Vie pratique République du Congo

En été, on retranche une heure à celle de la France. Quand il est 12h à Paris, il est 11h à Brazzaville.
En hiver, le Congo et la France ont la même heure.

La tension électrique utilisée est de 220 volts, comme en France. Les coupures de courant sont relativement fréquentes.

Le français est la langue officielle, le Congo ayant appartenu à l'empire colonial français de la fin du 19e siècle jusqu'à son indépendance en 1960. Plus de deux millions de personnes adultes la comprennent et la pratiquent.
Deux langues nationales véhiculaires ont été reconnues par la Constitution de 2002 : le lingala et le kituba (ou munukutuba), tous les deux d'origine bantoue.

Le Congo-Brazzaville a un taux d'équipement en lignes téléphoniques fixes les plus bas d'Afrique, voire au monde. En revanche, la téléphonie mobile s'est rapidement imposée dans la population. Les deux principaux opérateurs du Congo sont MTN, filiale d'une multinationale sud-africaine, et Airtel, filiale du groupe indien Bharti.
En 2014, ils avaient toutefois été sanctionnés en raison de la dégradation de leurs réseaux et services et ont écopé d'une amende. Depuis, la situation ne s'est guère améliorée.
En juillet 2016, le ministère congolais des télécommunications avaient de nouveau appelé les opérateurs à améliorer leurs services.
Vous pouvez acheter une puce au Congo à insérer dans votre mobile débloqué. Mais pas sûr que la qualité soit au rendez-vous.

Le taux de connexion à Internet au Congo est l’un des plus faibles d’Afrique. En 2011, on estimait qu'à peine plus d'une centaine de personnes possédait un abonnement Internet à haut débit via une ligne fixe. De plus, le prix d'un giga de données mobiles est très élevé. 
Dans les grandes villes comme Brazzaville et Pointe-Noire, on trouve néanmoins des cybercafés.