Un bol d’air près de Tokyo

Forum Japon

Tokyo est fabuleuse, mais on a parfois envie d’une pause en forêt, en bord de mer, ou en montagne… Tout est possible plus près qu’on ne le croit !

Un parc national ? Il y en a tellement! Par exemple Myoko-Togakushi renzan National Park ou encore Chichibu tama ! A Okutama par exemple, testez le « shinrin yoku » (la sylvothérapie), visitez une ferme de wasabi, ou encore faites du kayak !

Pourquoi pas une petite île ? Certaines sont un peu lointaines comme Hachijojima mais les îles d’Izu, proches de Tokyo (entre 120 et 360 kms) dont elles dépendent administrativement sont très différentes les unes des autres. Y séjourner c’est l’occasion de passer des vacances comme une famille japonaise : profiter d’un minshuku, admirer les camélias, observer les oiseaux, se sentir dans archipel, loin des mégalopoles ! A vous la randonnée, la plage, les sports nautiques !

Mais bien sûr il reste les classiques !
Au sud, Kamakura, son bord de mer, ses temples, son grand Bouddha ; au nord : Nikko, ses forêts de cèdres, ses onsens et son fameux sanctuaire dédié au 1er shogun Tokugawa Ieyasu. Et enfin Hakone, ses musées, sources chaudes, le lac Ashi et son torii et surtout la vue sur le Mont Fuji ! Entre les trois mon cœur balance !

Dites-nous ce qui vous tente !
Sore dewa mata ! ‘‘À bientôt !’’

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Bonjour,
Je représente Odakyu Electric Railway.
Odakyu est une compagnie ferroviaire qui relie Shinjuku (Tokyo) et Hakone, Enoshima, Kamakura et Oyama. Les lignes Odakyu permettent de découvrir ces destinations à moins de 1h30 de Tokyo.
Enoshima et Kamakura sont idéales pour une excursion d’une journée. Kamakura a été la première ville dans l’histoire du Japon à être gouvernée par un régime de samouraïs au 12e siècle. Elle possède de nombreuses attractions touristiques telles que le Grand Bouddha de Kamakura et le sanctuaire Kamakura Hachiman, etc…

L’île de Enoshima est accessible à pied depuis les gares de Odakyu Katase Enoshima et d’Enoden Enoshima. Vous pouvez visiter le sanctuaire d’Enoshima et le phare Enoshima Sea Candle. Par jours de beau temps, depuis le phare vous pouvez admirer de magnifiques couchers de soleil sur la mer et des silhouettes du Mt. Fuji.

Entre la ville de Kamakura et l’ïle de Enoshima, vous pouvez emprunter la ligne Enoden, un train pittoresque qui longe le front de mer de la baie de Sagami. Avec Enoshima-Kamakura Freepass (1 jour), vous pouvez vous déplacer de la gare de Shinjuku à la gare de Fujisawa en environ une heure avec le train rapide (Kaisoku). Et vous avez un accès illimité à la ligne Enoden (entre la station Fujisawa et la station Kamakura)

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Je représente l’office de tourisme chargé de promouvoir Tokyo et ses alentours.
Je me permet de vous parler de la première photo de la JNTO qui représente « Les feuillages d’automne reflétés dans le miroir du lac Togakushi ».

Togakushi, se situe en périphérie de la ville de Nagano, et se trouve à une altitude de 1200 m dans un haut plateau.
On peut y accéder en bus depuis la gare de Nagano, en environ une heure avec le shinkansen Hokuriku.

L’été y est frais, l’hiver est recouvert de neige, et vous pourrez profiter de paysages magnifiques à chaque saison, notamment le vert printanier et les feuillages d’automne.

Togakushi est un lieu de culte ancien, avec cinq sanctuaires appelés les « Cinq sanctuaires de Togakushi », qui ont une histoire de 1200 ans et attirent de nombreux visiteurs pour des pèlerinages.

