Où dormir, hôtels et hébergements Mayotte

Si Mayotte envisage sérieusement de développer son tourisme, il lui faudra alors rapidement accroître le nombre d’hébergements sur l’île. Pas facile de se loger en période estivale, encore moins à bon marché.

Les offres sont plutôt rares, on y accède par réseau. Ce sont pour les routards « longue durée » une réelle opportunité de se loger pour pas cher. De 200 à 350 € la chambre par mois en moyenne.

C’est le type d’hébergement le plus répandu à Mayotte. On en trouve aussi bien sur Grande-Terre que sur Petite-Terre. De 20 à 50 € (voire davantage pour les plus luxueuses). Les chambres sont aussi bien tenues par des Mahorais que par des métropolitains. C’est la meilleure façon de faire des rencontres et de s’imprégner de la vie locale !

Mayotte manque cruellement d’hôtels bon marché. Les établissements de l’île accueillent souvent des hommes d’affaires, des fonctionnaires en mission ou de riches vacanciers. Ils proposent du haut de gamme : vue sur le lagon, piscine, climatisation…

À Mamoudzou, on trouvera toutefois quelques établissements proposant des chambres à partir de 35 €. Partout ailleurs, il faudra débourser entre 80 et 110 € la nuit en chambre double.

Une formule répandue sur l’île. Un bon compromis entre la convivialité d’une chambre d’hôtes et la tranquillité d’un hôtel de luxe. Souvent situés en bord de lagon, les gîtes proposent des prestations très variées qui vont du dortoir type auberge de jeunesse au bungalow les pieds dans l’eau à 150 € la nuit.

Très peu de camping à Mayotte ! Les amoureux du bivouac privilégieront les plages du sud de Grande-Terre pour planter leur tente… Le week-end, de nombreux amateurs de nature s’y retrouvent : c’est aussi l’occasion d’assister, aux premières loges, à la ponte nocturne des tortues. Certains îlots comme celui de Bandrélé sont également propices au camping sauvage.

En juillet-août, vous pouvez trouver des maisons à garder. Pas de loyer à payer (ou très peu). En échange, vous surveillez le domicile de Mahorais ou de métropolitains partis en vacances loin de Mayotte.