Où sortir à Tokyo ?
Effervescente, insolite, décalée, surprenante… Difficile de décrire en un seul mot la nuit tokyoïte !
Avec ses centaines de restaurants, ses bars en pagaille et ses clubs gigantesques, la capitale japonaise est une destination de choix pour tout noctambule. Une ville où le mot « fête » prend tout son sens. Une ville aux concepts tous plus fous et avant-gardistes les uns que les autres. Une ville qui se vit le jour mais se savoure la nuit…
Tokyo by night, c’est par ici…
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Ah, la nuit à Tokyo ! La capitale japonaise n’a rien à envier à Londres, Miami, Paris ou Ibiza au niveau de son offre nocturne. Bien au contraire.
Tokyo offre un terrain de jeu sans limite, où l’on peut vivre plusieurs expériences en une seule soirée : boire un verre dans un bar à chat ou un Maid Café, puis enchaîner dans un restaurant traditionnel de soupes ou de brochettes, pour terminer dans un bar interlope à écouter un concert de punk ou à se déhancher sur le dancefloor de clubs gigantesques au son de la musique techno.
Trois quartiers principaux pour sortir : Roppongi, Shibuya et Shinjuku. Chacun avec son identité. Chacun avec sa folie. Pour ceux qui ont un peu plus de temps, vous pouvez pousser jusqu’au quartier d’Odaiba, où l’on trouve la plus grande boîte du pays : Ageha et ses quatre scènes gigantesques, ou à celui d’Akihabara (pour ses maids cafés et ses lieux 100 % geek).
Quelques généralités sur les sorties et la nuit à Tokyo :
- Les Japonais mangent assez tard (20 h/22 h) puis vont ensuite boire un verre, danser en club, faire un karaoké, jouer aux jeux ou aux machines à sous ou… marcher dans les rues de la ville, entre amis !
- Les fêtes se finissent souvent très tard ou très tôt, c’est au choix (5 h du matin). Certains locaux enchaînent même clubbing et travail, avec juste une petite heure de sommeil… ou pas ! Il existe des lieux (souvent des cyber-cafés ou des capsule-hôtel) pour se reposer quelques heures et prendre une douche.
- La nuit à Tokyo est assez chère. Comptez 2 500 yens (environ 20 euros) pour l’entrée d’un club et 1 200 yens (10 euros environ) en moyenne pour un cocktail. En revanche, on trouve des restaurants plutôt bon marché où vous pourrez vous en tirer pour moins de 1 500 yens (12 euros) pour un repas !
- Tendances musicales : électro, techno, hip-hop et R’n’B en clubs. Nombreuses salles de concert microscopiques pour les groupes de rock, de punk ou de métal locaux.
- Peu ou pas de sélections à l’entrée des clubs. Avant de sortir en boîte, munissez-vous de votre passeport ou d’une photocopie.
- Sortir à Tokyo est très sûr, même pour une femme seule (ce qui n’empêche pas toutefois d’être vigilant !). Seul le quartier de Roppongi, très occidentalisé, peut connaître quelques nuits un peu agitées.
- Seul « enquiquinement » possible : les rabatteurs (notamment devant les « établissements érotiques »), que l’on trouve surtout à Shinjuku (quartier de Kabuki-cho notamment) et qui veulent vous faire entrer dans leur établissement. Ils peuvent parfois être un peu oppressants, autant le savoir. N’hésitez pas à dire que vous êtes attendus par des amis japonais (ça aide).
Où sortir… dans le quartier de Roppongi ?
Le quartier préféré des oiseaux de nuit. Avec ses nombreux bars, restaurants et clubs, Roppongi redonne des couleurs aux nuits blanches !
Après la Seconde Guerre mondiale, le quartier abritait une base américaine. Il fallait bien créer des lieux de détente et d’amusement pour les soldats ! 78 ans plus tard, le quartier a gardé son côté cosmopolite et occidentalisé et ses QG pour noctambules.
