais non pour nier l’existence des faits .
Je pense que c’est ce que vous avez voulu dire , mais difficile de poster en une fois et de se faire comprendre , d’ou l’interet d’en parler .
cdt
Bonjour
Je reviens ici juste un instant pour parler d’expérience, comme Mehdi en parle lui-même en passant
En effet, il faut parler de ce qui se passe en réalité en fonction de son propre vécu ou de ce qu’on observe soi-même vis à vis d’autres personnes, familières ou pas
Evidemment, que ce soit à “Pattaya la sulfureuse” ou à Patong ou dans certains quartiers de Bkk, évidemment on va voir ces hommes (toujours des hommes) enlaçant des toutes jeunes filles ou femmes (si ce n’est le 3ème sexe bien dissimulé) avec 30 ans d’écart quand c’est pas plus, et lire ou entendre des récits sur ces hommes véritablement dépouillés au bout du compte alors qu’ils devaient penser dans leur petite tête que la fille l’aimait pour de bon.
Oui ça existe. Et pas qu’un peu.
Mais il existe aussi bien des histoires d’amour qui durent, et durent encore.
Que ce soit entre personnes de même génération ou avec des écarts conséquents en âge
J’en ai personnellement 3 exemples proches; en Thaïlande, trois couples devenus des amis
Cela fait plusieurs années que nous nous revoyons puisque chaque année nous retournons en Asie plusieurs semaines et même plusieurs mois, et que chaque fois nous ne manquons pas d’aller leur faire la bise
Eh bien même si les 3 situations sont un peu différentes, ce sont 3 belles histoires durables et où l’on ressent vraiment de l’affection réciproque et une envie de partager une vie la plus longue possible, malgré la barrière de la langue et des cultures différentes.
Cela dit, hélas ce n’est pas, et de loin, la majorité des cas, c’est plus souvent des passades, pas seulement de la part d’hommes d’un certains âge venus faire en Thaïlande ce qu’ils n’oseraient jamais faire chez eux, mais aussi de jeunes inexpérimentés subjugés par le charme asiatique et qui se font plumer plus vite que leur ombre
J’arrête, c’était juste pour développer un peu le fait que non, ce n’est pas tout beau ou tout moche, et que, comme partout, il faut savoir ce qu’on veut, bien regarder où “on met les pieds”, garder la tête sur les épaules, quoi
Mais avec tout ça, la Thaïlande et ses habitants, en globalité, sont superbes et agréables
Sinon on n’y retournerait pas
Bonne journée à toutes et tous
Au passage, je salue Alek (Romain)
Qui ne fait pas partie des 3 couples dont je parlais mais qui aurait pu, sauf que je ne les connais pas assez pour juger
Mais ce qu’en ai observé me fait pencher également pour une relation très durable
Et tant mieux parce que je vous ai trouvés très attachants, lors de notre passage en début d’année
Merci pour ce “attachants”
Bahhh… Relation durable, moi-même après 8 ans je suis pas sûr… NamMon (le surnon de ma femme) s’appelle Kunanya, mais je lui donne un autre petit nom 28 jours par mois : Ragnagna lollll.
En ce moment, c’est soupe à la grimace, et en Thaïlande ça veut dire quelque chose, 3 jours qu’elle ne m’adresse pas la parole (ni même veut croiser mon regard) et je sais toujours pas pourquoi, j’essaye de faire tout bien pourtant… Là je suis gavé, retorsions en vue (en cours na)…
Une chance pour elle, c’est que ma volonté de devenir expatrié m’a permis d’apprendre la patience, la même en France je l’aurais déjà jeté avec pertes et fracas, mais là c’est elle qui en parle ( de divorce ?) alors que je me saigne aux 4 veines pour elle et son fiston. et elle voudrait que je culpabilise mdrrr.
Ce soir je vais au resto (gargotte) seul, elle va cuisiner pour son fils mais par pour moi… P***** de caractère de m****…
Je ne suis sûr que de son honnêteté, je l’ai rencontré sur internet et j’ai vraiment checké pendant 4 ans avant de lui proposer le mariage et même après je n’ai jamais fait de folie (acheter un terrain à son nom et construire par exemple) pour elle, c’est peut-être ça qui la met en rage.
Une chance que ce soit moi qui paye le loyer, sinon je dormirais dehors avec Kamlaï, notre chienne…
Miracle, elle vient de m’adresser la parole, elle cuisine et me demande si je veux manger aussi, c’est peut-être parce que ça fait 2 jours que je bouffe hors de la maison sans rien lui demander, hier soir ça a été coup de semonce, même si je suis rentré 1 heure après, elle brulait déjà des cierges ;).
Bien à toi
Si c’est pas du vécu, ça !!