Je recommande de suivre le « Circuit des Cinq Sanctuaires de Togakushi » en marchant sur l’ancienne route qui relie ces cinq sanctuaires.
Les paysages que vous verrez en parcourant le chemin sacré « Togakushi Kodo » vous permettront de ressentir le Japon d’autrefois.

Parmi ces sanctuaires, le chemin menant au cinquième sanctuaire, l’« Okusha », est particulièrement impressionnant.
Une allée bordée de gigantesques cèdres s’étend sur 500 m, offrant un paysage spectaculaire qui vaut vraiment le détour !

Site officiel de Togakushi Togakushi Tourism Association

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La deuxième photo de la JNTO représente un « coucher de soleil sur l’île de Hachijō ».

Permettez-moi de vous présenter l’île de Hachijō.

L’île de Hachijō appartient à Tokyo et se trouve à environ 300 km au large dans l’océan Pacifique.
3 vols aller-retour par jour relient l’île et l’aéroport de Haneda en 55min.

L’île de Hachijō bénéficie d’un climat tempéré même en hiver, ce qui permet de profiter d’activités en pleine nature, comme l’observation des baleines ou des tortues de mer, des randonnées sur le mont Hachijō.

l’île est également réputée pour son artisanat traditionnel, notamment la soie tissée.

Dans ce cadre apaisant, entouré de mer et de montagnes, pourquoi ne pas prendre le temps de vous détendre tout en découvrant les modes de vie traditionnels et durables de l’île ?

Déguster les spécialités locales comme le « sushi de l’île », le « kusaya » et les « tempuras de feuilles d’ashitaba », accompagnés d’un verre de « shochu de l’île », c’est sûrement le summum !"

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Bonsoir à tous!
Je représente l’office de tourisme chargé de promouvoir Tokyo et ses alentours.

Je prends le temps de vous présenter des endroits facilement accessibles en train depuis Tokyo.

Pour cette fois-ci, je vais vous parler du village et du musée d’art du bonsaï d’Omiya, situés à Saitama.

Connaissez-vous d’abord le « bonsaï » ?
Bonsai

C’est une tradition très représentative du Japon, dont l’histoire remonte à environ 1300 ans. Qui est, aujourd’hui mondialement célèbre.
Le bonsaï est un art qui consiste à prendre soin des arbres plantés dans des pots pendant de nombreuses générations.
Cela, en exprimant différents paysages au fil des saisons, dans un monde limité qu’est un pot.
Les artistes y poursuivent la beauté ultime.

Il existe des œuvres de bonsaï ayant plus de 100 ans, voire des estimations allant jusqu’à 800 ou 1000 ans, ce qui est mpressionnant.

Le village de bonsaï d’Omiya, que je vais vous présenter, est un lieu unique avec le musée d’art du bonsaï, qui se concentre uniquement sur les bonsaïs.
musée d'art du bonsaï

Bien que le nombre ait considérablement diminué, il y a encore environ cinq pépinières de bonsaï en activité, faisant de cet endroit un véritable centre du bonsaï mondial.

Le village de bonsaï d’Omiya a été formé il y a environ 100 ans, suite à un tremblement de terre (le grand tremblement de terre de Kanto) qui a touché Tokyo, poussant de nombreux artisans de bonsaï à s’installer dans cette ville.

L’ambiance du village est agréable, avec des routes bien entretenues en damier bordées d’arbres tels que des cerisiers, des érables et des platanes, appelées « rue des platanes » et « rue des érables », faisant partie d’un chemin nommé « chemin des saisons du bonsaï ».

De plus, de nombreuses habitations du village possèdent des bonsaïs dans leur jardin, contribuant à l’atmosphère générale du village.

Accessible en train depuis Tokyo en environ 40 minutes, il est possible de se rendre au village de bonsaï d’Omiya en prenant la ligne JR Utsunomiya à la station « Toro », ou en changeant à la station « Omiya » pour la ligne Tobu Urban Park et en descendant à la station « Omiya Koen», qui est à quelques pas.

