Récit de mon voyage itinérant en République Dominicaine

Forum République Dominicaine

Voici un CR sans photo cette fois-ci des 15 jours passés la plupart hors sentier battu en république dominicaine (avec détails prix transports hébergements et qq visites)
Dès que je peux je vous envoie un CR avec photos

Récit voyage du 17 au 31 janvier 2020 – République dominicaine

Notre vol transitait par Montréal, 1<sup>ère</sup> nuit dans un hôtel à 68 euros l’appartement assez rustique, le moins cher qu’on ait trouvé, navette aéroport inclus et gratuite, hôtel beauséjour à Dorval, 3,6km de l’aéroport

Vendredi 17/1

La navette part à 6h et nous devons acheter un nouvel adaptateur car celui de Françoise ne fonctionne pas. Comme nous transiterons par Montréal au retour, il y a des consignes pour laisser les bagages (5 $CN/bagage, taxe non comprise)

Un taxi à 25 euros passera nous prendre à notre arrivée à Punta Cana, hôtel bavaro compte tenu de ce qui était dit sur le forum concernant les formalités douanières et d’immigration. En fait on ne restera qu’1h20 à l’aéroport pour faire ces démarches et le taxi nous attend à la sortie, on arrive à 14h30 à l’hôtel après avoir traversé une zone assez bruyante et « branchée » (une discothèque dont l’entrée « sec » coûte 70 us $. Le quartier de l’hôtel est assez commun et peu typique. Beaucoup de bruits, klaxons. On va à pied jusqu’à bavaro gare routière pour se renseigner pour demain car José, notre chauffeur, nous a informés qu’il n’était pas possible de se rendre en guagua (NE de l’île sans passer par boca chica). Le premier bus part à 7h et il faut y être 1h avant. Prix 400 pesos l’aller.

Ex prix jus de papaye (70 pesos) et 2 bananes, total 155 pesos>.

Petit café sucré ou thé dominicain : 10 pesos

Prix diesel au galion 180 pesos

On refait notre itinéraire car en allant vers le Sud, mieux vaut continuer vers le SW plutôt que remonter vers le nord pour redescendre ensuite.

On partira donc pour Sto Domingo et on réserve 1 nuit (visites ° apparemment danses folkloriques ce soir à plaza de espana)

Samedi 18/1/20

J’avais mis mon réveil pour 5h20 et en fait le changement horaire entre le Canada et Punta Cana ne s’est pas fait. Mystère. Donc Françoise se réveille à 6h (mon portable affichait 5h am et on part très rapidement pour la gare routière. Les guichets ouvrent à 65h30 ; il y a déjà du monde qui attend.

Billet St Domingo ou Boca chica = 400 pesos

On part à 7h et on arrive à 10h15 (près du parc de l’indépendance où se trouve l’AJ. Condominium parque calle Palo hincado, 25 pesos pour une chambre double, Auberge sympa, une cour intérieure, 1 café avant de partir visiter la ville. On commence par la rue El conde (‘rue piétonnière pas mal de shops) puis on tombe sur la cathédrale (La première d’Amérique latine)

La casa de tostado museo de meubles de l’époque espagnole)

Case de teatro

Convento de los dominicos

Il y a plusieurs jeunes filles en robe de « mariée » mais en fait il s’agit de la fête des 15 ans qui se célèbre en Amérique latine pour les jeunes filles le jour de leurs 15 ans

On remonte las damas où l’on visite la fortaleza ozama (100 pesos l’entrée) puis le panteon nacional. La bâtisse du museo de la casa real et l’alcazar de colon sur la plaza de España.

On se fait confirmer que ce soir il y a un spectacle de danse folklorique en bas des escaliers de cette place, à partir de 19h.

Puis on passe le pont pour se rendre au phare Colon. Juste avant de prendre la rue qui nous amène au phare, on se fait aborder par un semblant de policier. C’est la police touristique qui veille sur les touristes et leur sécurité. En fait (on aura fait 14,18km jusque-là) ils ont été informés par un collègue qui se trouvait sur le pont qu’on arrivait et ils souhaitent nous amener au phare avec la voiture de fonction. Voyant son insigne, une arme, on accepte tout en leur disant qu’on n’a pas d’argent pour ce service. Ils rétorquent qu’ils le font avec plaisir pour que rien ne nous arrive. En chemin ils nous proposent de nous amener à la grotte « tres ojos » « ensemble de grottes de calcaire avec des cenotes, parois ornées de peintures rupestres

On se rend ensuite au phare qui est en fait un phare emblématique et n’a rien de la structure/architecture traditionnelle d’un phare. Il est « allongé » en forme de croix et une flamme sort de son sommet et dessine une croix dans le ciel. Le vrai phare se situe un peu plus loin. Ce monument a été inauguré pour le 500<sup>ème</sup> anniversaire de la découverte de C Colomb. Tombeau avec les restes de l’explorateur + musée avec différentes cartes de l’époque et plusieurs salles avec les spécificités de tous les pays qui ont contribué à sa construction (architecte italien)

Au retour on se renseigne sur le bus pour Barahona et en fait on prendra un taxi (200 pesos) pour se rendre à la gare routière qui semble éloigné du centre-ville (c’est une policière qui nous l’a conseillé car en fait une guagua coûte 40 pesos /per et souvent un surplus pour les sacs à dos. Il vaut mieux payer 200 pesos car l’économie est moindre.

On verra par la suite et après avoir pris de nombreuses guaguas qu’on n’a jamais eu à payer des suppléments pour les sacs à dos quand on les garde auprès de nous, voire dans le coffre.

Les hostales à Barahona sont chers (plus de 30 dollars pour 2) et on décide de regarder après notre balade nocturne. On se rend à la plaza Espana où doit se dérouler le spectacle folklorique. En fait il aura lieu à 20h30 et non à 19H. On cherche un petit resto pour manger pas cher (surtout pas sur la place España car les plats sont entre 330 et 990 pesos. En remontant une rue derrière la place, ; on trouve un resto cubain où on prendra une assiette de légumes sautés et un riz pour 2 pour 220 pesos

Puis retour à la place, un trio de guitaristes dominicains puis un couple cubain très bon. Au retour on réserve le taxi pour 200 pesos pour 5h30 afin de prendre le bus qui part à 6h15 pour BArahona

Dans le resto cubain, on trouve sur internet une auberge rurale un peu retirée de Barahona pour 700 pesos la chambre ; On réserve et on y sera demain

Paysages traversés de Punta cana : canne à sucre

Dimanche 19/1

Le réveil sonne et à la bonne heure ! On se prend un café rapide et notre taxi nous amène à l’arrêt de bis. Billets 350 pesos/pers. On arrive à 9h15 soit 3h15 de trajet

On trouve la guagua pour Polo où se trouve notre hébergement, soit à 35 km vers l’intérieur des terres. De 340 pour 2 on négocie à 200 pesos

Paysages traversés : au début canne à sucre puis bananiers, belles montagnes de chaque côté de la route

QQ canaux proches de Barahona, maisons en dur, simples pour la plupart. Certaines en partie avec de la tôle

Rando vers la rivière (balade de 4 km aller, recommandé par Vladimir, notre hôte) Très jolie rando à travers la forêt tropicale. La rivière est magnifique, une piscine naturelle d’eau turquoise, des tables de piquenique. Comme c’est dimanche, on y croise des dominicains.

chambre simple, douche et toilette à l’extérieur, eau froide, cuisine sommaire à partager.

De retour et comme Françoise a des ampoules, rien ne sert de rester une nuit de plus (il y avait une rando à faire de 20 km, route du café) et on n’a pas assez d’info sur le dénivelé à faire. Nous rentrons de notre rando au moment de la pluie. On aura une guagua qui partira autour des 8h30/9H pour Barahona et on localise l’arrêt (à côté des grandes antennes, pas loin de l’hôpital, au bord du parc.

Pas de wifi, nuit bonne malgré un matelas mou

Hôtel polo est le seul dans ce village mais il manquerait quelques couverts dans la cuisine par rapport au nombre de chambres. Cependant c’est un merveilleux endroit en pleine forêt tropicale

Le village est assez pauvre, quelques constructions en dur en chantier. Beaucoup vivent dans des petites maisons à une pièce

Les petites épiceries s’appellent ici « colmado »

Lundi 20/1

100 pesos/pers pour Barahona. 30 mn d’attente et c’est parti

A Polo, il y a un collège et lycée (uniforme). Il semblerait que toutes les écoles aient des fils barbelés sur les murs de leurs enceintes (pour éviter le vol ?)

A barahona on nous laisse où passent les guaguas pour Juan Esteban (50 pesos/pers et on descend à Qameito (en fait c’est le nom d’un site balnéaire (hôtel, buvette). Beaucoup de vagues, pas facile pour nager, plage de galets, des falaises qui tombent sur la mer mais rien d’extraordinaire alors qu’elle est identifiée comme étant une très belle plage.

On verra pour los Patos, notre prochaine destination. On attend sur le borde de la route une demi-heure pour prendre la guagua jusqu’à los patos. Joli port, on n’a pas vu de pêcheurs, que des barques, beaucoup de petites boutiques qui servent du poisson grillé. Des locaux qui se baignent dans la « piscine » (le fleuve qui se jette dans la mer). L’eau est agitée aussi. On se commande un poisson grillé avec garniture (banane plantain ou riz avec salade. Très bon 300 pesos/pers

Puis une guagua jusqu’à Oviedo (pour faire l’excursion au hoyo et à la laguna). Mais pas de logement et il se fait tard. ON décide donc d’aller jusqu’à Pedernales et on verra au retour ce que l’on fait.

On voyage bien tassés dans la guagua entre 2 personnes bien enrobées. La route est sinueuse et la végétation change. Plutôt aride, cactus. Beaucoup d’éolienne. Plus de bananiers. Au terminus de la guagua, un hospedaje, Zulia très aimable. Chambre très propre et bien décorée, ambiance familiale. 1300 la chambre avec un grand lit. Elle nous la fait à 1000 pesos avec café ou thé le matin.

Ce soir fête patronale du village. On s’y rend mais orchestre pas encore en place et on sent qu’il y a pas mal de jeunes, un peu insécure car nous sommes les seules touristes. On ne va pas tenter le diable. On rentre et Antonio, le mari de Zulia nous a trouvé une voiture pour 2 000 pesos pour bahia las aguilas car pas de guagua ou moto concho ; On partira vers 8h demain matin.

Mardi 21/1/

Notre chauffeur arrive à 8h (un moto concho coûterait 1200 pesos pour 1 personne et franchement, la route étant pleine de trous, il vaut mieux une voiture (pas de guagua)

Bahia las aguilas : très beau mais vraiment pas important de faire l’excursion en bateau qui dure 15 mn AS pour se rendre à la plage en passant par quelques « roches. Plage sans poisson ou très peu ; par contre très jolie et avec sable blanc

A conseiller : faire la rando 10 km AS entrée parc 150 pesos/pers type piste forestière jusqu’ la plage que l’on a atteinte par la mer. Faire aussi les 2 sentiers transverses qui sont au départ de la piste, l’un à droite, très court qui nous amène à un très beau point de vue sur ces 3 ou 4 roches dans l’eau et l’autre sur la gauche (‘encore plus beau, meilleure vue)

Au retour du bateau, on fait une partie de ces sentiers puis café au bar/hôtel/camping de la plage 50 pesos/pers

Retour en ville (on aura retiré 2 fois de l’argent une fois à l’aller 3000 et l’autre au retour 2000 car on n’avait pas prévu de payer le bateau. Il faut savoir que certains distributeurs n’ont plus d’agent, prendre ses précautions

Pedernales est une zone détaxée pour les vêtements venant des US (d’occasion)à revenu en gros

Usine de cimenterie sur la péninsule

Au retour David, notre chauffeur nous montre la citadelle de la ville, décrite par le guide touristique comme un endroit à visiter. Or c’est une grande caserne moderne militaire. On ira demain matin à la plage de Pedernales

La nuit sera bruyante mais nous sommes le jour de la fête du village et à la veille de la fête nationale (anniversaire de la naissance de Duarte)

Adresse de la pension

Zoila antonio, calle 1ra, esp 27 de febrero, parada de guagua

Mercredi 22/1

Pdj traditionnel mangu (purée de bananes plantains + fromage frit, salami et thé gingembre clou girofle, cannelle, thé traditionnel dominicain

Plage au bord de la courte promenade du bord de mer (on est tout près de la frontière haïtienne) un petit bain, l’eau est bonne

On va à la guagua qui part quand elle est complète, soit 12h au lieu de 12h30, 600 pesos pour 2

Une femme qui vient d’accoucher par césarienne avec le BB de 2 jours voyage avec nous à travers une route assez défoncée, musique merengue/bachata à fond, wifi à bord

Paysage : éolienne avant los patos

On met 3h30 beaucoup de contrôle de police/douane dans ce sens à cause de la proximité avec Haïti. On arrive autour des 156h30 à BArahona et tout de suite on attrape un autre guagau vers la capital (250 pour Bani, grand bus, pas trop de climatisation

Arrivée Bani 17h30 et on se rend à un hospedaje Hernandes (complet) On trouve à côté du parc où nous a laissé le bus un hôtel paulina (-450 pesos la chambre mais c’est un hôtel de passe et la chambre ne ferme pas à clé, pas propre, un peu glauque. On arrive à trouver un hotel centro correct pour 800 pesos.

Jeudi 23/1

Nuit ok à BAni, départ 6h20 guagua pour ST Domingo

Attention. Quand on demande au chauffeur de guagua s’il nous amène à l’arrêt de bus qui monte à Jarabacoa ou toute autre destination, en fait on nous laisse souvent en plein centre-ville et il faut prendre un taxi ou autre guagua pour se rendre à la gare routière

Le bus est cassé et ne partira pas de cet endroit. On doit prendre un taxi pour 250 pesos qui nous amène à l’arrêt des grands bus. ON voyage bien jusqu’à la vega. 230 pesos en 1h30. Puis une marche de 20 mn pour atteindre l’autre arrêt de bus pour Jarabacoa (peu d’attente, 130 pesos/pers. Un guide nous aborde dans le bus pour proposer ses services.

Notre hébergement est difficile à trouver environ 2,5 km du centre. On passe par des distributeurs et quelques-uns refusent les CB internationales Il faut en tenter d’autres. Certains affichent aussi des frais de commission. Attention donc et penser à bien anticiper les besoins en argent

1300 pesos grande chambre, salle de bain dans une maison. Autre couple français rencontrée Emilienne et Philippe. La proprio nous fait rencontrer un guide et on arrange pour le lendemain une rando dans la campagne car el Mogote est impraticable à cause de la pluie tombée ces derniers jours.

On va à pied jusqu’à la cascade salto baiguate (environ 6 km AS) ; Le guide me montre en moto le chemin pour s’y rendre depuis la pension pour nous faciliter le trajet. Temps maussade mais on n’a pas eu bcp de pluie. Bonne discussion avec le couple de français. Au retour, il nous reste 1h pour acheter quelques nourritures (on a une cuisine à dispo, on y fera cuire du riz) et on teste un rhum local brun, pas trop fort, accompagné de citrons.

A 19h, j’avais convenu avec le guide de nous retrouver pour qu’il me montre un endroit où louer des chambres à pas cher. On fait affaire à 500 pesos et en plus c’est plus près du parque central. On pourra alors le samedi matin se rendre à Constanza avant de redescendre vers Santiago car le couple nous en a dit beaucoup de bien.

Vendredi 24/1

Le guide est à l’heure, la nuit toujours bruyante. On part en voiture jusqu’à palo santo puis rando jusqu’au pied de el mogote mais on reste bien en bas car impraticable. Petite montée pour le monastère. Puis retour à une piscine naturelle et à travers la forêts tropicale jusqu’à une cascade. Retour par une passerelle qui surplombe une autre rivière Yunca. 4h de rando, enviroin 200 m D+

Plusieurs « comedores » dans la ville, près du Parc central. On goûte le mofongo (qui est une purée de bananes plantains vertes, frites et pilées dans un mortier avec de l’ail, de l’huile et de la couenne de porc croustillante ou chicharrones de cerdo.)

Après renseignements pris pour aller à Constanza depuis Jaracaboa (bus à 9h, 1H30 de trajet et retour de Constanza à 11h30/13h30/14h, on préfère monter vers Santiago

Bus Jaracaboa à la vega : 1.30 pm, 4 ;30 pm, 45 mn ou 7 am, 10 am, prix 100 pesos

On visite Jaracaboa qui est une ville sympathique, assez touristique (tourisme national), de montagne

Avocat, ananas comme dîner dans notre nouvelle chambre près du centre. Toujours très bruyant la nuit jusqu’à environ minuit puis tout s’arrête et reprend au petit matin

Pour trouver le logement à 500 pesos par nuit : il se trouve derrière Aguas Pena (mise en bouteille d’eau). Demander hospedaje (pas de nom du proprio)

Samedi 25/1

On part de bonne heure pour prendre express tour, départs plus fréquents que Caribe tour et la gare routière se trouve face au cimetière. Celle de Caribe tour derrière le cimentière. Avant 14h on arrive à Puerto plata après avoir changé 2 fois et fait un stop à Santiago de los caballeros.