Je compatis
Mais tu vas faire beaucoup de peine à TCHAE77…
Snif
Si je peux apporter un modeste témoignage, je suis marié avec une Thaïe et nous avons fêté le mois dernier nos… 25 ans de mariage. Eh oui, nous nous sommes mariés en Thaïlande en 1990, et nous nous connaissions déjà depuis cinq ans. Et si je devais faire un bilan de ces trente années, je dirais que ce furent trente années de bonheur et que je n’en regrette pas une seconde. Mais il est vrai que ni l’un ni l’autre n’étions plus des gamins, que nous avions à peu près le même âge (elle a 1 an de plus que moi), que nous avions soigneusement pesé le pour et le contre, que je gagnais suffisamment correctement ma vie pour qu’elle n’ait pas besoin de travailler, qu’elle était déjà venue deux fois à Paris pour voir si cette vie lui convenait, bref, tout ça ne s’est pas improvisé en quelques semaines.
Rétrospectivement, je pense que les premières années en France n’ont pas dû être faciles pour elle, même si elle ne s’en est jamais plainte. J’imagine bien la solitude des journées d’hiver, quand il fait nuit à quatre heures de l’après-midi, pendant que j’étais au boulot et qu’elle n’avait pour se distraire que la télé dans une langue qu’elle ne comprenait pas (à cette époque, l’internet n’existait pas, et le téléphone portable non plus), et qu’elle n’osait pas sortir dans une ville gigantesque et hostile où elle ne connaissait personne et dont elle ne maîtrisait pas les codes. C’est une réalité, la plupart des Thaïlandais supportent très mal la solitude, ils ont besoin d’être constamment entourés de monde, de bruit, de babils d’enfants pour s’épanouir. Au bout de quelques mois, ma femme a connu quelques copines, qui nous en ont fait connaître d’autres, mais elle est toujours restée suffisamment lucide pour ne pas se laisser embarquer dans des plans foireux (qui ne manquent pas entre Thaïlandaises plus ou moins clandestines ou désoeuvrées). D’ailleurs, elle était la plus âgée et tenait un peu un rôle de grande soeur, n’hésitant pas à faire la morale, à rabrouer, et à donner de bons et vertueux conseils. Bien sûr, il y a eu entre nous quelques frictions, quelques coups de gueule, mais en 25 ans, je peux les compter sur les doigts d’une main. Bien sûr aussi, comme tout le monde, j’ai aidé ma famille thaïlandaise, j’ai acheté des mobylettes, des frigos, mais après tout, j’ai aussi aidé quand il l’a fallu mes neveux et nièces français à acheter leur voiture, à payer leur permis de conduire, à partir en vacances, et sans avoir jamais eu l’impression de me faire arnaquer (et, honnêtement, j’ai davantage de reconnaissance de la part de ma famille thaïlandaise que de ma famille française). Aujourd’hui, je suis à la retraite et je vis avec mon épouse dans l’Isan, et nous entamons notre 26ème année de bonheur commun.
En lisant les témoignages, bien souvent en forme de constats d’échec, de farangs mariés avec des Thaïes, je pense que les problèmes viennent principalement d’une incompréhension profonde des coutumes et des mentalités siamoises. Malgré les séries à l’eau de rose dont se repaissent les adolescentes thaïlandaises (et les moins jeunes), l’amour n’a pas la même résonance ici qu’en Occident. En Thaïlande, la forme suprême de l’amour, omniprésente dans les chansons gnangnan, dans les séries mièvres, dans les magazines, c’est le coup de foudre. C’est l’attirance irrépressible d’un jeune homme, si possible beau et friqué, pour une jeune fille si possible pure. Il y a là-dedans une sorte de malédiction, d’envoûtement, un coup sournois du destin, ou du karma. Mais cet amour n’est pas fait pour durer. Au contraire, pour être total et réussi, il doit finir rapidement, si possible tragiquement, dans les larmes, en laissant de grandes cicatrices, de grands chagrins, d’immenses regrets que la délaissée ressasse en contemplant le portrait de l’aimé volage. L’amour, ici, c’est du cinoche. Et les plus belles histoires d’amour sont celles qui finissent le plus mal. Le mariage, en revanche, - je parle du vrai, devant Monsieur le maire, pas du mariage “bouddhiste” qui n’est pas un sacrement religieux et n’engage absolument à rien -, ce n’est pas du sentiment, c’est de l’argent. On peut se marier par amour, certes, mais ausi et surtout pour unir deux familles, pour mettre et construire quelque chose en commun, et ce quelque chose n’est pas prioritairement sentimental, mais d’abord matériel.
