Bonjour,je recherche des infos sur les gites d’étape jalonnant la randonnée mare et monti(tarif-propeté-accueil).
D’autre part,est il necessaire de réserver les nuitées a l’avance pour un séjour début juin?
Tous les retours d’expérience sont bon à prendre,et je vous en remercie.
Corinne si tu me lis ,je te dit a bientot,sur les superbes chemins corse.
Bonjour,
Nous avons fait le Mare Monti l’année dernière fin mai et nous en gardons un excellent souvenir.
Les gites d’étape sont très agréables et du meilleur accueil. A Girolata, je te conseille plutot d’aller au Cormoran chez Joseph le Pecheur plutot qu’à l’autre. A Serriera, choisis le gite de l’Alivi.
Tu as intérèt a reserver tous les gites, c’est plus prudent.
Pense aussi a reserver dans les gites des paniers repas pour le midi, c’est très pratique.
Si tu es bon marcheur tu peux doubler une étape. Vas de Girolata directement à Serriera, sans t’arréter à Curzu. Il y a une variante.
Bonne rando
Bonjour
J’ai bien pris note de tes conseils,et je t’en remercie.
Peux tu me dire quels sont les tarifs des nuitées car je sais que c’est plutot aléatoire et suivant le confort proposé,afin d’avoir une idée?
Pour la réservation ,je pensais déja réservé celui de calenzana et bonifatu car ils sont communs avec le gr 20,d’ou plus de monde.
Pour les autres,je pensais le faire sur place,mais je vais plutot suivre tes conseils,et anticiper.
Et fin mai l’an dernier,il y avait beaucoup de monde sur le mare e monti?Je commence la rando le 06 juin donc a peu pres la meme période.
Avec mes remerciements.
Les gites coutent à peu près entre 30 et 35 euros par personne, repas du soir compris (assez copieux en général).
Il n’y avait pas trop de monde à notre époque sur le parcours, mais certains gites étaient pleins. Pense donc à reserver à l’avance.
Je suis sure que tu auras beau temps en mai.
Bon courage
Bonjour,
Est ce qu’il y a des passages scabreux dans la variante?
Merci
Non juste un egroose étape: 7 h.
Nous avons été hébergés au cormoran voyageur à girolata et avons trouvé l’accueil déplorable. En arrivant nous avons déposé notre sac sur un lit puis l’avons retrouvé par terre car le patron avait décidé de nous changer de lit sans rien nous dire. Puis au dîner il nous a dégagé car nous n’étions pas à la bonne place en nous disant : vous êtes encore là ! Bref, on s est senti comme des chiens avec un caporal chef à qui il fallait obéir. Le lendemain matin , la patronne nous a fait aussi changer de place au petit déjeuner : nous étions 6 dans la grande salle et mon mari n’était pas à la bonne place comme si cela allait gêner les 4 autres personnes. Les patrons ne savent vraiment pas ce qu’est l’amabilité et Le sens du commerce : on se serait cru à l’armée. Bref, nous conseillons d’ éviter cet endroit abominable. Bizarrement ils ont semblé être aimables avec d’autres : y aurait-il un probleme de faciès mais je précise que nous sommes tout de même blancs, normands et à peu près normaux!!! Mais bien évidemment la normalité n’existe pas.
Nous avons parcouru une partie du Mare e Monti Nord du 15 au 22 juin 2018.
Côté météo nous n’avons pas eu de pluie, mais les premiers coups de chaud nous ont obligé à bien gérer nos étapes (départs tôt, question de l’eau potable à bien anticiper, siestes !)
A propos de l’eau, attention à certaines indications du topo FFRP qui sont parfois peu précises ou fausses : par exemple la source indiquée sur l’étape Curzu-Serriera (étape 6) est une flaque de boue, donc inutile sauf en cas de déshydratation imminente. Dans le cas contraire, même avec les meilleurs anticorps du monde, votre dignité vous empêchera d’y toucher ! Le mieux est quand même d’interroger le soir à l’étape les randonneurs allant dans l’autre sens.
Pour l’hébergement, le bilan est très contrasté :
Nos coups de coeur :-La maison forestière de Bonifatu, entre les étapes 1 et 2, est un lieu de repos très agréable. Les bungalows en bois sont récents, les lits espacés, les sanitaires sont propres. L’accueil est gentil, le repas copieux et bon. Le cadre montagneux et forestier est grandiose ! Et de belles vasques pour se baigner pas loin, dans une eau limpide et… glaciale ! Tonifiant !!!
-Le gite l’Alivi à Serriera est un lieu chaleureux, vivant, avec ce qu’il faut d’originalité. L’accueil est sincèrement gentil, les pâtisseries de la maman sont très bonnes. Le bâtiment principal a le caractère des maisons corses traditionnelles et le confort d’un aménagement moderne. C’est propre, douillet, reposant. Possibilité de chambres individuelles pour plus de calme et d’intimité. Le bruit de la rivière en contrebas ajoute au charme de la grande terrasse. Nous sommes allés nous tremper les pieds avec bonheur (mais pas plus que les pieds : quelques vaches plus haut paraït-il…).
Avis mitigé :-Avis mitigé sur le gite de Curzu : le bâtiment est vétuste, le jardin à l’abandon est d’une tristesse totale, les dortoirs sont étouffants, les lits très serrés et ça sent le renard ! Tout semble en chantier. Par contre, l’accueil multiculturel est d’une gentillesse désarmante, le repas est simple mais copieux et adapté aux envies des randonneurs : crudités et fruits sont au rendez-vous, ainsi que les sucres lents indispensables. Contrasté, donc, mais pas d’autre solution hébergement à moins de se créer sa propre variante du Mare e Monti.
A Tuarelli, à la fin de l’étape 2, nous avons préféré éviter le gite et essayer l**'auberge-gite A Funtana** à Mansu. C’est une bonne alternative qui permet de découvrir le haut du Fangu, moins fréquenté. Bonne table, hébergement très confortable, l’équipe est truculente et au bout de 10 minutes on fait presque partie de la famille ! Anecdotes savoureuses ! Exigez celle de la vache incrustée dans le toit de la voiture !
Attention au temps de parcours supplémentaires à l’aller et au retour, et ne vous fiez pas aux estimations optimistes de la patronne qui n’est pas une randonneuse.
**Coup de gueule !**Coup de gueule sur l’hébergement à Girolata : la Cabane du berger est à éviter. Préférez l’autre gite, le Cormoran Voyageur, et si ce denier est plein, ça vaut le coup de décaler d’un jour pour y loger et éviter la Cabane du Berger.
Ce sont effectivement des cabanes, certaines récentes et d’autres vétustes, mais toutes non isolées et donc très chaudes la nuit. Les plus proches de la plage sont en prise directe avec une paillotte sonorisée très fort jusqu’à minuit, avec aussi certains soirs les cris et rires des saissoniers jusqu’à deux heures, après leur service. C’est sympa pour eux, mais à un moment donné il faut choisir : si on héberge des randonneurs, on s’adapte un minimum à cette clientèle.
Repas : toujours à base de surgelés, mais bel effort de présentation et originalité des recettes. Le service est attentionné dans l’ensemble et les équipes sympathiques, le tout un peu gaché par l’un des responsables hostile avec tout le monde. Si on n’aime pas les gens , pourquoi choisir la restauration ? L’usure de la saison de trop ?