En réalité, rien de concret, rien d’officiel, juste une rumeur ou un “dire” de l’état, mais rien n’est écrit officiellement.
Le gouvernement cherche à responsabiliser les particuliers qui louent des chambres ou des casas, mais chose qui reste, pour l’instant, assez difficile à mettre en place.
Une autre rumeur parle que le gouvernement voudrait proposer une assurance aux propriétaires, mais là, toujours la difficulté de mettre en place.
Cela paraît assez simple, ou plus simple pour ce qui est d’une “habitacion” (chambre chez l’habitant) où le proprio n’a pas le droit de remettre les clés aux touristes qui louent ni même de s’absenter lorsque le(s) touriste(s) est(sont) présents à l’intérieur, mais bien plus difficile pour ce qui est d’une casa entière où ceux qui louent disposent des clés, et où le propriétaire n’est pas tenu ni à une présence, ni à une proximité.
Depuis longtemps, le touriste est responsable à 100 % de ses affaires, même chez un particulier. En cas de vol chez un particulier, le proprio même signalé n’a jamais été ennuyé (tout juste signalé), et cela continuera longtemps…
Si une assurance est mise en place, qu’elles en seront les conditions ? Effraction ? La parole du touriste contre celle du logeur ? Sans compter la facilité de faire disparaître au profit de qui on veut un ordi portable ou quoi que ce soit, puisque assuré.
Il y a toujours eu des “dires”, des rumeurs, pour faire peur aux Cubains, pour les tenir écartés de ceci ou cela. Les proprios vont avoir peur… Les vols dans les casas ont toujours existé, que ce soit chez le simple particulier ou chez celui qui loue à des touristes. Les barreaux aux fenêtres en témoignent, mais ils n’empêchent que l’entrée de personnes, mais pas la sorties des affaires.
Je reste très perplexe sur cette “rumeur” tant que l’on n’a pas un texte officiel du gouvernement qui officialisera la responsabilité des proprios. De plus, on voudrait un texte du Minint comme tu le dis, car les blogs ou journaux de Miami dont tu disais qu’ils avaient annoncé la mort de Fidel à plusieurs reprises, n’ont rien d’officiel, ni même d’officieux.