Je vous recommande vivement de consacrer une journée de votre séjour à Tokyo pour vous immerger dans le monde de l’art du bonsaï, la « beauté naturelle ultime » !
musée d'art du bonsaï

Veuillez noter que le musée sera entièrement fermé pour rénovation du jardin du 5 novembre 2024 au 20 mars 2025.

https://www.bonsai-art-museum.jp/en/

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Bonsoir, je représente l’office de tourisme chargé de promouvoir Tokyo et ses alentours.

Je vous présente des endroits recommandés accessibles en train ou en bus depuis Tokyo.
Cette fois-ci, je vais vous parler de Minobusan et d’un séjour dans un temple (shukubo) dans la préfecture de Yamanashi.

Minobusan, Kuon-ji

Minobusan (身延山) est l’un des trois grands monts sacrés du bouddhisme japonais, située au sud de la préfecture de Yamanashi, culminant à 1 153 mètres d’altitude.
Au pied de la montagne se trouve le Kuon-ji, qui est célèbre en tant que temple principal de la secte Nichiren.
Un téléphérique mène au sommet de la montagne, où se trouve l’« Okunoin Shishinkaku » (奥之院思親閣).
Grâce à sa vue imprenable depuis le sommet, Minobusan attire non seulement des pèlerins mais aussi de nombreux touristes.

Vue du Minobusan

Dans l’enceinte du Kuon-ji se trouve un cerisier pleureur vieux de 400 ans, qui est particulièrement apprécié pendant la saison de floraison en avril, faisant de cet endroit un site populaire pour les sakura.

De plus, au-delà de Minobusan se trouve le Shichimensan (七面山), qui culmine à 1 982 mètres.
À 1 700 mètres d’altitude se trouve le « Shichimensan Keishin-in » (七面山敬慎院), qui propose également un hébergement pour les pèlerins (shukubo).
Étant situé juste à l’ouest du Mont Fuji, il est possible d’observer le phénomène appelé « Diamant Fuji », où le soleil se lève au sommet du mont, les jours de l’équinoxe de printemps en mars et de l’équinoxe d’automne en septembre.
Ces jours-là, le temple est très fréquenté, dès la veille, par les pèlerins.

En descendant de Minobusan vers Shichimensan, vous trouverez le « Akasawa-juku » (赤沢宿).

Cet endroit est désigné comme un« site de conservation de bâtiments traditionnels importants » et conserve l’apparence des anciennes résidences, offrant une atmosphère qui évoque les paysages historiques d’autrefois.
Je recommande vivement de visiter Akasawa-juku lors de votre montée à Minobusan.

Pour ceux qui ont une bonne condition physique, n’hésitez pas à vous diriger vers le Keishin-in.
Le chemin est un peu escarpé et demande environ 4 à 5 heures de montée, mais cela vaut la peine de se remémorer les moines d’antan.

Enfin, au pied de Minobusan se trouve le « Kakurinbo » (覚林坊), un autre shukubo. Cet endroit propose de nombreuses expériences de culture traditionnelle japonaise et accueille des voyageurs étrangers (des informations en français sont également disponibles).

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Bonjour, nous représentons l’office de tourisme chargé de promouvoir Tokyo et ses alentours.

Lors d’un séjour à Tokyo, surtout si vous devez rentrer le lendemain, il est naturel de se demander s’il n’y a pas un endroit où l’on peut ressentir une authenticité japonaise encore inconnue.

Pour ceux qui se posent cette question, je vous propose des endroits, accessibles facilement en train ou en bus depuis Tokyo, où vous pourrez ressentir la beauté traditionnelle du Japon.

Aujourd’hui, je vais vous parler de trois endroits situés dans la banlieue de Tokyo, appelés les “trois villes de Koedo”, qui conservent encore des vestiges de l’époque Edo et qui vous permettront de ressentir sonn atmosphère.

