Bonjour à tous !
Je reviens d’un voyage de 11 jours en Turquie, réalisé du 13 au 24 août 2022.
• Vol Toulouse > Istanbul (escale de 2h30 à Paris CDG).
Réservé en mars à 340 € A/R.
Départ 19h15 (heure française), arrivée 03h20 (heure turque).
Nous avons pris le taxi pour 600 ₺ jusqu’à notre hôtel, dans le quartier de Sultanhamet (vieille ville).
Istanbul (3 jours/2 nuits).
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Sainte Sophie : Entrée gratuite, par contre il y a énormément de monde et il faut faire la queue. Selon les périodes et les heures, on peut en avoir pour une heure de queue. Ils vendent des “tissus” couvrants si jamais on a les cheveux, les épaules et les jambes nus.
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Mosquée bleue : Entrée gratuite également. Mais fermée aux touristes aux horaires de prière indiquée devant. Il n’y avait pas de queue, mais elle est en travaux actuellement (c’est peut-être pour cela).
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Palais de Topkapı : Billets achetables sur place (420 ₺ palais + hammam). Il vaut mieux y aller à l’ouverture. Pour nous il y a avait déjà un peu de monde (10 min d’attente) dans la queue à 9h30 alors qu’il pleuvait.
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Citerne Basilique : Billets achetables sur place ou en ligne via un QR code (190 ₺). Dans l’après-midi, il y avait environ 30 minutes de queue.
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Grand bazar : Très sympa de se balader dans le bâtiment du grand bazar ainsi que dans les rues qui l’entourent. On peut y trouver des souvenirs, des tapis, des objets en tout genre, des vêtements (plutôt contrefaçons…), des épices, etc. Attention le dimanche, le bâtiment et bon nombre de commerces sont fermés.
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Bazar égyptien : Très sympa également avec principalement des épices en vente.
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Mosquée d’Ortaköy : Entrée gratuite. Mosquée originale dans le quartier d’Ortaköy. Un peu loin du centre historique, mais accessible en bus.
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Tour de Galata : Nous ne sommes pas entrés dedans (billets à acheter sur place ou en ligne sur le site du gouvernement https://muze.gov.tr/), nous sommes simplement venus la voir.
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Quartier Sultanhamet : La vieille ville où se situe notamment Sainte Sophie, le Palais de Topkapı, etc. Jolies rues, très touristique.
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Quartier Balat : Quartier juif, très coloré, inscrit au patrimoine de l’UNESCO. Jolis bâtiments, bien que moins flashy que sur les photos trouvées sur Internet (je trouve que les photos ne représentent pas la réalité). Assez touristique. Nous sommes venus en bus.
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District Beyoğlu : Quartier comprenant la Tour de Galata. Au nord de cette dernière, il y a de grandes allées commerçantes et modernes, notamment l’avenue İstiklal. Il y a également des églises, et une rue nommée rue française avec beaucoup de bars. Nous sommes venus à pied depuis le quartier de Sultanhamet.
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Tour en bateau sur le Bosphore depuis le port situé à côté de la mosquée d’Ortaköy. 1 heure pour 100 ₺/pers.
• Bus / tramway / métro d’Istanbul : Les billets sont à acheter dans une borne (commune pour ces 3 types de transport). Il faut avoir des petites coupures. A moins que nous n’ayons pas bien compris. En tous cas, ce n’était pas pratique.
Istanbul aurait mérité au moins 1 jour de plus pour visiter notamment le Palais Dolmahbaçe, entrer dans la tour de Galata, faire un musée, etc.
• Bus de nuit Istanbul > Göreme (Cappadoce).
Réservé en ligne sur Flixbus à 29,50 €. Sur le site de Flixbus, il s’agit de la compagnie de bus Kamil Koç. Mais il y a plein d’autres compagnies de bus, et j’imagine, des moins chères.
La gare routière est celle d’Enseler (Esenler Otogarı), il en existe plusieurs, dont certaines assez loin, donc bien vérifier. Elle est accessible en métro.
Une fois dans la gare, il faut se rendre dans l’agence de compagnie de bus de notre réservation et la traverser. Les bus sont garés derrière et ne sont donc pas visibles depuis le centre de la gare. Certaines compagnies, dont Kamil Koç, ont plusieurs agences au sein de la gare. Il y a aussi un centre commercial, des toilettes payantes (1 ₺), des superettes, des fast foods.