Malgré les sourires de façade, un étranger n’est pas forcément accueilli à bras ouverts en Thaïlande, et la fille qui épouse un farang n’a pas bonne réputation (sauf si elle épouse un acteur de cinéma américain célèbre qui l’emmène vivre dans sa villa de Malibu). Il y a un proverbe thaï qui dit qu’il vaut mieux se marier près de chez soi et naviguer sur l’étang que de se marier au loin et naviguer sur l’océan. Sur l’étang, au moins, si le bateau coule, on peut récupérer la cargaison… La mentalité dans les campagnes est un peu celle de la France rurale d’il y a 50 ou 60 ans. On papote beaucoup, on médit, on colporte des ragots, et il n’est rien de pire pour un Thaïlandais que de ne pas inspirer le respect. Et parmi les moyens d’inspirer le respect, l’un des plus efficaces est encore d’arborer cinq bahts d’or autour du cou et autant aux poignets. Ça n’empêchera pas les médisances, mais elles seront mêlées de jalousie, et rien ne fait davantage plaisir à une Thaïlandaise que d’inspirer la jalousie. Comme on dit chez nous, il vaut mieux faire envie que pitié. Pour rester dans ce chapitre des incompréhensions, je suis toujours effaré de voir des Occidentaux embrasser leur petite amie ou même leur femme en public, et manifester des signes de tendresse qui seraient peut-être touchants en France, mais qui sont complètement déplacés en Thaïlande. Cela ne se fait pas, et j’imagine la gêne de la pauvre fille soumise à ces effusions intempestives. On ne s’embrasse pas dans la rue. มารยาทไม่ดี. Au pire, lorsqu’on a atteint un âge respectable, on peut se tenir par la main.
Il faut un minimum de bon sens pour pressentir qu’un couple dont le mari vit en France et l’épouse en Thaïlande et qui ne se rencontre que quelques semaines par an ne peut pas durer très longtemps. ไกลตา ไกลใจ, loin des yeux, loin du coeur, c’est une réalité partout dans le monde. Parmi tous les couples franco-thaï que nous avons connu en France, je peux estimer le taux d’échec (ceux qui n’ont pas duré plus de cinq ans) à environ 50%, ce qui ne doit pas être très éloigné de la moyenne des couples franco-français. Parmi les causes de séparation, la différence d’âge, l’immaturité de l’un ou de l’autre, ou des deux, et peut-être surtout la galère financière. De toute façon, la galère financière vient à bout de tant de couples franco-français qu’il serait bien étonnant qu’elle épargne les couples mixtes.
Voilà. Ce témoignage n’a d’autre objectif que d’apporter un exemple de mariage réussi, et de montrer que l’échec n’est pas une fatalité. Je ne sais pas si j’ai eu de la chance, peut-être aurais-je pu plus mal tomber, disons, pour paraphraser Montaigne, que ça a marché, “parce que c’était elle, parce que c’était moi”…
Cordialement,
PVM
L’ auteur du message initial en gros accuse les farangs d’alimenter le forum avec des propos vindicatifs envers les femmes thaïes.J’ai dû louper un épisode car le Routard qui zappe même Pattaya dans son guide papier donne pas envie de s’épancher sur ces drôles de drames .
Pourquoi se marier ??? On peut même pas choper la nationalité thaïe en épousant une femme thaïe …
Merci PVM pour ton message.
Avoir assez d’argent pour entretenir une femme et sa famille et avoir un bon train de vie pour qu’elle accepte de suivre le farang dans une grande métropole …passons sur la maturité et la génerosité …donc en fait on en revient toujours à la thune surtout dans un mariage mixte car il faut compenser le choc des cultures par le confort matériel.
c’est le problème d’Alek qui est obligé de bosser en France et de laisser sa femme au pays .
Je n’aime pas le mot “entretenir”, qui a une connotation dégradante et, de plus, n’est pas conforme à la réalité. Dit-on d’une “femme au foyer” française que c’est une femme entretenue ? Mon épouse, en France, a tenu son rôle de maîtresse de maison, et, ma foi, elle l’a fort bien tenu. Si elle n’a pas occupé d’emploi salarié, c’est d’une part que ce n’était pas absolument nécessaire, et d’autre part qu’elle n’aurait guère trouvé mieux que des boulots au noir, ateliers de confection plus ou moins clandestins ou plonges dans des arrière-boutiques de gargottes asiatiques pour 12 heures de travail par jour et 500 euros par mois. Aucune femme française n’accepterait ça, et aucune, à ma connaissance, ne rêve d’aller travailler en usine ou de tenir une caisse à Prisunic. Franchement, je n’aurais pas osé me regarder dans la glace si, après avoir fait 10.000 kilomètres pour partager ma vie en France, ma femme avait dû trimer comme une esclave pour un salaire de misère.
Et puis, pourquoi “sa” famille ? Cette famille n’était-elle pas devenue “ma” famille, par la vertu du mariage ? Et cette situation est-elle très différente de celle de mon frère qui a épousé une française “de souche”, et qui, chaque mois, avec sa femme, verse une somme non négligeable pour payer la maison de retraite où sa belle-mère âgée, impotente et presque sans revenus finit ses jours ? D’ailleurs, refuserait-il de le faire qu’il y serait obligé. C’est une disposition légale fixée par l’article 206 du Code civil, qui oblige les gendre et les belles-filles à subvenir aux besoins de leurs beaux-parents lorsqu’ils sont dans le besoin. Curieusement, lorsqu’un Français aide sa famille française, (celle de sa femme incluse), c’est normal (il serait vertueusement critiqué, taxé d’égoïsme et même condamné s’il ne le faisait pas), mais lorsqu’il aide sa famille thaïlandaise, c’est un pigeon…
Cordialement,
PVM
Merci pour ce beau témoignage, ça fait du bien
Pour ce qui est de ce proverbe thaï :
““il vaut mieux se marier près de chez soi et naviguer sur l’étang que de se marier au loin et naviguer sur l’océan””
je crois qu’il n’est pas l’apanage de la Thaïlande, car ici en Alsace, on dit (traduit) quelque chose du genre :
““Marie-toi dans ton pays, dans ta ville, dans ton quartier, sur ton palier””…
Salut à tous
Avec un titre pareil, on aurait pu s’attendre au pire (ça m’étonne d’ailleurs que papago n’ait rien posté dessus), et puis non !!!
