Après plusieurs mois de préparation, notre séjour en Ethiopie a débuté le 12 mars 2020, pour 20 jours et devait nous conduire de :
Addis Abeba à
Mekele.
Au danakyl.
Lalibela et ses groupes d’églises, marché….
Trek dans le parc Abune Joseph.
Gondar, ses monastères….
Trek dans le parc national du Siemen
Baher dar, son lac, ses églises, la source du Nil….
Mais rien n’en fût ainsi. Alors, aléa jacta est.
Les conditions climatiques dans le nord du pays, ont contraintes Ethiopian Airlines d’annuler, reporter au jour le jour ses vols durant 3 jours de suite.
Sans entrer dans les détails, nous avons cumulés les aller- retour sur l’aéroport ainsi qu’au siège de la compagnie aérienne Ethiopian (chronophage), chercher des hébergements aux pieds levés et que visiter sur Adddis Abeba et les alentours, se faire rembourser les premiers vols, car impossibilité de se rendre sur Mekele et le Danakyl , changer les vols suivants.
Nous étions sur Lalibela, de retour de notre premier trek, les conditions sanitaires mondiales se détériorant, le ministère des affaires étrangères, demande à ses ressortissants de regagner la France sans délai, car Ethiopian Airlines annonçe l’annulation progressive de ses rotations vers l’hexagone. En bout du bout, vol international modifié, vol interne modifié pour rejoindre Addis Abeba, nous annulerons les vols internes restants, hébergements suivants et la prestation prévue dans le Siemen.
A noter que quelques jours auparavant l’ hébergeur sur Baher Dar, nous avait adressé un mail, pour nous signifier qu’il refusait de nous recevoir, pour préserver sa famille de crainte de contagion et du quand dira-t-on du voisinage. Là encore, il avait fallu trouver un autre point de repli sur cette ville, pour finalement l’annuler par la suite, pour cause de retour prématuré en France.
Petite précision dans un pays comme celui-ci, ou le Wifi, internet, la 4G est très très aléatoire, accéder à ses mails et à des sites internet, prendre connaissance des messages WhatsApp, requièrt des nerfs à toutes épreuves dans les moments importants.
Flash-Back :
Vol international pris fin juin 2019 . Réserver son billet sur Ethiopian Airlines peut s’avérer intéressant, outre le fait que le vol soit direct et si comme nous le circuit se faisait principalement en empruntant les rotations aériennes internes, la compagnie accorde des tarifs préférentiels allant jusqu’à 34% de réduction (des commissions bancaires sont appliquées sur ces achats allant de 0,74 à 1.50 € par billet).
Arrivée sur Addis Abeba au petit matin.
Après avoir passé le check point mis en place dans le cadre du Covid.19, formulaire rempli, prise de température, nous passons sans attente l’immigration avec en poche une copie papier du visa.
Formalités pour obtention du visa touristique ou autres , en ligne via le site de l’ambassade Ethiopienne: https://www.evisa.gov.et/#/tourist-visa
Usd 52 + usd 2 de frais de dossier – validité 30 jours à compter de la date d’entrée dans le pays. Une commission bancaire est appliquée par la banque de 0.95€.
Récupération des bagages. Avant la sortie plusieurs ATM permettent de retirer de l’argent, la transaction est limitée à 4000 ETB, renouvelable. Commission bancaire appliquée 2.23€.
Sur le parking nous attend un agent de l’agence, avec laquelle nous allons passer la journée pour une visite d’Addis Abeba avec extension de nuit. Nous nous rendons dans leurs locaux pour régler la prestation, ainsi que celle prévue pour le Danakyl . Le chauffeur nous déposera ensuite à notre guest house avant de revenir nous chercher 2 heures plus tard.
Direction le nord, une vision de ville en bouleversement, avec des travaux de voieries et de bâtiments au fil des kilomètres, différents quartiers apparaissent, buildings modernes, ambassades luxueuses, université côtoient les maisons aux toits de tôle. Malgré tout la ville est propre, partout s’active des femmes chapotées, munies de balai et pêle.