A santiago, visite du monument aux héros (musée, 60 peso/pers : très intéressant sur l’histoire du pays et la colonisation espagnole. La « restauracion » quand ils ont réussi à se débarrasser de l’emprise espagnole définitivement. On va à pied jusqu’à la cathédrale (ça descend), on visite l’ancienne maison de Trujillo quand il venait à Santiago qui est reconvertie en centre de recreo (la grande salle de spectacle se loue pour des événements tels que mariage), le parque Duarte mais nous n’avons pas vu le centro leon qui semble très intéressant

La cathédrale fermée mais à environ 150 ans. Maisons colorées, la forteresse, aucun intéreêt c’est un cercle militaire. On prend un « carro M » genre de taxi collectif pour se rendre à l’arrêt de bus Puerto Plata (50 persos/personne)

On a identifié à Puerto Plata, sur internet, un hôtel Kevin. ON négocie la chambre à 1000 pesos, accès libre à la cuisine. Cet hôtel est tenu par un portugais ayant vécu en France (donc parle français), très impliqué dans la prévention routière à Puerto Plata et qui a une équipe d’une douzaine de personnes qui « tournent dans la ville » pour faire régner l’ordre et réguler la circulation routière.

On part pour la « vraie » forteresse du 16<sup>ème</sup> siècle d’où on a une très belle vue. On peut aussi monter en haut du phare.

Petit resto local pour goûter la bandera (riz, sauce à l’haricot et côte de porc. 300 pesos et une pina colada 200

On se renseigne pour les 27 charcos qu’on fera au lieu du Mont Isabel

Sur la place on rencontre un dominicain qui travaille pour le ministère du tourisme et nous amène dans différents quartiers et dans une boutique qui pratique des rites vaudous. Soit disant annoncé comme complètement gratuit, il nous demande au moment donner de lui payer un coca et acheter du lait en poudre pour son enfant. Ce que nous faisons

On tombe par hasard sur une ruelle rose, près de la place Parque central, en hommage à une dominicaine qui a œuvré pour le développement du tourisme, Dona Blanca

Pour les banques, celles du Parque Central prend une commission

Au retour, on tombe sur le proprio de l’hôtel qui nous offre une barquette de fruits. Homme très sympathique, son auberge aussi. On s’est senti tout de suite à l’aise.

Dimanche 26/1

Nuit bruyante pour ne pas changer. L’hôte lest très bien situé, à 2 rues du Parque central. On part à pied (1,2 km) pour la gare routière qui va à Imbert/santiago. 50 perso, le retour sera à 60. L’arrêt pour les 27 charcos se fait après Imbert, route direction Santiago à environ 5 km. Donc bien préciser ce que vous louez.

Il y a des casiers pour laisser les sacs à dos à l’entrée des 27 charcos. Si vous venez de Santiago avec votre sac, vous pourrez le laisser plutôt que de faire comme nous, aller jusqu’à puerto plate et revenir ensuite sur nos pas un autre jour pour faire cette excursion.

L’excursion des 27 charcos ou les chutes de Damajagua : entrée 550 pesos entrée + 100 ou 150 pesos selon la taille du casier. Il faut laisser toutes ses affaires et aller en short et tshirt chaussures fermées ou sandales fermées, prévoir un change car en fait, et on ne vous le dit pas au départ, on se mouille entièrement et il s’agit d’un canyoning. J’avais demandé au moment de l’achat des billets si l’on pouvait avoir moins cher et faire la randonnée sans guide et l’on m’a dit que dans ce cas on ne pouvait se rendre qu’à une seule piscine mais jamais il a été question de canyoning. Sinon j’en aurais parlé à Françoise qui m’aurait dit qu’elle ne voulait pas la faire.

Donc nous voilà avec nos gilets de sauvetage et on commence la marche d’approche sans encore savoir à quelle sauce on sera mangé. On est avec une famille russe de 5 personnes. Après 10mn de marche, on fait une pause et je demande un peu plus de précisions au guide et c’est là qu’il me dit qu’il va falloir sauter parfois dans des piscines ou se laisser glisser sur des toboggans, etc…. Françoise tourne presque de l’œil. J’insiste auprès du guide pour lui dire que ‘rien n’avait été expliqué au départ et que l’on va devoir retourner à l’accueil/entrée du par cet demander un remboursement. Mais ceci n’est pas possible et il ne peut pas nous laisser seules retourner à l’entrée. Il faut donc aller de l’avant et il promet à Françoise de l’aider. Assez stressée et cela se comprend car Françoise n’aime pas ne pas avoir pied, elle avance courageusement.

Je déconseille aux gens qui ne savent pas nager de faire cette excursion car même s’il n’y a aucun danger (vous flottez avec le gilet) il faut arriver à faire quelques brasses et surtout écouter les indications des postures à avoir. Sous le stress ou panique, on peut avoir tout type de comportement et il est inutile de faire stresser quelqu’un si on peut éviter ce stress.

Après bien 30 mn de marche en montée on arrive devant le premier « saut ». On peut contourner ce saut (presque à chaque fois) pour réduire le trou mais il faut tout de même sauter. Françoise y parvient. Quelle fierté, quel défi ! Bravo. Elle prendra après chaque saut (y’en aura 12 en fait et non 27) toujours plus d’assurance et de plaisir. Le circuit aura duré 3h et on est à 10 mn à pied de la route (entre l’entrée du par cet l’arrêt de la guagua)

Après cette belle et éprouvant excursion, on attend un peu au bord de la route pour récupérer la guagua pour puerto plata. On se rend ensuite à Long beach, un peu retirée de la ville mais l’eau y est sale. Beaucoup de Dominicains s’y baignent, c’est dimanche et certains improvisent un terrain de baseball sur la plage.

A 2 rues de l’hôtel il y a une banque avec retrait sans commission

Lundi 27 janvier

Lever un peu compliqué car le portable n’est pas à l’heure. On se lève à 4h au lieu de 5h. Le gardien hier soir nous avait trouvé un plan avec la guagua pour se rendre à Sanchez. Au lieu de payer un taxi pour se rendre à l’arrêt, on s’économie le prix et il passera nous prendre à 5h20. A l’arrêt de bus près de l’hôpital, en mettant nos sacs à dos dans le compartiment de la guagua, Françoise se rend compte qu’elle a oublié son sac (papier et argent). Panique à bord. Il faut prendre un moto concho pour le récupérer. Le chauffeur appelle le veilleur de nuit pour s’assurer qu’il est à l’hôte let le « cobrador » prend un moto concho (on doit lui donner 100 pesos) pour faire l’aller-retour. Ouf, tout y est et Françoise donne un pourboire bien mérité au cobrador et au chauffeur.

Quel stress. La journée a vraiment commencé sur les chapeaux de roue ! On met 3h45 pour arriver à Sanchez

Plusieurs hôtels et on trouve une chambre chez l’habitant (en fait un hôtel Patria) pour 1000 pesos la nuit, négociée à 800 pesos car on y reste 2 nuits

Juste avant on avait vu des chambres très précaires à 500 pesos pour 2 nuits mais celle qu’on prend est quand même bien plus confortable.

Petite douche et on va voir Augusto tours pour le PN Haitises (il est au port) ; L’excursion à nous 2 coûte 8 000 pesos repas inclus, sans repas 7 200. Soit on attend demain pour voir si on a plus de touristes, à 4 ça serait 2300 pesos, soit on la fait maintenant à 6000 mais avec un pêcheur.

A déconseiller les excursions avec les pêcheurs car ceux-ci ne connaissent pas toutes les zones et certains n’ont pas de gilet de sauvetage, des moteurs moins puissants et des barques plus précaires.

On décide donc d’aller à Samana (90 pesos/pers pour profiter de la plage (jolie, quelques poissons)

Pour info 3 plongées, durée 3 h coûte 85 dollars

Un pont bien aménage relie 2 îlots. Belle balade ;

Samana : ville dans une baie boisée avant tout de palmiers. Grand resort avec ascenseur depuis la plage ! On commence à se rapprocher du tourisme de masse, à notre grande tristesse.

Au retour sur Sanchez, Augusto n’a pas d’autres clients mais on se présentera demain à 9h et on verra bien.

Les chambres à côté de l’hotel patria sont bien et coûte 500 DoP hotel familiar

En bas de la rue de l’hôtel patria, petit colmado et marchands de fruits et légumes)

Très bon matelas, la nuit fut moins bruyante

Mardi 28/1

Pas de touristes pour partager le prix du bateau. On négocie à 6200 (entrée du PN inclus) On part à 9yh30 retour 13h30

Belle excursion, luis, notre « capitaine » très respectueux de la nature. Il est avant tout pêcheur et ramasse les plastiques (pour préserver la faune marine)

Oiseaux : pélicans, type de faucons, aigrettes, beaux mogotes boisés, 2 grottes dont une visitée mais impossible de voir les inscriptions sur les parois car trop anciennes.

On amarre près d’une plagette, l’eau est bonne puis l’île aux oiseaux et enfin la rivière avec le village des pêcheurs (‘cabanes précaires pour héberger leur famille et eux-mêmes pendant la saison de pêche (de 15 à 30 jours). On y pêche avant tout des crevettes. L’entrée du PN ne se fait pas loin des cabanes des pêcheurs

Départ caribe tours 2 le matin pour Santo domingo 8h30 et 10h30, 2h15 durée, 400 pesos. Notre prochaine destination étant bayahibe, il faudra descendre à un croisement pour prendre une gugagua pour Bayahibe. Je négocie avec la proprio pour la nuit supplémentaire à 500 pesos avec salle de bain sur le couloir et un lit bplus petit.

Resto à Sanchez : pas dans le centre-ville mais sur la route principale (Samana)

Mercredi 29/1

On part à 8h pour rejoindre à pied l’arrêt des guaguas pour las terrrenas (1,3km de l’hôtel), ¾ d’heure de route, 80 pesos. Changement à las terrenas (‘la route est très belle, collines semées de palmier, la mer en bas, traversée de hameaux jusqu’à el limon. Au bord de la plage vers las Serrenas, maisons résidences touristiques, boutiques de touristes, etc…

La guagua nous arrête à la bifurcation (50 pesos) qui par un chemin de terre nous mène à l’entrée du parc (‘depuis la route environ 1km, PN entrée 50 pesos. Puis très beau sentier un peu gadoueux ‘car il a plu au petit matin), en montée avant tout, on traverse à gué des rivières. Possibilité de le faire en demi poney pour ceux qui ne veulent ou peuvent pas marcher. Environ 45 à 60 mn pour surplomber la cascade impressionnante, 40 m de haut et on descend vers une première petite cascade puis à 5 mn de là on atteint la plus impressionnante. L’eau est assez froide. 2 autres sentiers s’offrent à nous, qui se dénomme sentier du café et qui, après une montée avec marches longe la rivière. L’autre pas fait, contournerait la cascade.

Belle végétation, oiseau coloré, un arbre aux fleurs rouges/roses tombées au sol. Magnifique

Après une bonne pause on repart pour essayer d’aller à playa del limon. Elle semble éloignée de la ville du même nom. Une moto concho peut vous y amener pour 200 pesos mais il faut alors prendre une autre moto concho pour retourner à el limon et prendre la guagua pour Sanchez

Attention si vous dormez à Sanchez comme nous. Dernier guagua au départ de las terrenas à 18h

La plage à las terrenas serait à environ 4-5 km de la gare routière.

Cette excursion depuis Sanchez nous aura coûté 360 pesos/personne, pas besoin de guide le chemin est très bien tracé.

Retour Sanchez on se paie un resto sur la grande route 375 pesos (poisson et yucca, manioc) et poulet et banane plantain ; On se reprend un rhum avec citron pour fêter notre dernière nuit dans une ville que nous avons beaucoup apprécié par sa simplicité, son authenticité et la gentillesse de notre proprio. Pour ceux qui ne veulent pas se fondre dans le tourisme de masse, Sanchez est un très bon compromis pour ensuite faire les différentes excursions sur la péninsule.

Jeudi 30/1

On quitte notre hôtel et en face de Carbie tours, petit thé « criollo » et pdj local (œufs frits, yucca et oignons)

Achat billet 400 pesos/pers pour Sto Domingo (asrrêter au pont San carlos) pour prendre une guagua jusqu’à la romana (180 pesos/pers). De là autre guagua pour Bayahibe 70 pesos. A 13h on est arrivée après être parti à 8h30 de Sanchez. ON trouve facilement une pension (chambre avec sbd et coin cuisine, pour 800 pesos/jour. On y restera 2 nuits et d’après les différents renseignements prix, certains contradictoires, on repartira dans la matinée du samedi 1<sup>er</sup> d’abord à la Romana (parc central) puis une guagua pour l’aéroport. Certains disent qu’il faut aller jusqu’à Huguey et prendre une autre guagua. On verra cela samedi.

On se rend à la plage publique près du port. Eau propre mais pas ou très peu de poissons. Là, 2 plongées coûtent 120 DOLLARS

L’hébergement : cabana Maura, avec eau chaude !!!

Vendredi 31/1

Nuit toujours aussi agitée jusqu’à minuit mais là c’est musique pour touristes et peu de salas ou merengue. Bayahibe est une petite ville assez calme en journée avec un port. Par contre beaucoup de touristes, magasins pour touristes, alimentation occidentale

On part ce matin vers le SE de l’île afin de rejoindre par un sentier une autre plage

Le sentier pédestre est très « roulant » et facile à trouver. Surprise après avoir passé un premier bâtiment ; On se retrouve entourées de résidences resorts, hôtels avec murs élevés, portails et accès par conséquent privé aux plages. Il faut faire des détours pour arriver à une plage accessible aux touristes mais là encore bcp de touristes entassés sur la plage. Il faudra s’éloigner pour arriver à trouver un endroit sur le sable. Des boutiques à touristes partout. Françoise d’achète un beau coquillage pour 400 pesos et moi du café dominicain. L’eau est belle. On est sur la plage dominicus, juste à la limite de la zone « protégée »

Sur la carte on remarque qu’on est assez près de la cueva del puente et on se dirige vers le chemin qui nous y mène. A la fin de la route, on nous dit qu’il faut passer par la plage et faire 6km. C’est contradictoire avec la trace GPS qui situe la grotte à l’intérieur des terres et non au bord e l’eau. On fait donc demi-tour et on revient vers bayahibe en reprenant le même sentier qu’à l’aller et en voyant un peu plus d’oiseaux.

On n’aura pas fait le sentier padre nuestro car nous sommes arrivées un peu tard sur Sanchez (le départ du sentier se trouve juste à la sortie du village après la pompe à essence, entrée sans guide 250 pesos.

On retourne à la plage pour le coucher du soleil et pour un dernier bain avant notre retour demain.

On goûte un fruit el zapote (qui a l’aspect d’une papaye mais pas le goût). La pension est à 200 m de la gare routière pour la Romana. Toutes les 20mn des guagua à partir de 6h30

Samedi 1<sup>er</sup> février

Avant le départ de la guagua, notre thé dominicano et on arrive à la romana, parque central (joli) car c’est un musée historique à ciel ouvert du base Ball. On va voir l’obélisque, après avoir laissé nos sacs à dos à la consigne de la gare routière pour Punta cana (100 pesos pour les 2)

Obélisque avec des peintures sur les tainos, merengue puis un peu plus loin le monument à la canne à sucre (un chariot en fer) à côté du rail encore en fonction apparemment pour acheminer la canne à sucre

Billet 210 pesos de la romana à l’aéroport ; Le bus nous dépose devant les départs

Plusieurs départs : 8h20/10h40 13h15, etc… on prendra celui de 10h40 pour être tranquille, notre vol étant à 16h et durée du trajet 50 mn

Budget par personne

Transport :75 euros

Logement 148

Repas 76

Excursion 95

Achats perso

Soit 500 euros/personne pour 15 jours sans vol

  • 60 euros pour nos 2 escales au Canada sans compter les achats persos

Les insolites ou situations typiques

A Polo, le « salon de coiffure » au milieu d’une patte d’oie, la femme aux gros bigoudis dans la rue

Guagua : 4 par rangées avec des gens en surpoids (on se retrouve souvent avec une fesse en suspension !)