À la tombée de la nuit, Roppongi Crossing (sortie 3 du métro) est le point de ralliement des fêtards. Ensuite, vous n’aurez que l’embarras du choix : cafés, bars, restos, izakaya, clubs, karaokés mais aussi bars à hôtesses, salons de massage et autres gentlemen’s clubs.
Un petit creux avant d’aller en boîte ? Parmi les meilleures adresses du quartier, direction Gonpachi (1-13-11 Nishi Azabu, Minato-ku), l’un des restos incontournables de Tokyo (il peut accueillir jusqu’à 350 personnes !) qui propose une cuisine traditionnelle de qualité et bon marché. Pour manger sur le pouce, le Chinese Cafe Eight (2F, Court Annex, 3-2-13 Nishi-Azabu, Minato-ku) propose des mets savoureux tout en étant l'une des cuisines chinoises au meilleur rapport qualité-prix de Tokyo. Si vous avez envie de déguster des sushis, makis et sashimis vraiment délicieux dans un cadre zen, direction le Pintokona (Roppongi Hills, B2F, Metro Hat-Hollywood Plaza, 6-4-1 Roppongi, Minato-ku). Les assiettes défilent sur un comptoir tournant, il n'y a plus qu'à attraper ce qui vous fait plaisir !
Deux adresses très « franco-françaises » à noter pour ceux qui ont le mal du pays : l’Atelier de Joël Robuchon (Mori Tower 2/F sur Roppongi Hills) et la Brasserie Paul Bocuse le Musée (à l’intérieur du National Arts Center). Bon rapport qualité-prix (plutôt le midi !).
Ensuite, vous n’aurez que l’embarras du choix pour prolonger votre soirée ! On vous conseille, notamment, l’étonnant Abbey Road, pour les amoureux des Beatles !
Côté clubs, des dizaines d’adresses, rivalisant toutes les unes avec les autres, à coup de sound systems (parfois) assourdissants, déco (très) colorée et excellent line-up de DJs électro et hip-hop notamment. Nos préférés ? Muse (4-1-1 Nishi-Azabu, Minato-ku), Line Club (3-15-24 Roppongi, Minato-ku), Esprit Tokyo (Roppongi B&V building 2/3 étage, 5-1-6 Roppongi, Minato-ku) ou encore Jumanji55 (1F,2F Marina bldg., 3-10-5,Roppongi, Minato-ku).
Plus convivial, Kento’s (8 Chome-2-1 Ginza, Chuo City, 104-0061) est le lieu idéal pour chiller en écoutant un concert rock and soul mettant à l’honneur la musique des années 50 aux années 80.
Où sortir… dans le quartier de Shibuya ?
Shibuya est animé de jour comme de nuit. C’est le rendez-vous favori de la jeunesse locale, des cosplays, des mambas et des center guys. Le royaume des looks les plus fous et les plus excentriques. Un formidable vivarium des modes et des tendances.
Shibuya reste le quartier emblématique de Tokyo, la « carte postale » de la capitale japonaise, avec son célèbre carrefour piéton (le plus important du monde !) où se croisent des dizaines de milliers de personnes chaque jour. Néons criards, écrans géants, buildings à perte de vue…
Impossible de venir à Tokyo sans passer une soirée (voire une nuit !) à Shibuya. Petit plus : le quartier est concentré sur quelques rues, et l’on en fait le tour assez rapidement. Pratique pour passer d’un établissement à l’autre ! C’est surtout ici que vous croiserez les looks les plus dingues, Shibuya étant l’un des repaires préférés de la jeunesse tokyoïte et des noctambules locaux.
Beaucoup se retrouvent au Gran Cyber Café Banes Bagus, dans le cœur de Shibuya : c’est un énorme cyber-café, ouvert 24h/24 (il n’est pas rare de croiser certains fêtards venus commencer ou terminer leur nuit ici !). Pour assouvir votre soif de culture, on vous conseille fortement le Bunkamura, à proximité du métro, au pied de la colline de Dogenzaka : 6 étages 100 % dédié à l’art et au divertissement avec une salle de concert, un théâtre, un cinéma, un musée et une salle d’expos.