Avant d’entamer la montée vers le mont entoto, la route en travaux, ne laisse d’accessible qu’une piste caillouteuse ou se croisent avec difficulté camions, voitures, motos, piétons. Toute une vie de part et d’autre, échoppes diverses d’un côté et de l’autre des travailleurs de voierie dont la plupart sont des femmes.
La piste finie par laisser place à une belle route qui serpente vers le sommet, nous croiserons des muletiers et nombre de vielles femmes courbées et tassées par le poids des branchages qu’elles portent à même leur dos. Vision assez déroutante.
Le point de vue panoramique sur la ville
Nous reprenons la route vers le sommet, sur le plateau des forêts principalement d’eucalyptus, une belle église, ici et là des petits hameaux d’habitations ou broutent quelques troupeaux de moutons, une vue dégagée donnant sur de vastes étendues de pâturages et terres agricoles.
De retour en ville, passage par la mosquée bleue.
Pause-déjeuner, dans un restaurant local et découverte du plat traditionnel : l’injera, galette garnie de légumes, à déguster avec les doigts. Le coût pour deux est de 70 ETB, pour les boissons voici quelques prix : une bière locale 30 ETB, un soda 16 ETB, une eau gazeuse 14 ETB.
Visite du Musée national. Avant l’entrée sur le parking il faut montrer patte blanche, fouille corporelle.
Le musée est composé de 4 niveaux, respectivement sur les dirigeants éthiopiens successifs, de toiles diverses et d’arts ancestraux, outillages. Le sous-sol est lui consacré en autre au reste de la fameuse Lucy. Coût dérisoire 10 ETB.
Poursuite de la visite de la ville par l’impressionnant mercato, réparti par secteurs d’activités, couturiers, habillement, nourriture, plastique, ferrailleurs……
Tout s’achète, se recycle, se vend, un dédale incroyable ou se mêlent et circulent camions, voitures, tuk tuk, muletiers, piétions chargés à bloc.
Notre chauffeur et guide tiennent à nous faire découvrir une autre spécialité de leur pays. Stop dans un bar local avec grand jardin ou se retrouvent les jeunes, les couples, les familles avec enfants, une petite zone de jeux très sommaire y est d’ailleurs aménagée.
Le Tej, boisson alcoolisée à base de miel. L’originalité pour ma part réside au fait qu’elle se boit non pas dans des verres, mais des fioles, pour le reste c’est affaire de goût. Coût pour un litre 250 ETB.
La journée est maintenant bien entamée, nous regagnons notre hébergement, dinons dans un bar restaurant tendance de l’autre côté de l’avenue, tenu par un Ethiopian ayant vécu en France, nous échangeons et dégustons un plat de macaroni en sauce, franchement belle surprise tant par la qualité, quantité et préparation du mets. Coût d’un plat 130 ETB, eau plate bouteille 50 cl, 22 ETB.
Il n’est pas encore temps de se coucher, fort de la distance j’ai réservé de France, une excursion nocturne. A 21h30 en 4*4 nous prenons la route vers l’extérieur de la capitale, ou nous assisterons à la sortie des sous-bois des hyènes venues se restaurer dans les décharges de la périphérie de la ville, celles-ci n’ont pas la tâche facile car tous les chiens du voisinage se mettent à leur poursuite.
Le jour suivant, après avoir fait un aller-retour sur l’aéroport, trouver un nouvel hébergement, renégocier avec l’agence le séjour sur le Danakyl réduit d’un jour, nous partirons à pieds visiter les alentours de notre hôtel. Balade sur les avenues et visite de la cathédrale Medhane Alem.
Le jour suivant, averti par mail d’une nouvelle annulation du vol pour Mekele, la matinée et une partie de l’après-midi, est consacrée à se rendre chez Ethiopian Airlines pour les modifications de nos vols à venir, car pour Mekele et le Danakyl, l’affaire est pliée. Retour à l’agence, renégociation pour une sortie le lendemain dans les alentours de la région d’Addis Abeba, et d’un hébergement dans un appartement pour 2 nuits, en lieu et place de l’expédition dans le Danakyl.
Ce matin après un cafouillage de la part de l’agence, nous voilà à bord d’un mini vanne, direction le nord-ouest d’Addis Abeba vers la vallée de la rivière Djamma.