Le premier est Kawagoe.

Situé dans la préfecture de Saitama. C’est une ancienne ville de château avec une histoire riche, où les rues de style “kura” (entrepôts traditionnels) sont préservées.

Les points d’intérêt sont concentrés sur une zone d’environ 1,5 km², que vous pouvez explorer à pied en une demi-journée à une journée, avec des bus circulaires et des rickshaws disponibles.

Les cafés dans des bâtiments de style “kura” proposent des spécialités comme les dango grillés et des desserts “à la japonaise” à base de patate douce.

On peut s’y rendre facilement en un peu plus de 30 minutes en train depuis Tokyo (Ikebukuro), et c’est très animé le week-end.

Le deuxième est Tochigi (la ville porte le même nom que la préfecture).

Tochigi est une ville historique, anciennement un relais sur la route de Nikko, et un centre de transport de marchandises vers Edo par voie fluviale, prospérant en tant que ville commerciale dans le nord de Kanto.

Aujourd’hui encore, plus de 200 “kura” sont dispersés, conservant l’atmosphère historiique de la ville. Vous pouvez y accéder en un peu plus d’une heure avec un express direct depuis Asakusa à Tokyo.

Le troisième est Sawara, dans la préfecture de Chiba.

Cette ville s’est également développée grâce au transport fluvial sur la rivière Tone, avec des maisons de marchands qui évoquent l’époque.

Sawara est aussi le lieu de naissance de Inō Tadataka, qui a réalisé un relevé de tout le Japon à pied au cours de l’époque Edo et a créé des cartes nationales extrêmement précises pour son époque.
Au musée et dans sa maison natale, vous pourrez voir des instruments de mesure et des documents (classés trésor national) qui révèlent la vie de cette époque.

De plus, le sanctuaire Katori Jingu, le principal des environ 400 sanctuaires Katori célèbres en tant que lieux de pouvoir, se trouve à environ 2 km et mérite d’être visité si vous en avez le temps.

C’est également proche de l’aéroport de Narita, donc pourquoi ne pas en profiter pour y faire un tour avant de rentrer chez vous ?

https://www.suigo-sawara.ne.jp/abroad.html

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Bonsoir, je représente l’office de tourisme chargée de promouvoir Tokyo et ses alentours.

Pour cette fois-ci, je vais vous parler de randonnées.

Les personnes qui font régulièrement du sport ont souvent envie de rester actives même lorsqu’elles voyagent.

Je propose pour ces personnes, des randonnées faisable en une journée accessible en train et en bus depuis Tokyo.

Nous vous recommandons de découvrir le mont Tanigawa (altitude 1997 m), l’un des 100 montagnes célèbres du Japon, situé entre les préfectures de Gunma et Niigata, ainsi que le sentier de la crête frontalière de la préfecture de Gunma.

Depuis la gare de Tokyo, prenez le Shinkansen Joetsu jusqu’à la gare de Jomo-Kogen, puis prenez un bus pendant environ 45 minutes pour arriver à la station de téléphérique du mont Tanigawa.

Le trajet total dure environ 2 heures.

Depuis cette station, vous pouvez prendre le téléphérique pour atteindre la station de Tenjindaira à 1319 m d’altitude en seulement 7 minutes.

Ce parcours est très populaire car il est accessible même aux débutants et permet de faire une randonnée en seulement une journée.

Le mont Tanigawa se trouve sur la ligne de partage des eaux entre la mer du Japon et l’océan Pacifique.

Et bien que l’altitude ne soit pas particulièrement élevée, cette région est l’une des plus enneigées du monde.
La limite des forêts est assez basse, à environ 1500 m, et la crête offre de magnifiques panoramas.

La saison de randonnée s’étend de fin juin à fin octobre, à l’exception des périodes de neige, mais c’est particulièrement en octobre, pendant la période de l’automne, que vous rencontrerez le plus grand nombre de randonneurs.