Nuits très bruyantes (merengue, salsa à fond, Dominicains qui parlent fort, que ce soit dans les pensions ou dans les rues). Tout d’arrête à minuit et reprend au petit matin

Saleté, plastique

Les vaches dans des palmeraies (insolite pour les occidentaux)

Les hébergements (du meilleur au moins bien)

Pedernales : Zoila Antonio, calle 1ra, esp 27 de febrero, face à la parada de la guagua, très bonne attention, familial

Sanchez,

Puerto plata chez Sergio, très bon accueil, familial

Autres adresses

Los patos, c/principal, hotel comedor los patos (on n’y est pas allé mais il semble qu’on puisse avoir une chambre pour deux à moins de 1000 pesos)

Les plus beaux endroits à nos yeux

Sanchez - Polo – Jarabacoa (il semblerait que Constanza aussi) – Puerto Plata, los 27 charcos

On aura parcouru environ 1600 km par voie terrestre et une moyenne de 18 km/jour à pied

Punta Cana – Santo Gomingo : 190 km

Santo Domingo – Barahona : 183 km

Barahona – Polo : 36 km

Barahona – Pdernales 124 km

Barahona – la Vega : 243 km

La vega – Jarabacoa : 27 km

La vega-Santiago : 40 km

Santiago-Puerto plata 87 km

Puerto plata – Sanchez 180 km

Sanchez-Samana : 33 km

Sanchez – las terrenas : 17 km

Las terrenas-cascade el limon : 21 km

Sanchez – Bayahibe : 226 km

Bayahibe – Punta Cana 69 km

Des flamboyants (ampolas) en fleur à cette époque, bananes, ananas, avocat, pamplemousse, igname en pleine production

Très peu de faune, juste à Bayahibe où nous avons pu voir quelques oiseaux et bien entendu à Sanchez dans le parc los haitises