Les bus Kamil Koç sont très confortables et spacieux. On nous donne de la nourriture et des boissons. Le personnel est très agréable.
Départ à 20h00, arrivée à 06h20.
Göreme (3 jours / 2 nuits).
Village troglodyte assez central dans la région. Il est très joli, mais très très touriste, donc pas vraiment authentique. Les hôtels, commerces et restaurants sont destinés aux touristes. Selon la période de l’année, les prix dans les restaurants peuvent doubler voire tripler… La gare routière (Göreme Otobüs Terminali) est au centre du village, pratique.
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Musée à ciel ouvert de Göreme (Göreme Milli Parklar). Site très touristique avec des cheminées de fées, des maisons troglodytes, des églises troglodytes du Ve siècle. Très très visité dès le matin (9-10 h en août) avec beaucoup de groupes de visites guidées. Pour rentrer dans les églises et bâtiments troglodytes, il faut faire la queue. Donc la majeure partie du temps, on attend. Comptez entre 2 et 4 heures. Les billets sont achetables sur place (à 9-10 h en août il n’y avait pas de queue à la billetterie) ou en avance en ligne sur le site du gouvernement https://muze.gov.tr/. Depuis Göreme, nous sommes venus à pied (environ 20 minutes à pied), mais sinon des taxis et des dolmus passent.
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Balade dans Göreme évidemment, mais c’est assez rapide.
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Aller jusqu’aux points de vue (indiqués sur Google Maps), notamment au lever du soleil pour voir les montgolfières. Nous sommes venus 10-20 minutes avant le lever. Malgré le monde (en août), il y a toujours de la place pour bien voir.
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Cité souterraine de Derinkuyu. Comptez environ 2 heures. Les billets sont achetables sur place ou en avance en ligne sur le site du gouvernement cité plus haut.
Depuis la gare routière de Göreme, nous avons pris le bus de ville jusqu’à un arrêt au centre de Nevşehir. De cet arrêt, il faut prendre un autre bus jusqu’à Derinkuyu. Il faut descendre à l’arrêt proche de l’entrée de la cité. Les chauffeurs de bus nous ont tout expliqué et nous ont dit quand descendre. Le paiement se fait en cash à l’intérieur du bus. Il faut compter 10 ₺/pers pour Göreme-Nevşehir et 30 ₺/pers pour Nevşehir-Derinkuyu (aller). En taxi, c’est 500-700 ₺ aller. -
Visite d’Uçhisar et de son chateau. Pour se rendre à Uçhisar, il y a des bus depuis la gare routière de Göreme pour 10 ₺/pers.
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Faire de la poterie à Avanos. Il y a plein d’ateliers de poterie à Avanos. En général, ils proposent une démonstration sur la réalisation de poterie cappadocienne tout en rappelant rapidement son histoire. Ils proposent ensuite à une personne d’essayer de réaliser une poterie, en guidant la personne. Il est possible d’emporter son pot. En revanche, nous étions 3, et seulement une personne a pu faire un pot. Ensuite, ils nous ont fait visiter l’atelier pour nous montrer les différentes réalisations de l’atelier. La démonstration est gratuite, car l’idée c’est d’acheter un petit objet à la fin. Il y a de tout, du décoratif au fonctionnel (ustensiles de cuisine traditionnel, tasses, etc), de toutes tailles, et pour tous les prix. Nous sommes allés à Kapadokya Seramic. Pour cela nous avons pris un taxi à l’aller (100 ₺), mais il est aussi possible de prendre le bus depuis la gare routière (15 ₺/pers).
Ensuite nous nous sommes rendus au centre ville par curiosité avant de chercher un arrêt de bus pour retourner à Göreme. -
Randonnées. Pour les randonnées, nous nous sommes inspirés de tracés proposés sur un blog (Novo-monde) et une application de randonnée (AllTrails). Nous avons ensuite un peu fait à notre sauce en nous aidant du tracé et de Google Maps. Ce n’est pas bien balisé. Nous avons l’habitude de faire des randonnées dans les Pyrénées, donc c’était facile pour nous. Il y a peu de dénivelé. Il y a peu de monde sur les chemins, même en haute saison. Il faut penser à prendre des chaussures de randonnée ou des baskets, de quoi se couvrir, de l’eau, etc.
- Nous sommes allés dans la “Red Valley” à pied depuis Göreme. C’était très agréable en fin d’après-midi avec des vues superbes lors du coucher du soleil. Cela nous a pris environ 3 heures aller-retour.
