Bonjour,
J’ai découvert récemment le désert, l’intensité du silence qui y règne, la sagesse, l’humour et la richesse de coeur des gens qui y
vivent…
C’est une expérience qui transforme.
J’y ai passé trois jours en famille avec Faska, un guide de confiance et plein de qualités humaines (www.saharaespace.com).
Trois
jours en immersion dans le désert, pas un seul village en vu.
La veille au soir, nous avons pris un 4x4 avec notre guide et
le lendemain, on s’est réveillé au milieu de nul part, prêts à continuer à pied, suivis par les dromadaires.
Nous avons choisi de rester hors des sentiers battus.
C’est étonnant de se sentir aussi proche d’une culture berbère.
J’ai adoré la finesse de leur humour et leur sensibilité.
Ils ont peu de matériel mais ne connaissent pas la misère.
Ils sont même bien plus riches que nous.
L’école du désert est bonne pour nous aussi. Nous avons trop tendance à croire qu’il nous manque encore quelque chose, alors que ce qui nous manque le plus, c’est de ne rien avoir.
murielle2
Bonjour Emi(le ? lie ?), “Nous avons trop tendance à croire qu’il nous manque encore quelque chose, alors que ce qui nous manque le plus, c’est de ne rien avoir.”
J’aime beaucoup cette phrase. Me permets-tu de la reprendre, à l’occasion, en signant ‘Emi, un-e internaute’ (ou autre signature) ?
Je ne suis pas sûre d’avoir besoin de te le dire, mais… : le désert, retournes-y ! Progressivement, on comprend que des nomades se sédentarisent et apprécient le “confort” (tout relatif) des villages et villes du désert.
C’est très chouette d’affiner nos premières impressions du désert.
Mais je te rejoins. Il est bon de de se retrouver en situation de ne rien avoir. De prendre la mesure de l’essentiel de la vie. D’être “réduit” à être juste soi…
ça rend humble, et ça devient indispensable.
cordialement,
Murielle
Anonyme3
Oui, si tu veux me citer avec mon pseudo, pas de problème.
Je retourne dans le désert le mois prochain.
Bien à toi
Emilie
murielle4
…enfin, je dis ça, mais j’y vais aussi début juin…
Anonyme5
Quand on aime, tout est possible.
La nuit, il fait frais.
On se lèvera très tôt le matin pour marcher et on continuera tard le soir.
La journée se déroulera dans la contemplation et la méditation, à l’ombre des tamaris.
Je vois que tu es aussi une inconditionnelle du désert
Anonyme6
emi cite Faska (saharaespace.com et nous pouvons témoigner que c’est une bonne adresse pour organiser une ballade sur mesure. Après quelques échanges de mèls pour bien préciser nos souhaits et le contenu de la prestation, une fois sur place, tout s’est déroulé à la perfection et en conformité avec nos attentes. Malgrès des impondérables (grosses pluies qui ont rendu le Draa difficile à franchir), Faska a trouvé un plan B qui valait bien le plan A.
Une très bonne adresse (www.saharaespace.com)
Bonjour,
J’ai découvert récemment le désert, l’intensité du silence qui y règne, la sagesse, l’humour et la richesse de coeur des gens qui y vivent…
C’est une expérience qui transforme.
J’y ai passé trois jours en famille avec Faska, un guide de confiance et plein de qualités humaines (www.saharaespace.com).
Trois jours en immersion dans le désert, pas un seul village en vu.
La veille au soir, nous avons pris un 4x4 avec notre guide et le lendemain, on s’est réveillé au milieu de nul part, prêts à continuer à pied, suivis par les dromadaires.
Nous avons choisi de rester hors des sentiers battus.
C’est étonnant de se sentir aussi proche d’une culture berbère.
J’ai adoré la finesse de leur humour et leur sensibilité.
Ils ont peu de matériel mais ne connaissent pas la misère.
Ils sont même bien plus riches que nous.
L’école du désert est bonne pour nous aussi. Nous avons trop tendance à croire qu’il nous manque encore quelque chose, alors que ce qui nous manque le plus, c’est de ne rien avoir.
helioth7
Oui mais bon ! t’avais quand même un guide , un 4x4 et des dromadaires…
je suppose que ce n’est pas toi qui a monté la tente, fait à manger …et la vaisselle, bon j’évoque pas le p’tit dèj…
t’as raison c’est super de ne rien avoir …à faire …
murielle8
A Helioth :
1 !
Anonyme9
Vivant dans la matière, même celui qui n’a rien a toujours quelque chose (son corps, un minimum de vêtement en général…).
Ne rien avoir n’est pas ne plus avoir de matériel, mais c’est être détaché du matériel. On en a le minimum, si on en a pas ou si on le perd, ce n’est pas grave. On le remplace par autre chose dont la fonction première était autre ; ou on s’en passe.
Ne rien avoir c’est un état d’esprit où on reste serein, quelque soit les difficultés ou les imprévus. On est en paix avec ce qui arrive, et on a plus besoin d’être agressif.