Faune aquatique en snorkeling : très peu

Gentillesse des habitants, sécurité dans les rues

Récit voyage du 17 au 31 janvier 2020 – République dominicaine Notre vol transitait par Montréal, 1ère nuit dans un hôtel à 68 euros l’appartement assez rustique, le moins cher qu’on ait trouvé, navette aéroport inclus et gratuite, hôtel beauséjour à Dorval, 3,6km de l’aéroport Superficie du pays : 48.734 km²9.183.984 habitantes, de los cuales un 35% vive en la capital y el 65% en zona urbana. La densidad media es de 181 habitantes por km². La población está compuesta por un 75% de mulatos, 15% de blancos y 10% de negros. Se estima que el número de haitianos en este territorio está comprendido entre
500.000 y 1.000.000 de personas, inmigrantes no siempre legales.La république dominicaine prend officiellement son indépendance le 27 février 1844 mais l’Histoire du pays depuis lors est marquée par une grande instabilité politique et des interventions étrangères notamment de la part des États-Unis. Les accusations des colons contre Colomb au sujet de sa mauvaise gestion s’ajoutent à la situation politique tumultueuse. En 1502, Nicolás de Ovando remplace De Bobadilla à son poste de gouverneur avec le projet ambitieux d’élargir l’influence espagnole dans la région. Il traitera les taïnos encore plus mal que ses prédécesseurs.Un rebelle, Enriquillo, prend la tête d’un groupe qui avait fui en montagne et attaque les Espagnols à différentes occasions pendant quatorze ans entre 1519 et 1533. Finalement, les Espagnols lui offrent un traité de paix et une ville en 1534. La ville ne dure pas longtemps puisque quelques années plus tard, une rébellion d’esclaves la détruit et tue ses habitants.Mais la colonisation devient alors très violente et réduit la population locale en esclavage. Ainsi, en cinquante ans, celle-ci est exterminée par les répressions, le travail forcé dans les mines, les plantations et surtout par les épidémies. Sur les 400 000 Tainos vivant initialement sur l’île, 60 000 seraient toujours en vie en 1508 et seulement quelques douzaines en 1535[4]. La résistance désespérée des Taínos face aux Espagnols et à l’esclavagisme s’est également traduite par de nombreux suicides collectifs. La canne à sucre est introduite sur l’île d’Hispaniola à partir des Îles Canaries et le premier moulin de canne à sucre dans le Nouveau Monde est établi en 1516[5]. Le besoin de main d’œuvre a fait augmenter de manière exponentielle l’importation d’esclaves africains pendant les deux décennies suivantes. Vendredi 17/1 Punta CanaLa navette part à 6h de Montréal et nous devons acheter un nouvel adaptateur car celui de Françoise ne fonctionne pas. Comme nous transiterons par Montréal au retour, il y a des consignes pour laisser les bagages (5 $CN/bagage, taxe non comprise), ce qui nous permettra de visiter la ville « léger ».Un taxi à 25 euros passera nous prendre à notre arrivée à Punta Cana, hôtel bavaro compte tenu de ce qui était dit sur le forum concernant les formalités douanières et d’immigration. En fait on ne restera qu’1h20 à l’aéroport pour faire ces démarches et le taxi nous attend à la sortie, on arrive à 14h30 à l’hôtel après avoir traversé une zone assez bruyante et « branchée » (une discothèque dont l’entrée « sec » coûte 70 us $.) Le quartier de l’hôtel est assez commun et peu typique. Beaucoup de bruits, klaxons. On va à pied jusqu’à bavaro gare routière pour se renseigner pour demain car José, notre chauffeur, nous a informées qu’il n’était pas possible de se rendre en guagua vers le NE de l’île sans passer par boca chica. Le premier bus part à 7h et il faut y être 1h avant. Prix 400 pesos l’aller. On refait notre itinéraire car en allant vers le Sud, mieux vaut continuer vers le SW plutôt que remonter vers le nord pour redescendre ensuite.On partira donc pour Sto Domingo et on réserve 1 nuit (apparemment danses folkloriques demain soir à plaza de España) Samedi 18/1/20 Punta Cana-Santo DomingoJ’avais mis mon réveil pour 5h20 et en fait le changement horaire entre le Canada et Punta Cana ne s’est pas fait. Mystère. Donc Françoise se réveille à 6h (mon portable affichait 5h am et on part très rapidement pour la gare routière. Les guichets ouvrent à 6h30 ; il y a déjà du monde qui attend.Billet St Domingo ou Boca chica = 400 pesos Santo Domingo (Saint-Domingue), sur la côte sud, est la capitale de la République Dominicaine et la plus ancienne capitale du Nouveau Monde. La vieille ville coloniale délimitée par des remparts a été classée au patrimoine mondial de l’Unesco. El Parque Colón, la catedral Santa María la Menor, édifiée au XVIe siècle (entrée payante), plusieurs rues historiques abritant de superbes demeures, des monastères et quantité d’églises et des édifices du 16e s La Plaza de España, veillée par la statue de Nicolas de Ovando, le fondateur de la ville, a été rénovée. Elle est emblématique de cette cité élevée au rang de « première ville européenne du nouveau monde » dès 1507. Bordée par les anciens chantiers navals (Las Atarazanas), qui sont aujourd’hui autant de petits restos et de boutiques Santo Domingo de Guzmán (Saint-Domingue de Guzmán) a été fondée par Bartolomé Colón en 1496, sur la rive orientale du fleuve Ozama, plus tard déplacée sur la rive occidentale par Nicolás de Ovando en 1502, à cause de sa destruction au passage d’un ouragan. Saint-Domingue a été le premier siège du gouvernement colonial espagnol du Nouveau Monde. Cependant, à l’arrivée des européens, le territoire était déjà habité par les indiens Taïnos. Les indigènes avaient divisé le territoire de l’île en cinq zones dirigées par un cacique,dans lesquelles toute leur culture était reflétée sous forme d’art et d’outils. De nos jours, c’est la dixième ville la plus peuplée des Caraïbes. Il s’agit de l’un des plus grands centres culturels, économiques, politiques, commerciaux et industriels de la République Dominicaine. On part à 7h et on arrive à 10h15 (près du parc de l’indépendance où se trouve l’AJ. Condominium parque calle Palo hincado, 25 pesos pour une chambre double), Auberge sympa, une cour intérieure, 1 café avant de partir visiter la ville. On commence par la rue El conde (rue piétonnière, pas mal de shops, voir ci-contre) puis on tombe sur la cathédrale (La première d’Amérique latine). La cathédrale de Saint-Domingue est la plus ancienne du Nouveau Monde. De style gothique, elle est rehaussée d’ornements de la Renaissance datant des années 1514 à 1546. Son architecture met en valeur le patrimoine historique et culturel qu’elle abrite. La cathédrale est ouverte du lundi au samedi de 9 h à 16 h 30. La casa de tostado (ci-dessous) abrite des meubles de l’époque espagnole Case de teatro renferme plusieurs galeries qui exposent des œuvres d’artistes dominicains. Le centre présente aussi des œuvres théâtrales, des concerts et des spectacles vivants dans le cadre accueillant d’un bar en plein airIl y a plusieurs jeunes filles en robe de « mariée » posant sur des places de Saint Domingue mais en fait il s’agit de la fête des 15 ans qui se célèbre en Amérique latine pour les jeunes filles le jour de leurs 15 ansVisite de la fortaleza ozama (100 pesos l’entrée) comme symbole de la constitutionnalité, qui doit son nom au fleuve Ozama, est un autre des monuments historiques de la Ville Coloniale. À l’origine, elle a été construite afin de protéger la ville face aux attaques des conquérants anglais, portugais, français et des pirates qui tentaient de la piller ou de la prendre. Au fur et à mesure que l’on se rapproche de la forteresse, on a l’impression qu’il s’agit d’un authentique château médiéval, composé d’un ensemble architectural vraiment fonctionnel. Ainsi, le monument historique est composé de plusieurs parties différentes. Sa construction a commencé en 1503 par Fray Nicolas de Ovando, gouverneur de l’île, et en 1509 elle est devenue la résidence du vice-roi Diego de Colón, de sa famille et des soldats qui l’accompagnaient. De même, la tour a été l’endroit où Fernández de Oviedo a écrit son célèbre ouvrage Historia General y Natural de las Indias (Histoire Générale et Naturelles des Indes) et elle a également fait office de prison jusqu’au XXe siècle. À l’intérieur, on peut explorer de mystérieux tunnels et cachots, dans lesquels des prisonniers, dont Christophe Colomb, furent maintenus au secret. La forteresse est ouverte du mardi au dimanche de 9 h à 17 h. panteon nacional. La bâtisse du museo de la casa real et l’alcazar de colon sur la plaza de España.On se fait confirmer que ce soir il y a un spectacle de danse folklorique en bas des escaliers de cette place, à partir de 19h.ALCÁZAR DE COLÓN : Construit sur la Plaza de España, au bord d’une falaise surplombant le fleuve Ozama, l’immeuble qui abrite maintenant le musée de l’Alcázar de Colón fut offert au fils de Christophe Colomb, Diego, par le roi Ferdinand le Catholique. Diego, arrivé au pays à titre de gouverneur en 1509, avait eu pour mission de construire une maison destinée à héberger le roi et ses descendants lors de leurs visites sur l’île. De nos jours, l’Alcázar présente une collection de meubles et objets authentiques du Moyen-âge et de la Renaissance, illustrant la vie quotidienne de la noblesse espagnole dans les Amériques du XVIe siècle. Le musée est ouvert du mardi au dimanche de 9 h à 17 h.Vente de poissons dans la rue à Sto Domingo Casa del cordon, une des premières maisons construites en pierre Puis on passe le pont pour se rendre au phare Colon. Juste avant de prendre la rue qui nous amène au phare, on se fait aborder par un semblant de policier. C’est la police touristique qui veille sur les touristes et leur sécurité. En fait (on aura fait 14,18km jusque-là) ils ont été informés par un collègue qui se trouvait sur le pont qu’on arrivait et ils souhaitent nous amener au phare avec la voiture de fonction. Voyant son insigne, une arme, on accepte tout en leur disant qu’on n’a pas d’argent pour ce service. Ils rétorquent qu’ils le font avec plaisir pour que rien ne nous arrive. En chemin ils nous proposent de nous amener à la grotte « tres ojos » « ensemble de grottes de calcaire avec des cenotes, parois ornées de peintures rupestres réalisées autrefois par les Taïnos. Elle est ouverte tous les jours de 8 h 30 à 17 h 30. FARO A COLÓN : Monument érigé pour commémorer le 500e anniversaire de la découverte du Nouveau monde par Christophe Colomb, le phare de Colomb est une gigantesque structure en forme de croix. Le musée est ouvert du mardi au dimanche de 9 h à 17 h. C’est un phare emblématique qui n’a rien de la structure/architecture traditionnelle d’un phare. Il est « allongé » en forme de croix et une flamme sort de son sommet et dessine une croix dans le ciel. Le vrai phare se situe un peu plus loin. Ce monument a été inauguré pour le 500ème anniversaire de la découverte de C Colomb. Tombeau avec les restes de l’explorateur (ci-contre) + musée avec différentes cartes de l’époque et plusieurs salles avec les spécificités de tous les pays qui ont contribué à sa construction (architecte italien) Au retour on se renseigne sur le bus pour Barahona et en fait on prendra un taxi (200 pesos) pour se rendre à la gare routière qui semble éloigné du centre-ville (c’est une policière qui nous l’a conseillé car en fait une guagua coûte 40 pesos /per et souvent un surplus pour les sacs à dos. Il vaut mieux payer 200 pesos car l’économie est moindre.On verra par la suite et après avoir pris de nombreuses guaguas qu’on n’a jamais eu à payer des suppléments pour les sacs à dos quand on les garde auprès de nous, voire dans le coffre. Les hostales à Barahona sont chers (plus de 30 dollars pour 2) et on décide de regarder après notre balade nocturne. On se rend à la plaza España où doit se dérouler le spectacle folklorique. En fait il aura lieu à 20h30 et non à 19H. On cherche un petit resto pour manger pas cher (surtout pas sur la place España car les plats sont entre 330 et 990 pesos. En remontant une rue derrière la place, ; on trouve un resto cubain où on prendra une assiette de légumes sautés et un riz pour 2 pour 220 pesosPuis retour à la place, un trio de guitaristes dominicains puis un couple cubain très bon. Au retour on réserve le taxi pour 200 pesos pour 5h30 afin de prendre le bus qui part à 6h15 pour BArahona Dans le resto cubain, on trouve sur internet une auberge rurale un peu retirée de Barahona pour 700 pesos la chambre ; On réserve et on y sera demainPaysages traversés de Punta cana : canne à sucreAJ : Condominium parque, dans le centre historique, 22 euros la chambre sans pdj (cuisine, etc :wink: Dimanche 19/1 Santo Domingo – Barahona - PoloLe réveil sonne et à la bonne heure ! On se prend un café rapide et notre taxi nous amène à l’arrêt de bis. Billets 350 pesos/pers. On arrive à 9h15 soit 3h15 de trajetOn trouve la guagua pour Polo où se trouve notre hébergement, soit à 35 km vers l’intérieur des terres. De 340 pour 2 on négocie à 200 pesosPaysages traversés : au début canne à sucre puis bananiers, belles montagnes de chaque côté de la route QQ canaux proches de Barahona, maisons en dur, simples pour la plupart. Certaines en partie avec de la tôleBarahona, fondée en 1802 par le général haïtien Toussaint Louverture, est aussi connue comme « la fiancée des Caraïbes ». On dit que Barahona, avec ses falaises imposantes, offre les vues les plus belles sur la mer des Caraïbes dans l’ensemble de l’île. La province est célèbre pour ses gisements de sel gemme, d’onyx, de gypse et de bauxite. A 200 km de Santo Domingo Barahona compte 10 000 habitants, et est le port de commerce principal du sud-ouest. On y exporte le café, produit dans les nombreuses plantations environnantes, le sucre, les produits agricoles, le poisson, le sel et les produits minéraux. Deux des plus grandes fabriques de sucre de la République Dominicaine ont leur siège à Barahona ; elles doivent leur réussite aux plantations de cannes qui s’étendent jusqu’à Neiba, vers le lac Enriquillo.Niché entre mer des Caraïbes et montagnes recouvertes de jungle, Qameito se situe au bord d’une plage de galets blancs, à flanc de falaise, à Juan Esteban, à 17 km de Barahona, au sud-ouest de la République dominicaine. A proximité de Qameito se trouve le premier gisement de Larimar, cette pierre bleue semi précieuse qui se trouve uniquement dans la région de Barahona. A Barahona, sans trop de difficulté on arrive à trouver la guagua qui nous amènear à Polo. A polo, Rando vers la rivière (balade de 4 km aller, recommandé par Vladimir, notre hôte) Très jolie rando à travers la forêt tropicale. La rivière est magnifique, une piscine naturelle d’eau turquoise, des tables de piquenique. Comme c’est dimanche, on y croise des dominicains.chambre simple, douche et toilette à l’extérieur, eau froide, cuisine sommaire à partager.De retour et comme Françoise a des ampoules, rien ne sert de rester une nuit de plus (il y avait une rando à faire de 20 km, route du café) et on n’a pas assez d’info sur le dénivelé à faire. Nous rentrons de notre rando au moment de la pluie. On aura une guagua qui partira autour des 8h30/9H pour Barahona et on localise l’arrêt (à côté des grandes antennes, pas loin de l’hôpital, au bord du parc.Pas de wifi, nuit bonne malgré un matelas mou. Le village est assez pauvre, quelques constructions en dur en chantier. Beaucoup vivent dans des petites maisons à une pièceLes petites épiceries s’appellent ici « colmado » Hôtel polo est le seul dans ce village mais il manquerait quelques couverts dans la cuisine par rapport au nombre de chambres. Cependant c’est un merveilleux endroit en pleine forêt tropicale Lundi 20/1 Polo-Barahona-Los Patos-Pedernales100 pesos/pers pour Barahona. 30 mn d’attente et c’est partiA Polo, il y a un collège et lycée (uniforme). Il semblerait que toutes les écoles aient des fils barbelés sur les murs de leurs enceintes (pour éviter le vol ?)A barahona on nous laisse où passent les guaguas pour Juan Esteban (50 pesos/pers et on descend à Qameito (en fait c’est le nom d’un site balnéaire (hôtel, buvette). Beaucoup de vagues, pas facile pour nager, plage de galets, des falaises qui tombent sur la mer mais rien d’extraordinaire alors qu’elle est identifiée comme étant une très belle plage. On verra pour los Patos, notre prochaine destination. On attend sur le bord de la route une demi-heure pour prendre la guagua jusqu’à los patos. Joli port, on n’a pas vu de pêcheurs, que des barques, beaucoup de petites boutiques qui servent du poisson grillé. Des locaux qui se baignent dans la « piscine » (le fleuve qui se jette dans la mer). L’eau est agitée aussi. On se commande un poisson grillé avec garniture (banane plantain ou riz avec salade. Très bon 300 pesos/persLe village de pêcheur de Los Patos, à 4 km de Paraiso et à 40 km de Barahona, au sud-ouest de la République dominicaine, abrite le rio Los Patos, l’un des plus petits fleuves du monde, dans la région la plus préservée de République dominicaine. La plage d’El Patos est grande.Puis une guagua jusqu’à Oviedo (pour faire l’excursion au hoyo et à la laguna). Mais pas de logement et il se fait tard. ON décide donc d’aller jusqu’à Pedernales et on verra au retour ce que l’on fait.On voyage bien tassés dans la guagua entre 2 personnes bien enrobées. La route est sinueuse et la végétation change. Plutôt aride, cactus. Beaucoup d’éolienne. Plus de bananiers. Au terminus de la guagua, un hospedaje, Zulia très aimable. Chambre très propre et bien décorée, ambiance familiale. 1300 la chambre avec un grand lit. Elle nous la fait à 1000 pesos avec café ou thé le matin.Ce soir fête patronale du village. On s’y rend mais orchestre pas encore en place et on sent qu’il y a pas mal de jeunes, un peu insécure car nous sommes les seules touristes. On ne va pas tenter le diable. On rentre et Antonio, le mari de Zulia nous a trouvé une voiture pour 2 000 pesos pour bahia las aguilas car pas de guagua ou moto concho ; On partira vers 8h demain matin. Mardi 21/1/ Pedernales – Bahia las AguilasNotre chauffeur arrive à 8h (un moto concho coûterait 1200 pesos pour 1 personne et franchement, la route étant pleine de trous, il vaut mieux une voiture (pas de guagua)Bahia las aguilas : très beau mais vraiment pas important de faire l’excursion en bateau qui dure 15 mn AS pour se rendre à la plage en passant par quelques « roches. Plage sans poisson ou très peu ; par contre très jolie et avec sable blancA conseiller : faire la rando 10 km AS entrée parc 150 pesos/pers type piste forestière jusqu’ la plage que l’on a atteinte par la mer. Faire aussi les 2 sentiers transverses qui sont au départ de la piste, l’un à droite, très court qui nous amène à un très beau point de vue sur ces 3 ou 4 roches dans l’eau et l’autre sur la gauche (‘encore plus beau, meilleure vue)Au retour du bateau, on fait une partie de ces sentiers puis café au bar/hôtel/camping de la plage 50 pesos/pers Retour en ville (on aura retiré 2 fois de l’argent une fois à l’aller 3000 et l’autre au retour 2000 car on n’avait pas prévu de payer le bateau. Il faut savoir que certains distributeurs n’ont plus d’agent, prendre ses précautionsPedernales est une zone détaxée pour les vêtements venant des US (d’occasion)à revenu en grosSitué à l’extrême sud-ouest du pays, à la frontière avec Haïti, Pedernales est un charmant village de pêcheur, à 119 km de Barahona et 319 km de la capitale Saint-Domingue. Un pont piéton traverse la rivière marquant la frontière pour se rendre à Anse à Pitres, à Haïti. Usine de cimenterie sur la péninsuleAu retour David, notre chauffeur nous montre la citadelle de la ville, décrite par le guide touristique comme un endroit à visiter. Or c’est une grande caserne moderne militaire. On ira demain matin à la plage de PedernalesLa nuit sera bruyante mais nous sommes le jour de la fête du village et à la veille de la fête nationale (anniversaire de la naissance de Duarte)Adresse de la pensionZoila antonio, calle 1ra, esp 27 de febrero, parada de guagua Mercredi 22/1 Pedernales Bani La VegaPdj traditionnel mangu (purée de bananes plantains + fromage frit, salami et thé gingembre clou girofle, cannelle, thé traditionnel dominicainPlage au bord de la courte promenade du bord de mer (on est tout près de la frontière haïtienne) un petit bain, l’eau est bonne On va à la guagua qui part quand elle est complète, soit 12h au lieu de 12h30, 600 pesos pour 2Une femme qui vient d’accoucher par césarienne avec le BB de 2 jours voyage avec nous à travers une route assez défoncée, musique merengue/bachata à fond, wifi à bordPaysage : éolienne avant los patosOn met 3h30 beaucoup de contrôle de police/douane dans ce sens à cause de la proximité avec Haïti. On arrive autour des 