je suis rentré hier de madagascar, pays que je visitais pour la 1ère fois. je suis principalement aller à mananjary dans l’est au niveau du canal des pangalanes.
nous étions la bas en grande partie pour que je rencontre une partie de la famille de ma femme. l’acceuil a été incroyable et je les remercie tous pour ça. je ne prétends pas connaitre la culture malgache mais je peux dire que je me suis senti a l’aise durant 30 jours, avec des gens bienveillants et des paysages magnifiques. nous avons visité le parc de l’isalo (avec là encore la famille car ma femme à de la famille partout), fait un (long) voyage sur le canal jusqu’à ambohitsara (village d’origine de ma femme), au milieu des zébus des rizières des litchis du tokagasy(je sais pas si ça s’écrit comme ça)…bref j’ai envie d’y retourner. meme si j’ai été malade pendant 30 jours, que des parasy ont squatté mes orteils, meme si le taxi brousse ne baisse jamais la musique pendant 12 heures etc…il faut inciter les gens à visiter ce beau pays, malgrès tous les problèmes, la corruption, l’insécurité, la pauvreté, les histoires récentes, il y a toujours des gens avec le sourire ravi de vous montrer les piscines naturelles, de vous expliquer les vertus des plantes, de vous faire gouter aux brochettes de zébus, de vous traduire les paroles d’une chanson etc…mais préparez vous bien pour ce voyage en médicaments, prenez des guides surtout, et écoutez leurs conseils surtout dans les grandes villes, ne prenez pas les locaux de haut et si vous etes en voiture attention au prix du carburant (3140 ar pour un litre d’essence c’est cher) et au voyage de nuit à éviter (états des routes et insécurité). pour le reste détendez vous mora mora…
Bonjour
Lors de mon premier séjour a mada ( tamatave) fin 90 étant hebergé chez l’habitant j’avais une vision trés positives du pay et du peuples Gazy , hospitaliter , gentillesse ,c une réaliter certes .
Y vivre plusieurs mois dans l’ année , ou etre résident seul ou en famille et y travailler , une autre réaliter nous apparait , beaucoup l’on apprit a leur dépents .
cdtr