Après avoir quitté la nébuleuse Addis Abeba, entre embouteillages et scènes de vie répétées depuis le début de notre arrivée, de grands espaces s’ouvrent à l’horizon. Après une heure vingt lovés dans l’habitacle de notre véhicule, les paysages se muent en vastes étendues vallonnées, des champs à perte de vue parsemés de bosquets d’eucalyptus, de nombreux troupeaux de bovins, ovins conduits par leurs bergers, des attroupements d’individus sur les bords de route, attendant les mini bus au milieu de nulle part.
Nous voilà arrivés à destination, à 120 kilomètres de la capitale les quasi mêmes scènes se renouvellent, un petit marché local offrant les produits de base à la vie.
Nous arrivons au Monastère Debre Libanos – coût 300 ETB – Rajouter 300 ETB pour vous permettre de prendre des photos.
On nous présente le « représentant du site, » celui-ci nous mènera au monastère ou les fidèles se recueillent, puis s’en suit la visite du musée.
Une messe est en cours, les grilles du site sont cadenassées, de partout les fidèles se figent et prient, le silence se fait.
Nous voilà maintenant pris en main par un guide local, chargé de nous mener vers les grottes du site.
Une marche soutenue jusqu’au sommet du plateau, ou nous croiserons beaucoup d’habitants. Avant d’arriver au sommet des cris, des pleurs nous interpellent, aucune explication ne nous sera donnée. Nous apprendrons par la suite qu’il s’agissait de séances d’exorcismes. La grotte fermée par des portes est ouverte à la demande. A l’intérieur de larges fûts en plastique permettent de recueillir l’eau de source, s’écoulant de la roche.
Nous quittons ce site, sur la route nous apercevrons les premiers geladas, avant de nous poser pour le déjeuner typiquement local.
Rien de mieux pour digérer qu’une randonnée dans l’Ethio German park.
Au cinquième jour de notre arrivée, nous regagnons à nouveau l’aéroport, non sans une boule au ventre. Vol, pas de vol ? Le moins que l’on puisse dire est que les indications dans l’aéroport ne sont pas des plus précises, les horloges donnent une heure aléatoire, les vols mentionnés correspondent à des horaires de nuit, les numéros de vols censés desservirent une ville en indique une autre. Difficile de s’y retrouver. Mais bon tout semble au feu vert pour nous, décollage et atterrissage sur Lalibela.
NB : Le terminal 1 de l’aéroport d’Addis Abeba destinés aux vols internes, offre après enregistrement et passage des contrôles, un espace où il est possible de se restaurer, de fumer, quelques boutiques et également un ATM, avec les mêmes règles de retraits qu’ailleurs 4000 ETB par transaction.
LALIBELA
Vingt minutes de route, installés dans notre guest house située en plein cœur de Lalibela, après avoir réglé les formalités diverses pour notre trek du lendemain avec le guide, nous nous dirigeons vers un bar resto local surplombant la place centrale. Du haut de notre promontoire observons une partie de baby-foot, de ping-pong, les allées et venues des tuk tuk, camions, une vie pétillante. Commander à déjeuner n’est pas chose simple. Il faut se faire comprendre de la serveuse et l’affaire n’est pas gagnée, aidé d’un personnage parlant quelques mots de français et parfaitement anglais, nous finirons par nous sustenter. Coût d’un plat de pâte en sauce - 65 ETB, bière local 20 ETB.
Une ballade des alentours s’en suit, interpellation courtoise par un jeune Ethiopien, nous en connaissons le but, je dois dire qu’il est très perspicace, sympathique, souriant, agréable. Plutôt que de l’éconduire, préférons le laisser faire et en apprendrons un peu plus sur le mode de fonctionnement et les questionnements que nous nous posions, Avec lui, nous gravirons le mont qui surplombe une partie de Lalibela ou les TO proposent une sortie couché de soleil. Nous lui laisserons 200 ETB.