156h30 à BArahona et tout de suite on attrape un autre guagau vers la capital (250 pour Bani, grand bus, pas trop de climatisationArrivée Bani 17h30 et on se rend à un hospedaje Hernandes (complet) On trouve à côté du parc où nous a laissé le bus un hôtel paulina (-450 pesos la chambre mais c’est un hôtel de passe et la chambre ne ferme pas à clé, pas propre, un peu glauque. On arrive à trouver un hotel centro correct pour 800 pesos.Baní, aussi connue comme la « capitale du sud », est la ville la plus importante de la province de Peravia**, en** République Dominicaine. Elle se situe dans le Valle de Peravia (la Vallée de Peravia), à 65 km de Saint-Dominique et à 5 km de la côte sud de la mer des Caraïbes. D’après les chercheurs, Baní signifie, dans la langue des Taïnos, « abondance d’eau ». Les indigènes appelaient les lieux où il y avait beaucoup d’eau « baní ». Dans la langue indo-antillaise, ba signifie « père » et ni, « eau », ce qui a le même sens.Jeudi 23/1 La Vega - JarabacoaNuit ok à la Vega départ 6h20 guagua pour la vegaAttention. Quand on demande au chauffeur de guagua s’il nous amène à l’arrêt de bus qui monte à Jarabacoa ou toute autre destination, en fait on nous laisse souvent en plein centre-ville et il faut prendre un taxi ou autre guagua pour se rendre à la gare routièreLe bus est cassé et ne partira pas de cet endroit. On doit prendre un taxi pour 250 pesos qui nous amène à l’arrêt des grands bus. ON voyage bien jusqu’à la vega. 230 pesos en 1h30. Puis une marche de 20 mn pour atteindre l’autre arrêt de bus pour Jarabacoa (peu d’attente, 130 pesos/pers. Un guide nous aborde dans le bus pour proposer ses services.Notre héb ergement est difficile à trouver environ 2,5 km du centre. On passe par des distributeurs et quelques-uns refusent les CB internationales Il faut en tenter d’autres. Certains affichent aussi des frais de commission. Attention donc et penser à bien anticiper les besoins en argent1300 pesos grande chambre, salle de bain dans une maison. Autre couple français rencontrée Emilienne et Philippe. Le proprio nous fait rencontrer un guide et on arrange pour le lendemain une rando dans la campagne car el Mogote est impraticable à cause de la pluie tombée ces derniers jours.La ville de Jarabacoa se situe dans la Cordillère Centrale de la République Dominicaine, en plein cœur du pays et à 530 mètres au-dessus du niveau de la mer, dans la splendide Vallée de La Vega. Elle est entourée de quatre grands fleuves : le Yaque del Norte, le Jimenoa, le Guanajuma et le Baignate, les plus longs des Caraïbes, comme le montre le Yaque del Norte avec son parcours d’environ 300 km. Le nom de la ville vient des indiens Taïnos qui habitaient dans la zone avant l’arrivée des espagnols, puisqu’ils l’appelaient ainsi, ce qui veut dire « terre de fontaines d’eau » ou lieu où l’eau afflue D’ailleurs, les espagnols y ont cherché de l’or et de l’argent, alors ils ont quitté l’endroit peu de temps après. Néanmoins, elle est aussi nommée la « La Ville du Printemps Éternel », en raison de ses 22 degrés de température moyennes annuelle On va à pied jusqu’à la cascade salto baiguate (environ 6 km AS) ; Le guide me montre en moto le chemin pour s’y rendre depuis la pension pour nous faciliter le trajet. Temps maussade mais on n’a pas eu bcp de pluie.Belles plantes et orchidées, des pins et des eucalyptus, différents types d’oiseaux et de papillons. Il y a trois saltos (chutes d’eau) aux alentours de Jarabacoa, le Salto de Jimenoa 1 (9km de la ville), le Salto de Jimenoa 2 et le salto Baiguate (possible à pied depuis la ville que nous avons fait). Flamboyants en fleurs, pleine production de courges qui ressemblent à des pastèques.Bonne discussion avec le couple de français. Au retour, il nous reste 1h pour acheter quelques nourritures (on a une cuisine à dispo, on y fera cuire du riz) et on teste un rhum local brun, pas trop fort, accompagné de citrons.A 19h, j’avais convenu avec le guide de nous retrouver pour qu’il me montre un endroit où louer des chambres à pas cher. On fait affaire à 500 pesos et en plus c’est plus près du parque central. On pourra alors le samedi matin se rendre à Constanza avant de redescendre vers Santiago car le couple nous en a dit beaucoup de bien.On goûte aussi à une spécialité sucrée à base de confiture de lait présentée dans une feuille de bananier. Très bon Vendredi 24/1 JarabacoaL e guide est à l’heure, la nuit toujours bruyante. On part en voiture jusqu’à palo santo puis rando jusqu’au pied de el mogote mais on reste bien en bas car impraticable. Petite montée pour le monastère. Puis retour à une piscine naturelle et à travers la forêts tropicale jusqu’à une cascade. Retour par une passerelle qui surplombe une autre rivière Yunca. 4h de rando, environ 200 m D+Plusieurs « comedores » dans la ville, près du Parc central. On goûte le mofongo (qui est une purée de bananes plantains vertes, frites et pilées dans un mortier avec de l’ail, de l’huile et de la couenne de porc croustillante ou chicharrones de cerdo.)Après renseignements pris pour aller à Constanza depuis Jaracaboa (bus à 9h, 1H30 de trajet et retour de Constanza à 11h30/13h30/14h, on préfère monter vers SantiagoBus Jaracaboa à la vega : 1.30 pm, 4 ;30 pm, 45 mn ou 7 am, 10 am, prix 100 pesosOn visite Jaracaboa qui est une ville sympathique, assez touristique (tourisme national), de montagneAvocat, ananas comme dîner dans notre nouvelle chambre près du centre. Toujours très bruyant la nuit jusqu’à environ minuit puis tout s’arrête et reprend au petit matinPour trouver le logement à 500 pesos par nuit : il se trouve derrière Aguas Pena (mise en bouteille d’eau). Demander hospedaje (pas de nom du proprio) Samedi 25/1 Jarabacoa-La Vega – Santiago de los Caballeros – Puerto PlataOn part de bonne heure pour prendre express tour, départs plus fréquents que Caribe tour et la gare routière se trouve face au cimetière. Celle de Caribe tour derrière le cimentière. Avant 14h on arrive à Puerto plata après avoir changé 2 fois et fait un stop à Santiago de los caballeros.Puerto Plata , l’un des plus importants ports de commerce du pays. centre historique abritant de superbes demeures victoriennes ainsi qu’un vieux fort . Lieu de production de la pierre larimar.Un malecon (remblais) comme dans la capitale, une cathédrale, des maisons colorées.C’est là que Christophe Colomb a débarqué lors de son premier voyage en Amérique en 1492. Dès son arrivée à l’île d’Hispaniola, il a baptisé la région Puerto Plata (« Port d’argent ») en raison des reflets étincelants du soleil dans les eaux cristallines de l’océan. La région est également connue sous le nom de Côte d’ambre, en raison de l’exceptionnelle variété de ses ambres de diverses tonalités, dont certains exemplaires sont incrustés d’insectes. La ville de Puerto Plata est située au pied du mont Isabel de Torres. Les eaux chaudes et les alizés en ont fait la capitale mondiale des sports aquatiques et de voile. La région abrite le Fort San Felipe, la distillerie du célèbre rhum Brugal, les impressionnantes 27 chutes d’eau de Damajagua, l’îlot de Cayo Arena (Paraíso). Mais avant un stop à Santiago. Un tour de la ville pour découvrir le monument aux héros, la cathédrale, le parc Duarte, les marchés, les maison coloniales, le musée du carnaval…L’histoire de Santiago de los Caballeros date de 1495, quand le frère de Christophe Colomb, Bartolomé, l’a fondée. C’est en 1562 qu’un fort tremblement de terre l’a détruite presque en entier, ce qui a obligé ses colonisateurs à la déplacer jusqu’à son emplacement actuel, à côté du fleuve Yaque del Norte. Quelques siècles plus tard, elle a été dévastée par la Guerre Civile ; pourtant après cette guerre et après la Première Guerre Mondiale, la ville s’est bien développée, grâce au manque de produits tels que le tabac, le cacao ou le café en Occident, dont Santiago de los Caballeros disposait, ce qui lui a permis de faire du commerce avec eux. De nos jours, le moteur de l’économie continue d’être l’agriculture et l’industrie qu’elle génère.Aujourd’hui Santiago de los Caballeros, appelée ainsi en hommage à la trentaine d’aristocrates espagnols qui fondèrent la ville en 1495, est la deuxième ville du pays, avec plus d’un million d’habitants. Le centre historique de cette ville, dynamique sur le plan économique, est vite visité.Le musée des héros et apparemment celui des Tainos valent la peine d’être vus. Nombreux, en effet, sont les édifices réduits en poussière par les tremblements de terre à répétition qui ruinèrent la ville par le passé. + fabriques de cigares.,.parque duarte, belles maison autour, fortaleza San luis (pas terrible, c’est une caserne) comme beaucoup d’édifices portant le nom de fortaleza)Le base-ball et Santiago de los Caballeros compte avec le plus grand stade de la République Dominicaine, l’Estadio Cibao, où les Águilas Caribeñas jouent d’habitude.A santiago, visite du monument aux héros (musée, 60 peso/pers : très intéressant sur l’histoire du pays et la colonisation espagnole. La « restauracion » quand ils ont réussi à se débarrasser de l’emprise espagnole définitivement. On va à pied jusqu’à la cathédrale (ça descend), on visite l’ancienne maison de Trujillo quand il venait à Santiago qui est reconvertie en centre de recreo (la grande salle de spectacle se loue pour des événements tels que mariage), le parque Duarte mais nous n’avons pas vu le centro leon qui semble très intéressantLa cathédrale, environ 150 ans. Maisons colorées, la forteresse, aucun intérêt c’est un cercle militaire. On prend un « carro M » genre de taxi collectif pour se rendre à l’arrêt de bus Puerto Plata (50 persos/personne)On a identifié à Puerto Plata, sur internet, un hôtel Kevin. ON négocie la chambre à 1000 pesos, accès libre à la cuisine. Cet hôtel est tenu par un portugais ayant vécu en France (donc parle français), très impliqué dans la prévention routière à Puerto Plata et qui a une équipe d’une douzaine de personnes qui « tournent dans la ville » pour faire régner l’ordre et réguler la circulation routière.On part pour la « vraie » forteresse du 16ème siècle d’où on a une très belle vue. On peut aussi monter en haut du phare.C’est en 1541 que les Espagnols ont construit le fort San Felipe afin de protéger Puerto Plata des pirates et autres envahisseurs. Terminé en 1577, le fort est le vestige historique le plus significatif de l’architecture coloniale de cette époque.Le centre-ville de Puerto Plata est réputé pour ses maisons de style victorien datant des 19e et 20e siècles, ainsi que pour ses édifices publics ornés de belles corniches en bois de couleurs pastel Petit resto local pour goûter la bandera (riz, sauce aux haricots et côte de porc. 300 pesos et une pina colada 200)On se renseigne pour les 27 charcos qu’on fera au lieu du Mont IsabelSur la place on rencontre un dominicain qui travaille pour le ministère du tourisme et nous amène dans différents quartiers et dans une boutique qui pratique des rites vaudous. Soit disant annoncé comme complètement gratuit, il nous demande au moment donner de lui payer un coca et acheter du lait en poudre pour son enfant. Ce que nous faisons. On tombe par hasard sur une ruelle rose, près de la place Parque central, en hommage à une dominicaine qui a œuvré pour le développement du tourisme, Dona BlancaPour les banques, celles du Parque Central prend une commissionAu retour, on tombe sur le proprio de l’hôtel qui nous offre une barquette de fruits. Homme très sympathique, son auberge aussi. On s’est senti tout de suite à l’aise. Dimanche 26/1 Puerto PlataNuit bruyante pour ne pas changer. L’hôtel est très bien situé, à 2 rues du Parque central. On part à pied (1,2 km) pour la gare routière qui va à Imbert/santiago. 50 perso, le retour sera à 60. L’arrêt pour les 27 charcos se fait après Imbert, route direction Santiago à environ 5 km. Donc bien préciser ce que vous louez.Il y a des casiers pour laisser les sacs à dos à l’entrée des 27 charcos. Si vous venez de Santiago avec votre sac, vous pourrez le laisser plutôt que de faire comme nous, aller jusqu’à puerto plate et revenir ensuite sur nos pas un autre jour pour faire cette excursion.L’excursion des 27 charcos ou les chutes de Damajagua : entrée 550 pesos entrée + 100 ou 150 pesos selon la taille du casier. Il faut laisser toutes ses affaires et aller en short et tshirt chaussures fermées ou sandales fermées, prévoir un change car en fait, et on ne vous le dit pas au départ, on se mouille entièrement et il s’agit d’un canyoning. J’avais demandé au moment de l’achat des billets si l’on pouvait avoir moins cher et faire la randonnée sans guide et l’on m’a dit que dans ce cas on ne pouvait se rendre qu’à une seule piscine mais jamais il a été question de canyoning. Sinon j’en aurais parlé à Françoise qui m’aurait dit qu’elle ne voulait pas la faire.Donc nous voilà avec nos gilets de sauvetage et on commence la marche d’approche sans encore savoir à quelle sauce on sera mangé. On est avec une famille russe de 5 personnes. Après 10mn de marche, on fait une pause et je demande un peu plus de précisions au guide et c’est là qu’il me dit qu’il va falloir sauter parfois dans des piscines ou se laisser glisser sur des toboggans, etc…. Françoise tourne presque de l’œil. J’insiste auprès du guide pour lui dire que ‘rien n’avait été expliqué au départ et que l’on va devoir retourner à l’accueil/entrée du par cet demander un remboursement. Mais ceci n’est pas possible et il ne peut pas nous laisser seules retourner à l’entrée. Il faut donc aller de l’avant et il promet à Françoise de l’aider. Assez stressée et cela se comprend car Françoise n’aime pas ne pas avoir pied, elle avance courageusement.Je déconseille aux gens qui ne savent pas nager de faire cette excursion car même s’il n’y a aucun danger (vous flottez avec le gilet) il faut arriver à faire quelques brasses et surtout écouter les indications des postures à avoir. Sous le stress ou panique, on peut avoir tout type de comportement et il est inutile de faire stresser quelqu’un si on peut éviter ce stress.Après bien 30 mn de marche en montée on arrive devant le premier « saut ». On peut contourner ce saut (presque à chaque fois) pour réduire le trou mais il faut tout de même sauter. Françoise y parvient. Quelle fierté, quel défi ! Bravo. Elle prendra après chaque saut (y’en aura 12 en fait et non 27) toujours plus d’assurance et de plaisir. Le circuit aura duré 3h et on est à 10 mn à pied de la route (entre l’entrée du par cet l’arrêt de la guagua)Après cette belle et éprouvant excursion, on attend un peu au bord de la route pour récupérer la guagua pour puerto plata. On se rend ensuite à Long beach, un peu retirée de la ville mais l’eau y est sale. Beaucoup de Dominicains s’y baignent, c’est dimanche et certains improvisent un terrain de baseball sur la plage.A 2 rues de l’hôtel il y a une banque avec retrait sans commission Lundi 27 janvier Puerto Plata - SánchezLever un peu compliqué car le portable n’est pas à l’heure. On se lève à 4h au lieu de 5h. Le gardien hier soir nous avait trouvé un plan avec la guagua pour se rendre à Sanchez. Au lieu de payer un taxi pour se rendre à l’arrêt, on s’économie le prix et il passera nous prendre à 5h20. A l’arrêt de bus près de l’hôpital, en mettant nos sacs à dos dans le compartiment de la guagua, Françoise se rend compte qu’elle a oublié son sac (papier et argent). Panique à bord. Il faut prendre un moto concho pour le récupérer. Le chauffeur appelle le veilleur de nuit pour s’assurer qu’il est à l’hôte let le « cobrador » prend un moto concho (on doit lui donner 100 pesos) pour faire l’aller-retour. Ouf, tout y est et Françoise donne un pourboire bien mérité au cobrador et au chauffeur. Quel stress. La journée a vraiment commencé sur les chapeaux de roue ! On met 3h45 pour arriver à SanchezPlusieurs hôtels et on trouve une chambre chez l’habitant (en fait un hôtel Patria) pour 1000 pesos la nuit, négociée à 800 pesos car on y reste 2 nuitsJuste avant on avait vu des chambres très précaires à 500 pesos pour 2 nuits mais celle qu’on prend est quand même bien plus confortable.Petite douche et on va voir Augusto tours pour le PN Haitises (il est au port) ; L’excursion à nous 2 coûte 8 000 pesos repas inclus, sans repas 7 200. Soit on attend demain pour voir si on a plus de touristes, à 4 ça serait 2300 pesos, soit on la fait maintenant à 6000 mais avec un pêcheur.A déconseiller les excursions avec les pêcheurs car ceux-ci ne connaissent pas toutes les zones et certains n’ont pas de gilet de sauvetage, des moteurs moins puissants et des barques plus précaires.On décide donc d’aller à Samana (90 pesos/pers pour profiter de la plage (jolie, quelques poissons)Pour info 3 plongées, durée 3 h coûte 85 dollarsUn pont bien aménage relie 2 îlots. Belle balade ;Samana : ville dans une baie boisée avant tout de palmiers. Grand resort avec ascenseur depuis la plage ! On commence à se rapprocher du tourisme de masse, à notre grande tristesse.Au retour sur Sanchez, Augusto n’a pas d’autres clients mais on se présentera demain à 9h et on verra bien.Les chambres à côté de l’hotel patria sont bien et coûte 500 DoP hotel familiarEn bas de la rue de l’hôtel patria, petit colmado et marchands de fruits et légumes)Très bon matelas, la nuit fut moins bruyante On aura traversé la province Hermanas Mirabal, ('histoire des sœurs Mirabal). Le peuple dominicain a immortalisé ces martyrs et leur rend hommage le 25 novembre de chaque année tout en commémorant la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, qui fut déclarée en tant que telle par l’Assemblée générale des Nations Unies, en leur honneur. Les sœurs mirabal (Patria, minerva et Maria Teresa)En juin 49, Minerva et ses parents invités par les autorités à une fête à Santiago en l’honneur de Trujillo qui est attiré par sa beauté. Minerva est alors très ami avec un des fondateurs du partic social popular. Elle rejette les avances du dictateur. La famille par la suite décide de s’enfuir, ce qui déplaît au dictateur. La famille est alors inquiétée, molestée, le père humilié et incarcéréClimat social fin années 50 : lourd. Les sœurs sont activistes ; Mouvement révolutionnaire, beaucoup de dénonciation, répression, les sœurs sont emprisonnées, torturées. L’église catholique dénonce le tyran. Les maris des 2 des 3 sœurs emprisonnés. Rumeur qu’elle seront victimes d’un « accident de la route » après la visite à la prison. Le 25/11/1960 elles sont arrêtés puis assassinées à la machette