Si quelques restos valent le coup (Kamukura pour ses soupes exquises ou Uobei Shibuya Dogenzaka pour ses sushis à tomber par terre), on vient surtout ici pour boire un verre ou faire la fête. Côté bars et cafés : embarras du choix ! Parmi les incontournables : Bar Flat (1-54-2 Yoyogi, Shibuya-ku), temple du cocktail et sans doute l’un des spots préférés des locaux ou encore Bello Visto (26-1 Sakura-gaoka-cho, Shibuya-ku), situé au 40e étage d’un hôtel de luxe avec un diaporama splendide sur tout Tokyo ! Côté pub, le Abbot's Choice (1-11-1 Shibuya-ku) vaut le détour avec ses 7 bières pression du jour, 43 bières en bouteille ou encore sa cinquantaine de types de whisky.
À Tokyo, prendre le micro dans un karaoké est un incontournable. Alors pour pousser la chansonnette, rendez-vous à La Pasela (1 Chome-3-16 Kabukicho) connue pour son grand choix de musiques étrangères.
Grand choix de clubs en tout genre également. Des temples de la musique hip-hop et électro notamment. Nombreux concerts de rock également ! L’adresse la plus populaire du quartier ? Womb (2-16 Maruyamacho, Shibuya-ku), avec son immense fosse type « salle de concert », son jeu de lumières hypnotisant et sa programmation sans fausse note.
Autre coup de cœur : le Sound Museum Vision (2-10-7 Dogenzaka, Shibuya-ku), un dédale de salles avec plusieurs bars, fréquenté aussi bien par les locaux que par des occidentaux. On aime sa programmation éclectique, du concert punk ou métal aux DJs techno ou R’n’B. Citons également Club Atom (Dr. Jeekain's Bldg. 4F/6F, 2-4 Maruyamacho, Shibuya-ku), Club Asia (1-8 Maruyamacho, Shibuya-ku), Circus (3-26-16 Shibuya, Shibuya-ku) et Club Bar Family (Shimizu Bldg B1F, 1-10-2 Shibuya, Shibuya-ku).
Enfin, et parce que c’est aussi une des « images » de Tokyo, Shibuya abrite de nombreux « love hotels ». À tester, pour quelques heures ou pour une nuit, seul… ou accompagné !
Où sortir… dans le quartier de Shinjuku ?
En journée, le secteur de la mairie, à l’ouest, et du Shinjuku-gyoen (le plus grand parc de la ville) au sud sont deux incontournables de Shinjuku. Le soir, direction Kabuki-cho (à l’est) pour goûter à tous les plaisirs nocturnes qu’offre ce quartier, souvent présenté comme le plus « chaud » de Tokyo.
Les clubs de strip-tease et les salons de massages de Shinjuku se mêlent aux centaines de bars et restos typiques. C’est ici que l’on trouve la plus grande concentration de restaurants de tout le pays !
Passage obligé de Shinjuku pour boire un verre ou manger sur le pouce : Golden Gai. 5 ruelles bordées de dizaines de micro-bars (parfois on ne tient qu’à 3 ou 4 !). Peu animés en journée, mais effervescence le soir venu (vers 20 h). Clientèle d’habitués (les touristes ne sont pas toujours les bienvenus : à vous de vous faire tout petit au début !). Chacun a un peu sa spécialité : karaoké, expos… On aime particulièrement La Jetée (1-1-8 Kabukicho, Shinjuku-ku), bar de prédilection des cinéphiles dont le nom reprend le titre du film de Chris Marker.
Une alternative pour manger : Yakitori Yokocho, surnommée « la rue des brochettes », en fait deux ruelles lilliputiennes abritant des dizaines de petits restos (spécialités : soupes, ramen, brochettes). Un peu plus ouverts aux touristes que les établissements de Golden Gai.