Alors oui Pagan, revenir bosser en France est mon grand malheur, c’est dur une relation à distance. J’ai quand même la chance de pouvoir passer entre 4 et 6 mois (en 2 fois, étés/hivers) par an au Siam. Je n’ai pas encore 50 ans, et suis loin d’être blindé donc pas d’autre solution pour le moment. J’ai bien cherché un travail ici (je poste encore de tps en tps un CV pour Chiang Mai), j’aurais pu trouver à Bkk ou Chonburi, mais là dans mon petit village du nord c’est rapé…
Arfff, entretenir ma femme, je l’ai fait lors de notre 1ère année au village (loin de sa famille), et ben on a jamais été aussi proche de la rupture. Pas à cause de l’argent, je lui envoyais 2 fois plus que ce qu’elle gagnait dans son usine à Bkk, mais à cause de sa fierté, se faire entretenir, elle le ressentait comme être une ladybar. Et puis elle se retrouvait seule et sans contact quand je rentrais en France
La solution que j’ai trouvé, lui monter un petit commerce (resto-boutique-services-informatique en ligne). Elle l’ouvre à 6h du mat et je le ferme à 23h quand je suis là (sinon c’est 19 h)… Pas encore de quoi nous faire vivre, loin de là, il me coûte toujours de l’argent, mais ça va de mieux en mieux. Depuis qu’elle bosse à nouveau (3 ans d’existence de Burgerton), elle s’épanouit à nouveau. Et elle bosse dur. En plus du commerce, elle reçoit des clients que je lui envoie de France pour des tours au village et des cours de cuisine thaï. Elle recherche d’autres moyens pour ramener des sous, elle a dégoté dernièrement un client allemand pour acheter des boucles d’oreilles (en bambou peint, fabriquées au village), 2ième envoi ce mois ci, 1000 thb de bénèf… Elle a aussi quelques clients thaï dont elle lave les affaires… c’est une grosse bosseuse et elle en est très fière.
C’est elle qui tient les comptes matin et soir, et c’est transparent, elle ne me cache pas un bath, bien au contraire elle biche à chaque progression du CA (et elle aime bien me faire la surprise, comme pour les boucles d’oreilles), son but à terme pouvoir m’entretenir au village (… un coup dur pour ma fierté… lolll).
Bon je dois avouer que c’est plus moi qui m’accroche à elle que l’inverse. C’est loin d’être une reine de beauté de 20 ans, pareil pour moi je suis pas mister France, mais on va bien ensemble.
Et notre communion c’est dans nos projets communs : le boulot et le sponsoring de l’école ou de plus pauvres que nous quand on peut.
Bon, fini d’étaler ma vie (vive l’anonymat relatif du FDR), sinon je réagis au taux de divorces ou séparations. Il est à ma connaissance encore plus important entre Thaïs qu’ en France…
Bien sur que la thune est importante, mais maintenant que mes maigres économies ont fondu (Burgerton m’a mis sur la paille, créé de 0, et 3ième emplacement en 3 ans pfff) c’est pas pour autant qu’elle veut me quitter, elle me dis juste “travaille, travaille, et arrête de fumer et boire pour économiser”
Bonne journée à tous
PVM faut pas te sentir agressé par ma prose , c’était pas le but de mon post.
" Entretenir ( quelqu’un)" = fournir ce qui est nécessaire à la dépense, à la subsistance de (qqn). (petit Robert )
Donc pas de quoi voir un mépris de ma part ni un sous-entendu…mon niveau de culture me permet de savoir lire et comprendre une expérience trés classique de vie conjugale bourgeoise .Ce qui est marrant de mon point de vue c’est le vécu de Alek qui (malgré lui) me donne raison pour une relation harmonieuse avec une femme thaïe.
Je viens de lire les differents commentaires et je suis pour le moins perplexe. Perso, je connais la Thailande depuis dix ans et parmi mes amis, certains la frequentent depuis 30 ou 40 ans et tous font le meme constat. La gent feminine de ce pays (dans sa grande majorite), ne s’interesse plus qu’a une chose : le fric. Il faut preciser a leur decharge, que les temps ont change et que les besoins d’hier ne sont plus ceux d’aujourd’hui. Meme dans une region reculee comme l’Isan, une nana qui choisira un farang comme epoux, voudra dans la plupart des cas, sa maison, son pick-up et (cerise sur le gateau) le dernier iphone. La necessite de choisir un farang frique, s’explique aussi par le fait qu’un grand nombre de familles thailandaises sont etranglees par les dettes. D’ailleurs, un farang qui entre dans une famille thaie endettee voire surendettee, l’apprendra souvent trop tard. Quant a la difference d’age, que celle-ci soit importante ou non, elle n’effacera pas la question de l’argent dans le couple.