Mardi 28/1 Sánchez – SamanáLe Parc National Los Haïtises créé le 3 juin 1976 et se trouve dans la Baie de Samaná, au Nord-est du pays. Ensemble de montagnes, collines et vallées, îlots de formation « karstique » (les fameux « Mogotes ») où la mangrove, les ruisseaux et une riche faune (pélicans, hérons, vautours et frégates….) et flore avec des espèces endémiques du pays. Plage las ballenas, à gauche après le village ++ et playa bonita +++ à 5 kmEntre mer des Caraïbes et océan Atlantique la presqu’île de Samaná, bien différente de la Cordillère, possède des plages sauvages bordées de cocotiers, une végétation luxuriante (orchidées, hibiscus flamboyants, caféiers, manguiers…), une chaîne de montagnes à l’intérieur des terresPas de touristes pour partager le prix du bateau. On négocie à 6200 (entrée du PN inclus) On part à 9yh30 retour 13h30Belle excursion, luis, notre « capitaine » très respectueux de la nature. Il est avant tout pêcheur et ramasse les plastiques (pour préserver la faune marine)Oiseaux : pélicans, type de faucons, aigrettes, beaux mogotes boisés, 2 grottes dont une visitée mais impossible de voir les inscriptions sur les parois car trop anciennes.On amarre près d’une plagette, l’eau est bonne puis l’île aux oiseaux et enfin la rivière avec le village des pêcheurs (cabanes précaires pour héberger leur famille et eux-mêmes pendant la saison de pêche (de 15 à 30 jours). On y pêche avant tout des crevettes. L’entrée du PN ne se fait pas loin des cabanes des pêcheurs Départ caribe tours 2 le matin pour Santo domingo 8h30 et 10h30, 2h15 durée, 400 pesos. Notre prochaine destination étant bayahibe, il faudra descendre à un croisement pour prendre une gugagua pour Bayahibe. Je négocie avec la proprio pour la nuit supplémentaire à 500 pesos avec salle de bain sur le couloir et un lit plus petit.Resto à Sanchez : pas dans le centre-ville mais sur la route principale (Samana)Mercredi 29/1 Sánchez – las terrenas – cascade el limónOn part à 8h pour rejoindre à pied l’arrêt des guaguas pour las terrrenas (1,3km de l’hôtel), ¾ d’heure de route, 80 pesos. Changement à las terrenas (‘la route est très belle, collines semées de palmier, la mer en bas, traversée de hameaux jusqu’à el limon. Au bord de la plage vers las Serrenas, maisons résidences touristiques, boutiques de touristes, etc…La guagua nous arrête à la bifurcation (50 pesos) qui par un chemin de terre nous mène à l’entrée du parc (depuis la route environ 1km, PN entrée 50 pesos. Puis très beau sentier un peu gadoueux ‘car il a plu au petit matin), en montée avant tout, on traverse à gué des rivières. Possibilité de le faire en demi poney pour ceux qui ne veulent ou peuvent pas marcher. Environ 45 à 60 mn pour surplomber la cascade impressionnante, 40 m de haut et on descend vers une première petite cascade puis à 5 mn de là on atteint la plus impressionnante. L’eau est assez froide. 2 autres sentiers s’offrent à nous, qui se dénomme sentier du café et qui, après une montée avec marches longe la rivière. L’autre pas fait, contournerait la cascade.Belle végétation, oiseau coloré, un arbre aux fleurs rouges/roses tombées au sol. MagnifiqueLe sentier qui mène jusqu’à la cascade El Limon traverse des champs, des cocoteraies pour finir par une forêt tropicale, puis un “escalier” pour accéder jusqu’à la fameuse cascade. La chute d’eau fait environ 40 mètres de haut, elle se jette dans une piscine naturelle où il fait bon se tremper après la petite randonnée. Au retour, la montée des marches pour retrouver le sentier est un peu dure. Après une bonne pause on repart pour essayer d’aller à playa del limon. Elle semble éloignée de la ville du même nom. Une moto concho peut vous y amener pour 200 pesos mais il faut alors prendre une autre moto concho pour retourner à el limon et prendre la guagua pour SanchezAttention si vous dormez à Sanchez comme nous. Dernier guagua au départ de las terrenas à 18hLa plage à las terrenas serait à environ 4-5 km de la gare routière.Cette excursion depuis Sanchez nous aura coûté 360 pesos/personne, pas besoin de guide le chemin est très bien tracé.Retour Sanchez on se paie un resto sur la grande route 375 pesos (poisson et yucca, manioc) et poulet et banane plantain ; On se reprend un rhum avec citron pour fêter notre dernière nuit dans une ville que nous avons beaucoup apprécié par sa simplicité, son authenticité et la gentillesse de notre proprio. Pour ceux qui ne veulent pas se fondre dans le tourisme de masse, Sanchez est un très bon compromis pour ensuite faire les différentes excursions sur la péninsule. Jeudi 30/1 Sánchez – la Romana - BayahibeOn quitte notre hôtel et en face de Caribe tours, petit thé « criollo » et pdj local (œufs frits, yucca et oignons)Achat billet 400 pesos/pers pour Sto Domingo (arrêter au pont San carlos) pour prendre une guagua jusqu’à la romana (180 pesos/pers). De là autre guagua pour Bayahibe 70 pesos. A 13h on est arrivée après être parti à 8h30 de Sanchez. ON trouve facilement une pension (chambre avec sbd et coin cuisine, pour 800 pesos/jour. On y restera 2 nuits et d’après les différents renseignements prix, certains contradictoires, on repartira dans la matinée du samedi 1er d’abord à la Romana (parc central) puis une guagua pour l’aéroport. Certains disent qu’il faut aller jusqu’à Huguey et prendre une autre guagua. On verra cela samedi.On se rend à la plage publique près du port. Eau propre mais pas ou très peu de poissons. Là, 2 plongées coûtent 120 DOLLARSL’hébergement : cabana Maura, avec eau chaude !!! Vendredi 31/1 : BayahibeNuit toujours aussi agitée jusqu’à minuit mais là c’est musique pour touristes et peu de salsa ou merengue. Bayahibe est une petite ville assez calme en journée avec un port. Par contre beaucoup de touristes, magasins pour touristes, alimentation occidentaleOn part ce matin vers le SE de l’île afin de rejoindre par un sentier une autre plageLe sentier pédestre est très « roulant » et facile à trouver. Surprise après avoir passé un premier bâtiment ; On se retrouve entourées de résidences resorts, hôtels avec murs élevés, portails et accès par conséquent privé aux plages. Il faut faire des détours pour arriver à une plage accessible aux touristes mais là encore bcp de touristes entassés sur la plage. Il faudra s’éloigner pour arriver à trouver un endroit sur le sable. Des boutiques à touristes partout. Françoise d’achète un beau coquillage pour 400 pesos et moi du café dominicain. L’eau est belle. On est sur la plage dominicus, juste à la limite de la zone « protégée »Sur la carte on remarque qu’on est assez près de la cueva del puente et on se dirige vers le chemin qui nous y mène. A la fin de la route, on nous dit qu’il faut passer par la plage et faire 6km. C’est contradictoire avec la trace GPS qui situe la grotte à l’intérieur des terres et non au bord e l’eau. On fait donc demi-tour et on revient vers bayahibe en reprenant le même sentier qu’à l’aller et en voyant un peu plus d’oiseaux.On n’aura pas fait le sentier padre nuestro car nous sommes arrivées un peu tard sur Sanchez (le départ du sentier se trouve juste à la sortie du village après la pompe à essence, entrée sans guide 250 pesos.On retourne à la plage pour le coucher du soleil et pour un dernier bain avant notre retour demain.On goûte un fruit el zapote (qui a l’aspect d’une papaye mais pas le goût). La pension est à 200 m de la gare routière pour la Romana. Toutes les 20mn des guagua à partir de 6h30 Samedi 1er février Bayahibe – La Romana – Punta Cana Avant le départ de la guagua, notre thé dominicano et on arrive à la romana, parque central (joli) car c’est un musée historique à ciel ouvert du base Ball. On va voir l’obélisque, après avoir laissé nos sacs à dos à la consigne de la gare routière pour Punta cana (100 pesos pour les 2) Obélisque avec des peintures sur les tainos, merengue puis un peu plus loin le monument à la canne à sucre (un chariot en fer) à côté du rail encore en fonction apparemment pour acheminer la canne à sucre Billet 210 pesos de la romana à l’aéroport ; Le bus nous dépose devant les départsPlusieurs départs : 8h20/10h40 13h15, etc… on prendra celui de 10h40 pour être tranquille, notre vol étant à 16h et durée du trajet 50 mn Budget par personne
Transport :75 eurosLogement 148Repas 76Excursion 95Achats perso
Soit 500 euros/personne pour 15 jours sans vol + 60 euros pour nos 2 escales au Canada sans compter les achats persos Ex prix jus de papaye (70 pesos) et 2 bananes, total 155 pesos>.Petit café sucré ou thé dominicain : 10 pesosPrix diesel au galion 180 pesos Les insolites ou situations typiques/autochtonesA Polo, le « salon de coiffure » au milieu d’une patte d’oie, la femme aux gros bigoudis dans la rueGuagua : 4 par rangées avec des gens en surpoids (on se retrouve souvent avec une fesse en suspension !)Nuits très bruyantes (merengue, salsa à fond, Dominicains qui parlent fort, que ce soit dans les pensions ou dans les rues). Tout d’arrête à minuit et reprend au petit matinSaleté, plastiqueLes vaches dans des palmeraies (insolite pour les occidentaux)Ya cristo viene ! on le voit à chaque coin de rue, inscrit sur des maisons ou autres panneaux, bref c’est un matraquage assez dérangeant (mais c’est personnel). Beaucoup d’églises adventices qui crient leurs prêchesDes fils de fer barbelés sur tous les murs des Ecoles Les hébergements (du meilleur au moins bien)Pedernales : Zoila Antonio, calle 1ra, esp 27 de febrero, face à la parada de la guagua, très bonne attention, familialSanchez, Puerto plata chez Sergio, très bon accueil, familialAutres adressesLos patos, c/principal, hotel comedor los patos (on n’y est pas allé mais il semble qu’on puisse avoir une chambre pour deux à moins de 1000 pesos)Les plus beaux endroits à nos yeuxSanchez - Polo – Jarabacoa (il semblerait que Constanza aussi) – Puerto Plata, los 27 charcos - cascade el limonOn aura parcouru environ 1600 km par voie terrestre et une moyenne de 18 km/jour à pied
Punta Cana – Santo Domingo : 190 kmSanto Domingo – Barahona : 183 kmBarahona – Polo : 36 kmBarahona – Pdernales 124 kmBarahona – la Vega : 243 kmLa vega – Jarabacoa : 27 kmLa vega-Santiago : 40 kmSantiago-Puerto plata 87 kmPuerto plata – Sanchez 180 kmSanchez-Samana : 33 kmSanchez – las terrenas : 17 kmLas terrenas-cascade el limon : 21 kmSanchez – Bayahibe : 226 kmBayahibe – Punta Cana 69 km
Des flamboyants (ampolas) en fleur à cette époque, bananes, ananas, avocat, pamplemousse, igname en pleine productionTrès peu de faune, juste à Bayahibe où nous avons pu voir quelques oiseaux et bien entendu à Sanchez dans le parc los haitisesFaune aquatique en snorkeling : très peuGentillesse des habitants, sécurité dans les rues Artisanat local (beaucoup de peintures) Plats typiquesLos tostones, bananes plantains fritesLa bandera est aussi un plat traditionnel : viande, riz, haricots, bananes plantain et salade avec avocat. couenne de porc marinée dans du jus d’oranges amères et cuite dans sa propre graisse, c’est un peu gras mais très bon. Accompagnés d’ail et de bananes plantain, on appelle ce plat mofongo.Le mangú est une purée de bananes plantains vertes, assaisonnée d’oignons rouges frits. On en mange au petit déjeuner et est souvent accompagné de salami frit La mamajuana est une boisson typique de République Dominicaine, une sorte de rhum arrangé consommé en digestif.Chinola est le nom dominicain pour le maracuja, le fruit de la passion.habichuelas con dulce” est composé de purée d’haricots rouges, lait concentré sucré, lait de coco, canelle, sucre (beaucoup) et patate douce. Le yuca est le nom donné ici pour le manioc dominicain, consommé pour ses qualités nutritives. Avec sa farine, on en fait des petits pains savoureux que l’on mange à tous les repas. De plus, la farine de yuca ne contient pas de gluten et est riche en glucides.Merci Françoise pour m’avoir accompagnée dans ce voyage itinérant et avoir tenu le rythme. Mais surtout avoir pris sur toi pour réaliser le canyoning avec succès puis plaisir. A une prochaRécit voyage du 17 au 31 janvier 2020 – République dominicaine Notre vol transitait par Montréal, 1ère nuit dans un hôtel à 68 euros l’appartement assez rustique, le moins cher qu’on ait trouvé, navette aéroport inclus et gratuite, hôtel beauséjour à Dorval, 3,6km de l’aéroport Superficie du pays : 48.734 km²9.183.984 habitantes, de los cuales un 35% vive en la capital y el 65% en zona urbana. La densidad media es de 181 habitantes por km². La población está compuesta por un 75% de mulatos, 15% de blancos y 10% de negros. Se estima que el número de haitianos en este territorio está comprendido entre
500.000 y 1.000.000 de personas, inmigrantes no siempre legales.La république dominicaine prend officiellement son indépendance le 27 février 1844 mais l’Histoire du pays depuis lors est marquée par une grande instabilité politique et des interventions étrangères notamment de la part des États-Unis. Les accusations des colons contre Colomb au sujet de sa mauvaise gestion s’ajoutent à la situation politique tumultueuse. En 1502, Nicolás de Ovando remplace De Bobadilla à son poste de gouverneur avec le projet ambitieux d’élargir l’influence espagnole dans la région. Il traitera les taïnos encore plus mal que ses prédécesseurs.Un rebelle, Enriquillo, prend la tête d’un groupe qui avait fui en montagne et attaque les Espagnols à différentes occasions pendant quatorze ans entre 1519 et 1533. Finalement, les Espagnols lui offrent un traité de paix et une ville en 1534. La ville ne dure pas longtemps puisque quelques années plus tard, une rébellion d’esclaves la détruit et tue ses habitants.Mais la colonisation devient alors très violente et réduit la population locale en esclavage. Ainsi, en cinquante ans, celle-ci est exterminée par les répressions, le travail forcé dans les mines, les plantations et surtout par les épidémies. Sur les 400 000 Tainos vivant initialement sur l’île, 60 000 seraient toujours en vie en 1508 et seulement quelques douzaines en 1535[4]. La résistance désespérée des Taínos face aux Espagnols et à l’esclavagisme s’est également traduite par de nombreux suicides collectifs. La canne à sucre est introduite sur l’île d’Hispaniola à partir des Îles Canaries et le premier moulin de canne à sucre dans le Nouveau Monde est établi en 1516[5]. Le besoin de main d’œuvre a fait augmenter de manière exponentielle l’importation d’esclaves africains pendant les deux décennies suivantes. Vendredi 17/1 Punta CanaLa navette part à 6h de Montréal et nous devons acheter un nouvel adaptateur car celui de Françoise ne fonctionne pas. Comme nous transiterons par Montréal au retour, il y a des consignes pour laisser les bagages (5 $CN/bagage, taxe non comprise), ce qui nous permettra de visiter la ville « léger ».Un taxi à 25 euros passera nous prendre à notre arrivée à Punta Cana, hôtel bavaro compte tenu de ce qui était dit sur le forum concernant les formalités douanières et d’immigration. En fait on ne restera qu’1h20 à l’aéroport pour faire ces démarches et le taxi nous attend à la sortie, on arrive à 14h30 à l’hôtel après avoir traversé une zone assez bruyante et « branchée » (une discothèque dont l’entrée « sec » coûte 70 us $.) Le quartier de l’hôtel est assez commun et peu typique. Beaucoup de bruits, klaxons. On va à pied jusqu’à bavaro gare routière pour se renseigner pour demain car José, notre chauffeur, nous a informées qu’il n’était pas possible de se rendre en guagua vers le NE de l’île sans passer par boca chica. Le premier bus part à 7h et il faut y être 1h avant. Prix 400 pesos l’aller. On refait notre itinéraire car en allant vers le Sud, mieux vaut continuer vers le SW plutôt que remonter vers le nord pour redescendre ensuite.On partira donc pour Sto Domingo et on réserve 1 nuit (apparemment danses folkloriques demain soir à plaza de España) Samedi 18/1/20 Punta Cana-Santo DomingoJ’avais mis mon réveil pour 5h20 et en fait le changement horaire entre le Canada et Punta Cana ne s’est pas fait. Mystère. Donc Françoise se réveille à 6h (mon portable affichait 5h am et on part très rapidement pour la gare routière. Les guichets ouvrent à 6h30 ; il y a déjà du monde qui attend.Billet St Domingo ou Boca chica = 400 pesos Santo Domingo (Saint-Domingue), sur la côte sud, est la capitale de la République Dominicaine et la plus ancienne capitale du Nouveau Monde. La vieille ville coloniale délimitée par des remparts a été classée au patrimoine mondial de l’Unesco. El Parque Colón, la catedral Santa María la Menor, édifiée au XVIe siècle (entrée payante), plusieurs rues historiques abritant de superbes demeures, des monastères et quantité d’églises et des édifices du 16e s La Plaza de España, veillée par la statue de Nicolas de Ovando, le fondateur de la ville, a été rénovée. Elle est emblématique de cette cité élevée au rang de « première ville européenne du nouveau monde » dès 1507. Bordée par les anciens chantiers navals (Las Atarazanas), qui sont aujourd’hui autant de petits restos et de boutiques Santo Domingo de Guzmán (Saint-Domingue de Guzmán) a été fondée par Bartolomé Colón en 1496, sur la rive orientale du fleuve Ozama, plus tard déplacée sur la rive occidentale par Nicolás de Ovando en 1502, à cause de sa destruction au passage d’un ouragan. Saint-Domingue a été le premier siège du gouvernement colonial espagnol du Nouveau Monde. Cependant, à l’arrivée des européens, le territoire était déjà habité par les indiens Taïnos. Les indigènes avaient divisé le territoire de l’île en cinq zones dirigées par un cacique,dans lesquelles toute leur culture était reflétée sous forme d’art et d’outils. De nos jours, c’est la dixième ville la plus peuplée des Caraïbes. Il s’agit de l’un des plus grands centres culturels, économiques, politiques, commerciaux et industriels de la République Dominicaine. On part à 7h et on arrive à 10h15 (près du parc de l’indépendance où se trouve l’AJ. Condominium parque calle Palo hincado, 25 pesos pour une chambre double), Auberge sympa, une cour intérieure, 1 café avant de partir visiter la ville. On commence par la rue El conde (rue piétonnière, pas mal de shops, voir ci-contre) puis on tombe sur la cathédrale (La première d’Amérique latine). La cathédrale de Saint-Domingue est la plus ancienne du Nouveau Monde. De style gothique, elle est rehaussée d’ornements de la Renaissance datant des années 1514 à 1546. Son architecture met en valeur le patrimoine historique et culturel qu’elle abrite. La cathédrale est ouverte du lundi au samedi de 9 h à 16 h 30. La casa de tostado (ci-dessous) abrite des meubles de l’époque espagnole Case de teatro renferme plusieurs galeries qui exposent des œuvres d’artistes dominicains. Le centre présente aussi des œuvres théâtrales, des concerts et des spectacles vivants dans le cadre accueillant d’un bar en plein airIl y a plusieurs jeunes filles en robe de « mariée » posant sur des places de Saint Domingue mais en fait il s’agit de la fête des 15 ans qui se célèbre en Amérique latine pour les jeunes filles le jour de leurs 15 ansVisite de la fortaleza ozama (100 pesos l’entrée) comme symbole de la constitutionnalité, qui doit son nom au fleuve Ozama, est un autre des monuments historiques de la Ville Coloniale. À l’origine, elle a été construite afin de protéger la ville face aux attaques des conquérants anglais, portugais, français et des pirates qui tentaient de la piller ou de la prendre. Au fur et à mesure que l’on se rapproche de la forteresse, on a l’impression qu’il s’agit d’un authentique château médiéval, composé d’un ensemble architectural vraiment fonctionnel. Ainsi, le monument historique est composé de plusieurs parties différentes. Sa construction a commencé en 1503 par Fray Nicolas de Ovando, gouverneur de l’île, et en 1509 elle est devenue la résidence du vice-roi Diego de Colón, de sa famille et des soldats qui l’accompagnaient. De même, la tour a été l’endroit où Fernández de Oviedo a écrit son célèbre ouvrage Historia General y Natural de las Indias (Histoire Générale et Naturelles des Indes) et elle a également fait office de prison jusqu’au XXe siècle. À l’intérieur, on peut explorer de mystérieux tunnels et cachots, dans lesquels des prisonniers, dont Christophe Colomb, furent maintenus au secret. La forteresse est ouverte du mardi au dimanche de 9 h à 17 h. panteon nacional. La bâtisse du museo de la casa real et l’alcazar de colon sur la plaza de España.On se fait confirmer que ce soir il y a un spectacle de danse folklorique en bas des escaliers de cette place, à partir de 19h.ALCÁZAR DE COLÓN : Construit sur la Plaza de España, au bord d’une falaise surplombant le fleuve Ozama, l’immeuble qui abrite maintenant le musée de l’Alcázar de Colón fut offert au fils de Christophe Colomb, Diego, par le roi Ferdinand le Catholique. Diego, arrivé au pays à titre de gouverneur en 1509, avait eu pour mission de construire une maison destinée à héberger le roi et ses descendants lors de leurs visites sur l’île. De nos jours, l’Alcázar présente une collection de meubles et objets authentiques du Moyen-âge et de la Renaissance, illustrant la vie quotidienne de la noblesse espagnole dans les Amériques du XVIe siècle. Le musée est ouvert du mardi au dimanche de 9 h à 17 h.Vente de poissons dans la rue à Sto Domingo Casa del cordon, une des premières maisons construites en pierre Puis on passe le pont pour se rendre au phare Colon. Juste avant de prendre la rue qui nous amène au phare, on se fait aborder par un semblant de policier. C’est la police touristique qui veille sur les touristes et leur sécurité. En fait (on aura fait 14,18km jusque-là) ils ont été informés par un collègue qui se trouvait sur le pont qu’on arrivait et ils souhaitent nous amener au phare avec la voiture de fonction. Voyant son insigne, une arme, on accepte tout en leur disant qu’on n’a pas d’argent pour ce service. Ils rétorquent qu’ils le font avec plaisir pour que rien ne nous arrive. En chemin ils nous proposent de nous amener à la grotte « tres ojos » « ensemble de grottes de calcaire avec des cenotes, parois ornées de peintures rupestres réalisées autrefois par les Taïnos. Elle est ouverte tous les jours de 8 h 30 à 17 h 30. FARO A COLÓN : Monument érigé pour commémorer le 500e anniversaire de la découverte du Nouveau monde par Christophe Colomb, le phare de Colomb est une gigantesque structure en forme de croix. Le musée est ouvert du mardi au dimanche de 9 h à 17 h. C’est un phare emblématique qui n’a rien de la structure/architecture traditionnelle d’un phare. Il est « allongé » en forme de croix et une flamme sort de son sommet et dessine une croix dans le ciel. Le vrai phare se situe un peu plus loin. Ce monument a été inauguré pour le 500ème anniversaire de la découverte de C Colomb. Tombeau avec les restes de l’explorateur (ci-contre) + musée avec différentes cartes de l’époque et plusieurs salles avec les