Aujourd’hui, j’ai connu une série de déconvenues à Monserrate.
Une partie des problèmes concerne une randonnée exploratoire
arrivant au sanctuaire et je ne vais pas en parler.
Je vais me concentrer sur ce site lui-même.
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On descend vers 14h30: après un paquet de marches, on trouve le portail fermé. On est obligés de remonter et d’en passer par le funiculaire.
La police est censée surveiller l’escalier jusqu’à 16h: pourquoi fermer l’escalier
à ceux qui veulent descendre à pied?
Au moins pourquoi un policier ou une pancarte en haut n’avise-t-elle pas que c’est inutile de descendre puisqu’on trouvera porte close? -
Le funiculaire ne fonctionne pas à partir d’une certaine heure: on prend donc le “teleferico”: en fait de téléphérique, c’est plutôt une bétaillère qui m’a fait penser
au Transmilenio aux heures de pointe. Tous debout dans un espace de 2.20 m
sur 5.50 m à tout cassé, et on est 40!!! A 7700 cop (4.35 $ au taux actuel)!!!
Pour ce prix, on a le téléphérique assis pour un dénivelé double à Quito.
- En bas on prend un taxi. Le gus vantard roule comme un malade sur la circumvalar. Au bout d’un temps on voit que le taximètre est trafiqué
mais que faire quand on est sur la circumvalar? Plus loin, on proteste mais
Le gus nous demande 50 % de plus que le prix prévu et se montre
très agressif limite menaçant.
Je dois le reconnaître, toute honte bue, il nous a fait peur, on a payé
et on est vite descendus sans demander notre reste.
J’ai tout de même noté sa plaque et j’ai écrit à la “taxidenuncia”.
J’ai insisté sur le fait que ce genre de délinquance ne contribue
pas à donner une bonne image à la capitale, spécialement auprès
d’étrangers souvent incapables de se défendre, connaissant
mal la langue et le système.
Je verrai si je peux déposer en plus une main courante.
En résumé, rien de grave mais un crescendo désagréable:
une journée à oublier bien bien vite.