Apparemment, le fric a l’air de beaucoup préoccuper les intervenants de ce forum. Je trouve d’ailleurs très bien qu’on continue à véhiculer cette image détestable de la femme thaïe vénale, cupide et seulement intéressée par la villa, le pick-up, le pognon (on trouve le même phénomène en Afrique où beaucoup de mémés occidentales vont se faire caliner par de beaux noirs bien membrés. Certaines vont jusqu’au mariage. On les surnomme là-bas les V.V.V.V. - Villa - Voiture - Visa - Virements). Si l’image est authentique, cela évitera à des farangs naïfs de se faire plumer, et ils n’auront pas le droit de se plaindre si ça leur arrive (on s’étonne même que ça arrive encore, vu les innombrables mises en garde qu’on lit un peu partout). Et même si elle est fausse, ça les dissuadera peut-être malgré tout de se marier sur un coup de tête et d’emmener une fille au bout du monde comme on emporte un souvenir de voyage dans ses bagages, quitte à la laisser tomber au bout de quelques mois quand ils en seront lassés et qu’ils apercevront qu’ils n’ont pas épousé qu’un objet, un bibelot décoratif qu’on peut montrer fièrement à ses amis, mais un être humain avec une personnalité, un caractère et des exigences. Et il faut avoir une grande méconnaissance de la mentalité thaïlandaise pour s’imaginer qu’une famille est fière que la fille de la maison épouse un étranger. La plupart du temps, c’est une honte, que l’on cache pudiquement à l’entourage.
De la même façon, il est indispensable de perpétuer l’image d’un Isan misérable, paumé, simplement peuplé de paysans plus ou moins demeurés, incultes et bornés. Moins il y aura de touristes dans l’Isan, plus les rares farangs qui y vivent heureux s’en réjouiront. Notre plus grand cauchemar serait d’y voir fleurir un jour des gogo-bars et des salons de massage clinquants avec des hôtesses aguicheuses. En fait, il y a assez de place dans le royaume pour tout le monde, et chacun aura la Thaïlande qu’il mérite.
Cordialement,
PVM
l’analyse est judicieuse et claire en revanche je ne vous suis plus concernant
Bonjour
“A boire et à manger” dans cette “démonstration” :-)))
Et d’accord avec ça, pour ce que j’ai pu constater chez les amis qu’on y fréquente, couples mixtes très épanouis
De plus, l’Issan est une très grande région, superbe, diverse, où les gens bossent comme des fous pour 3 fois rien, ils sont très méritants et leurs sourires, leur accueil, sont un cran au-dessus de ce qu’on peut trouver dans des coins plus fréquentés par les touristes
Je pense qu’il va encore se passer bien du temps avant que lesdits touristes ne découvrent les merveilles que recèle ce grand nord-est. De quoi y passer des semaines, des mois, pour d’autres : ue vie
Bonsoir,
Il devait être 2 heures du matin et une insomnie m’a plantée devant la télévision. National géographique je crois… Et la 1h45 de pur bonheur car émission spéciale Thailande et surtout spécial Issan, dernière région encore épargnée des ravages et des erreurs du développement du secteur
“”" la télévision. National géographique je crois… Et la 1h45 de pur bonheur car émission spéciale Thailande et surtout spécial Issan,"""
C’était quoi exactement cette émission svp ?
Est-ce que vous croyez qu’on peut la retrouver en pluzz ?
Rechercherai l’émission et vous le dirai
Merci beaucoup !
Vous avez une vision de l’Isan qui date un peu… Depuis 30 ans que je connais cette région, je peux vous assurer que le niveau de vie s’y est élevé de façon spectaculaire. Une classe moyenne, de plus en plus importante, a désormais les moyens de s’offrir de belles, voire de somptueuses villas et des voitures haut de gamme (même si, c’est vrai, mais c’est un phénomène général dans toute la Thaïlande et même dans une grande partie de l’Asie, l’endettement peut atteindre des records). Mettez-vous sur le bord d’une route du côté de Roi Et ou de Amnat Charoen et regardez les véhicules qui passent. Vous y verrez souvent plus de 4x4 et de berlines que de pick-up déglingués. Certes, l’Isan n’est pas aussi riche que l’ouest ou le sud du pays (on voit tout de même aussi quelques grands quartiers de taudis dans la périphérie de Bangkok), mais on peut sillonner la région de Korat à Ubon, de Sakhon Nakhon à Surin, on n’aura jamais l’impression de se vautrer dans cette misère épouvantable qu’imaginent volontiers les gens… qui n’y ont jamais mis les pieds. Vous trouverez des clochards à Bangkok, vous n’en trouverez pas dans l’Isan. Et partout se multiplient les hôtels haut de gamme, les bons restaurants, les hypermarchés bien approvisionnés, les parcs bien entretenus.
