séjour du 10 au 21 octobre 2017
Quelques jours dans le petit village côtier d’Afissos à parcourir les sentiers du Pélion et profiter des baignades dans le golfe de Volos.
Volos où, selon la légende, Jason et ses Argonautes auraient séjourné.
j’arrive à Kalambaka, petite ville adossée au pied des falaises impressionnantes des Météores, curiosité géologique devenue le siège des monastères,
J’entame la montée aux Météores par la route est et 6 km plus loin je découvre le site avec ses rochers imposants.
Premier monastère : Holy Trinity
On y accède par un escalier taillé dans la roche.
Le deuxième monastère : Saint Stéphanos est beaucoup plus grand et richement décoré.
La route se poursuit en direction des autres monastères :
La route panoramique offre une multitude de vues sur les roches issues de l’érosion et permet de découvrir les 4 prochains monastères.
J’arrive au monastère Roussanou en ayant cheminé le long d’un sentier ombragé.
Un escalier défend l’accés au monastère.
Le monastère Varlaam prolonge le parcours cerné par de hautes parois.
Une énorme roche décorée d’un lierre qui lui donne une teinte rougeâtre.
J’emprunte un chemin pavé pour redescendre vers la plaine de Thessalie.
Une bifurcation permet de rejoindre le Grand Météore fermé aujourd’hui.
Le chemin descend sur Kastraki endormi à 15h00.
Pour ce deuxième jour dans les météores je pars dans l’autre sens.
En quelques minutes, j’arrive au sommet de l’agglomération de Kalambaka adossée à de hautes falaises.
L’église byzantine des 9eme et 11eme siècle constitue le départ de mon parcours.
Un sentier pédestre longe les maisons.
L’Old Street of Kastraki offre une vue dominante sur le village.
Quelques centaines de mètres plus loin une piste bétonnée conduit à un chaos de roches garnies d’habitations troglodytes.
Ce sont des monastères fermés au public.
Certains sont abandonnés.
La périphérie de Kastraki est encerclée de roches.
Je franchis un col où des escaladeurs ont déjà entamé leur ascension.
Il y avait même une prison pour les mauvais moines.
Le chemin me conduit au pied du monastère Saint Nicolas perché sur un piton.
Ce petit monastère habité par un seul moine est accessible au prix d’une rude montée.
Les rochers entourent une partie du site, l’autre offrant une vue dégagée sur Kastraki et Kalambaka.
L’accés au clocher sommital est bercé par une musique envoûtante.
Sur un piton voisin on devine un monastère en ruine.
A l’origine il y avait plus de 20 monastères, maintenant il y en a 6 en activité.
Un longue montée par un sentier ombragé conduit au Grand Météoron.
Vue sur le monastère Varlaam.
Martyr d’un moine.
Mon séjour en Grèce se poursuit à Thessalonique que je rejoins en bus avec changement à Trikala.
Le vendredi matin je descends en direction du port et je constate une animation autour d’un vieux vaisseau amarré.
Il s’agit d’un croiseur de la marine grecque qui s’est illustré au siècle dernier contre les Turcs.
Je consacre une heure à la visite de ce navire, le G. Averof.
La ballade se poursuit dans la vieille ville à la rencontre des romains qui ont laissé d’importants monuments :
Le palais de Galère,
l’arche de Galère,
la Rotonde
L’après-midi, je monte à l’assaut de l’Acropole en passant par l’Agora.
Je déambule dans un labyrinthe de ruelles épargnées par l’incendie de 1917.
La forteresse est entourée de remparts, les suivre est l’occasion de bénéficier d’un panorama exceptionnel sur l’agglomération et son littoral.
Je me devais de conclure ce magnifique séjour par la visite de la Tour blanche, monument emblématique de la ville de Thessalonique…
…et saluer Alexandre le Grand.
Ainsi s’achève un magnifique séjour ayant traversé différentes époques.
Dominique