La pluie s’immisce en ce début de soirée, des trombes d’eau s’abattent sur la ville. Il nous faut nous connecter, le wifi ne passant pas à la guest house, on nous suggère un hôtel à proximité, muni de nos lampes frontales et équipement de pluie, nous prenons la direction du lieu indiqué. Moyennent une conso, bière locale évidemment -coût 43 ETB. Wifi suffisante pour les appels mais impossible de consulter les mails.
Retour à la guest house, dîner dans le petit snack local jouxtant celle-ci d’un plat de riz aux légumes et de bières, toujours locales il va s’en dire pour un coût de 210 ETB pour deux. Il est difficile, voir impossible dans les lieux populaires en cette période de carême de trouver des plats à base de viande, mais on s’en accommode.
Au levé, nous retrouvons notre guide qui nous emmènera petit déjeuner sur la place principale dans une échoppe fréquentée par les locaux, café et plat à base de pomme de terre, lentilles façon hachis Parmentier.
Retour à la guest house, délestés de l’ensemble de nos affaires, qui seront conservées à l’accueil pour les prochains jours. Quand je dis délesté c’est délesté, seul nos sacs de couchage, quelques fringues et une brosse à dents seront nécessaires.
La petite mule est chargée de notre sac et des provisions alimentaires, nous remontons vers la place principale, bifurquons à travers les dédales de petits chemins à l’arrière des stands et boutiques ou le brouhaha de la ville s’estompe peu à peu.
A quelques enjambées c’est un spectacle ornithologique qui nous est permis d’observer, inséparables, martins, tisserins…
Le sous-bois d’eucalyptus protège la piste plane des rayons du soleil, sur laquelle se croisent encore quelques allées et venues d’un bon nombre d’habitants.
Première belle ascension, roche ocre, qui débouche sur des hectares de champs en paliers.
L’ascension se poursuit au rythme des panoramas divers. Peu avant d’atteindre les 3200 mètres d’altitude, un escarpement abruptes de plusieurs mètres de long nous fait face, tels des funambules, avançons avec prudence, avant de gravir les escaliers de roche naturelle, une rencontre inattendue avec des petits mammifères farouches des montagnes, les “harax”.
Le palier des 3200 atteint, vaste plateau aride d’Hudad, tel une steppe habillée de ci delà de petits arbrisseaux, balayée par le vent froid, ou les geladas et les elmedra singes blancs très craintifs pour ces derniers, cohabitent et trouvent abris et nourriture.
La marche ascensionnelle est lente, plus haut encore, pause déjeuner.
Dernière longue et pénible ascension, un dédale d’enchevêtrement de pierres.
Nous sommes maintenant à 3600 mètres d’altitude, le temps se couvre pendant quelques minutes laissant présager de la pluie, heureusement les éclaircies reviendront. A perte de vue le plateau est verdoyant,
Au fur et à mesure de notre progression, la vie reprend sur ce sommet. Hameaux, fermiers dans les champs, animaux broutant.
Après plus de 8 heures de marche, nous foulons maintenant un green, à faire pâlir un Tiger Woods.
Nous voici arrivés au village d’Add Dega dans la famille d’accueil, présentation, cérémonie d’accueil dans leur tukul, ou bœuf, âne et chats se côtoient.
Dans une atmosphère enfumée autour du feu, on nous sert le café, un plat traditionnel, bière artisanale très particulière.
Comme si autant de foulées ne suffisaient pas, nous voilà parti visiter les alentours, enfants jouant, petites bergères surveillant leur maigre troupeau, petite église colorée. Assis au flan de la falaise, notre guide nous contera l’histoire religieuse de son pays avant de regagner notre logement, diner et nuit emmitouflée dans nos duvets, recouvert de 3 couches de couvertures.
Quand le jour pointe le bout de son nez, nous sommes réveillés depuis un moment, l’atmosphère se réchauffe peu à peu.
Après le café, nous abandonnons à leur sort cette famille d’accueil d’un jour, ce court échange contribuera comme à chacun de nos voyages, à relativiser les moments qui semblent difficiles au quotidien.
Marche en compagnie d’habitants sortant de je ne sais ou, leur allure est plus rapide que la nôtre. Tous se dirigent vers un marché ou nous passerons, assis un long moment, à observer l’effervescence du lieu.