- Nous avons aussi fait Göreme -> “Love Valley” -> “White Valley” -> Uçhisar à pied (puis retour en bus à Göreme depuis Uçhisar). Cela nous a pris environ 4-5 heures.
Il me semble qu’il y a des guides locaux pour faire des randonnées pédestres si jamais vous n’avez pas trop l’habitude. Il y a aussi la possibilité de faire des randonnées à cheval, ainsi que des sorties en quad. Mais le quad, ça nous a rien dit car c’est juste des dizaines et des dizaines de quads qui avancent lentement en file indienne, avec la poussière et les dégagements de pots d’échappement que cela provoque ! - Nous avons aussi fait Uçhisar -> Göreme à pied (dans ce sens, cela descend). Cela a pris environ 1 h. Il y a de beaux panoramas, par contre on marche au bord de la route, donc pas terrible.
• Bus de nuit Göreme > Antalya.
Réservé en ligne sur Flixbus/Kamil Koç à 18,90 €.
Très bien aussi.
Départ à 22h15, arrivée à 06h25.
La gare routière d’Antalya Şehirlerarası Otobüs Terminali est reliée par plusieurs lignes de tramway. Il faut 40 minutes pour arriver dans la vieille ville. Comme pour Istanbul, il faut acheter le ticket dans une borne en cash.
Antalya (2 jours / 2 nuits).
Visite très rapide de la vieille ville (Kaleiçi), cela prend environ 2 heures.
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Porte d’Hadrien.
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Mosquée Yivliminare, vieille mosquée en briques.
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Port romain, le vieux port de la ville.
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Parc Karaalioglu, un joli parc au bord de la mer avec de belles vues.
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La tour Antalya Saat Kulesi.
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Ascenseur panoramique Kaleiçi, au dessus du port. Gratuit.
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Cascades “hautes” Düden. Ces cascades sont situées dans un parc en ville (entrée 10 ₺/pers), mais c’est un peu éloigné du centre (20 min en voiture). Nous y sommes allés en taxi, mais ce parc est aussi desservi par des bus. En taxi, la personne nous a pris depuis la vieille ville, nous a ammenés au parc, puis nous a amenés à la plage Konyaaltı, pour 475 ₺.
Les cascades “basses” Düden sont d’autres cascades qui se jettent dans la mer. Ce n’est pas au même endroit. Nous n’y sommes pas allés par manque de temps. -
Plages : Il y a celle du centre-ville, très petite, que nous n’avons pas testé. Nous sommes allés du côté de Konyaaltı. Elle est accessible en bus depuis le centre-ville.
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Sortie à Adrasan et Sualada. Nous avons consacré notre deuxième jour à cette sortie. Il s’agit d’un tour organisé. On part le matin vers 7h30 en dolmus d’Antalya, direction Adrasan. Puis on prend le bateau et on fait 2 arrêts dans des criques d’Adrasan et 1 arrêt sur l’île de Sualada. Agréable pour une journée de détente, par contre il y a pas mal d’attente. Les chauffeurs de dolmus ont fait deux arrêts inutiles très longs, un à l’aller et un au retour. Ensuite, il a fallu attendre que le bateau se remplisse entièrement pour partir. Au final, nous sommes rentrés chez nous avec 2 heures de retard (19h00 au lieu de 17h00). 533 ₺ la journée, dolmus, bateau et repas compris.
• Bus de jour Antalya > Denizli.
Réservé en ligne sur Flixbus/Kamil Koç à 9,99 €.
Toujours très bien.
Départ 09h00, arrivée 13h45.
A la gare routière de Denizli, nous avons marché 20 minutes pour aller à notre hôtel situé plus au centre (en face de la mosquée Delikliçınar et de la statue de coq), et pas loin d’une station de taxis. Les gens allant à Pamukkale depuis la gare routière doivent prendre un autre bus, il me semble.
Denizli (2 jours / 1 nuit).
Nous avons choisi Denizli pour ne pas être dans un centre 100% touristique. Denizli est une ville d’un million d’habitant peu touchée par le tourisme. Il n’y a pas grand chose à faire, mais s’y balader a été tranquille et très agréable malgré la chaleur qu’il a fait ce jour-là. Les habitants ne parlent pas forcément anglais, mais ils sont chaleureux et nous avons réussi à nous comprendre.