Pour reprendre vos propos, oui, la Thaïlande est effectivement divisée en deux. Mais ce n’est pas, d’un côté “le vice” (d’ailleurs, je n’ai jamais parlé de vice) et de l’autre “l’authenticité”. Ça, c’est une vision de touriste. La fracture, bien réelle, c’est, d’un côté, une Thaïlande citadine, industrielle (ou touristique), qui se qualifie volontiers d’ “élite”, et de l’autre une Thaïlande rurale, agricole, qui nourrit largement le pays (à bas coût) mais qui est tout ausi largement méprisée par ceux qui sont du bon côté de la ligne (Les Thaïs sont d’ailleurs les premiers à le reconnaître, et l’image de l’Isan véhiculée dans les films ou dans les séries est souvent particulièrement dévalorisante. Et le problème est également ethnique. Les gens de l’Isan sont majoritairement des Laos, et les Thaïs “de souche” ont toujours un petit sentiment de supériorité par rapport aux Laos). Oui, la Thaïlande est divisée en deux, il suffit de regarder les résultats des élections législatives de 2011 pour s’en convaincre, et si les résultats de 2014 n’ont pas été significatifs en raison du nombre de bureaux de vote fermés, l’équilibre des forces n’a guère changé en trois ans. La Thaïlande a frisé la guerre civile, et malgré le consensus de façade d’aujourd’hui, imposé par le “Conseil National pour la Paix et pour l’Ordre” à coups d’arrestations arbitraires, de censure, de contrôle des médias et des réseaux sociaux, de révision des programmes scolaires, de chansons mièvres (Ah ! คืนความสุขให้ประเทศไทย, - Rendre le bonheur au peuple thaï), et de slogans édifiants (ทำดี, faire le bien, porter les paquets de vieilles dames et aider les aveugles à traverser la rue), je suis persuadé qu’une région à qui on a confisqué un avenir choisi démocratiquement se réveillera tôt ou tard, et, c’est à craindre, dans la violence.
Quant à l’image de la famille qui “envoie” ses filles à Pattaya, elle était sans doute vraie il y a vingt ou trente ans, elle ne l’est plus qu’exceptionnellement aujourd’hui. L’ambition des gens d’ici, comme partout, c’est d’envoyer leurs enfants à l’école, au collège, à l’université, et il sont de plus en plus nombreux à y aller. Si des filles se résignent à la prostitution, ce n’est pas sur une injonction familiale, c’est quasiment toujours de leur propre initiative, parce qu’elles ont des enfants qu’elles ne peuvent pas nourrir, - le père est parti, situation classique -, et que leur famille ne peut pas les aider.
Quant aux moyens financiers des européens, il leur en faudra de plus ou plus pour résider dans un pays de plus en plus cher (même dans l’Isan, eh oui !) avec une monnaie qui se dévalue d’année en année. Et je ne pense pas que le choix de la résidence soit vraiment un problème économique. Très peu d’étrangers s’installent dans l’Isan (sur 160.000 km2, le tiers du pays, à peine 6% des expatriés français, d’après l’ambassade, pour la plupart mariés à des nationaux), parce qu’à peu près personne n’y parle l’anglais et qu’il est très difficile de se faire comprendre dans un service officiel, un hôpital ou une banque quand on ne baragouine pas un minimum de thaï. Et quand je dois aller chercher un papier à l’ambassade de France, ça représente plus de mille deux cents kilomètres aller-retour en bus. Fatiguant et pas très pratique.
Cordialement,
PVN
Qui ressemble à une véritable révolution! Lorsque je parlais de l’argent bénéfique à l’avenir pour l’Issan, je pensais bien évidemment à l’argent singapourien, chinois, coréen ou celui du golfe persique. Et non à l’argent européen ( l’Europe c’est fini).
Votre regard et votre observation de cette région sont édifiants. Comme vous dites, ça évolue et vite.
gare cependant au réveil d’un peuple spolié de sa liberté. La dessus, on est tous d’accord et pas dupes du tout des manigances de l’armée en place.
Irina
Bonjour
oui, superbes témoignages, j’en rajoute une couche…
PMV écrit :
"Quant à l’image de la famille qui “envoie” ses filles à Pattaya, elle était sans doute vraie il y a vingt ou trente ans, elle ne l’est plus qu’exceptionnellement aujourd’hui. L’ambition des gens d’ici, comme partout, c’est d’envoyer leurs enfants à l’école, au collège, à l’université, et il sont de plus en plus nombreux à y aller. Si des filles se résignent à la prostitution, ce n’est pas sur une injonction familiale, c’est quasiment toujours de leur propre initiative, parce qu’elles ont des enfants qu’elles ne peuvent pas nourrir, - le père est parti, situation classique -, et que leur famille ne peut pas les aider. "
Ne pas oublier la prostitution occasionnelle d’étudiantes bien bourrées à la sortie des boites de nuit, voire des fois de collégiennes, (mais là c’est pas dans les bars ni pour les touristes sauf à payer très cher à un gardien-de-nuit-chasseur-macro mafieux d’un hotel) qui va permettre à la petite de s’offrir le dernier smartphone qu’elle n’aurait jamais eu sinon.