Après avoir fait demi-tour et redescendu en téléphérique, vous pouvez retourner par le même chemin.

Cependant, pour les personnes sportives, il est possible de passer la nuit au pied de la montagne et de partir tôt le matin pour une randonnée qui inclut une traversée du Sentier de crête de la frontière de Gunma jusqu’au sommet du Mont Tairappyo.

Si le temps est dégagé, vous pourrez profiter d’une vue panoramique à 360° en marchant sur la crête. Cependant, comme l’itinéraire jusqu’à l’aire de départ du mont Tairappyo fait plus de 20 kilomètres, il est conseillé de partir autour de la mi-juillet, après la fin de la saison des pluies, lorsque les journées sont plus longues.

Pour le retour, prenez un bus depuis l’arrêt Hirataro jusqu’à la gare de Echigo-Yuzawa, puis empruntez le Shinkansen Joetsu pour revenir à Tokyo.
Les bus pour Echigo-Yuzawa partent à 16h55, 18h25 et 19h42 (le dernier bus).

Pour plus d’informations, consultez le site officiel : Tanigawa Ropeway

Bonsoir, je représente l’office de tourisme chargée de promouvoir Tokyo et ses alentours.

Pour aujourd’hui, je vous propose un itinéraire recommandé pour une excursion d’une journée autour de la baie de Tokyo, que vous pouvez apprécier en prenant différents trains et bus.

Il s’agit du “circuit autour de la baie de Tokyo en 1 journée”, qui traverse la péninsule Miura et rejoint la péninsule Boso en ferry.

Tout d’abord, vous pouvez prendre un train JR Yokosuka Line ou un Keihin Kyuko à partir de la gare de Tokyo ou de la gare de Shinagawa en direction de la gare de Kurihama.
Le terminal du ferry de Kurihama est situé à environ 2 km de la gare, soit à 10 minutes en bus.

Kurihama se trouve à l’entrée de la baie de Tokyo, et c’est ici, à la fin de la période Edo en 1853, que l’amiral américain Matthew Calbraith Perry a débarqué pour forcer le Japon à s’ouvrir au commerce international.
Cet événement a été un déclencheur de l’ère de la restauration Meiji et fait de cet endroit un site historique célèbre.

Le ferry pour la péninsule Boso part environ toutes les heures le week-end et toutes les deux heures en semaine.
Après 40 minutes de traversée, vous arriverez au port de Hamakanaya, du côté de la péninsule Boso. Par temps clair, vous pourrez apercevoir le Mont Fuji depuis le ferry.

Une fois arrivé à Hamakanaya, marchez environ 12 minutes pour rejoindre le téléphérique de Nokogiriyama.
Si c’est l’heure du déjeuner, je vous recommande de manger des fruits de mer au restaurant “The Fish” près du terminal.

Le Nokogiriyama, à environ 329 mètres d’altitude, n’est pas une montagne particulièrement haute, mais c’était autrefois une carrière de pierre.
La face escarpée du rocher exposée sur la montagne lui donne une apparence impressionnante, presque comme une montagne abrupte.
Le nom “Nokogiriyama” vient de la forme de la crête, qui ressemble à une scie, avec des dents pointues.

Sur le versant sud du Nokogiriyama se trouve le Nihon-ji, un temple bouddhiste datant de 1300 ans.
Ce temple s’étend sur un vaste terrain et abrite le plus grand Bouddha du Japon, d’une hauteur impressionnante de 31 mètres, bien plus grand que les Bouddhas de Nara ou de Kamakura.

C’est un site incontournable. Vous y trouverez aussi une énorme statue de Kannon sculptée dans la roche (le “Hyakushaku Kannon”), ainsi que plus de 1500 statues de bouddhas appelées “Sen Gohyaku Rakan”. Un autre site fameux est le point de vue “Jigoku-nozoki” (le “regard sur l’enfer”), qui offre une vue spectaculaire sur la baie de Tokyo.
Il y a beaucoup de marches, mais l’effort en vaut la peine !