Impossible de vouloir goûter à la nuit tokyoïte sans découvrir le bouillonnant Kabuki-cho, l’un des secteurs les plus célèbres de la ville. Succession d’enseignes multicolores, de néons étincelants et de couleurs aveuglantes. Bienvenue dans le « red light » le plus important du Japon !
Un quartier à l’atmosphère unique, qui ne dort jamais, avec ses sex-shops, ses salons de massage, ses clubs luxueux, ses strip clubs… Parfois les « demoiselles » qui vous accueillent à l’intérieur ont leurs photos affichées en grand sur la devanture. Un peu glauque mais cela fait (aussi) partie de la nuit tokyoïte. Vous risquez de vous faire souvent « alpaguer » par des rabatteurs pour y entrer. Yakusas omniprésents (reconnaissables à leur costume sombre et leur oreillette). Bien sûr, une fois à l’intérieur d’un de ces établissements, ne soyez pas étonnés du montant de l’addition. On vous aura prévenus ! Nombreux clubs, cinémas, karaokés, salles de concert, cinémas, fast-foods, love hôtels dans le coin, également.
Le quartier gay de Tokyo se trouve aussi à Shinjuku, entre le temple de Taiso-ji et Gyoen-dori avec plus de 200 bars, clubs, librairies…
Pour finir, une adresse pour les cinéphiles : c’est à Shinjuku que se situe le bar du film Lost in Translation de Sofia Coppola. Il s’agit du New York Bar, lové au 52e de la tour du Park Hyatt Hotel. Un lieu cosy et jazzy qui offre une vue à couper le souffle sur toute la ville. Une expérience unique !
10 sorties insolites et décalées à Tokyo
Plus que dans n’importe quelle autre ville, vous trouverez à Tokyo des lieux de sortie et de divertissement aux concepts insolites et décalés ! Petite liste non exhaustive :
- Neko Café (bar à chats) : déguster un thé ou un café entouré de matous, c’est très tendance dans tout le Japon et notamment à Tokyo (une explication à cela : il est difficile pour les Japonais d’avoir des chats chez eux, en raison de la petite superficie ou de la réglementation des immeubles d’habitation). Ambiance zen et décontracté : on se déchausse, on s’installe pour boire un verre, discuter (en silence !) entre amis ou lire des mangas… On peut même (en payant un supplément) nourrir les chats. Ce sont eux les maîtres des lieux ici (interdiction de les réveiller s’ils dorment, de les « câliner » trop brutalement…). Un havre de paix pour hommes d’affaires pressés et étudiants stressés. On en trouve notamment à Shibuya, Shinjuku (Cat Cafe Calico) et Ikebukuro. Fermeture avant 20 heures.
- Bar à hérissons : après les chats, les chiens ou encore les lapins, c’est au tour des hérissons de se faire caresser par des clients venus boire un verre ! Tout comme les chats, ils auraient des vertus relaxantes. Une activité qui ne manque pas de piquant ! Alors rendez-vous au Harinezumi Cafe !
- Bar à câlins (Hug Bar) : l’une des grandes tendances (parfois décriée) à Tokyo, ces dernières années : se faire dorloter dans un bar à câlins ! Comme dans un bar « classique », vous choisissez sur une carte ce que vous souhaitez : papouille dans les cheveux, tête à tête yeux dans les yeux silencieux ou encore partager le même couchage avec une hôtesse. Mais attention, ici, toutes les prestations sont « softs » : pas de prostitution ou d’attouchement sexuel ou même de caresses sensuelles. À vous de voir si vous validez ou non ce type de concepts avant de tester… Clientèle exclusivement masculine.