Fait divers sordide d’un directeur d’école (il y a 2 ans) qui s’était fait chopper avec une petite de 13 ans dans son lit, elle s’était fait convaincre par une camarade de classe (d’une autre école hein, pas celle du directeur) d’y aller en lui disant : “c’est de l’argent facile” et en exhibant son i-phone…
Parents effondrés qui ne comprenaient pas pourquoi (témoignages floutés à la télé évidemment), elle ne manquait de rien… ah si, d’un i-phone bien sûr !!!
Je ne connais pas vraiment l’Issan (un court séjour dans la famille d’une sorte de sous-préfet il y a très,très longtemps ) mais ce que j’en connais me suffit pour comprendre pourquoi les farangs ne seront jamais très nombreux à y vivre .
Je vais certainement déplaire au fan club de l’Issan mais il faut être marié avec une locale et faire beaucoup de petits luk krueng pour y trouver son bonheur.Question de goûts , de vie sociale et culturelle.
L’argent: ça m’étonnerait que les familles d’Issan très pauvres n’envoient plus leurs filles pour " tok farang" à Pattaya où ailleurs et que ce phénomène certes déplorable date de 30 ans !!!
La multiplication des gros 4X4 ne prouve rien tout comme en France la crise n’empêche pas les produits de luxe de se vendre .La misère est encore plus insupportable quand une classe privilégiée souvent corrompue affiche son bling bling .
Pagan, j’ai l’impression que je n’ai pas écrit ce que vous souhaitiez lire, et que le témoignage d’un farang qui vit dans le bonheur une histoire d’amour de trente ans avec une Thaïlandaise sans s’être jamais fait arnaquer, dépouiller, plumer, ne peut pas entrer dans votre système de pensée et vous paraît hautement improbable, sinon mensonger.
Je m’en voudrais de vous contrarier, ce n’était pas le but de mon intervention ici. Donc, j’admets que vous avez raison. Toutes les Thaïlandaises, toutes, sans aucune exception, ne sont que d’épouvantables opportunistes, avides, cupides, dépourvues de tout sentiment, qui ne pensent strictement qu’à l’argent, au fric, à la thune, aux pépètes, à la maille, à l’artiche, au pognon, à l’oseille, aux picaillons, au flouze, au blé, au grisbi, au pèze, à la galette. Et aucun étranger ne saurait être pour elles davantage qu’un gogo, un pigeon, une poire, un jobard, une dupe, un gobe-mouche, une dinde, un imbécile, un cave qu’il faut absolument saigner à vif, plumer, embobiner, arnaquer, déposséder, gruger, estamper, refaire, rouler, roustir, entortiller, et niquer jusqu’au trognon et jusqu’au dernier centime, avant de le jeter comme un déchet répugnant. Vous avez raison, dans l’Isan misérable, au fond de la cabane bambou seulement éclairée d’une triste bougie suiffeuse (ben tiens, l’électricité n’arrive pas dans ces contrées encore moyenâgeuses), toutes les mères, sorcières édentées et en haillons, incitent à voix basse leurs filles à aller chercher fortune à Pattaya ou dans les bars de Phatpong, où glandouillent tant de culs cousus d’or qui n’attendent qu’une ensorceleuse pour cracher la thune qui coule littéralement de leurs poches. Et chaque matin, des dizaines de car affrêtés à cet effet emportent des milliers de filles rapaces et vénales vers les gogo-bars ou les salons de message des villes touristiques pour, telles des vampyres, sucer le sang de leurs proies. De toute façon, ces femmes-là sont incapables d’amour, elles ont un portefeuille à la place du coeur. Il n’y a qu’un mot, qu’une prière ici : du pognon, du pognon, des tangs, des bahts, des dollars, des yens, des euros, des livres sterling, de l’or. C’est le chant de l’Isan sordide qui résonne dans tous les taudis du matin jusqu’au soir et que répercute la cloche du wat qui colporte l’écho de la chanson vénale dans le vent, tout doucement, mezzo-voce, à travers les rues jonchées d’ordures ou vont jouant des enfants cul nu et sous alimentés : du pognon ! du pognon ! du pognon !
Moi-même, j’ai tout perdu. Aujourd’hui, après avoir dilapidé mes économie et contracté de faramineux crédits que je ne peux évidemment pas rembourser, je suis condamné à partager la niche du chien (il y a bien longtemps qu’on ne me laisse plus entrer dans la maison, que j’ai pourtant payée), je dois me nourrir en fouillant dans les poubelles. Et encore bien heureux si ma femme ne m’en chasse pas à coups de bâton. Si je lui demandais humblement, peut-être m’accorderait-elle un os à ronger, ce soir ? Qui sait ?