Après environ deux heures de visite, redescendez en téléphérique et marchez (environ 8 minutes) jusqu’à la gare de Hamakanaya.
Ensuite, prenez un train local JR de la ligne Uchibo en direction de la gare de Kimitsu, puis changez pour un train en direction de la gare de Tokyo.

Bien que vous puissiez revenir par le même itinéraire, il est aussi agréable de prolonger la route et de faire une boucle complète.
En intégrant le ferry à votre itinéraire, vous pourrez profiter de paysages marins magnifiques que vous ne verrez surement pas en voyageant uniquement par voie terrestre.
L’atmosphère sur le côté ouest de la baie de Tokyo est très différente de celle de l’est, ce qui rend l’expérience encore plus intéressante.

Ce circuit, qui mêle trains et ferry, est idéal pour les voyageurs seuls, car vous passerez beaucoup de temps à profiter des paysages tout en voyageant dans différents types de transports.
Si vous le souhaitez, vous pouvez inverser l’itinéraire (sens horaire) et, si vous avez le temps après avoir pris le ferry, étendre votre visite jusqu’à Misaki ou l’île de Jogashima sur la péninsule Miura.

Cet itinéraire autour de la baie de Tokyo, avec une visite de Nokogiriyama et du temple Nihon-ji, est particulièrement recommandé pour les journées ensoleillées pendant votre séjour à Tokyo.

Bonsoir, je représente l’office de tourisme chargée de promouvoir Tokyo et ses alentours.

Cette fois-ci, je vais vous présenter « Chichibu », un lieu spirituel emblématique situé dans la préfecture de Saitama, au Japon.

La région de Chichibu est située dans le bassin de Chichibu, entourée de montagnes, créant une atmosphère unique et un sentiment d’isolement géographique.

Elle est célèbre pour ses trois sanctuaires historiques appelés « Chichibu Sansha » : le sanctuaire Mitsumine, le sanctuaire Chichibu et le sanctuaire Hodosan.

Il existe également un itinéraire de pèlerinage, le « Chichibu Fudasho 34 », qui inclut 34 temples.

Ces lieux attirent, depuis des siècles., de nombreux pèlerins.

Dans les enceintes des trois sanctuaires de Chichibu, vous trouverez de magnifiques pavillons, et il est possible de les visiter en une journée.

Cependant, le pèlerinage des 34 temples couvre un trajet total de 100 km, avec de nombreux temples situés dans les zones urbaines, mais ceux dont les numéros sont supérieurs à 30 sont situés en périphérie.

Pour visiter tous les temples à pied, il faut environ 5 jours.

Pour une expérience plus immersive, il est recommandé de suivre les anciens chemins de pèlerinage et de visiter les 34 temples répartis dans la région de Chichibu.

Cela vous permettra de mieux apprécier l’histoire et la nature de la région.
Le pèlerinage à vélo est également populaire et adapté au trajet de 100 km.
Bien que le parcours comporte des montagnes et des vallées, les routes sont bien entretenues, ce qui en fait une excellente option pour un pèlerinage à vélo.

N’oubliez pas de recueillir un « goshuin », un tampon traditionnel, dans votre livre de goshuin pour chaque temple que vous visitez. Un livre de goshuin complet avec les 34 tampons deviendra un précieux souvenir pour les pèlerins.

Train express La-View

Depuis Tokyo, vous pouvez rejoindre Chichibu facilement en environ 1 heure et 20 minutes en prenant le train express La-View de la ligne Seibu depuis la gare de Ikebukuro. C’est donc une excellente option pour une excursion d’une journée pendant la saison des cerisiers en fleurs en avril ou celle des feuilles d’automne en novembre.

Bonsoir je représente l’office de tourisme chargée de promouvoir Tokyo et ses alentours.
On vous présente des destinations accessibles en train et en bus depuis Tokyo.

