Activités, sports et loisirs Bali

Avec ses quelque 80 000 km² de littoral, l’Indonésie, et plus précisément Bali, est un paradis pour les amateurs de plongée. Mais pas seulement pour les titulaires du brevet ! Le snorkelling (avec palmes, masque et tuba seulement) est à la portée de tous... Ça tombe bien : les coraux ne sont pas profonds. On conseille d'apporter au moins son masque et son tuba, sinon il faudra en louer à chaque fois. Attention aux coups de soleil dans le dos ! Prévoyez votre crème waterproof, ou, mieux, un vieux T-shirt qui vous protégera ou encore un collant long sur les jambes. Ça tape fort !

Pour ceux qui veulent commencer à s’y mettre, voici quelques tuyaux.

Bien que Bali ne soit pas « l'île de la randonnée », il existe tout de même un certain nombre de possibilités.
Les randos les plus connues sont celles qui conduisent au sommet du mont Batur (au départ du village de Kedisan, près de Kintamani) et du mont Agung (un trek réservé aux marcheurs confirmés, étant donné l'importance de la dénivelée). On peut aussi envisager une balade dans le parc national de Barat, à l'ouest de l'île.
Mais il existe d'autres options, un peu plus en dehors des sentiers battus et qui devraient intéresser les amoureux de nature et de marche, notamment les treks à la journée qu'il est possible de réaliser dans les environs de Mayong (vers Lovina), de Sidemen et de Munduk et également dans les environs de Bedugul et des lacs du Centre-Nord. Sans oublier, bien sûr, l’ascension des volcans de Java (Merapi, Bromo et Kwah Ijen).

Bali est un petit paradis pour le surf. Ami néophyte, vous pouvez très bien vous jeter à l'eau, mais respectez quelques règles. Il est tout d'abord indispensable d'être un excellent nageur.

Pour débuter, les vagues de Kuta et Legian sont parfaites. D'abord parce qu'on y loue des surfs sur la plage, parce que les vagues à certains endroits sont accessibles à un débutant, parce qu'il y a du sable et non du corail et que ça fait moins mal en tombant, et enfin parce que certaines portions de plage sont surveillées. Il est indispensable de rester dans un coin où il y a déjà du monde et de se renseigner auprès des « collègues surfeurs » pour savoir si le secteur n'est pas dangereux. En effet, en fonction des marées et de l'époque de l'année, les coins propices au surf et les coins dangereux varient sans cesse.

Outre Kuta et Legian, le tour de l'île propose de superbes breaks, mais, là, il faut être un vrai pro. Ceux qui veulent admirer les champions iront sur la superbe falaise d'Uluwatu, où les déferlantes sont extraordinaires et le spectacle époustouflant.

L'Ayung River (dans les environs d'Ubud) est accessible au rafting. Sans danger, on traverse une forêt tropicale parfois encaissée dans des gorges. Le point de départ se situe à quelques kilomètres au nord de Sangeh.

Le prix des agences comprend le transfert de votre hôtel, l'équipement (y compris gilet de sauvetage), l'assurance et un repas. Bon, comme c'est assez nouveau, c'est encore très cher. Généralement, 2 départs par jour. Compter 6h en tout, aller-retour.

Autres spots réputés, Medewi et Balian, sur la côte sud-ouest.

C'est un excellent moyen d'explorer l'île, à condition tout de même d'être en bonne condition physique pour affronter les solides dénivelées du centre. « Faire Bali » à vélo reste une ambition réservée aux sportifs courageux. Les moins sportifs trouveront des bicyclettes à louer partout, à prix dérisoire, pour circuler agréablement et en toute liberté au milieu des rizières à partir de leur hôtel.