spécificités de tous les pays qui ont contribué à sa construction (architecte italien) Au retour on se renseigne sur le bus pour Barahona et en fait on prendra un taxi (200 pesos) pour se rendre à la gare routière qui semble éloigné du centre-ville (c’est une policière qui nous l’a conseillé car en fait une guagua coûte 40 pesos /per et souvent un surplus pour les sacs à dos. Il vaut mieux payer 200 pesos car l’économie est moindre.On verra par la suite et après avoir pris de nombreuses guaguas qu’on n’a jamais eu à payer des suppléments pour les sacs à dos quand on les garde auprès de nous, voire dans le coffre. Les hostales à Barahona sont chers (plus de 30 dollars pour 2) et on décide de regarder après notre balade nocturne. On se rend à la plaza España où doit se dérouler le spectacle folklorique. En fait il aura lieu à 20h30 et non à 19H. On cherche un petit resto pour manger pas cher (surtout pas sur la place España car les plats sont entre 330 et 990 pesos. En remontant une rue derrière la place, ; on trouve un resto cubain où on prendra une assiette de légumes sautés et un riz pour 2 pour 220 pesosPuis retour à la place, un trio de guitaristes dominicains puis un couple cubain très bon. Au retour on réserve le taxi pour 200 pesos pour 5h30 afin de prendre le bus qui part à 6h15 pour BArahona Dans le resto cubain, on trouve sur internet une auberge rurale un peu retirée de Barahona pour 700 pesos la chambre ; On réserve et on y sera demainPaysages traversés de Punta cana : canne à sucreAJ : Condominium parque, dans le centre historique, 22 euros la chambre sans pdj (cuisine, etc :wink: Dimanche 19/1 Santo Domingo – Barahona - PoloLe réveil sonne et à la bonne heure ! On se prend un café rapide et notre taxi nous amène à l’arrêt de bis. Billets 350 pesos/pers. On arrive à 9h15 soit 3h15 de trajetOn trouve la guagua pour Polo où se trouve notre hébergement, soit à 35 km vers l’intérieur des terres. De 340 pour 2 on négocie à 200 pesosPaysages traversés : au début canne à sucre puis bananiers, belles montagnes de chaque côté de la route QQ canaux proches de Barahona, maisons en dur, simples pour la plupart. Certaines en partie avec de la tôleBarahona, fondée en 1802 par le général haïtien Toussaint Louverture, est aussi connue comme « la fiancée des Caraïbes ». On dit que Barahona, avec ses falaises imposantes, offre les vues les plus belles sur la mer des Caraïbes dans l’ensemble de l’île. La province est célèbre pour ses gisements de sel gemme, d’onyx, de gypse et de bauxite. A 200 km de Santo Domingo Barahona compte 10 000 habitants, et est le port de commerce principal du sud-ouest. On y exporte le café, produit dans les nombreuses plantations environnantes, le sucre, les produits agricoles, le poisson, le sel et les produits minéraux. Deux des plus grandes fabriques de sucre de la République Dominicaine ont leur siège à Barahona ; elles doivent leur réussite aux plantations de cannes qui s’étendent jusqu’à Neiba, vers le lac Enriquillo.Niché entre mer des Caraïbes et montagnes recouvertes de jungle, Qameito se situe au bord d’une plage de galets blancs, à flanc de falaise, à Juan Esteban, à 17 km de Barahona, au sud-ouest de la République dominicaine. A proximité de Qameito se trouve le premier gisement de Larimar, cette pierre bleue semi précieuse qui se trouve uniquement dans la région de Barahona. A Barahona, sans trop de difficulté on arrive à trouver la guagua qui nous amènear à Polo. A polo, Rando vers la rivière (balade de 4 km aller, recommandé par Vladimir, notre hôte) Très jolie rando à travers la forêt tropicale. La rivière est magnifique, une piscine naturelle d’eau turquoise, des tables de piquenique. Comme c’est dimanche, on y croise des dominicains.chambre simple, douche et toilette à l’extérieur, eau froide, cuisine sommaire à partager.De retour et comme Françoise a des ampoules, rien ne sert de rester une nuit de plus (il y avait une rando à faire de 20 km, route du café) et on n’a pas assez d’info sur le dénivelé à faire. Nous rentrons de notre rando au moment de la pluie. On aura une guagua qui partira autour des 8h30/9H pour Barahona et on localise l’arrêt (à côté des grandes antennes, pas loin de l’hôpital, au bord du parc.Pas de wifi, nuit bonne malgré un matelas mou. Le village est assez pauvre, quelques constructions en dur en chantier. Beaucoup vivent dans des petites maisons à une pièceLes petites épiceries s’appellent ici « colmado » Hôtel polo est le seul dans ce village mais il manquerait quelques couverts dans la cuisine par rapport au nombre de chambres. Cependant c’est un merveilleux endroit en pleine forêt tropicale Lundi 20/1 Polo-Barahona-Los Patos-Pedernales100 pesos/pers pour Barahona. 30 mn d’attente et c’est partiA Polo, il y a un collège et lycée (uniforme). Il semblerait que toutes les écoles aient des fils barbelés sur les murs de leurs enceintes (pour éviter le vol ?)A barahona on nous laisse où passent les guaguas pour Juan Esteban (50 pesos/pers et on descend à Qameito (en fait c’est le nom d’un site balnéaire (hôtel, buvette). Beaucoup de vagues, pas facile pour nager, plage de galets, des falaises qui tombent sur la mer mais rien d’extraordinaire alors qu’elle est identifiée comme étant une très belle plage. On verra pour los Patos, notre prochaine destination. On attend sur le bord de la route une demi-heure pour prendre la guagua jusqu’à los patos. Joli port, on n’a pas vu de pêcheurs, que des barques, beaucoup de petites boutiques qui servent du poisson grillé. Des locaux qui se baignent dans la « piscine » (le fleuve qui se jette dans la mer). L’eau est agitée aussi. On se commande un poisson grillé avec garniture (banane plantain ou riz avec salade. Très bon 300 pesos/persLe village de pêcheur de Los Patos, à 4 km de Paraiso et à 40 km de Barahona, au sud-ouest de la République dominicaine, abrite le rio Los Patos, l’un des plus petits fleuves du monde, dans la région la plus préservée de République dominicaine. La plage d’El Patos est grande.Puis une guagua jusqu’à Oviedo (pour faire l’excursion au hoyo et à la laguna). Mais pas de logement et il se fait tard. ON décide donc d’aller jusqu’à Pedernales et on verra au retour ce que l’on fait.On voyage bien tassés dans la guagua entre 2 personnes bien enrobées. La route est sinueuse et la végétation change. Plutôt aride, cactus. Beaucoup d’éolienne. Plus de bananiers. Au terminus de la guagua, un hospedaje, Zulia très aimable. Chambre très propre et bien décorée, ambiance familiale. 1300 la chambre avec un grand lit. Elle nous la fait à 1000 pesos avec café ou thé le matin.Ce soir fête patronale du village. On s’y rend mais orchestre pas encore en place et on sent qu’il y a pas mal de jeunes, un peu insécure car nous sommes les seules touristes. On ne va pas tenter le diable. On rentre et Antonio, le mari de Zulia nous a trouvé une voiture pour 2 000 pesos pour bahia las aguilas car pas de guagua ou moto concho ; On partira vers 8h demain matin. Mardi 21/1/ Pedernales – Bahia las AguilasNotre chauffeur arrive à 8h (un moto concho coûterait 1200 pesos pour 1 personne et franchement, la route étant pleine de trous, il vaut mieux une voiture (pas de guagua)Bahia las aguilas : très beau mais vraiment pas important de faire l’excursion en bateau qui dure 15 mn AS pour se rendre à la plage en passant par quelques « roches. Plage sans poisson ou très peu ; par contre très jolie et avec sable blancA conseiller : faire la rando 10 km AS entrée parc 150 pesos/pers type piste forestière jusqu’ la plage que l’on a atteinte par la mer. Faire aussi les 2 sentiers transverses qui sont au départ de la piste, l’un à droite, très court qui nous amène à un très beau point de vue sur ces 3 ou 4 roches dans l’eau et l’autre sur la gauche (‘encore plus beau, meilleure vue)Au retour du bateau, on fait une partie de ces sentiers puis café au bar/hôtel/camping de la plage 50 pesos/pers Retour en ville (on aura retiré 2 fois de l’argent une fois à l’aller 3000 et l’autre au retour 2000 car on n’avait pas prévu de payer le bateau. Il faut savoir que certains distributeurs n’ont plus d’agent, prendre ses précautionsPedernales est une zone détaxée pour les vêtements venant des US (d’occasion)à revenu en grosSitué à l’extrême sud-ouest du pays, à la frontière avec Haïti, Pedernales est un charmant village de pêcheur, à 119 km de Barahona et 319 km de la capitale Saint-Domingue. Un pont piéton traverse la rivière marquant la frontière pour se rendre à Anse à Pitres, à Haïti. Usine de cimenterie sur la péninsuleAu retour David, notre chauffeur nous montre la citadelle de la ville, décrite par le guide touristique comme un endroit à visiter. Or c’est une grande caserne moderne militaire. On ira demain matin à la plage de PedernalesLa nuit sera bruyante mais nous sommes le jour de la fête du village et à la veille de la fête nationale (anniversaire de la naissance de Duarte)Adresse de la pensionZoila antonio, calle 1ra, esp 27 de febrero, parada de guagua Mercredi 22/1 Pedernales Bani La VegaPdj traditionnel mangu (purée de bananes plantains + fromage frit, salami et thé gingembre clou girofle, cannelle, thé traditionnel dominicainPlage au bord de la courte promenade du bord de mer (on est tout près de la frontière haïtienne) un petit bain, l’eau est bonne On va à la guagua qui part quand elle est complète, soit 12h au lieu de 12h30, 600 pesos pour 2Une femme qui vient d’accoucher par césarienne avec le BB de 2 jours voyage avec nous à travers une route assez défoncée, musique merengue/bachata à fond, wifi à bordPaysage : éolienne avant los patosOn met 3h30 beaucoup de contrôle de police/douane dans ce sens à cause de la proximité avec Haïti. On arrive autour des 156h30 à BArahona et tout de suite on attrape un autre guagau vers la capital (250 pour Bani, grand bus, pas trop de climatisationArrivée Bani 17h30 et on se rend à un hospedaje Hernandes (complet) On trouve à côté du parc où nous a laissé le bus un hôtel paulina (-450 pesos la chambre mais c’est un hôtel de passe et la chambre ne ferme pas à clé, pas propre, un peu glauque. On arrive à trouver un hotel centro correct pour 800 pesos.Baní, aussi connue comme la « capitale du sud », est la ville la plus importante de la province de Peravia**, en** République Dominicaine. Elle se situe dans le Valle de Peravia (la Vallée de Peravia), à 65 km de Saint-Dominique et à 5 km de la côte sud de la mer des Caraïbes. D’après les chercheurs, Baní signifie, dans la langue des Taïnos, « abondance d’eau ». Les indigènes appelaient les lieux où il y avait beaucoup d’eau « baní ». Dans la langue indo-antillaise, ba signifie « père » et ni, « eau », ce qui a le même sens.Jeudi 23/1 La Vega - JarabacoaNuit ok à la Vega départ 6h20 guagua pour la vegaAttention. Quand on demande au chauffeur de guagua s’il nous amène à l’arrêt de bus qui monte à Jarabacoa ou toute autre destination, en fait on nous laisse souvent en plein centre-ville et il faut prendre un taxi ou autre guagua pour se rendre à la gare routièreLe bus est cassé et ne partira pas de cet endroit. On doit prendre un taxi pour 250 pesos qui nous amène à l’arrêt des grands bus. ON voyage bien jusqu’à la vega. 230 pesos en 1h30. Puis une marche de 20 mn pour atteindre l’autre arrêt de bus pour Jarabacoa (peu d’attente, 130 pesos/pers. Un guide nous aborde dans le bus pour proposer ses services.Notre héb ergement est difficile à trouver environ 2,5 km du centre. On passe par des distributeurs et quelques-uns refusent les CB internationales Il faut en tenter d’autres. Certains affichent aussi des frais de commission. Attention donc et penser à bien anticiper les besoins en argent1300 pesos grande chambre, salle de bain dans une maison. Autre couple français rencontrée Emilienne et Philippe. Le proprio nous fait rencontrer un guide et on arrange pour le lendemain une rando dans la campagne car el Mogote est impraticable à cause de la pluie tombée ces derniers jours.La ville de Jarabacoa se situe dans la Cordillère Centrale de la République Dominicaine, en plein cœur du pays et à 530 mètres au-dessus du niveau de la mer, dans la splendide Vallée de La Vega. Elle est entourée de quatre grands fleuves : le Yaque del Norte, le Jimenoa, le Guanajuma et le Baignate, les plus longs des Caraïbes, comme le montre le Yaque del Norte avec son parcours d’environ 300 km. Le nom de la ville vient des indiens Taïnos qui habitaient dans la zone avant l’arrivée des espagnols, puisqu’ils l’appelaient ainsi, ce qui veut dire « terre de fontaines d’eau » ou lieu où l’eau afflue D’ailleurs, les espagnols y ont cherché de l’or et de l’argent, alors ils ont quitté l’endroit peu de temps après. Néanmoins, elle est aussi nommée la « La Ville du Printemps Éternel », en raison de ses 22 degrés de température moyennes annuelle On va à pied jusqu’à la cascade salto baiguate (environ 6 km AS) ; Le guide me montre en moto le chemin pour s’y rendre depuis la pension pour nous faciliter le trajet. Temps maussade mais on n’a pas eu bcp de pluie.Belles plantes et orchidées, des pins et des eucalyptus, différents types d’oiseaux et de papillons. Il y a trois saltos (chutes d’eau) aux alentours de Jarabacoa, le Salto de Jimenoa 1 (9km de la ville), le Salto de Jimenoa 2 et le salto Baiguate (possible à pied depuis la ville que nous avons fait). Flamboyants en fleurs, pleine production de courges qui ressemblent à des pastèques.Bonne discussion avec le couple de français. Au retour, il nous reste 1h pour acheter quelques nourritures (on a une cuisine à dispo, on y fera cuire du riz) et on teste un rhum local brun, pas trop fort, accompagné de citrons.A 19h, j’avais convenu avec le guide de nous retrouver pour qu’il me montre un endroit où louer des chambres à pas cher. On fait affaire à 500 pesos et en plus c’est plus près du parque central. On pourra alors le samedi matin se rendre à Constanza avant de redescendre vers Santiago car le couple nous en a dit beaucoup de bien.On goûte aussi à une spécialité sucrée à base de confiture de lait présentée dans une feuille de bananier. Très bon Vendredi 24/1 JarabacoaL e guide est à l’heure, la nuit toujours bruyante. On part en voiture jusqu’à palo santo puis rando jusqu’au pied de el mogote mais on reste bien en bas car impraticable. Petite montée pour le monastère. Puis retour à une piscine naturelle et à travers la forêts tropicale jusqu’à une cascade. Retour par une passerelle qui surplombe une autre rivière Yunca. 4h de rando, environ 200 m D+Plusieurs « comedores » dans la ville, près du Parc central. On goûte le mofongo (qui est une purée de bananes plantains vertes, frites et pilées dans un mortier avec de l’ail, de l’huile et de la couenne de porc croustillante ou chicharrones de cerdo.)Après renseignements pris pour aller à Constanza depuis Jaracaboa (bus à 9h, 1H30 de trajet et retour de Constanza à 11h30/13h30/14h, on préfère monter vers SantiagoBus Jaracaboa à la vega : 1.30 pm, 4 ;30 pm, 45 mn ou 7 am, 10 am, prix 100 pesosOn visite Jaracaboa qui est une ville sympathique, assez touristique (tourisme national), de montagneAvocat, ananas comme dîner dans notre nouvelle chambre près du centre. Toujours très bruyant la nuit jusqu’à environ minuit puis tout s’arrête et reprend au petit matinPour trouver le logement à 500 pesos par nuit : il se trouve derrière Aguas Pena (mise en bouteille d’eau). Demander hospedaje (pas de nom du proprio) Samedi 25/1 Jarabacoa-La Vega – Santiago de los Caballeros – Puerto PlataOn part de bonne heure pour prendre express tour, départs plus fréquents que Caribe tour et la gare routière se trouve face au cimetière. Celle de Caribe tour derrière le cimentière. Avant 14h on arrive à Puerto plata après avoir changé 2 fois et fait un stop à Santiago de los caballeros.Puerto Plata , l’un des plus importants ports de commerce du pays. centre historique abritant de superbes demeures victoriennes ainsi qu’un vieux fort . Lieu de production de la pierre larimar.Un malecon (remblais) comme dans la capitale, une cathédrale, des maisons colorées.C’est là que Christophe Colomb a débarqué lors de son premier voyage en Amérique en 1492. Dès son arrivée à l’île d’Hispaniola, il a baptisé la région Puerto Plata (« Port d’argent ») en raison des reflets étincelants du soleil dans les eaux cristallines de l’océan. La région est également connue sous le nom de Côte d’ambre, en raison de l’exceptionnelle variété de ses ambres de diverses tonalités, dont certains exemplaires sont incrustés d’insectes. La ville de Puerto Plata est située au pied du mont Isabel de Torres. Les eaux chaudes et les alizés en ont fait la capitale mondiale des sports aquatiques et de voile. La région abrite le Fort San Felipe, la distillerie du célèbre rhum Brugal, les impressionnantes 27 chutes d’eau de Damajagua, l’îlot de Cayo Arena (Paraíso). Mais avant un stop à Santiago. Un tour de la ville pour découvrir le monument aux héros, la cathédrale, le parc Duarte, les marchés, les maison coloniales, le musée du carnaval…L’histoire de Santiago de los Caballeros date de 1495, quand le frère de Christophe Colomb, Bartolomé, l’a fondée. C’est en 1562 qu’un fort tremblement de terre l’a détruite presque en entier, ce qui a obligé ses colonisateurs à la déplacer jusqu’à son emplacement actuel, à côté du fleuve Yaque del Norte. Quelques siècles plus tard, elle a été dévastée par la Guerre Civile ; pourtant après cette guerre et après la Première Guerre Mondiale, la ville s’est bien développée, grâce au manque de produits tels que le tabac, le cacao ou le café en Occident, dont Santiago de los Caballeros disposait, ce qui lui a permis de faire du commerce avec eux. De nos jours, le moteur de l’économie continue d’être l’agriculture et l’industrie qu’elle génère.Aujourd’hui Santiago de los Caballeros, appelée ainsi en hommage à la trentaine d’aristocrates espagnols qui fondèrent la ville en 1495, est la deuxième ville du pays, avec plus d’un million d’habitants. Le centre historique de cette ville, dynamique sur le plan économique, est vite visité.Le musée des héros et apparemment celui des Tainos valent la peine d’être vus. Nombreux, en effet, sont les édifices réduits en poussière par les tremblements de terre à répétition qui ruinèrent la ville par le passé. + fabriques de cigares.,.parque duarte, belles maison autour, fortaleza San luis (pas terrible, c’est une caserne) comme beaucoup d’édifices portant le nom de fortaleza)Le base-ball et Santiago de los Caballeros compte avec le plus grand stade de la République Dominicaine, l’Estadio Cibao, où les Águilas Caribeñas jouent d’habitude.A santiago, visite du monument aux héros (musée, 60 peso/pers : très intéressant sur l’histoire du pays et la colonisation espagnole. La « restauracion » quand ils ont réussi à se débarrasser de l’emprise espagnole définitivement. On va à pied jusqu’à la cathédrale (ça descend), on visite l’ancienne maison de Trujillo quand il venait à Santiago qui est reconvertie en centre de recreo (la grande salle de spectacle se loue pour des événements tels que mariage), le parque Duarte mais nous n’avons pas vu le centro leon qui semble très intéressantLa cathédrale, environ 150 ans. Maisons colorées, la forteresse, aucun intérêt c’est un cercle militaire. On prend un « carro M » genre de taxi collectif pour se rendre à l’arrêt de bus Puerto Plata (50 persos/personne)On a identifié à Puerto Plata, sur internet, un hôtel Kevin. ON négocie la chambre à 1000 pesos, accès libre à la cuisine. Cet hôtel est tenu par un portugais ayant vécu en France (donc parle français), très impliqué dans la prévention routière à Puerto Plata et qui a une équipe d’une douzaine de personnes qui « tournent dans la ville » pour faire régner l’ordre et réguler la circulation routière.On part pour la « vraie » forteresse du 16ème siècle d’où on a une très belle vue. On peut aussi monter en haut du phare.C’est en 1541 que les Espagnols ont construit le fort San Felipe afin de protéger Puerto Plata des pirates et autres envahisseurs. Terminé en 1577, le fort est le vestige historique le plus significatif de l’architecture coloniale de cette époque.Le centre-ville de Puerto Plata est réputé pour ses maisons de style victorien datant des 19e et 20e siècles, ainsi que pour ses édifices publics ornés de belles corniches en bois de couleurs pastel Petit resto local pour goûter la bandera (riz, sauce aux haricots et côte de porc. 300 pesos et une pina colada 200)On se renseigne pour les 27 charcos qu’on fera au lieu du Mont IsabelSur la place on rencontre un dominicain qui travaille pour le ministère du tourisme et nous amène dans différents quartiers et dans une boutique qui pratique des rites vaudous. Soit disant annoncé comme complètement gratuit, il nous demande au moment donner de lui payer un coca et acheter du lait en poudre pour son enfant. Ce que nous faisons. On tombe par hasard sur une ruelle rose, près de la place Parque central, en hommage à une dominicaine qui a œuvré pour le développement du tourisme, Dona BlancaPour les banques, celles du Parque Central prend une commissionAu retour, on tombe sur le proprio de l’hôtel qui nous offre une barquette de fruits. Homme très sympathique, son auberge aussi. On s’est senti tout de suite à l’aise. Dimanche 26/1 Puerto PlataNuit bruyante pour ne pas changer. L’hôtel est très bien situé, à 2 rues du Parque central. On part à pied (1,2 km) pour la gare routière qui va à Imbert/santiago. 