10 fois que séjourne à bali. C’est presque ma deuxième résidence après paris. Comme chaque année, je visite un pays d’Asie et je me repose dans l’Ile des Dieux. Le sourire des balinais, la culture, les traditions, les rizières en terrasse. Chaque anéne, on se dit, bali, ça change et vite mais on y revient toujours. Hier routard, je suis devenu un luxard. mais cette année a été une année de trop. Comme d’habitude, j’ai réservé un hôtel à Ubud depuis paris. Un peitit tour sur le web, je découvre le Taman Bebek, hotel-villas magnifique et fantastique aux dires des articles des sites spéciaisés et du propriétaire des lieux. Connaissant bali et les tarifs pratiqués, je me dis qu’ç 400 dollars la nuit, la villa doit être super. Banco, je file mon numéro de carte de crédit. Après avoir visité le vietnam et le cambodge, je débarque donc à bali. Direction Ubud et l’hôtel de mes rêves sans appréhensions aucune, connaissant Ubud, l’esprit balinais. J’arrive au Taman Bebek. L’horreur : une chambre au dallage pourri, une cuisine en plein air dans laquelle on a installé un lit pour ma fille, une salle d’eau sans baignoire. Tout était pourri. Pour 100 dollars de plus, nous avions une suite junior à l’Hôtel sayyan. Gros flip. On a décidé de partir et le propriétaire de cet hôtel-losmen m’a demandé de régler la note 7 nuits à 300 euros. je lui ai dit j’appelle la police touristique tout de suite. J’ai quand même lâché 300 euros. A Ubud, On est allé voir l’office du tourisme pour les prévenir de l’arnaque du taman bebek et que celle-ci allait à l’encontre des intérêts de l’économie balinaise. On m’a dit d’aller voir la police. Conclusion : certains veulent faire de bali Saint-Trop’ ou Ibiza. Au niveau des prix c’est inflationniste. C’est la course à l’enrichissement et tous les moyens sont bons. Des chambres à 400, 500 ou 1000 dollars des palaces comme le Four seasons, le sayyan, le Como et j’en passe, ca donne des idées à des propriétaires de losmens balinais prêts à arnaquer le premier touriste.
Marco Polo