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Rues autour de la mosquée Delikliçınar et de la statue de coq (Horoz Heykeli)… Statue d’Özay Ölüm, maison d’Ibrahim Çallı, Atalar Parkı, etc. C’est très rapide à voir, mais cela reste sympa. Les lignes de bus ne sont pas indiquées sur Google Maps par contre vous pouvez les trouver sur Moove It.
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Téléphérique de Denizli : une vue panoramique sur la ville et la région (1400 mètres d’altitude). Peu de monde.
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Pamukkale et Hierapolis : C’est pour ce site que nous sommes venus à Denizli à la base. Il y a énormément de monde sur les travertins de Pamukkale, venez à l’ouverture à 8 heures. A 7h50, il y avait déjà des gens qui faisaient la queue à la billeterie. Nous avons réservé en ligne sur le site du gouvernement (250 ₺/pers pour Pamukkale + Hierapolis) et avons pu entrer sans attendre. Le monde arrive rapidemment.
Pamukkale n’est plus comme les photos les plus connues d’internet. Tous les travertins ne sont pas remplis d’eau, beaucoup sont à secs. Cela dépend des horaires et des jours. D’autres sont remplis d’eau sale et verte. En effet, tous les travertins ne sont pas alimentés en eau. Et les travertins où on peut se baigner sont des artificiels (mais cela ne se voit pas). Le site souffre d’un trop plein de visiteurs (apparition d’algues vertes et rougeâtres sur les parois). Il faut malheureusement supporter des personnes qui ne respectent pas le site et escaladent des zones interdites au public, quitte à abîmer des travertins naturels fragiles. En étant conscients de cela avant de réserver, nous avons tout de même apprécié la visite.
Ensuite il y a Hierapolis, et c’est tout de suite beaucoup plus calme. La ville antique est très sympa, mais elle n’attire pas autant de monde. Très beau théâtre antique.
Traverser les travertins de Pamukkale prend environ 45 minutes. Visiter Hierapolis peut prendre au moins 2 heures.
Nous sommes arrivés sur le site en taxi depuis le centre de Denizli en 20 minutes (160 ₺ aller, 170 ₺ retour). L’entrée sud permet d’entrer par les travertins. L’entrée nord permet d’entrer par Hierapolis.
• Vol Denizli > Istanbul.
L’aéroport de Denizli-Çardak est situé à 50 minutes en taxi du centre de Denizli. Nous avons payé 600 ₺.
Départ 18h55, arrivée 20h10.
Et en suivant :
• Vol Istanbul > Toulouse (escale de 2h à Paris CDG).
Départ 04h10 (heure turque), arrivée 10h00 (heure française).
Autres :
- Très beau pays avec des paysages très variés. Il y avait beaucoup de choses à faire en plus, mais nous n’avions que 11 jours.
- Le site du gouvernement turc https://muze.gov.tr/ permet d’acheter certains billets à l’avance dans toute la Turquie. Il y a un pass musée pour Istanbul mais il faut vraiment faire beaucoup de choses pour qu’il soit rentable.
- Les personnes rencontrées sont agréables et aidantes. Plusieurs personnes sont venues à notre rencontre pour nous aider en voyant que nous cherchions notre chemin, sans attendre rien en retour.
- La Cappadoce et Pamukkale sont prises d’assaut par les touristes “inspirés par Instagram”. Ce sont des lieux magnifiques et singuliers. Mais à éviter si vous n’aimez pas ce type de tourisme.
- Très bonne cuisine, même si c’est surtout des grillades que nous retrouvons dans les restaurants touristiques. Les restaurateurs sont très généreux. A Istanbul, nous avons toujours eu des entrées (sauces et pain), du thé et parfois des desserts gratuitement.
- Toujours acheter de l’eau, l’eau n’est pas potable.
- Option internationale de la banque pour payer sans frais de la part de notre banque, mais cela ne retire pas les frais énormes provenant de la banque turque lors d’un retrait.
- Retirer du cash en € et les échanger dans des bureaux de change avec des bons taux. Cela évite les frais de retraits horribles dans les ATM. Le cash est indispensable pour les bus et métros.
- Cartes SIM turques 15 Go, achetées 20 € dans le centre d’Istanbul. Bon je le précise, mais c’était clairement de l’attrape-touriste et il existe bien moins cher. Préférez de toutes façons des prix indiqués en lires turques.