50 perso, le retour sera à 60. L’arrêt pour les 27 charcos se fait après Imbert, route direction Santiago à environ 5 km. Donc bien préciser ce que vous louez.Il y a des casiers pour laisser les sacs à dos à l’entrée des 27 charcos. Si vous venez de Santiago avec votre sac, vous pourrez le laisser plutôt que de faire comme nous, aller jusqu’à puerto plate et revenir ensuite sur nos pas un autre jour pour faire cette excursion.L’excursion des 27 charcos ou les chutes de Damajagua : entrée 550 pesos entrée + 100 ou 150 pesos selon la taille du casier. Il faut laisser toutes ses affaires et aller en short et tshirt chaussures fermées ou sandales fermées, prévoir un change car en fait, et on ne vous le dit pas au départ, on se mouille entièrement et il s’agit d’un canyoning. J’avais demandé au moment de l’achat des billets si l’on pouvait avoir moins cher et faire la randonnée sans guide et l’on m’a dit que dans ce cas on ne pouvait se rendre qu’à une seule piscine mais jamais il a été question de canyoning. Sinon j’en aurais parlé à Françoise qui m’aurait dit qu’elle ne voulait pas la faire.Donc nous voilà avec nos gilets de sauvetage et on commence la marche d’approche sans encore savoir à quelle sauce on sera mangé. On est avec une famille russe de 5 personnes. Après 10mn de marche, on fait une pause et je demande un peu plus de précisions au guide et c’est là qu’il me dit qu’il va falloir sauter parfois dans des piscines ou se laisser glisser sur des toboggans, etc…. Françoise tourne presque de l’œil. J’insiste auprès du guide pour lui dire que ‘rien n’avait été expliqué au départ et que l’on va devoir retourner à l’accueil/entrée du par cet demander un remboursement. Mais ceci n’est pas possible et il ne peut pas nous laisser seules retourner à l’entrée. Il faut donc aller de l’avant et il promet à Françoise de l’aider. Assez stressée et cela se comprend car Françoise n’aime pas ne pas avoir pied, elle avance courageusement.Je déconseille aux gens qui ne savent pas nager de faire cette excursion car même s’il n’y a aucun danger (vous flottez avec le gilet) il faut arriver à faire quelques brasses et surtout écouter les indications des postures à avoir. Sous le stress ou panique, on peut avoir tout type de comportement et il est inutile de faire stresser quelqu’un si on peut éviter ce stress.Après bien 30 mn de marche en montée on arrive devant le premier « saut ». On peut contourner ce saut (presque à chaque fois) pour réduire le trou mais il faut tout de même sauter. Françoise y parvient. Quelle fierté, quel défi ! Bravo. Elle prendra après chaque saut (y’en aura 12 en fait et non 27) toujours plus d’assurance et de plaisir. Le circuit aura duré 3h et on est à 10 mn à pied de la route (entre l’entrée du par cet l’arrêt de la guagua)Après cette belle et éprouvant excursion, on attend un peu au bord de la route pour récupérer la guagua pour puerto plata. On se rend ensuite à Long beach, un peu retirée de la ville mais l’eau y est sale. Beaucoup de Dominicains s’y baignent, c’est dimanche et certains improvisent un terrain de baseball sur la plage.A 2 rues de l’hôtel il y a une banque avec retrait sans commission Lundi 27 janvier Puerto Plata - SánchezLever un peu compliqué car le portable n’est pas à l’heure. On se lève à 4h au lieu de 5h. Le gardien hier soir nous avait trouvé un plan avec la guagua pour se rendre à Sanchez. Au lieu de payer un taxi pour se rendre à l’arrêt, on s’économie le prix et il passera nous prendre à 5h20. A l’arrêt de bus près de l’hôpital, en mettant nos sacs à dos dans le compartiment de la guagua, Françoise se rend compte qu’elle a oublié son sac (papier et argent). Panique à bord. Il faut prendre un moto concho pour le récupérer. Le chauffeur appelle le veilleur de nuit pour s’assurer qu’il est à l’hôte let le « cobrador » prend un moto concho (on doit lui donner 100 pesos) pour faire l’aller-retour. Ouf, tout y est et Françoise donne un pourboire bien mérité au cobrador et au chauffeur. Quel stress. La journée a vraiment commencé sur les chapeaux de roue ! On met 3h45 pour arriver à SanchezPlusieurs hôtels et on trouve une chambre chez l’habitant (en fait un hôtel Patria) pour 1000 pesos la nuit, négociée à 800 pesos car on y reste 2 nuitsJuste avant on avait vu des chambres très précaires à 500 pesos pour 2 nuits mais celle qu’on prend est quand même bien plus confortable.Petite douche et on va voir Augusto tours pour le PN Haitises (il est au port) ; L’excursion à nous 2 coûte 8 000 pesos repas inclus, sans repas 7 200. Soit on attend demain pour voir si on a plus de touristes, à 4 ça serait 2300 pesos, soit on la fait maintenant à 6000 mais avec un pêcheur.A déconseiller les excursions avec les pêcheurs car ceux-ci ne connaissent pas toutes les zones et certains n’ont pas de gilet de sauvetage, des moteurs moins puissants et des barques plus précaires.On décide donc d’aller à Samana (90 pesos/pers pour profiter de la plage (jolie, quelques poissons)Pour info 3 plongées, durée 3 h coûte 85 dollarsUn pont bien aménage relie 2 îlots. Belle balade ;Samana : ville dans une baie boisée avant tout de palmiers. Grand resort avec ascenseur depuis la plage ! On commence à se rapprocher du tourisme de masse, à notre grande tristesse.Au retour sur Sanchez, Augusto n’a pas d’autres clients mais on se présentera demain à 9h et on verra bien.Les chambres à côté de l’hotel patria sont bien et coûte 500 DoP hotel familiarEn bas de la rue de l’hôtel patria, petit colmado et marchands de fruits et légumes)Très bon matelas, la nuit fut moins bruyante On aura traversé la province Hermanas Mirabal, ('histoire des sœurs Mirabal). Le peuple dominicain a immortalisé ces martyrs et leur rend hommage le 25 novembre de chaque année tout en commémorant la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, qui fut déclarée en tant que telle par l’Assemblée générale des Nations Unies, en leur honneur. Les sœurs mirabal (Patria, minerva et Maria Teresa)En juin 49, Minerva et ses parents invités par les autorités à une fête à Santiago en l’honneur de Trujillo qui est attiré par sa beauté. Minerva est alors très ami avec un des fondateurs du partic social popular. Elle rejette les avances du dictateur. La famille par la suite décide de s’enfuir, ce qui déplaît au dictateur. La famille est alors inquiétée, molestée, le père humilié et incarcéréClimat social fin années 50 : lourd. Les sœurs sont activistes ; Mouvement révolutionnaire, beaucoup de dénonciation, répression, les sœurs sont emprisonnées, torturées. L’église catholique dénonce le tyran. Les maris des 2 des 3 sœurs emprisonnés. Rumeur qu’elle seront victimes d’un « accident de la route » après la visite à la prison. Le 25/11/1960 elles sont arrêtés puis assassinées à la machette
Mardi 28/1 Sánchez – SamanáLe Parc National Los Haïtises créé le 3 juin 1976 et se trouve dans la Baie de Samaná, au Nord-est du pays. Ensemble de montagnes, collines et vallées, îlots de formation « karstique » (les fameux « Mogotes ») où la mangrove, les ruisseaux et une riche faune (pélicans, hérons, vautours et frégates….) et flore avec des espèces endémiques du pays. Plage las ballenas, à gauche après le village ++ et playa bonita +++ à 5 kmEntre mer des Caraïbes et océan Atlantique la presqu’île de Samaná, bien différente de la Cordillère, possède des plages sauvages bordées de cocotiers, une végétation luxuriante (orchidées, hibiscus flamboyants, caféiers, manguiers…), une chaîne de montagnes à l’intérieur des terresPas de touristes pour partager le prix du bateau. On négocie à 6200 (entrée du PN inclus) On part à 9yh30 retour 13h30Belle excursion, luis, notre « capitaine » très respectueux de la nature. Il est avant tout pêcheur et ramasse les plastiques (pour préserver la faune marine)Oiseaux : pélicans, type de faucons, aigrettes, beaux mogotes boisés, 2 grottes dont une visitée mais impossible de voir les inscriptions sur les parois car trop anciennes.On amarre près d’une plagette, l’eau est bonne puis l’île aux oiseaux et enfin la rivière avec le village des pêcheurs (cabanes précaires pour héberger leur famille et eux-mêmes pendant la saison de pêche (de 15 à 30 jours). On y pêche avant tout des crevettes. L’entrée du PN ne se fait pas loin des cabanes des pêcheurs Départ caribe tours 2 le matin pour Santo domingo 8h30 et 10h30, 2h15 durée, 400 pesos. Notre prochaine destination étant bayahibe, il faudra descendre à un croisement pour prendre une gugagua pour Bayahibe. Je négocie avec la proprio pour la nuit supplémentaire à 500 pesos avec salle de bain sur le couloir et un lit plus petit.Resto à Sanchez : pas dans le centre-ville mais sur la route principale (Samana)Mercredi 29/1 Sánchez – las terrenas – cascade el limónOn part à 8h pour rejoindre à pied l’arrêt des guaguas pour las terrrenas (1,3km de l’hôtel), ¾ d’heure de route, 80 pesos. Changement à las terrenas (‘la route est très belle, collines semées de palmier, la mer en bas, traversée de hameaux jusqu’à el limon. Au bord de la plage vers las Serrenas, maisons résidences touristiques, boutiques de touristes, etc…La guagua nous arrête à la bifurcation (50 pesos) qui par un chemin de terre nous mène à l’entrée du parc (depuis la route environ 1km, PN entrée 50 pesos. Puis très beau sentier un peu gadoueux ‘car il a plu au petit matin), en montée avant tout, on traverse à gué des rivières. Possibilité de le faire en demi poney pour ceux qui ne veulent ou peuvent pas marcher. Environ 45 à 60 mn pour surplomber la cascade impressionnante, 40 m de haut et on descend vers une première petite cascade puis à 5 mn de là on atteint la plus impressionnante. L’eau est assez froide. 2 autres sentiers s’offrent à nous, qui se dénomme sentier du café et qui, après une montée avec marches longe la rivière. L’autre pas fait, contournerait la cascade.Belle végétation, oiseau coloré, un arbre aux fleurs rouges/roses tombées au sol. MagnifiqueLe sentier qui mène jusqu’à la cascade El Limon traverse des champs, des cocoteraies pour finir par une forêt tropicale, puis un “escalier” pour accéder jusqu’à la fameuse cascade. La chute d’eau fait environ 40 mètres de haut, elle se jette dans une piscine naturelle où il fait bon se tremper après la petite randonnée. Au retour, la montée des marches pour retrouver le sentier est un peu dure. Après une bonne pause on repart pour essayer d’aller à playa del limon. Elle semble éloignée de la ville du même nom. Une moto concho peut vous y amener pour 200 pesos mais il faut alors prendre une autre moto concho pour retourner à el limon et prendre la guagua pour SanchezAttention si vous dormez à Sanchez comme nous. Dernier guagua au départ de las terrenas à 18hLa plage à las terrenas serait à environ 4-5 km de la gare routière.Cette excursion depuis Sanchez nous aura coûté 360 pesos/personne, pas besoin de guide le chemin est très bien tracé.Retour Sanchez on se paie un resto sur la grande route 375 pesos (poisson et yucca, manioc) et poulet et banane plantain ; On se reprend un rhum avec citron pour fêter notre dernière nuit dans une ville que nous avons beaucoup apprécié par sa simplicité, son authenticité et la gentillesse de notre proprio. Pour ceux qui ne veulent pas se fondre dans le tourisme de masse, Sanchez est un très bon compromis pour ensuite faire les différentes excursions sur la péninsule. Jeudi 30/1 Sánchez – la Romana - BayahibeOn quitte notre hôtel et en face de Caribe tours, petit thé « criollo » et pdj local (œufs frits, yucca et oignons)Achat billet 400 pesos/pers pour Sto Domingo (arrêter au pont San carlos) pour prendre une guagua jusqu’à la romana (180 pesos/pers). De là autre guagua pour Bayahibe 70 pesos. A 13h on est arrivée après être parti à 8h30 de Sanchez. ON trouve facilement une pension (chambre avec sbd et coin cuisine, pour 800 pesos/jour. On y restera 2 nuits et d’après les différents renseignements prix, certains contradictoires, on repartira dans la matinée du samedi 1er d’abord à la Romana (parc central) puis une guagua pour l’aéroport. Certains disent qu’il faut aller jusqu’à Huguey et prendre une autre guagua. On verra cela samedi.On se rend à la plage publique près du port. Eau propre mais pas ou très peu de poissons. Là, 2 plongées coûtent 120 DOLLARSL’hébergement : cabana Maura, avec eau chaude !!! Vendredi 31/1 : BayahibeNuit toujours aussi agitée jusqu’à minuit mais là c’est musique pour touristes et peu de salsa ou merengue. Bayahibe est une petite ville assez calme en journée avec un port. Par contre beaucoup de touristes, magasins pour touristes, alimentation occidentaleOn part ce matin vers le SE de l’île afin de rejoindre par un sentier une autre plageLe sentier pédestre est très « roulant » et facile à trouver. Surprise après avoir passé un premier bâtiment ; On se retrouve entourées de résidences resorts, hôtels avec murs élevés, portails et accès par conséquent privé aux plages. Il faut faire des détours pour arriver à une plage accessible aux touristes mais là encore bcp de touristes entassés sur la plage. Il faudra s’éloigner pour arriver à trouver un endroit sur le sable. Des boutiques à touristes partout. Françoise d’achète un beau coquillage pour 400 pesos et moi du café dominicain. L’eau est belle. On est sur la plage dominicus, juste à la limite de la zone « protégée »Sur la carte on remarque qu’on est assez près de la cueva del puente et on se dirige vers le chemin qui nous y mène. A la fin de la route, on nous dit qu’il faut passer par la plage et faire 6km. C’est contradictoire avec la trace GPS qui situe la grotte à l’intérieur des terres et non au bord e l’eau. On fait donc demi-tour et on revient vers bayahibe en reprenant le même sentier qu’à l’aller et en voyant un peu plus d’oiseaux.On n’aura pas fait le sentier padre nuestro car nous sommes arrivées un peu tard sur Sanchez (le départ du sentier se trouve juste à la sortie du village après la pompe à essence, entrée sans guide 250 pesos.On retourne à la plage pour le coucher du soleil et pour un dernier bain avant notre retour demain.On goûte un fruit el zapote (qui a l’aspect d’une papaye mais pas le goût). La pension est à 200 m de la gare routière pour la Romana. Toutes les 20mn des guagua à partir de 6h30 Samedi 1er février Bayahibe – La Romana – Punta Cana Avant le départ de la guagua, notre thé dominicano et on arrive à la romana, parque central (joli) car c’est un musée historique à ciel ouvert du base Ball. On va voir l’obélisque, après avoir laissé nos sacs à dos à la consigne de la gare routière pour Punta cana (100 pesos pour les 2) Obélisque avec des peintures sur les tainos, merengue puis un peu plus loin le monument à la canne à sucre (un chariot en fer) à côté du rail encore en fonction apparemment pour acheminer la canne à sucre Billet 210 pesos de la romana à l’aéroport ; Le bus nous dépose devant les départsPlusieurs départs : 8h20/10h40 13h15, etc… on prendra celui de 10h40 pour être tranquille, notre vol étant à 16h et durée du trajet 50 mn Budget par personne
Transport :75 eurosLogement 148Repas 76Excursion 95Achats perso
Soit 500 euros/personne pour 15 jours sans vol + 60 euros pour nos 2 escales au Canada sans compter les achats persos Ex prix jus de papaye (70 pesos) et 2 bananes, total 155 pesos>.Petit café sucré ou thé dominicain : 10 pesosPrix diesel au galion 180 pesos Les insolites ou situations typiques/autochtonesA Polo, le « salon de coiffure » au milieu d’une patte d’oie, la femme aux gros bigoudis dans la rueGuagua : 4 par rangées avec des gens en surpoids (on se retrouve souvent avec une fesse en suspension !)Nuits très bruyantes (merengue, salsa à fond, Dominicains qui parlent fort, que ce soit dans les pensions ou dans les rues). Tout d’arrête à minuit et reprend au petit matinSaleté, plastiqueLes vaches dans des palmeraies (insolite pour les occidentaux)Ya cristo viene ! on le voit à chaque coin de rue, inscrit sur des maisons ou autres panneaux, bref c’est un matraquage assez dérangeant (mais c’est personnel). Beaucoup d’églises adventices qui crient leurs prêchesDes fils de fer barbelés sur tous les murs des Ecoles Les hébergements (du meilleur au moins bien)Pedernales : Zoila Antonio, calle 1ra, esp 27 de febrero, face à la parada de la guagua, très bonne attention, familialSanchez, Puerto plata chez Sergio, très bon accueil, familialAutres adressesLos patos, c/principal, hotel comedor los patos (on n’y est pas allé mais il semble qu’on puisse avoir une chambre pour deux à moins de 1000 pesos)Les plus beaux endroits à nos yeuxSanchez - Polo – Jarabacoa (il semblerait que Constanza aussi) – Puerto Plata, los 27 charcos - cascade el limonOn aura parcouru environ 1600 km par voie terrestre et une moyenne de 18 km/jour à pied
Punta Cana – Santo Domingo : 190 kmSanto Domingo – Barahona : 183 kmBarahona – Polo : 36 kmBarahona – Pdernales 124 kmBarahona – la Vega : 243 kmLa vega – Jarabacoa : 27 kmLa vega-Santiago : 40 kmSantiago-Puerto plata 87 kmPuerto plata – Sanchez 180 kmSanchez-Samana : 33 kmSanchez – las terrenas : 17 kmLas terrenas-cascade el limon : 21 kmSanchez – Bayahibe : 226 kmBayahibe – Punta Cana 69 km
Des flamboyants (ampolas) en fleur à cette époque, bananes, ananas, avocat, pamplemousse, igname en pleine productionTrès peu de faune, juste à Bayahibe où nous avons pu voir quelques oiseaux et bien entendu à Sanchez dans le parc los haitisesFaune aquatique en snorkeling : très peuGentillesse des habitants, sécurité dans les rues Artisanat local (beaucoup de peintures) Plats typiquesLos tostones, bananes plantains fritesLa bandera est aussi un plat traditionnel : viande, riz, haricots, bananes plantain et salade avec avocat. couenne de porc marinée dans du jus d’oranges amères et cuite dans sa propre graisse, c’est un peu gras mais très bon. Accompagnés d’ail et de bananes plantain, on appelle ce plat mofongo.Le mangú est une purée de bananes plantains vertes, assaisonnée d’oignons rouges frits. On en mange au petit déjeuner et est souvent accompagné de salami frit La mamajuana est une boisson typique de République Dominicaine, une sorte de rhum arrangé consommé en digestif.Chinola est le nom dominicain pour le maracuja, le fruit de la passion.habichuelas con dulce” est composé de purée d’haricots rouges, lait concentré sucré, lait de coco, canelle, sucre (beaucoup) et patate douce. Le yuca est le nom donné ici pour le manioc dominicain, consommé pour ses qualités nutritives. Avec sa farine, on en fait des petits pains savoureux que l’on mange à tous les repas. De plus, la farine de yuca ne contient pas de gluten et est riche en glucides.Merci Françoise pour m’avoir accompagnée dans ce voyage itinérant et avoir tenu le rythme. Mais surtout avoir pris sur toi pour réaliser le canyoning avec succès puis plaisir. A une procha

Plus qu’un compte rendu, un cours d’histoire.

Merci.

Bonjour,

La vérité, on ne peut pas mieux dans le genre !

Mais un point de détail quand même ! La canne à sucre fut découverte par le navigateur Francais " Bougainville " lors d’une de ces expéditions à Tahiti ;
Ce qui n’empêche que c’est bien les Espagnols et Portugais qui l’ont introduite dans les Amériques .

Rendons à César ce qu’il lui appartient !

Merci pour cette précision sur la canne à sucre
En général mes récits intègrent certaines données géographiques, éoconomiques et historiques et permettent d’avoir un petit guide de voyage intégrant des infos plus pratiques pour les routards.
Pour ceux que ça intéresse, j’ai la version en pdf
Bonne journée à tous
Ce site est merveilleux car j’alimente mes préparations de voyage grâce aux différentes collaborations ou récits mis en ligne et je contribue par le dépôt de mes récits à enrichir parfois ou du moins actualiser certaines informations
Quand tout est échangé sans agressivité et dans la bonne humeur, dans l’esprit “routard”, ce n’est que pur plaisir…
Voyageusement vôtre à tous

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