Voilà. J’espère que ce témoignage correspond davantage à vos attentes et conforte vos convictions. Je suis prêt à vous en rédiger de plus édifiants et plus sordides encore, si vous le souhaitez.
Cordialement,
PVM
Elle est ou la touche pour dire j’aime comme sur facebook , …
Je suis sûr que certain vous lire et dire : “c’est pas vrai pour toutes mais quand même je suis d’accord” ,
le même type de pensée qui mène certain
à lire juste mon pseudo et se demander si je suis un terro ,
ou encore de se dire que ceux qui partent en thaillande c’est pour le tourisme sexuel ,
choisir sa femme en fonction de sa couleur de cheveux (parce que ça change la docilité ) ,
en thailande ils mangent que du riz ,
au magreb du couscous ,
en alsace de la choucroute
…
bref on retient que le mauvais coté et on se persuade que c’est pour tout ce qui ont un point commun pareil
Ca remonte à beaucoup plus longtemps !
La guerre du Vietnam et la présence de nombreux soldats Américains sur la base militaire
Tout est parti de là
Bobjour
je pense que mon mail est sortie de son contexte ,personne ne m apprends grands choses sur leur vécu ,comme je précisait aucune femme thai qui epouse un farang, ne cherche a le plumer, ses femmes sont comme beaucoup ,elles recherchent l’amour ,le bonheur’ un mari gentil depuis mes nombreux voyages ,mes potes mariés a des thai ,non jamais été plumer ,ils sont heureux et leurs vies fait plaisir à voir
je répète et confirme j,ai jamais connu de femme thai venale et intéresse par l’argent, pas de demande d aide à la famille se sont des femmes simple, et honnête
tchae 77
Je confirme, hihihi !!
Herusement, de temps en temps on se fait du riz
Et parfois du couscous
si si
ceci dit , pour revenir au sujet , je préfere parmis tout ça … pad thai kai lol
bionjour ,
il fallait s’en douter que le sujet allait partir dans tout les sens , pour les amateurs , amoureux et haïsseurs de la thailande , c’est un bon débat .
tous defendent leur opinion , et je défend le mien : chaque experience est réelle mais ne fait pas la généralité .
J’aime bien la Thailande, mais une telle confirmation me laisse perplexe ,je pense que vous ne connaissez pas très bien ce pays
ou alors vous etes véritablement naif.
Bonjour
Non mais dis, pad thaï kaï ou pad thaï mou à 40 bahts, (avec de la cacahouète pilée saupoudrée par dessus) aussi, ça a son charme Bon ça passe pour le midi, mais le soir, faut quand même du plus consistant !
:-)))
Restons donc dans le sujet, tu as raison
@ PVM
Acceptez que l’on ne sacralise pas non plus la femme thaïe parce que vous vivez l’amour parfait en Issan.N’interprétez pas mon modeste message de 10 lignes pour en faire une longue tribune sur un pseudo mépris des femmes Thaïes.
Acceptez que l’on préfère les îles de Thaïlande ou son littoral ou bien Chiang Maï voire Bangkok ( que j’apprècie contrairement à la plupart des touristes français) au lieu d’une installation définitive en Issan .
Chaque expérience vécue n’a pas de valeur universelle.
bonne continuation.
bonjour,
je ne crois pas non plus que les femmes thaies sont pires que les autres. Mais la différence de niveau de vie favorise certains comportements. Ce qui n’est pas spécialement thailandais, simplement humain.
cordialement
Bonjour,
Mon ex mari avec qui je suis en bon terme (je tiens à le préciser !!) est parti sur un coup de tête après avoir mit sa maison en vente.
Il a rencontré une Thaï qui a l’age de notre fils (il y a 33 ans d’écart) mon ex à 73 ans !!!
Notre fils se fait beaucoup de soucis car cette femme lui fait faire n’importe quoi !!!
La Thailande où soit disant on vie super bien avec pas grand chose, mon ex il lui faut 1900€ par mois !!!
Il a une très petite retraite et le reste c’est puisé dans son petit capital constitué par la vente de son cabanon.
Ce capital fond comme neige au soleil et lorsqu’il ne lui restera que sa retraite (740€) pour vivre je ne pense pas que cette femme soit prête à se contenter du minimum pour vivre. Pour le moment elle se fait entretenir donc tout va bien !!!
Le père de mon fils ne voit qu’une chose : à son âge il se paye une jeune !!! J’ai très peur qu’il tombe de haut !!! Impossible de lui ouvrir les yeux, ces petits enfants le réclament mais rien y fait :person_shrugging:
S’il est ou va vivre dans la province de l’Issan il s’en sortira
C’est le paradis des cheap charlies
Peut être il préfère vivre ses belles années de vieillesse en bonne compagnie cool plutôt que oublié dans une maison de retraite lugubre.