Bonjour,
J’aimerai partir debut novembre pour la thailande, d’abord pour quelques semaines de vacances, et si possible trouver du travail en tant que monitrice de plongée sur place pour y rester pour la saison.
Donc l’idée c’est de prendre un aller simple et d’aviser ensuite en fonction de ce que je trouve.
Question avec quel visas partir, j’ai vu le visa non immigrant B qui permet de travailler mais pour 90 jours seuelement renouvellable sur place apparament, mais pour combien de temps?
Par ailleurs dans les pieces a fournir ils demandent les informations sur l’employeur or je n’ai rien sur place pour le moment je chercherai en arrivant.
Qu’en pensez vous?
D’avance merci
Manon
Anonyme2
Bonjour,
Que voilà une mauvaise idée, et complètement irréaliste ! Déjà, avec un aller simple, il n’est absolument pas sûr qu’on vous laisse embarquer et votre aventure risque fort de s’arrêter à l’aéroport de départ avant même d’avoir commencé.
La Thaïlande applique une politique hyper protectionniste en matière d’emploi, et les autorités font tout pour décourager les vélléités. Selon ce principe, l’ambassade n’accorde de visa “B” qu’à ceux qui ont déjà une promesse d’embauche et un contrat. Et les règles imposées aux entreprises pour recruter des étrangers étant particulièrement contraignantes, les offres d’emploi sont plutôt limitées. Et ne vous lancez pas dans le travail au noir, sauf si vous voulez absolument visiter les prisons du royaume.
La meilleure solution, ce serait de partir en touriste avec un visa TR de 60 jours (ou une exemption de visa de 30 jours délivrée à l’aéroport et éventuellement prolongeable de 30 jours) et de prospecter sur place, de démarcher, de faire du porte à porte, de distribuer votre CV (en anglais évidemment, la pratique en est quasi obligatoire), de passer des petites annonces et de les lires. Voir notamment : http://www.francothaicc.com/ http://www.gavroche-thailande.com/annonces
Une fois que vous aurez décroché une promesse de job, il vous faudra faire modifier votre visa “TR” (qui vous interdit de travailler) en visa “B” et obtenir un “work permit” indispensable pour travailler légalement. Mais là, le plus dur sera fait, et votre futur employeur vous accompagnera dans ces démarches. Toutefois, ne rêvez pas trop. Certes, il y a des opportunités, mais vous n’êtes pas seule sur les rangs, et les places sont rares… La Thaïlande n’est pas l’Angleterre où l’on peut décrocher un petit boulot en quelques heures.
Bonne chance.
romain_alek_en_thai3
Bonjour
tout pareil que Quentin, avec une petite note d’optimisme quand même : si anglophone aussi, prof de plongée est un des rares jobs accessibles aux farangs, j’ai eu plusieurs fois des contacts, il faut voir sur place avec les clubs.( Pour la saison il vaut mieux essayer de postuler maintenant je pense, …)
J’ai rencontré une fois un prof qui se disait “free-lance” ( ???) mais pour obtenir le visa l’employeur doit t’aider, au moins au début,
Bon courage
fomec4
Bonjour
Attention, car même avec cette “meilleure solution”, vous risquez de ne pas embarquer si vous ne pouvez pas présenter à votre compagnie, à sa demande, une “preuve” de sortie du territoire, soit avant le 30ème jour (sans visa) soit avant le 60ème jour (avec visa T). Cette “preuve” doit être un billet d’avion, par exemple un aller simple pas très cher avec Air Asia pour Phnom Penh, que vous utiliserez, ou pas (remboursement des taxes possible)
Et attention encore, car en effet, la liste des emplois interdits aux Etrangers est longue comme le bras, ou même comme 2 bras…
cnx5
Bjr
Fomec
cette histoire d’emploi interdit n’a que peu de sens
on n’a pas le droit d etre guide mais on peut etre patron d’une agence qui emploie des guides
on ne peut pas etre macon sculteur mais on peut etre employeur d’artisants ou avaoir un magasin, un atelier ou une galerie