Notre nouvel hébergement est atteint pour l’heure du déjeuner, un après-midi monacal nous attend, le temps s’égrène lentement, trop lentement. Finalement, nous predrons la décision de partir découvrir les alentours, notre guide nous accompagnera. L’occasion pour lui de payer les droits d’entrée au parc Abune Joseph Vallée, à un garde dont la présence semble improbable sur le bord de cette piste.
Réfugiés dans le lodge faisant office de cuisine mais si enfumé, que nous préférons rester drapé de couverture à l’extérieur et ce malgré le vent. Dîner en extérieur et couché très tôt.
07h 00, aujourd’hui pente descendante.
Le décor: des plateaux cultivés retenus par des murets de pierres, des espaces verdoyants ou les ibis cherchent leur nourriture. Plus nous descendons, plus les changements s’opèrent, la montagne se fait plus aride, roche blanche, décor à l’allure de jardin botanique, rivière entre les gorges et reprise d’un peu de vie.
La marche finira par la visite de l’église Yimrhanne Kirstos, lovée dans sa grotte. Coût pour les touristes 1070 ETB.
La visite terminée, nous descendons vers le village Yimria Kristos, d’une extrême pauvreté. Il sera impossible de sortir de l’échoppe ou nous déjeunons, tant les sollicitations des uns, des autres, enfants, mendiants sont importantes.
De retour sur Lalibela, entre pistes et bitume, stoppés par des travaux et planage de piste, après 1h20 de route.
Le jour suivant, après le petit déjeuner pris au snack de la guest house – coût 15 ETB le café, toast 55 ETB, vers 08 h 30 à pieds partons pour la visite des églises, celle du groupe nord en compagnie de notre guide. Après les formalités d’accès – coût 3700 ETB par personne.
Avec un agent du site, nous commençons par la découverte du musée. On retrouvera ensuite notre guide, pour la visite des églises.
Postés au sommet du mont finissons par assister à la fin d’un office religieux en plein air.
S’en suit la visite de la plus mythique, ne faisant partie d’aucun groupe, l’église Saint Georges.
Maintenant direction le marché, affluence et effervescence sur la place dédiée, du haut de Saint Georges, nous pouvons en ressentir l’ambiance qui y règne.
L’après-midi est quant à lui consacré, à la visite du groupe d’églises du sud. D’un premier abord moins intéressant de part une érosion plus prononcée, et des fouilles archéologiques, la découverte ira crescendo.
Le lendemain un vol devait nous mener vers Gondar, internet ayant fonctionné, les mails afflués, il nous faut renoncer à la suite de notre séjour, avant arrêt des vols vers la France annoncé. La sagesse l’emportant sur la raison. En attendant un vol pour Addis Abeba, nous décidons en dernier ressort de réserver un lodge excentré du centre-ville, sur les hauteurs au milieu de la végétation, nous ne sommes que deux. C’est en tuk tuk négocié pour 100 ETB par personne que nous gagnerons ce lieu.
En Lodge 4 étoiles quelques prix :
Pizza : 170 ETB
Plat de pâte en sauce : 135 ETB
Poisson : 125 ETB
Poulet rôti : 250 ETB
Vin la bouteille : 592 ETB
Bière : 40 ETB
Eau 1 l : 32 ETB
De Lalibela à l’aéroport il faut compter 20 minutes de trajet, coût taxi 500 ETB.
L’aéroport d’Addis Abeba est actuellement en travaux, du terminal 1 vols intérieurs, pour rejoindre l’aéroport international ou vice et versa, il faut longer les parkings extérieurs, moins de 08 minutes à pied, des chariots à bagages sont dispos. Si vous décidiez d’utiliser les services d’un taxi pour 2 minutes de transfert, il devrait vous en coûter 250 ETB, à négocier.
Notre court séjour s’achève, amputé, réduit à son plus strict minimum, reste plus qu’à procéder aux formalités d’enregistrement, et attendre encore et encore…. tout l’après-midi…. la soirée…. avant de pouvoir embarquer à bord de l’aéronef dont le décollage est prévu à 00h15.
A dispo
christian
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