Cette fois-ci, nous vous présentons des ryokans (auberges traditionnelles japonaises) situées dans la région du “paradis thermal” de Gunma.

Le Japon a une culture qui s’appelle “toji” (bains curatifs), où les gens prennent le temp dans les onsens pour traiter des maladies et des blessures.
De plus, étant un “pays volcanique”, le Japon regorge de nombreuses sources chaudes, et parmi elles, la préfecture de Gunma est célèbre pour ses nombreuses stations thermales, dont le célèbre “Kusatsu Onsen”.
C’est l’une des trois grandes sources thermales du Japon, d’où le surnom “paradis thermal de Gunma”.

Parmi ces nombreuses sources, nous vous présentons ici deux onsen populaires auprès des voyageurs étrangers, situés dans des endroits sauvages et reculés.

Le premier est le Houshi Onsen.

Le Choujukkan de Houshi Onsen est un ryokan situé dans le parc national de Joushinetsu, dans un endroit isolé.
Son bâtiment est inscrit comme bien culturel immatériel du Japon.
Il dispose de bains intérieurs et extérieurs, tous alimentés en eau directement depuis la source chaude (source en continu).
Ce lieu est très populaire et il peut être difficile de réserver une chambre, mais l’entrée aux bains pour la journée est également possible sans réservation.

Le deuxième est le Takaragawa Onsen.

Le Osenkaku de Takaragawa Onsen est réputé pour ses abondantes sources thermales, avec quatre bains extérieurs tous alimentés en source chaude, dont trois sont des bains mixtes.
Beaucoup de femmes pensent “Je ne pourrais jamais me baigner dans un bain mixte !” mais pas de souci, car dans ces bains extérieurs mixtes, le port d’un maillot de bain est obligatoire pour tout le monde.
Ce lieu est également connu pour sa grande richesse naturelle, avec des champignons, des poissons de rivière et d’autres produits locaux.
En fonction de la saison, vous pourrez goûter à une cuisine simple et rustique à base de plantes sauvages, champignons et poissons d’eau douce.

Ces deux onsen se trouvent dans des zones très naturelles, et nous vous recommandons de faire de la randonnée dans les environs.

L’accès se fait en utilisant le train shinkansen Joetsu jusqu’à la gare de Jouetsu Kogen, puis un bus.
Pour Houshi Onsen, il faut environ 40 minutes en bus depuis la gare de Jouetsu Kogen, puis changer pour un bus à destination de Houshi, avec un trajet supplémentaire de 15 minutes.
Pour Takaragawa Onsen, vous pouvez prendre un bus de transport direct depuis la gare de Jouetsu Kogen vers l’auberge (environ 45 minutes, sur réservation préalable).

https://www.takaragawa.com/english.html

Bonsoir je représente l’office de tourisme chargée de promouvoir Tokyo et ses alentours.

Je vous présente une recommandation de destination accessible en train et en bus depuis Tokyo.

Cette fois-ci, nous allons explorer la ville de Tsubamesanjo, située dans la préfecture de Niigata, connu pour son savoir-faire dans la « fabrication métallique ».
C’est également un symbole de l’industrie japonaise.

Tout d’abord, Tsubamesanjo est en fait la combinaison de deux villes : Tsubame et Sanjo.

Depuis longtemps, cette région est connue par les japonais sous le nom de « ville des métaux » pour ses produits métalliques tels que les outils de travail, les couteaux et la vaisselle en métal.

Dans cette région, vous trouverez de nombreux endroits où vous pourrez visiter des ateliers de fabrication ou vivre des expériences de fabrication.

En regardant et en touchant à ces produits, vous pourrez ressentir l’artisanat local et les techniques transmises de génération en génération par les artisans de la région.

Voici trois endroits recommandés à visiter :

SUWADA OPEN FACTORY

L’entreprise Suwada fabrique des couteaux depuis 1926.
Tous les couteaux sont fabriqués à la main par des artisans, et les célèbres « coupe-ongles SUWADA », reconnues pour leur design élégant et leur tranchant exceptionnel, sont appréciées dans le monde entier. Il est possible de visiter leur atelier sans réservation préalable.