on ne peutetre ingenieur ou medecin mais on peut etre directeur de clinique ou chef d’une entreprise de construction ou 'un bureau d’architecte
on ne peut etre pecheur mais on peut etre propriétaire d’un bateau de peche
etc …
Anonyme6
Tout à fait, car il y a plusieurs notions. Vous avez effectivement le droit d’être, sinon patron, au moins gérant minoritaire d’une entreprise, quelle qu’elle soit : commerce, bateau de pêche, agence immobilière ou touristique, hôtel, clinique privée, etc. Minoritaire car un national doit obligatoirement posséder au moins 51% des parts de cette société. Mais ceci ne vous autorise pas automatiquement à travailler, surtout si l’entreprise oeuvre dans un domaine interdit aux étrangers. Propriétaire d’un bateau de pêche ne vous autorise absolument pas à pêcher. Ça vous autorise seulement à employer du personnel - local - et à toucher les éventuels bénéfices. En gros, vous êtes un investisseur. Les exemples les plus fréquents sont dans la restauration ou la limonade. Vous pouvez acheter un bar et l’exploiter en créant une société - dans laquelle vous serez obligatoirement minoritaire. Ça ne vous donnera pas le droit de servir à boire ou d’essuyer les verres au fond du café, emplois interdits aux étrangers. Et attention si un inspecteur en civil vient vous piéger et commander un verre dans votre taverne : ne touchez pas même à l’ouvre-bouteille, ce serait l’amende assurée (qui très souvent resterait dans la poche du flic, ben tiens !)
Les autorités thaïlandaises ont tout de même admis récemment que ces lois draconiennes sur les emplois interdits aux étrangers étaient un peu archaïques : c’était à l’occasion de l’inauguration de la magnifique tour MahaNakhon à Bangkok, lorsque des juristes ont fait remarquer que l’édifice avait été dessiné par Büro Ole Scheeren, un architecte allemand, bien que l’architecture soit un secteur strictement réservé aux nationaux. Mais bon, le mal était fait, et il aurait été dommage de détruire la tour, qui est tout à fait étonnante.
denisvoyageur7
[quote]
Cette “preuve” doit être un billet d’avion/citation]
Plus exactement, cette preuve doit être une réservation nominative, par exemple une couchette de train fait l’affaire. Si certaines compagnies aériennes inteprètent mal la loi thaïlandaise, il faut leur rappeler que celle-ci n’impose nullement que ce soit un billet d’avion.
Anonyme8
[quote]
Êtes-vous sûr de ce que vous affirmez ? Pour obtenir un visa auprès de l’ambassade de Thaïlande, seuls les billets d’avion sont pris en compte…
Mais je vous indique une solution peu connue, à laquelle personne ne fait jamais allusion, qui est très économique, tout à fait légale, et qui semble fonctionner d’après les témoignages (je ne l’ai jamais essayée, à vous de vous faire votre opinion en lisant les avis postés ici et là, ils sont plutôt favorables). C’est FlyOnward. Pour une quinzaine d’euros maximum, cette société propose de vous “louer” une réservation à votre nom à la date que vous choisissez pour prouver que vous sortez d’un pays. Voir les détails ici :
Voici ce qui est écrit sur le site de l’Ambassade de Thaïlande au Royaume-Uni concernant la VER : « Proof of onward travel (confirmed air, train, bus or boat tickets) to leave Thailand within 30 days of the arrival date (**otherwise a tourist visa must be obtained). »
Anonyme11
Exact, il y a un bug quelque part. Je redonne le lien. Si ça ne fonctionne toujours pas, il faut le copier et le coller dans la fenêtre du navigateur :
Bonjour,
Si vous avez un très bon niveau en anglais…je recherche un traducteur( ou traductrice) pour accompagner notre guide officiel pour toutes nos balades autour de Khaolak du 1/11/2017 au 30/04/2018.
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José.