- Les pachinkos, les machines à sous japonaises : vous verrez sans doute dans les rues de Tokyo des sortes de casinos hyper bruyants, aux allées étroites avec des dizaines de machines alignées les unes à côté des autres. Ces machines, ce sont des pachinkos, un mix entre un flipper et une machine à sous. Les billes remplacent les pièces et la manière dont ces billes tombent, déclenche une sorte de bandit manchot. Si trois symboles identiques apparaissent, alors un grand nombre de billes tombent. Elles ne peuvent pas être échangées contre de l’argent mais souvent contre des cadeaux. Un Japonais sur quatre y joue. C’est la troisième source de revenus de l’industrie des loisirs au Japon. Dans ces salles, ambiance très particulière, quasi-hypnotique ! Volume sonore difficilement supportable.
- Games Center : des immeubles entiers, de plusieurs étages, dédiés aux jeux vidéo, aux simulateurs de voitures, aux « pinces à peluches » et au divertissement sous toutes ses formes. Il en existe plusieurs dans le quartier de Shinjuku. Très prisés par les jeunes locaux et les touristes. Fermeture vers 2 heures du matin.
- Café pour « geeks ou fans de mangas » : certains établissements ressemblent à des chambres d’adolescents géantes ! Ambiance manga ou jeu vidéo : des consoles par dizaines dans certains, des décors comme dans les BDs japonaises pour d’autres… Ces lieux, dans la plus pure tradition de l’entertainment made in Japan, connaissent un grand succès auprès des jeunes locaux. Il faut parfois faire 40 minutes de queue pour avoir une place.
- Karaokés géants : les Japonais sont fans de karaoké (et encore le mot est faible !). Il en existe 10 000 dans tout le pays. Vous n’aurez que l’embarras du choix à Tokyo également, notamment dans les quartiers de Shibuya, Shinjuku et Roppongi. Ils sont souvent ouverts jusqu’au petit matin. Il en existe avec des orchestres jouant en live, d’autres perchés tout en haut d’un building (singing with a view !) ou encore dans des décors totalement loufoques comme Fioria (5-1-3 Minato-ku, Roppongi) à Roppongi avec ses salles ambiance science-fiction, luxe ou même… salle de bain (vous pourrez pousser la chansonnette installé dans un jacuzzi !).
- Maid Café : c’est l’une des « images » les plus connues du Japon et de Tokyo : les Maid Cafés ces bars/restaurants où les serveuses sont habillées en uniforme de domestique ou en personnages de manga. Des serveuses qui interagissent parfois avec les clients à travers des jeux, des chants ou des animations diverses. Ces lieux sont essentiellement fréquentés par des otakus ou des hommes d’affaires, venus s’échapper quelques minutes de leur quotidien, mais aussi par des touristes. Attention ! Jamais de geste déplacé envers les demoiselles. On trouve notamment des Maid Cafés dans le quartier d’Akihabara (une cinquantaine au total). Parmi les plus connus : @home Café, Cure Maid Café, Pinafore… Le Guild Café Queens Court est un immeuble de 6 étages, avec uniquement des Maids Cafés !
- Robot Restaurant : un restaurant unique au monde où l’on peut dîner tout en assistant à un combat de robots ! Un ring au milieu de la salle, un spectacle son/lumière détonant et c’est parti pour une plongée dans la culture moderne nippone, à la croisée entre le manga et le jeu vidéo. Un spectacle à ne pas manquer ! Adresse : Robot Restaurant, Shinjuku Robot Bldg. B2F, 1-7-1 Kabuki-cho, Shinjuku-ku
- BONUS ! Un restaurant où vous pêchez vous-même votre poisson avant de le déguster, c’est possible ? À Tokyo, oui ! C’est la chaîne de restaurants Zauo qui propose le concept : vous vous installez sur le pont d'un (faux) bateau (un bassin rempli d'eau, sous vos pieds), et hop ! Petite partie de pêche à la ligne (miraculeuse ou non !). Ensuite, en cuisine, on s’occupe de tout. Fraîcheur garantie ! Endroit décalé et expérience originale ! Zauo, 3-2-9 Shinjuku (dans l’immeuble du Shinjuku Washington Hotel).
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Texte : Nicolas George