Accès : À 20 minutes à pied (1,7 km) de la gare d’Obiori sur la ligne principale Shin’etsu JR, ou en voiture depuis la gare de Tsubamesanjo.

TOJIRO OPEN FACTORY

Depuis 65 ans, Tojiro poursuit l’objectif de créer des couteaux en acier inoxydable d’une qualité exceptionnelle. Ils gèrent l’ensemble de la production et sont fiers de fabriquer des couteaux de qualité supérieure, appréciés dans le monde entier. Leur open factory, sans vitre ni séparation, vous permet de voir les artisans à l’œuvre sans réservation. De plus, à la galerie Tojiro Knife Gallery, vous trouverez une exposition de près de 600 types de couteaux fabriqués par l’entreprise, et vous pourrez probablement y trouver votre couteau préféré.

Accès : À 10 minutes à pied de la gare Yoshida sur la ligne Yahiko de JR, ou en voiture depuis la gare de Tsubamesanjo.

Station de route Tsubamesanjo Jibasan Center

Le centre commercial spacieux est divisé en environ dix sections, dont un « coin couteaux », un « coin vaisselle métallique » et un « coin casseroles et poêles », avec environ 10 000 articles en vente. Vous y trouverez sûrement ce que vous cherchez. De plus, vous pourrez vivre des expériences telles que le polissage de cuillères, l’affûtage de couteaux par des artisans ou encore la démonstration de gravure de noms. Cela vous permettra de découvrir de près l’artisanat local.

Accès : À 5 minutes à pied de la gare Tsubamesanjo sur le shinkansen Joetsu.

Bonsoir je représente l’office de tourisme chargée de promouvoir Tokyo et ses alentours.
Je vous présente une recommandation de destination accessible en train et en bus depuis Tokyo.

Cette fois-ci, je vais vous parler de la ville de Kiryu, située dans la préfecture de Gunma, célèbre pour ses « tissus de soie », qui étaient autrefois un produit d’exportation majeur du Japon.
Aujourd’hui encore, des usines de textile d’antan, témoignant du passé de la ville, subsistent un peu partout, et vous pouvez également visiter le Musée du textile de Kiryu, qui présente l’histoire du textile et vend des produits en soie.

Le textile de Kiryu, connu sous le nom de « Kiryu-ori », a une histoire de plus de 1000 ans et était réputé au point qu’on disait : « à l’ouest, Nishijin, à l’est, Kiryu », en référence à la fameuse région productrice de soie. Après l’ère Meiji, Kiryu a rapidement adopté les technologies de pointe de l’époque, développant un système de production moderne qui a mené à l’industrialisation et a permis à la ville de devenir un centre emblématique de la soie au Japon.

Aujourd’hui, la technique du textile de Kiryu est désignée comme un « artisanat traditionnel », et bien qu’ils continuent de produire des kimonos et des ceintures (obi) avec les méthodes ancestrales, ils se tournent également activement vers de nouvelles créations.

Pour les vêtements occidentaux, Kiryu utilise les technologies les plus récentes, offrant une qualité élevée et une forte dimension esthétique, et fournit des tissus aux plus grandes marques mondiales, continuant ainsi d’évoluer en tant que centre de production textile.

Dans la même préfecture de Gunma, vous trouverez également l’Usine de soie de Tomioka, inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO.

Fondée en 1872 par le gouvernement Meiji, cette usine de filage de soie a été un centre de développement technologique de pointe dans le domaine de la sériciculture et du filage, et a contribué à élever l’industrie japonaise au rang mondial.
L’usine est accessible à pied depuis la gare de Tomioka sur la ligne Jōshin, et je vous recommande vivement de la visiter lors de votre séjour.

https://www.tomioka-silk.jp.f.wv.hp.transer.com/_tomioka-silk-mill/

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